Ramzy Bedia est né le 10 mars 1972 dans le 16e arrondissement de Paris.
Où a grandi Ramzi ?
Ramzy Bedia, parfois simplement appelé Ramzy, est un acteur et humoriste français, né le 10 mars 1972 à Paris. Il accède à la notoriété en formant, avec Éric Judor, le duo comique Éric et Ramzy.
Ramzy Habib El Haq Bedia est né dans le 16e arrondissement de Paris. Son père et sa mère sont algériens, originaires respectivement de Kabylie et d’Oran[1]. Il grandit à Gennevilliers[2]. Sa sœur cadette, Melha Bedia, est également devenue actrice et humoriste[3].
Révélation comique avec Éric Judor (années 1990-2000)[modifier | modifier le code]
Éric et Ramzy en 2000.
Lorsqu’il rencontre Éric Judor en 1994, Ramzy Bedia est vendeur de vêtements aux Galeries Lafayette[4]. La célébrité acquise par leurs sketchs à la télévision dans l’émission Les Mots d’Éric et Ramzy sur M6 se combine au succès de leurs spectacles sur scène ainsi qu’à celui de la série H (avec Jamel Debbouze et Éric Judor) en 1998 jusqu’au passage au cinéma.
Ils coécrivent et jouent dans La Tour Montparnasse infernale, dont ils confient la réalisation à Charles Nemes. Les Robins des Bois sont également impliqués dans le projet puisque Pierre-François Martin-Laval participe à l’écriture, et Marina Foïs interprète le rôle féminin principal. Le succès commercial du film lance la carrière cinématographique des deux acteurs.
Ils écrivent et réalisent en 2008 le décalé Seuls Two, influencé par le cinéma de Quentin Dupieux, mais ce film n’obtient pas le succès public escompté.
Carrière solo et diversification (années 2010)[modifier | modifier le code]
Durant les années 2010, les deux acteurs tracent des trajectoires distinctes : tandis que Judor se concentre sur l’écriture et la réalisation dans l’humour, Ramzy s’aventure dans un registre dramatique en tant qu’acteur.
Quel âge a melha bédia ?
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Melha Bedia, née le 22 décembre 1990 à Paris[1], est une actrice et humoriste française.
Melha Bedia nait d’un père originaire de Kabylie et d’une mère originaire d’Oran[2]. Elle est la sœur cadette de l’acteur Ramzy Bedia[3].
Elle obtient un bac littéraire avec mention bien à l’âge de 16 ans[1].
Joueuse de football au PSG[4], elle met un terme à cette carrière après le refus de sa mère qu’elle parte jouer à Cleveland[1].
Elle travaille alors avec la rappeuse Diam’s, chargée de l’habillage et du stylisme[5]. Cette dernière lui met également le pied à l’étrier en lui permettant de monter sur scène.
Devenue humoriste, Melha Bedia s’amuse sur scène de son poids ou encore de sa virginité[5].
En 2013, Melha Bedia apparaît sur les écrans Canal+ avec la série Les Lascars, dans laquelle elle joue deux saisons. La même année, elle est une fille en colère dans un court-métrage onirique d’Ilan Cohen, Chat. L’année 2014 est également une année chargée en projets, puisqu’on la retrouve dans la série Ma pire angoisse, et au cinéma avec À toute épreuve. En 2015, elle partage l’écran avec José Garcia dans Tout schuss. Pattaya, une comédie loufoque permet de la voir de nouveau en 2016.
Quel est le vrai nom de Ramzy ?
Ramzy Bedia, parfois simplement appelé Ramzy, est un acteur et humoriste français, né le 10 mars 1972 à Paris. Il accède à la notoriété en formant, avec Éric Judor, le duo comique Éric et Ramzy.
Ramzy Habib El Haq Bedia est né dans le 16e arrondissement de Paris. Son père et sa mère sont algériens, originaires respectivement de Kabylie et d’Oran[1]. Il grandit à Gennevilliers[2]. Sa sœur cadette, Melha Bedia, est également devenue actrice et humoriste[3].
Révélation comique avec Éric Judor (années 1990-2000)[modifier | modifier le code]
Éric et Ramzy en 2000.
Lorsqu’il rencontre Éric Judor en 1994, Ramzy Bedia est vendeur de vêtements aux Galeries Lafayette[4]. La célébrité acquise par leurs sketchs à la télévision dans l’émission Les Mots d’Éric et Ramzy sur M6 se combine au succès de leurs spectacles sur scène ainsi qu’à celui de la série H (avec Jamel Debbouze et Éric Judor) en 1998 jusqu’au passage au cinéma.
Ils coécrivent et jouent dans La Tour Montparnasse infernale, dont ils confient la réalisation à Charles Nemes. Les Robins des Bois sont également impliqués dans le projet puisque Pierre-François Martin-Laval participe à l’écriture, et Marina Foïs interprète le rôle féminin principal. Le succès commercial du film lance la carrière cinématographique des deux acteurs.
Ils écrivent et réalisent en 2008 le décalé Seuls Two, influencé par le cinéma de Quentin Dupieux, mais ce film n’obtient pas le succès public escompté.
Carrière solo et diversification (années 2010)[modifier | modifier le code]
Durant les années 2010, les deux acteurs tracent des trajectoires distinctes : tandis que Judor se concentre sur l’écriture et la réalisation dans l’humour, Ramzy s’aventure dans un registre dramatique en tant qu’acteur.
Qui est Sandrine Bogaert ?
« M. Bedia a 99,999 chances sur cent d’être le père de l’enfant », rapporte l’expert. Sandrine Bogaert, qui élève seule sa fille depuis deux ans, se bat désormais pour obtenir réparation. Elle a obtenu le versement d’une pension, mais doit faire face aux loyers de Neuilly et a même dû payer la maternité que son ex-compagnon devait avoir réglée. « Je suis criblée de dettes », soupire la jeune femme, éprouvée par cette affaire. Le tribunal tranchera le 8 novembre. Contacté à plusieurs reprises vendredi, l’avocat de Ramzy Bedia n’a pas donné suite à nos appels. Il n’a pas non plus transmis le dessin de Salomé à son papa, son client ne l’ayant pas « mandaté pour cela ».
Où voir le film Double Zéro ?
Double zéro en streaming direct et replay sur CANAL+ | myCANAL.
Quelle est la religion officielle de l’Iran ?
Représentant aujourd’hui entre 80 et 90% de la population, selon les sources, l’Iran est toujours le seul Etat à être officiellement chiite. A titre de comparaison, le chiisme représente 10 à 15% des musulmans dans le monde.
Le chiisme duodécimain est parfois surnommé par les sunnites le « chiisme iranien », ce que récusent les Iraniens. Cette dénomination est le résultat de plusieurs siècles de particularismes et d’indépendance de l’Iran vis-à-vis de l’islamisation et des mondes arabes et ottomans voisins. D’une part parce que la langue arabe ne s’est pas imposée en parallèle de l’islam au moment de la conquête (VIIe-VIIIe siècles ap. J.C.). Contrairement aux langues parlées dans les autres régions en cours d’islamisation, le persan a su résister face à l’arabe et demeurer la langue du quotidien, de la politique et de la poésie, tandis que l’arabe n’était adopté que pour la religion. D’autre part parce que la dynastie Safavide a adopté le chiisme comme religion officielle en partie en opposition à l’Empire ottoman sunnite voisin, séparant définitivement l’Iran du reste du monde musulman. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu’en 1501 peu de Perses étaient chiites, et que l’instauration du chiisme comme religion officielle relevait d’une décision politique plus que d’une réalité populaire.
Sunnisme
Les musulmans sunnites, essentiellement Kurdes, Turkmènes, Baloutches et Arabes représentent entre 9 et 15% de la population.
Quel est la religion de l’Iran ?
Population
77 176 930 habitants.
Langue officielle
La langue officielle de l’Iran est le Persan, également appelé Farsi, et est compris par 83% de la population.
Langue parlée
La langue couramment utilisée pour les affaires est l’anglais.
Peuple
Parmi les groupes linguistiques minoritaires importants, il faut mentionner les Azéris (20%) et les Luris (6,6%) au nord, les Kurdes (9%) à l’ouest, les Arabes (2,1%) au sud-ouest, les Turkmènes (1,5%) au nord-est, les Baloutchis (1,3%) au sud-est.
Religion
La population iranienne se compose de musulmans chiites (63%), musulmans sunnites (34%) et autres (3%).
Fête Nationale
1er avril : Jour de la République (1979).
Calendrier des Fêtes
Les fêtes musulmanes (mois de jeûne du ramadan, Eid-Fitr…) relèvent d’un calendrier lunaire et changent de date (calendrier grégorien) chaque année.
2017
10 février : victoire de la Révolution islamique.2 mars : martyre de Fatima.19 mars : nationalisation de l’industrie du pétrole.1er avril : jour de la République islamique.2 avril : jour de la nature.4 juin : décès de l’imam Khomeini.5 juin : jour du massacre des Révolutionnaires.16 juin : martyre de l’imam Ali.19 juillet : martyre de l’imam Sadeq.29 septembre : Tassoua, veille du martyre de l’imam Hussein.30 septembre : Achoura, jour du martyre de l’imam Hussein.9 novembre : Arbeine, 40e jour du martyre de l’imam Hussein.17 novembre : décès du prophète Mahomet.19 novembre : martyre de l’imam Reza.
Ces jours-là, sites et musées sont fermés.
Histoire
Avec plus de 2500 ans d’histoire, l’Iran, connu autrefois sous le nom de Perse jusqu’en 1935, a une longue histoire militaire. 550 av. JC, Cyrus II chasse les Mèdes et fonde l’Empire perse. 330 av. JC, domination d’Alexandre le Grand. 224 av. JC, l’Empire sassanide s’installe pour près de la moitié d’un millénaire. 642, arrivée des Arabes. 999, arrivée des Turcs seldjoukides.
Quelles libertés ne sont pas respectées en Iran ?
En décembre, la Cour constitutionnelle de Belgique a suspendu partiellement l’application de ce traité ; elle devait se prononcer sur son éventuelle annulation début 2023.
L’Iran a continué d’apporter un soutien militaire aux forces gouvernementales dans le conflit armé en Syrie (voir Syrie).
Il a prêté un appui à l’invasion de l’Ukraine par la Russie en fournissant des drones Shahed 136, qui ont servi à détruire délibérément des infrastructures civiles.
En septembre et octobre, les pasdaran (gardiens de la révolution) ont attaqué des groupes d’opposition kurdes dans la région du Kurdistan irakien, faisant plus d’une douzaine de morts, dont une femme enceinte.
Liberté d’expression, d’association et de réunion
Les autorités ont renforcé la répression, déjà étouffante, ne laissant aucune place à la dissidence pacifique.
Les autorités ont censuré les médias, brouillé les chaînes de télévision par satellite et, en septembre, ajouté Instagram et WhatsApp sur la liste des applications mobiles et des réseaux sociaux bloqués ou filtrés, où figuraient déjà Facebook, Signal, Telegram, Twitter et YouTube.
À maintes reprises, elles ont fermé ou perturbé les réseaux Internet et mobiles lors de manifestations afin de réprimer la mobilisation et de masquer l’ampleur des violations perpétrées par les forces de sécurité.
Le projet de loi relatif à la protection des internautes, qui devait amenuiser encore davantage les libertés en ligne et l’accès au réseau Internet mondial, était toujours en cours d’examen. En septembre, le pouvoir exécutif a émis une directive limitant encore davantage l’accès aux contenus en ligne.
Les autorités ont interdit tous les partis politiques indépendants, les organisations de la société civile et les syndicats indépendants, et exercé des représailles contre les grévistes.
Les autorités ont opposé systématiquement une réaction militarisée aux manifestations, qu’elles soient localisées ou nationales.
En mai, les forces de sécurité de la province du Khuzestan, ainsi que celles de la province du Tchaharmahal-et-Bakhtiari, ont utilisé illégalement des munitions réelles, de la grenaille, du gaz lacrymogène et des canons à eau pour écraser les manifestations, en grande partie pacifiques, contre l’explosion des prix des denrées alimentaires et l’effondrement meurtrier d’un immeuble à Abadan (province du Khuzestan). Au moins quatre personnes ont été tuées. Des centaines d’autres, dont des enfants, ont été blessées par de la grenaille, dont l’utilisation allait à l’encontre de l’interdiction de la torture et des autres formes de mauvais traitements1.
La mort en détention de Mahsa (Zhina) Amini aux mains de la « police des mœurs » iranienne le 16 septembre a déclenché un soulèvement national qui s’est poursuivi pendant tout le reste de l’année. Les autorités ont fréquemment et illégalement utilisé des munitions réelles, des projectiles en métal et du gaz lacrymogène, et ont roué de coups des manifestant·e·s. Amnesty International a enregistré les noms de centaines de manifestant·e·s et de passant·e·s tués illégalement par les forces de sécurité, dont des dizaines de mineur·e·s2.
Quel l’ancien nom de l’Iran ?
Le terme Persis est passé au latin pour devenir Persia, puis en français Perse, terme encore utilisé dans les pays occidentaux. Le 21 mars 1935, Reza Chah Pahlavi publie un décret demandant à toutes les relations étrangères du pays de le désigner sous le nom d’Iran dans leur correspondance officielle, sans que le terme Perse tombe dans l’inusité[14]. En 1959, le gouvernement annonce que les deux noms (Perse et Iran) peuvent être officiellement utilisés de manière interchangeable[7]. En 1979, la révolution iranienne proclame la « république islamique d’Iran », désignation officielle actuelle. Les termes Perse et Iran sont toujours largement utilisés. Mont Damavand en hiver. Carte physique de l’Iran.
L’Iran se situe un peu au nord du tropique du Cancer entre les parallèles 25° N et 40° N de latitude et entre les méridiens 44° E et 63° E de longitude. L’Iran fait partie du fuseau horaire UTC+03:30 qui correspond à peu près à l’heure réelle à Téhéran. L’Iran est un pays montagneux et partiellement désertique d’une superficie de 1 648 195 km2, dont 1 531 595 km2 terrestres et 116 600 km2 d’eaux intérieures[1]. Au nord-ouest, il a des frontières communes avec l’Arménie (44 km), l’Azerbaïdjan (689 km), au nord-est, il cumule 740 km de côtes sur la mer Caspienne, puis au nord-est il partage une frontière terrestre avec le Turkménistan (1 148 km). À l’est, l’Iran est borné par l’Afghanistan (921 km) au nord et le Pakistan (959 km) au sud. Les frontières occidentales sont partagées avec la Turquie (534 km) au nord-ouest et l’Irak (1 599 km) au sud-ouest, finissant au Chatt-el-Arab. Le golfe Persique et le golfe d’Oman forment l’intégralité de sa limite méridionale de 2 440 km. Cette situation sur les lignes maritimes des hydrocarbures est stratégique[1]. Au territoire continental s’ajoutent plusieurs îles dans le golfe Persique, quelques-unes dans la mer Caspienne. L’Iran connaît un contentieux avec les Émirats arabes unis depuis les années 1970 portant sur les îles Tunbs et Abou-Moussa, occupées militairement par l’Iran. La distance entre les extrêmes en Azerbaïdjan de l’Ouest au nord-ouest et au Sistan-et-Baloutchistan au sud-est est approximativement de 2 330 km[1].
Dacht-e-Lout.
Le relief iranien est dominé par plusieurs chaînes de montagnes qui séparent divers bassins et plateaux. Le sommet le plus haut de l’Iran, le mont Damavand, culmine à 5 610 m[15]. Plus haute montagne eurasiatique à l’ouest de l’Hindou Kouch, il fait partie des monts Elbourz, qui surplombent la mer Caspienne au nord. Les monts Zagros coupent le pays du nord-ouest au sud-est, d’une altitude dépassant les 3 000 m, avec au moins cinq sommets de plus de 4 000 m.
Quel est l’ancien nom de l’Iran ?
L’Iran, autrefois connu sous le nom de Perse, a donné naissance il y a 2500 ans au premier empire à vocation universelle. Depuis lors, les plateaux iraniens ont abrité des civilisations du plus extrême raffinement, qui n’ont rien à envier à l’Occident comme à l’Orient.
À la différence de leurs voisins, les Iraniens ne souffrent d’aucune frustration à l’égard de l’Occident. Ils n’ont de «revanche» à prendre sur personne, sinon sur les trublions cupides qui ont tenté depuis la Seconde Guerre mondiale de s’approprier leurs réserves pétrolières…
VIDEO
Une forteresse naturelle
L’Iran se caractérise par l’altitude. C’est une forteresse naturelle qui domine à plus de 600 mètres de haut les plaines de la Mésopotamie, de l’Indus et de la mer Caspienne.
Les plateaux iraniens, très arides, sont bordés au nord par la magnifique chaîne enneigée de l’Elbrouz et à l’ouest par les montagnes du Zagros. Les habitants se concentrent sur les versants de ces montagnes, en bordure du désert.
Vaste comme trois fois la France (1,6 million de km2), l’Iran compte un peu plus d’habitants qu’elle (80 millions en 2015).
Diversité linguistique…
Aujourd’hui comme au temps de Cyrus, le pays témoigne d’une très grande diversité de populations et de langues. Les Persans, héritiers des anciens Perses, constituent la moitié de la population. Ils parlent persan (note). Le pays compte aussi une importante minorité turcophone (les Azéris et les habitants du littoral de la mer Caspienne) ainsi qu’une minorité arabe, au sud-ouest, autour d’Abadan.
… et religieuse
En matière religieuse comme en matière linguistique, l’Iran a jusqu’à ces dernières décennies témoigné d’une grande diversité.
Où a grandit Ramzy ?
« Intègre-toi comme les autres » Ramzy Bedia se confie sur son enfance
Ce dimanche 21 mai, Ramzy Bedia était l’invité de Sept à Huit. Face aux caméras de TF1, l’humoriste se confie sur son enfance et les sacrifices de son père.
Ramzy Bedia fait partie de ces humoristes du paysage français. Depuis ses débuts dans H avec son coéquipier de toujours Éric Judor, l’acteur a eu de nombreux premiers rôles au cinéma et à la télé. Après avoir fait rire le public dans La Tour Montparnasse infernale, Ramzy a excellé dans la deuxième saison de LOL : qui rit, sort ! L’humour semble être une histoire de famille, puisque sa sœur Melha Bedia est comédienne et a joué aux côtés d’Audrey Fleurot dans La Très très grande classe. Devenu papa, l’humoriste place la famille avant tout. Dans son portrait réalisé par les équipes de Sept à Huit, Ramzy se confie sur ses liens qui lui sont chers.
Né en 1972, de deux parents algériens, Ramzy Bedia grandit à Gennevilliers mais dans le respect des deux cultures, française et algérienne.