Cali, de son vrai nom Bruno Caliciuri, est né le 28 juin 1968 à Perpignan. Jeune, il se passionne pour le rugby, la politique – Cali fut deux fois candidat aux élections dans son village – et le rock.
Quelle est la taille de Cali ?
Cali, officiellement Santiago de Cali (prononciation espagnole : [sanˈtjaɣo ðe ˈkali]), est une ville située dans l’ouest de la Colombie. C’est la capitale du département de Valle del Cauca. Avec ses 2 500 000 habitants, Cali se place au troisième rang des villes les plus peuplées de Colombie.
Elle a été fondée le 25 juillet 1536 par le conquistador espagnol Sebastián de Belalcázar. Elle est considérée comme la métropole économique et culturelle du sud-ouest colombien. La ville concentre néanmoins une forte pauvreté, des indices d’homicides élevés et une pluralité de groupes armés illégaux. Cali est en 2019 la 26e ville la plus dangereuse au monde[2].
Cali est le principal centre sportif de Colombie, étant la seule ville du pays à avoir accueilli les Jeux panaméricains (édition de 1971). D’autres grands évènements sportifs s’y sont déroulés tels que les Jeux mondiaux de 2013, les Championnats du monde de cyclisme sur piste 2014, ou l’édition 2015 des Championnats du monde d’athlétisme jeunesse.
Cali est la forme raccourcie du nom officiel de la ville : Santiago de Cali. Le mot Santiago fait allusion à l’apôtre Jacques de Zébédée, dont la fête est célébrée le 25 juillet. L’origine du mot Cali vient de la culture des Chibchas. D’autres tribus croyaient que le mot Cali était issu de la famille de langues quechua. Cette théorie provenait du fait de l’existence d’une ville nommée Calicali, près de Quito (Équateur).
Cali se situe dans le sud-ouest de la Colombie, dans la large vallée du Río Cauca, une rivière donnant son nom au département et coulant entre la cordillère Occidentale et la cordillère Centrale (deux des trois cordillères de la Colombie, naissant de la partition de la cordillère des Andes au nord du continent). Même si la ville est quasi complètement dans les plaines de la vallée, à une altitude moyenne de 1 000 mètres, il en existe une petite partie au contact de la façade Est de la cordillère Occidentale.
La ville est située à 300 km à vol d’oiseau (484 km par la route) au sud-ouest de Bogota, capitale du pays, à 330 km à vol d’oiseau au sud de Medellin et à 75 km (115 km par la route) de Buenaventura, la ville portuaire et débouché sur le Pacifique.
Cali est l’une des plus anciennes villes de Colombie ainsi que du continent américain. Elle fut fondée le 25 juillet 1536 par le conquistador espagnol Sebastián de Belalcázar. Son nom officiel, Santiago de Cali, fut établi en fonction du saint du jour : saint Jacques[3] (Santiago en espagnol) ainsi que d’une possible abréviation du nom de la tribu indienne de la région, les Calimas[4]. Sa fondation a eu lieu seulement trois ans après celle de Carthagène des Indes (1533) par Pedro de Heredia et deux ans avant celle de Santa Fe de Bogotá — actuellement Bogota — (1538) par Gonzalo Jiménez de Quesada.
Cali
Administration | |
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Superficie |
54 200 ha = 542 km 2 |
Localisation | |
Carte de Santiago de Cali | |
Géolocalisation sur la carte : Colombie Santiago de Cali |
Qui est le père de Cali ?
Cali en 2008 au Festival de Bobital.
Bruno Caliciuri, dit Cali, est un auteur-compositeur-interprète français né le 28 juin 1968 à Perpignan (Pyrénées-Orientales). À mi-chemin entre chanson française et rock, il revendique une position d’artiste engagé et concerné par les problèmes de la société et du monde.
Le grand-père paternel de Bruno, Giuseppe Caliciuri, est un Italien de Calabre, enrôlé dans les Brigades internationales pour combattre Franco. Il rencontre et épouse une infirmière catalane, María Pilar Gonzalès[1]. Leur fils Vincent, le père de Cali, vient au monde à Barcelone. La famille se réfugie en France après la défaite des républicains puis est enfermée dans les camps destinés aux exilés espagnols.
Son grand-père maternel, Henri Fruitet, est originaire de Vernet-les-Bains (Pyrénées-Orientales), maçon, boxeur, communiste et catalan. Il épouse une Italienne, Stella Genovese, issue d’une famille de mélomanes[2].
En 1967, ses parents, Vincent et Mireille, s’installent à Vernet-les-Bains. Bruno nait le 28 juin 1968 à Perpignan[3]. Ses parents ont en tout cinq enfants. En 1974, sa mère, directrice de l’école du village, meurt d’un cancer à 33 ans ; Cali a six ans (il relate cet événement dans le livre Seuls les enfants savent aimer en 2018). Sa sœur aînée, Sandra, n’a que douze ans et soutient sa famille dans cette épreuve[4] Son père meurt en 1992.
Sa première grande passion est le rugby à XV qu’il pratique dans son club de Vernet-les-Bains, puis à Prades (JOP XV) et à Perpignan (USAP)[5]. Cali est deux fois candidat aux élections dans son village, sans succès[5].
Seconde grande passion : la musique. Cali cite U2 (il rencontre brièvement Bono à Toulouse en 1984 à la sortie d‘un concert[6],[3]), les Simple Minds, Clash, The Silencers, les Bee Gees et surtout les Waterboys dans ses références. Il tutoie également la chanson française (Léo Ferré, Jacques Brel, Georges Brassens, Serge Gainsbourg, Michel Polnareff, Michel Jonasz, Michel Sardou, Jul…) mais aussi la musique métal qu’il cite en interview en 2001 : Slayer, Pantera et Morbid Angel, qui lui permettent d’« évacuer sa rage ».
Il dit cependant : « Quand j’ai écouté pour la première fois The Pan Within sur l’album This Is The Sea (des Waterboys), j’ai tout de suite su que c’était celle que j’amènerais sur une île déserte »[7].
Bruno Caliciuri crée son premier groupe, Pénétration anale, au lycée[7]. Les textes, pour le moins provocants, valent au chanteur quelques démêlés avec l’administration de l’établissement, puisqu’il en est exclu[8].
Il réussit tout de même son baccalauréat scientifique D avec mention assez bien et une note moyenne de 12,35 et poursuit ses études quelques mois en IUT. En 1986, il devient champion de France de pétanque en triplette, un de ses sports préférés qu’il pratique encore en amateur même si le physique n’est plus là.
Qui tient le cartel de Cali ?
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Le cartel de Cali est une organisation mafieuse colombienne de narcotrafiquants basée autour de la ville de Cali. Il a été créé par les frères Rodriguez Orejuela : Miguel et Gilberto, et José Santacruz Londoño alias « Chepe » pendant les années 1970.
Ceux-ci ont leur indépendance de Pablo Escobar et du cartel de Medellin pendant les années 1980 quand Hélmer Herrera alias, « Pacho », les rejoint en tant qu’associé.
Le cartel de Cali a été surnommé « l’organisation criminelle la plus puissante de l’histoire devançant le cartel de Medellin » par la DEA, avec de nombreux mercenaires, espions et liens avec le gouvernement. La ville entière de Cali était alors couverte par un vaste réseau de surveillance que le cartel avait mis en place, et la police locale lui était inféodée. À la différence d’autres cartels, celui de Cali était composé de plusieurs hommes d’affaires légitimes et de maints entrepreneurs[2].
Selon certaines estimations, le Cartel de Cali, dans sa période florissante, a contrôlé jusqu’à 90 % des exportations de cocaïne de Colombie vers les États-Unis et 80 % vers l’Europe[3]. Au milieu des années 1990, il brassait 7 milliards de dollars chaque année. Il disposait également d’une grande influence dans les milieux politiques en y injectant d’importantes quantités d’argent, principalement données au Parti libéral, mais aussi dans une moindre mesure au Parti conservateur[4].
Le Cartel de Cali a participé à des opérations de « nettoyage social », tuant des centaines d’« indésirables ». Ces derniers comprenaient les prostituées, les enfants des rues, les petits voleurs, les homosexuels et les sans-abri. Le Cartel a formé des escadrons de la mort, dénommés « grupos de limpieza social », qui assassinèrent des centaines d’entre eux.
Qui est le choriste de Cali ?
Il est co-fondateur du groupe Indy avec Cali et Pascal Bizern.
Gilles Taillade est batteur et assure les chœurs, il a fait partie du groupe Tom Scarlett avec Cali.
Frédéric Torrossian est bassiste et choriste également, il a été membre des groupes E.Senses et Salomé.
Anthony Granat lui est guitariste et il ajoute sa voix également sur les chœurs.
Pourquoi ce groupe ? Pour faire plaisir, pour exprimer toute une sensibilité artistique et pour mettre en lumière des années d’acquis face au public.
La musique d’Elias est à la fois planante et musclée, sensible et métissée, des mélodies et des harmonies nous transportent, et les textes eux évoquent l’amour, l’amitié mais aussi la colère à travers certaines histoires souvent vécues.
En 2020 Elias enregistre son premier EP, mini-album.
Live acoustique France Bleu Roussillon avec une prise de son de Laurence Ansquer, Jacques Jimenez guitare et chant, Anthony Granat, guitare la chanson c’est « And She Dances » (Jacques JIMENEZ / Jean-Louis FOURCADE).
Saluons Ze Hivon au booking.
EliAs Live Tirititi Idem – La Casa Musicale
DJ Raph Dumas notre consultant en musique transfrontalière lui nous emmène au-delà de la Catalogne du Sud et des Pyrénées-Orientales avec une sélection du Roussillon qui nous transporte en Europe de l’Est.