Les femmes indiennes pratiquent volontiers l’art du rangoli (ou kolam), qui consiste à décorer le sol par des motifs peints réguliers. Une femme en Inde existe d’abord par son statut social : sœur, mère ou épouse. Cette première constatation implique une construction de la personnalité chez une petite fille indienne bien différente de celle que l’on peut observer en France par exemple.
À travers tout le continent indien, les femmes sont vêtues du sari (une forme de toge) et de tuniques appelées chemises salwar. Le maquillage se distingue par une marque frontale circulaire, le bindi.
Comme noms, hindou et hindoue désignent un et une adepte de l’hindouisme – une religion largement pratiquée en Inde, notamment –, et à l’instar de tous les noms d’adeptes d’une religion, ils s’écrivent avec une minuscule. Comme adjectifs, hindou et hindoue signifient « qui se rapporte à l’hindouisme »; ils sont synonymes de hindouiste, qui est toutefois moins fréquent.
Bombay: Bharatiya Vidya Bhavan 1951, p.394
Le mot «sqwa» utilisé par certains aujourd’hui pour désigner une femme est un mot créé de toute pièce par les premiers envahisseurs européens qui auraient mal interprété ce qu’ils avaient entendu. Rappelez-vous que les Nations dites de la famille linguistique algonquienne (Mi’kmaq, Wolastoqiyik ,Waba-Naki, Anishinaabe, Narragansett) ont été parmi les premiers peuples à rencontrer les Européens.
Ce texte rassemble les contraintes sociales imposées aux femmes depuis la soutra Apastamba (vers le IVe siècle av. J.-C.). Le premier vers est : « mukhyo dharmaH smṛtiShu vihito bhartṛshushruShANam hi[19] ». Dans certaines villes de l’Inde ancienne, la tradition locale invitait les épouses à concourir pour être couronnées nagarvadhu (« femme de la cité »). Amrapali est la plus célèbre nagarvadhu.
En langue mi’kmaq « nitapsqw » désigne une femme amie, « gisigui’sgwaq » désigne une vieille femme, saqama’sqw (aussi écrit saqama’sgw) désigne une Femme Chef. En langue algonquine (anishinaabe) « nidobaskwa » désigne une femme amie, « manigebeskwa » signifie femme des bois, « Squawachem » désigne une femme de haut rang, une femme Chef.
Qui sont les squaws dans les tribus indiennes
En témoigne la photographie ci-dessous, certainement prise par un Blanc qui lui a donné son titre. Elle fait partie de la collection du musée tribal osage de Pawhuska (Oklahoma)Le terme de squaw appartient au groupe linguistique algonquin (tribus de l’est américain). Les premiers explorateurs français l’utilisaient pour désigner les « femmes autochtones du Nord »Dans les langues algonquines le mot squaw désigne le vagin.
Selon cette dernière le mot « squaw » proviendrait des langues iroquoiennes, et plus spécifiquement du mohawk ; ce serait une corruption par le français du mot ojiskwa’ qui signifie « vagin »[2]. La plus ancienne source écrite anglaise qui utilise le mot « squaw » remonte à 1621 et est rédigée par les chroniqueurs de la colonie de Plymouth.
On – comprenez : les colonisateurs, « les coureurs des bois anglais et français » – les appelait les squaws. En algonquin, « squaw » désigne « un être humain de deuxième catégorie qui équivaut à une putain ». C’est dire toute l’estime que l' »on » avait pour les femmes indiennes, c’est dire le racisme et la misogynie d’un terme tout aussi discriminatoire que « nigger » ou « négresse ».
« Squaw » possède une forte connotation sexuelle, notamment dans la dichotomie entre la figure de la « princesse indienne » comme peut l’être Pocahontas et celle de la squaw[4] : la princesse aide et protège les hommes blancs et les États-Unis, parfois au sacrifice de sa propre vie, et incarne l’idéal contradictoire de la maternité virginale[8], quand la squaw s’offre aux hommes blancs et est souvent représentée comme stupide, cupide ou alcoolique ; les hommes blancs avec qui elle a des relations sexuelles sont qualifiés de « squaw men » et sont eux aussi dépréciés[9].
Le terme appartient à un champ lexical inhabituel en anglais pour décrire un groupe ethnique : « squaw » cohabite avec « buck » (homme autochtone) et « papoose » (enfant autochtone).
Qu’est-ce qu’un bon squat
Les squats sont des exercices courants pour le bas du corps que l’on retrouve dans la plupart des programmes d’entraînement. Bien effectués, ils peuvent être très bénéfiques.
Le squat est donc un exercice en apparence simple, mais qui permet de solliciter de nombreux muscles, et de renforcer aussi bien le bas du corps que le haut du corps.Le bon conseil : pour une silhouette harmonieuse, intégrez les squats dans une petite séance fitness, pour alterner avec d’autres exercices (fente, burpees, jumping jack, gainage…).
Ajouter des squats à vos séances d’entraînement peut aider à stimuler votre performance sportive, réduire les risques de blessure, augmenter votre mobilité et souplesse, tout en vous mettant en mouvement plus facilement tout au long de la journée. Mais ce ne sont là que quelques-uns des nombreux avantages que procure le squat. Que travaille l’exercice du squat ?
Cet exercice reste la pierre angulaire de l’entraînement des jambes pour tous les athlètes qui cherchent à développer de la masse musculaire ou gagner en puissance. Le back squat
Le back squat, ou squat traditionnel, est le squat le plus couramment réalisé. Pour faire un bon back squat, la barre est chargée en haut de vos trapèzes, près de la base de votre cou.
À l’instar des burpees, du gainage ou encore de la fente, le squat est un exercice que l’on retrouve dans de nombreuses routines sportives.
Il n’y a pas plus efficace pour gagner en force et faire de vous un être humain physiquement plus fonctionnel. Le squat est un mouvement de musculation dynamique qui recrute simultanément plusieurs muscles du haut et du bas du corps.
Qui est le chef des indiens
En 1866, il devient le principal chef des Sioux du nord et est secondé par Crazy Horse, le chef des Oglala. Respecté pour son courage et sa sagesse, Sitting Bull devient le chef principal de la nation Sioux vers 1867.
Sa tribu est celle des Sioux Hunkpapa, guerriers redoutables. Jeune garçon, il ne portait pas encore le nom de Sitting Bull car, selon la coutume indienne, le nom d’adulte n’était décerné que plus tard, après avoir accompli un exploit particulièrement marquant aux yeux des siens. Il était surnommé Slow, à cause de l’attitude réfléchie dont il faisait tou-jours preuve avant de se décider.
L’envergure du personnage n’en est que plus marquante à une époque ou, côté blanc, tous ceux qui participèrent de près ou de loin à la ‘politique Indienne’ du gouvernement américain ne furent que de médiocres figures, dont le principal souci était la carrière personnelle et l’obtention des faveurs gouvernementales, en espérant, pour certains, qu’elles finiraient bien par les his-ser en haut de la hiérarchie sociale et politique, voire, ainsi que l’escomptait le général Custer, au rang de président des états-Unis.
Toutefois, les Indiens ont tenté de résister et se sont battus pour garder les terres de leurs ancêtres, à l’image de ces chefs qui ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour que leur peuple puisse vivre en liberté. © Wikimédia / Charles Bird King Black Hawk
Né en 1767, Black Hawk (aigle noir) est un chef de la tribu Sauk et Fox, basée dans l’Illinois.
SITTING BULL Cet homme aux traits durs, à l’expression emplie de sagacité perçante, tel qu’il apparaît sur les clichés de l’époque, a porté à bout de bras la destinée de son peuple pour lequel il ne désirait qu’une chose, une vie libre. Guerrier, il le fut jusqu’au tréfonds de l’être. Et pourtant, il n’y eut pas plus ardent défenseur de la paix que lui.
Pourquoi on appelait les indiens peau rouge
L’origine du choix du terme rouge pour décrire les Amérindiens en anglais est débattue. Alors que des termes apparentés étaient utilisés dans la littérature anthropologique dès le XVIIe siècle, les étiquettes basées sur la couleur de la peau sont entrées dans le langage courant vers le milieu du XVIIIe siècle.
Des documents de la période coloniale indiquent que l’utilisation de « rouge » comme qualificatif utilisé par les Amérindiens pour se qualifier eux-mêmes émerge dans la région du sud-est de l’Amérique du Nord, avant d’être adoptée plus tard par les Européens et de devenir une étiquette générique voire un profil racial de tous les Amérindiens[1],[2].
Le choix du rouge plutôt que d’autres couleurs peut avoir été dû à des associations culturelles, plutôt qu’à la couleur de la peau. Le rouge et le blanc étaient une dichotomie qui avait des significations symboliques omniprésentes dans les cultures amérindiennes du sud-est de l’Amérique du Nord.
Dans les régions du nord-est de l’Amérique, l’utilisation du terme « rouge » par les Européens pour décrire les Amérindiens semble avoir été limitée à des tribus telles que les Béothuks de Terre-Neuve, qui pratiquaient la peinture corporelle et de leurs biens avec de l’ocre rouge, conduisant les Européens à les désigner comme des « Indiens rouges »[3].
Bien que certaines tribus aient utilisé le rouge pour se décrire elles-mêmes pendant l’ère précolombienne sur la base de leur histoire individuelle, la généralisation de l’usage du terme se serait faite en réponse à des rencontres avec des gens qui se disaient « blancs » pour se distinguer de leurs esclaves « noirs »[1].
L’appellation « peau-rouge », parfois synonyme de « sauvage », de « Indien » ou de « Amérindien », est considérée comme péjorative[4],[5], voire comme une insulte[6].
Sur les autres projets Wikimedia :
- ↑ a b et c (en) Nancy Shoemaker, « How Indians got to be red », The American Historical Review, Washington, Société américaine d’histoire, vol.
Bien qu’il y ait eu de manière ponctuelle des références au « rouge » dans la diplomatie indo-européenne dans le nord-est, ce qualificatif y est demeuré rare même après qu’il fût devenu commun dans le sud-est.
Comment s’appelle la couronne des indiens
En effet, chez les Sioux, Crow, Blackfeet ou encore Cheyenne, le War Bonnet est un symbole de pouvoir et d’autorité, réservé aux hommes amérindiens dont le statut imposait le respect : chef de village ou grand guerrier par exemple. A l’origine, les War Bonnets étaient réalisés en plume d’aigle, animal emblématique de la culture amérindienne, représentant le lien avec le divin.
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Appelées « War Bonnets » (coiffe de guerre) en anglais, ces coiffes en plumes sont connues de tous et ont traversé les années pour devenir un vrai symbole des Indiens d’Amérique. Pourtant, alors que nous visualisons tous ces coiffes majestueuses, nous ignorons souvent leur origine : Ces coiffes de plumes étaient traditionnellement portées avec fierté et honneur dans diverses tribus des Indiens des Plaines.
Les bonnets de guerre de style plaine sont faits de plumes d’ aigle parce que l’aigle est considéré par la plupart des tribus des plaines intérieures comme le plus grand et le plus puissant de tous les oiseaux.
Certaines formes de bonnet de style Plains sont le bonnet « à cornes », le bonnet en plumes d’ aigle « évasé » et le bonnet en « plumes flottantes ». Le bonnet « à cornes » peut être composé d’un bonnet de crâne en peau de daim , de cornes de bison ou de vache rasées et de crin teint avec des bouquets de plumes de hibou sous le bonnet de crâne.