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Quand arrêter de voir son psy ?

by Nadia Moulin

Un bon moment pour s’arrêter, c’est quand on a l’impression d’avoir fait un tour.» L’éventualité de cette séparation se discute plusieurs mois à l’avance. Elle doit avoir le temps de mûrir, d’être évaluée par les deux parties, jusqu’à paraître acceptable. C’est un processus qui, parfois, peut s’étaler sur des années.26 déc. 2014

Quand arrêter de voir un psychologue ?

Faire la démarche d’aller consulter est une étape importante. Cependant, toute thérapie psy a une fin, ce qui n’est pas forcément facile à accepter pour le patient.

Quoi qu’il en soit, c’est toujours au patient de savoir quand il peut s’arrêter et reprendre une vie normale. Voici quelques éléments pour vous aider à répondre à cette question.

À quel moment arrête-t-on généralement ?

Lorsque le patient débute une thérapie, il doit se sentir en confiance avec son thérapeute. Un transfert (affects positifs dirigés vers le thérapeute), se met alors en place. C’est notamment ce transfert qui pose des difficultés pour arrêter sa thérapie.

On estime généralement que deux conditions au moins doivent être réunies pour décider de l’arrêt du suivi :

  • que les troubles pour lesquels le patient est venu consulter aient cessé ;
  • que l’inconscient ait suffisamment été compris en profondeur pour se prémunir d’une réapparition des symptômes.

Le meilleur moment pour arrêter : selon le type de thérapie

La fin de la thérapie dépend de la méthode de soins choisie.

Thérapies comportementales

En effet, les thérapies comportementales, par exemple, sont brèves.

  • Elles s’attachent à corriger les comportements « déviants » utilisés par l’individu pour faire face aux situations qui le gênent.
  • En général, un nombre de séances précis est déterminé.

Quelle est la durée d’une thérapie ?

Les séances de thérapie durent entre 45 et 50 minutes et sont typiquement espacées d’une semaine. Les rendez-vous débutent toujours à l’heure juste, ex. 9h, 10h, (pas 9h30). Les séances ne durent pas l’heure complète, de façon à laisser 10 minutes entre les clients pour écrire les notes de thérapie, et pour que le thérapeute puisse se préparer pour le prochain client.

Si vous êtes en détresse, il possible d’être vu plus fréquemment (2 fois par semaine). Alternativement, si vous vous sentez relativement stable ou que vous l’engagement financier lié à une séance hebdomadaire est trop élevé pour vous, vous pouvez demander à espacer un peu plus vos séances (aux 2 ou 4 semaines). Néanmoins, une périodicité d’une semaine est généralement recommandée puisque cet espacement permet à la personne traitée de travailler sur les sujets discutés avec le thérapeute durant la séance précédente, tout en évitant d’avoir à mettre à jour la ou le thérapeute avec un grand nombre d’événements qui auraient pu avoir lieu sur une plus grande période de temps.

Comment arrêter de voir un psy ?

J’avais le sentiment de la trahir, de lui faire un sale coup à elle qui avait écouté mes monologues pendant toutes ces années », souffle-t-elle.

Elle avoue alors que cette peur de prendre les devants l’a poussée pendant un temps à “alterner les deux”, comme dans une relation adultère, avant de saisir un prétexte pour sauter le pas et mettre fin à sa première relation.

Souvent cette peur de verbaliser la volonté de rompre peut activer des douleurs passées chez les patients.

« Souvent cette peur de verbaliser la volonté de rompre peut activer des douleurs passées chez les patients”, explique Nayla Chidiac, qui insiste sur les processus de deuil ou celui de la peur de l’abandon.

S’il n’y a pas de bonne manière de procéder, l’idéal c’est d’en parler : « le simple fait de dire à son thérapeute ‘j’ai envie qu’on arrête de se voir, mais j’ai peur de vous le dire’ est un bon moyen de sauter le pas », confie la psychologue clinicienne. Mais ce n’est évidemment pas toujours comme ça que cela se passe. L’experte explique qu’au cours de sa carrière, elle a vécu différents types de “ruptures” avec des patients, parfois dans le calme, parfois moins. « Je me suis même déjà faite ghoster ! », rit-elle.

Larguer ou se faire larguer

D’autre fois, c’est la thérapeute qui semble ne pas vouloir rompre le lien. C’est ce qu’a ressenti Laetitia, 28 ans, après plusieurs mois de psychothérapie.

« J’ai voulu consulter une psy à l’automne 2016 alors que j’étais dans une vraie situation de souffrance au travail”, débute-t-elle.

Comment se passe la fin d’une thérapie ?

Même s’il en retourne de la liberté et de la responsabilité du patient de ne pas suivre les conseils du thérapeute, il est fortement déconseillé d’arrêter brutalement les séances.

Le thérapeute ne peut obliger un patient à revenir mais il peut mettre des mots sur ce qui est en jeu.

En général, les fins les mieux réussies sont celles qui sont concertées, celles dont on peut parler.

A la fin d’une thérapie, il ne s’agit pas de rupture mais plus de mettre un terme à un chemin que l’on a parcouru ensemble.

Au fil d’une thérapie, l’évolution la plus classique est la suivante :

  1. Le patient a d’abord besoin du thérapeute pendant un temps
  2. Le patient commence à moins ressentir le besoin de voir son thérapeute
  3. Le patient n’éprouve plus la nécessité d’un accompagnement.
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Le rôle du psychologue est d’observer et analyser comment le patient évolue et cerner à quelle transition il se trouve. Souvent, les patients verbalisent ces transitions car ils sont dans une relation de confiance.

Les étapes et paliers d’une thérapie sont assez constants.

Comment dire au revoir à son psy ?

J’avais le sentiment de la trahir, de lui faire un sale coup à elle qui avait écouté mes monologues pendant toutes ces années », souffle-t-elle.

Elle avoue alors que cette peur de prendre les devants l’a poussée pendant un temps à “alterner les deux”, comme dans une relation adultère, avant de saisir un prétexte pour sauter le pas et mettre fin à sa première relation.

Souvent cette peur de verbaliser la volonté de rompre peut activer des douleurs passées chez les patients.

« Souvent cette peur de verbaliser la volonté de rompre peut activer des douleurs passées chez les patients”, explique Nayla Chidiac, qui insiste sur les processus de deuil ou celui de la peur de l’abandon.

S’il n’y a pas de bonne manière de procéder, l’idéal c’est d’en parler : « le simple fait de dire à son thérapeute ‘j’ai envie qu’on arrête de se voir, mais j’ai peur de vous le dire’ est un bon moyen de sauter le pas », confie la psychologue clinicienne. Mais ce n’est évidemment pas toujours comme ça que cela se passe. L’experte explique qu’au cours de sa carrière, elle a vécu différents types de “ruptures” avec des patients, parfois dans le calme, parfois moins. « Je me suis même déjà faite ghoster ! », rit-elle.

Larguer ou se faire larguer

D’autre fois, c’est la thérapeute qui semble ne pas vouloir rompre le lien. C’est ce qu’a ressenti Laetitia, 28 ans, après plusieurs mois de psychothérapie.

« J’ai voulu consulter une psy à l’automne 2016 alors que j’étais dans une vraie situation de souffrance au travail”, débute-t-elle.

Comment savoir si on a un bon psy ?

Si vous l’avez déjà lu, vous êtes sur le point d’avoir toutes les clés en main pour trouver ce qu’il vous faut ! Le premier rdv : le moment de sentir si c’est le bon psy

Normalement et si vous avez suivi les conseils de l’article précédent, vous lui avez parlé au téléphone avant la première séance. Vous avez donc choisi ce professionnel en respectant les critères proposés. Alors quel sera élément à prendre en compte pour savoir si vous êtes avec le bon psy ?

Ce sera bien-sûr le fait que votre sentiment positif initial soit confirmé.

Mais ce n’est pas suffisant. En fait, il y a plusieurs choses à vérifier…

Quelle est l’attitude d’un bon psy ?

D’abord, un bon psy doit savoir vous rassurer avec une attitude sécurisante. Cela se traduit notamment par un discours clair sur :

  • sa façon de travailler (les méthodes utilisées, leurs objectifs, les bénéfices potentiels) ;
  • le cadre de ce travail (la durée des séances, la fréquence, la gestion des rdv ratés, les tarifs, etc.) ;

Et surtout, il doit se positionner dans une bienveillance inconditionnelle ou à minima, une absence de jugement clairement perceptible.

Dans le cas contraire, on est plutôt mal barré… et il vaut certainement mieux aller voir ailleurs. Et tout cela est valable que ce soit un psychologue, un psychiatre un psychanalyste ou autre.

Savoir si je suis avec le bon psy...

Comment savoir si je suis avec le bon psy ?

Et que doit-il s’être passé l’issue de ce premier rendez-vous ?!

Comment remercier ma psychologue ?

« Un énorme merci pour tout ce que tu m’as apporté pendant ces deux derniers mois. Ça a vraiment fait une différence incroyable dans ma vie. J’ai vraiment remarqué un changement dans ma façon de penser concernant ma confiance en moi. Je n’hésiterai pas à revenir te voir.

Comment dire merci à son psy ?

Publié le 15 décembre 2004

Merci à mon psy de m’écouter, de me réconforter, de m’éclairer et de me guider.

Merci à mon psy de sa patience, de sa gentillesse.

Sans mon psy, je n’écrirais pas aujourd’hui, car j’aurais choisi d’en finir avec la vie.

Ça fait plus de 6 ans que je le rencontre. Parfois sporadiquement, mais toujours il respecte mon cheminement.

Le fait de ne pas me brusquer, de ne pas me lancer ma vérité en pleine face de façon brutale, fait que je continue d’avoir confiance en lui.

Merci à tous les psy pour votre aide que vous apportez à des gens comme moi. Notre société s’en porte mieux.

Un simple merci n’est pas suffisant pour moi, car en fait, il m’a permis de me garder en vie.

Tout de même, merci.

Pourquoi on s’attache à son psy ?

Qu’est-ce que le transfert ? Est-il normal que je m’attache à mon psychanalyste ? Tombe-t-on amoureux de son psychanalyste ?

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Il est tout à fait normal de s’attacher et même de tomber amoureux du psychanalyste. La situation analytique est une situation particulière, en dehors du contexte social habituel. C’est une situation permettant d’accéder au plus intime de soi même et à sa vérité profonde. La personne analyste, détournée du champ du regard, puisque derrière le divan, va pouvoir être investie d’affects, d’affection, comme un proche, ou un parent de la petite enfance. L’analyse va pouvoir alors se dérouler.

Freud nommait amour de transfert, la part d’idéalisation que l’analysant voue à son analyste. Cet amour est la condition d’une « névrose de transfert » qui se crée dans la cure analytique, permettant le travail analytique lui-même. Guérir par l’amour. C’est la condition du travail analytique lui-même.

Pour de nombreux auteurs psychanalytiques, le transfert a pris une extension très large, désignant l’ensemble des phénomènes qui constituent la relation du patient (l’analysant) à l’analyste.

Cette part d’idéalisation peut se transformer en attachement inconditionnel, que l’on peut qualifier de « passion de transfert », il peut se produire alors des accidents dans l’analyse.

Est-ce normal d’être en thérapie pendant des années ?

It all depends on what you want and need. Some people come to therapy with a very specific problem they need to solve and might find that one or two sessions is sufficient. Other people come to therapy with more complicated issues they are grappling with and may feel they need a few months or more to understand and resolve their issues. Other people come with long-standing problems or difficult feelings and may benefit from longer-term therapy. The length of treatment may also vary depending on the type of therapy in which you are engaging. For example, cognitive behavioral therapy or couples counseling tend to be short to medium term therapies, while psychoanalytically-oriented therapies may involve more medium to longer term work.

Regardless of why you are seeking therapy or the type of therapy you are doing, it is important to remember that, ultimately, it is your decision as to when you stop therapy. If you are unsure about what you need/want by way of length of treatment, you might raise the question with your therapist to get his/her thoughts. It can also be helpful to discuss your goals of therapy with your therapist. Clarifying what you want from therapy can help you figure out if you have met your goals and when you are ready to stop therapy. When I meet with people for the first time, I usually ask them what they are hoping to get out of therapy and/or how their lives would be different if therapy was to help them. Then, as our work progresses, I periodically check in with them to see how they feel the work is going and to what extent they feel their goals are being met.

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Comment savoir s’il faut changer de psy ?

Il existe plusieurs signes :

  • Vous ne vous sentez pas à l’aise avec votre psy
  • Vous vous sentez lassée des séances et traînez du pied pour vous y rendre
  • Vous avez l’impression que votre psy ne fait qu’écouter sans rien vous proposer
  • Vous avez le sentiment que votre psy ne vous comprend pas
  • Vous avez l’impression de stagner et de ne faire aucun progrès

Selon Karen Demange, vous pouvez aussi vous poser ces questions : « Est-ce que je me sens écoutée ? Est-ce que j’ai confiance ? Ai-je plaisir à venir en séance ? Les séances me font-elles me poser de nouvelles questions ? Mon humeur, mes comportements ont-ils changé positivement depuis que je le/la vois ? Ai-je compris des choses ? Ai-je plus confiance en moi et en l’avenir ? »

Si vous avez répondu non à une ou plusieurs de ces questions. Interrogez-vous sur l’avenir de votre « relation » avec votre psy…

psychologue fatiguée dans son cabinetpsychologue fatiguée dans son cabinet Que faire si mon psy ne me convient pas ?

« Changer de psy ! », s’exclame Karen Demange.

En théorie, ça semble plutôt évident. Mais en pratique, vous avez sûrement peur de vexer votre psy, vous vous êtes peut-être attachée à lui/elle ou vous ne savez pas quelle excuse donner.

Une chose est sûre, selon l’attache établie avec votre thérapeute, cette « rupture » peut être presque aussi triste que celle qu’on vit dans un couple. Et tout comme en relation amoureuse, hors de question de le/la ghoster !

Si vous vous sentez capable d’expliquer à votre psy les raisons de votre choix, faites-le !

Quels sont les inconvénients d’un psychologue ?

Les inconvénients sont qu’il n’y a pas beaucoup de débouché, la solitude professionnelle, de longues études et beaucoup de responsabilités. Les avantages sont la reconnaissance et le coté humain.

Comment savoir si une thérapie fonctionne ?

Savoir si une psychothérapie est efficace – La question est simple, mais souvent négligée : La thérapie est-elle vraiment utile ? Si l’on admet que l’on peut gérer les défis de la vie sans l’aide d’un thérapeute, quelles preuves avons-nous pour suggérer que son soutien est vraiment efficace ? Existe-t-il de meilleures solutions, comme l’autogestion de la santé ou la discussion avec les amis et la famille ? Comment la psychothérapie se compare-t-elle aux traitements médicaux comme les médicaments en termes d’efficacité ?

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Comment savoir si une psychothérapie est efficace ?

Si vous constatez que, même lorsque des situations difficiles se présentent, vous ne réagissez plus de manière excessive, mais que vous réagissez de manière plus équilibrée, cela indique que des progrès ont été réalisés grâce à la thérapie.

L’évolution de votre attitude et de votre mode de vie pendant la thérapie peut révéler si vos séances ont un impact positif. Cela étant dit, il vous appartient de ressentir sur le plan émotionnel si vous vous sentez évoluer favorablement par rapport à la thématique de départ.

Comment savoir si une thérapie est efficace ?



Comment savoir si une psychothérapie fonctionne

?

  1. La (re)construction d’une estime de soi.
  2. L’amélioration des relations sociales.
  3. Une amélioration de ce qui fait symptôme sur votre esprit, santé
  4. Votre psychothérapeute vous indique des progrès.

C’est quoi un mauvais psy ?

Il existe plusieurs signes :

  • Vous ne vous sentez pas à l’aise avec votre psy
  • Vous vous sentez lassée des séances et traînez du pied pour vous y rendre
  • Vous avez l’impression que votre psy ne fait qu’écouter sans rien vous proposer
  • Vous avez le sentiment que votre psy ne vous comprend pas
  • Vous avez l’impression de stagner et de ne faire aucun progrès

Selon Karen Demange, vous pouvez aussi vous poser ces questions : « Est-ce que je me sens écoutée ? Est-ce que j’ai confiance ? Ai-je plaisir à venir en séance ? Les séances me font-elles me poser de nouvelles questions ? Mon humeur, mes comportements ont-ils changé positivement depuis que je le/la vois ? Ai-je compris des choses ? Ai-je plus confiance en moi et en l’avenir ? »

Si vous avez répondu non à une ou plusieurs de ces questions. Interrogez-vous sur l’avenir de votre « relation » avec votre psy…

psychologue fatiguée dans son cabinetpsychologue fatiguée dans son cabinet Que faire si mon psy ne me convient pas ?

« Changer de psy ! », s’exclame Karen Demange.

En théorie, ça semble plutôt évident. Mais en pratique, vous avez sûrement peur de vexer votre psy, vous vous êtes peut-être attachée à lui/elle ou vous ne savez pas quelle excuse donner.

Une chose est sûre, selon l’attache établie avec votre thérapeute, cette « rupture » peut être presque aussi triste que celle qu’on vit dans un couple. Et tout comme en relation amoureuse, hors de question de le/la ghoster !

Si vous vous sentez capable d’expliquer à votre psy les raisons de votre choix, faites-le !

Qu’est-ce qu’un psychologue ne doit pas faire ?

Il lui est ainsi vivement déconseillé de prendre en traitement une personne qui est un parent ou une relation intime d’un de ses clients.

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  • Droit à un service fiable et sans équivoque : votre psychologue doit s’abstenir de mélanger les rôles. Cela signifie :
    • qu’il/elle ne peut engager avec vous qu’une relation de type professionnel. Des relations d’amitié ou sexuelles, dans le cadre du service ou en dehors, sont exclues.
    • que votre psychologue n’exerce à votre endroit qu’une seule activité professionnelle. Par exemple, un(e) psychologue qui effectue ou a effectué pour vous une expertise ne pourra pas vous accompagner en thérapie par la suite.

Consultez le code de déontologie officiel.

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Comment remercier son psy ?

Tu as une écoute formidable et tu m’as permis de voir les choses différemment, de prendre du recul et de remettre en perspective. Je me sens mieux outillé pour faire face à mes pensées négatives. Je commence à me valoriser et prendre conscience de ce que je fais de bien. Il me fera plaisir de revenir te voir au besoin.

Comment on se sent après une séance chez le psy ?

Tous les symptômes qui vont vous pousser à pratiquer une séance d’EMDR sont des signaux envoyés par votre cerveau et votre corps car celui-ci n’arrive plus à gérer le traumatisme qui est la base de ces mauvaises sensations.

A force de vous envoyer ces signes, votre corps vous informe que vous devez vous soigner et entreprendre une thérapie pour traiter votre traumatisme, quelle que soit son importance.

Chez la plupart des patients, après une séance d’EMDR, on se sent bien, apaisé et soulagé. C’est d’ailleurs le but principal de l’EMDR, vous aider à affronter votre traumatisme et vous soulager après avoir été confronté à ces mauvais souvenirs.

Mais il arrive parfois chez certains patients, quelques jours après la séance, qu’une sensation de mal-être arrive progressivement. Cette sensation peut être accompagnée de douleurs, de fatigue émotionnelle, de courbatures, ou d’une anxiété plus ou moins forte.

Ces symptômes qui traduisent l’effet rebond peuvent arriver entre 3 et 10 jours après votre séance d’EMDR.

L’effet rebond est souvent inévitable car il fait partie du processus de guérison.

 

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