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Qui est le mari d’Anne de Petrini ?

by Marine Lamiaux

En 1999, elle partage sa vie avec le comédien Ramzy Bedia et a deux filles nées de cette union, Ella et Ava.

Qui est l’épouse de Ramzy ?

Ramzy Bedia aurait d’abord eu une première fille, Salomé, née le 2 février 2000[10] d’une première union avec Sandrine Bogaert, une ancienne présentatrice de télévision[10].

À partir de 1999, il partage sa vie avec l’animatrice et réalisatrice Anne Depétrini, avec qui il a deux filles : Ella et Ava[11]. Ils divorcent en 2011[11].

En 2014, il entretient une relation avec Anaïs Hills, actrice porno, alors âgée de 23 ans[12].

En 2020, à quarante-huit ans, il a un garçon, Georges Ali avec sa compagne Marion[11],[13].

Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.

Sauf précision contraire, Ramzy Bedia a assuré la voix dans la version originale des productions suivantes.

  1. ↑ « Melha Bedia, la pote humoriste », Gazelle no 81, mai/juin 2019, p. 19
  2. ↑ « Ramzy Bediadans le taxi de Jérôme Colin : L’interview intégrale » [PDF], sur ds1.ds.static.rtbf.be, La Deux (consulté le 3 octobre 2012).
  3. ↑ « Melha Bedia parle de son frère Ramzy, Diam’s qui l’a révélée et de sa virginité », sur purepeople.com, 14 octobre 2017 (consulté le 19 octobre 2017).
  4. ↑ Rémy Fiere, « Eric et Ramzy, amuseurs en duo, à la scène comme sur Canal+, pratiquent l’art du détournement à la mitraillette à mots. Les deux sont tombés sur la tête », sur liberation.fr, 23 octobre 1999.

Quelle est la religion de Ramzy ?

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Où habite Ramzy Bedia ?

Il est aussi le père d’une fille prénommée Jana et d’une autre petite Luna.

  • Ramzy Bedia est né le 10 mars 1972 dans le 16e arrondissement de Paris. Il est d’origine algérienne. Il est le père d’une fille prénommée Ella née en juin 2002 et d’une petite Ava née le 20 mars 2008 de son ex-compagne Anne Depétrini. Il vit maintenant à Paris, dans le IIIe arrondissement[9].
  • Ne sont mentionnées ici que les productions ayant impliqué à la fois Éric Judor et Ramzy Bedia.

    1. ↑ a et b Rémy Fiere, « Eric et Ramzy, amuseurs en duo, à la scène comme sur Canal+, pratiquent l’art du détournement à la mitraillette à mots. Les deux sont tombés sur la tête », sur liberation.fr, 23 octobre 1999
    2. ↑ Laurent Bainier, « Les vacances de… Éric Judor: «J’accompagnais des vieux en Amérique» », sur 20minutes.fr, 2 août 2012
    3. ↑ Didier Dana, « Interview indiscrète Ramzy Bédia: «J’ai fait un long coma à Genève» », sur lematin.ch, 21 septembre 2012
    4. ↑ « Seuls Two – Box office », sur Allociné
    5. ↑ Eddy Sadeba, « Eric et Ramzy : leur « couple » leur a coûté leurs femmes », sur terrafemina.co, 29 juin 2015
    6. ↑ « Halal police d’État – Box office », sur Allociné.fr
    7. ↑ Éric et Ramzy se retrouvent dans la publicité de Noël de Facebook 18 novembre 2020
    8. ↑ Éric et Ramzy se retrouvent dans une campagne de Noël pleine d’humour pour le Portal de Facebook, Ce Que Pensent Les Hommes, 18 novembre 2020
    9. ↑ News de stars.com
    10. ↑ « Eric et Ramzy au Palais des Glaces », sur ina.fr

    Sur les autres projets Wikimedia :

    Qui est l’acolyte de Ramzy ?

    Né de parents algériens, venus en France en 1962, Ramzy Bedia a évoqué son enfance plus que modeste et les sacrifices de son père pour lui offrir une éducation digne de ce nom : « Il a continué à travailler en artisan taxi pour pouvoir me payer l’école privée parce qu’on était à Gennevilliers dans une banlieue difficile donc il m’a mis à l’école dans la ville d’à-côté ». Après avoir enchaîné les petits boulots, il rencontre celui qui deviendra son ami, complice et acolyte de toujours : Éric Judor. C’est ensemble qu’ils montent leurs premiers projets de comédies et qu’ils connaissent le succès. Une association qui n’a pas toujours des plus sereines mais qui résiste aux affres du temps. « C’est un souvenir à vie »

    Mais son prochain projet cinématographique, ce n’est pas avec Éric Judor qu’il l’a réalisé mais avec son ami Franck Gastambide. Le réalisateur de Taxi 5 vient en effet de boucler Medellin, une comédie qui se déroule en Colombie dans les méandres des narcotrafiquants. Si Franck Gastambide et Ramzy Bedia tiennent la vedette de cette comédie, une autre recrue, et pas des moindres, a fait l’effet d’une bombe !

    Qui est Sandrine Bogaert ?

    « M. Bedia a 99,999 chances sur cent d’être le père de l’enfant », rapporte l’expert. Sandrine Bogaert, qui élève seule sa fille depuis deux ans, se bat désormais pour obtenir réparation. Elle a obtenu le versement d’une pension, mais doit faire face aux loyers de Neuilly et a même dû payer la maternité que son ex-compagnon devait avoir réglée. « Je suis criblée de dettes », soupire la jeune femme, éprouvée par cette affaire. Le tribunal tranchera le 8 novembre. Contacté à plusieurs reprises vendredi, l’avocat de Ramzy Bedia n’a pas donné suite à nos appels. Il n’a pas non plus transmis le dessin de Salomé à son papa, son client ne l’ayant pas « mandaté pour cela ».

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    Quel est le vrai nom de Ramzy ?

    Après avoir suivi les cours d’une école de commerce et effectué divers petits boulots, Ramzy, de son vrai nom Ramzy Bedia, rencontre en 1994

    Eric Judor

    , avec lequel il fonde le duo comique

    Eric et Ramzy

    . Très vite, les deux compères décident de se lancer dans le monde du spectacle. En 1996, ils rencontrent le succès sur scène tout en se diversifiant à la radio et à la télévision. A travers leur fameuse émission

    Les Mots d’Eric et Ramzy

    , ils commencent à faire connaître leur style – mélange de non-sens et de bêtise – qu’ils diffusent ensuite par l’intermédiaire de la série hospitalière

    H

    .

    En 1998, Ramzy et son complice Eric figurent pour la première fois au générique d’un film, dans

    Le Ciel, les oiseaux et… ta mère !

    Mais c’est en 2001 que

    Charles Nemes

    leur offre un long métrage à la hauteur de leur humour déjanté :

    La Tour Montparnasse infernale

    , dans lequel le duo se joue du film d’

    action hero Piège de cristal

    . La lucrative comédie (plus de 2 millions d’entrées) donnera lieu à une suite en 2016,

    La Tour 2 Contrôle Infernale

    .

    Quel âge a Eric et Ramzy ?

    Biographie d’Eric et Ramzy

    Eric Judor (1969) et Ramzy Bédia (1972) se rencontrent et ça devient explosif. Leur duo créé, ils font leurs premières armes sur la scène en 1996.

    Comment s’appelle Eric et Ramzy ?

    Révélation comique avec Ramzy (années 1990-2000)[modifier | modifier le code]

    Éric et Ramzy dans un restaurant en 2000.

    Éric Judor rencontre son alter-ego comique Ramzy Bedia en 1994[5]. La célébrité acquise par leurs sketchs à la télévision dans l’émission Les Mots d’Éric et Ramzy sur M6 se combine au succès de leurs spectacles sur scène ainsi qu’à celui de la série H en 1998.

    Ils coécrivent et jouent dans leur premier film La Tour Montparnasse infernale, qui sort en 2001, dont ils confient la réalisation à Charles Nemes. Les Robins des Bois sont également impliqués dans le projet puisque Pierre-François Martin-Laval participe à l’écriture, et Marina Foïs interprète le rôle féminin principal. Le succès commercial du film lance la carrière des acteurs.

    Le tandem Éric et Ramzy se reforme ainsi en 2004 pour Double Zéro, de Gérard Pirès, et Les Dalton, de Philippe Haïm.

    Après des apparitions dans des comédies de Djamel Bensalah, Judor s’aventure vers un cinéma plus expérimental en entamant une collaboration avec le réalisateur Quentin Dupieux. Avec lui, il sort Steak (également avec Ramzy), en 2007.

    Sa carrière se retrouve influencée par ce virage humoristique : avec Ramzy, ils écrivent et réalisent en 2008 le décalé Seuls Two, influencé par le cinéma de Dupieux, mais fraîchement accueilli par le grand public. En 2011, ils renouent donc avec leur ton habituel pour Halal Police d’État, de Rachid Dhibou. Un joli succès en salles.

    C’est à la télévision, et en solo, qu’Éric Judor va poursuivre ses volontés de changement d’humour : en 2011, il crée et porte la série Platane pour Canal +, satire du show-biz dont le succès critique lui permet de décrocher une seconde saison.

    Cette nouvelle livraison, plus centrée sur la famille, est programmée le lundi 16 septembre 2013.

    Quelle est la religion officielle de l’Iran ?

    Représentant aujourd’hui entre 80 et 90% de la population, selon les sources, l’Iran est toujours le seul Etat à être officiellement chiite. A titre de comparaison, le chiisme représente 10 à 15% des musulmans dans le monde.

    Le chiisme duodécimain est parfois surnommé par les sunnites le « chiisme iranien », ce que récusent les Iraniens. Cette dénomination est le résultat de plusieurs siècles de particularismes et d’indépendance de l’Iran vis-à-vis de l’islamisation et des mondes arabes et ottomans voisins. D’une part parce que la langue arabe ne s’est pas imposée en parallèle de l’islam au moment de la conquête (VIIe-VIIIe siècles ap. J.C.). Contrairement aux langues parlées dans les autres régions en cours d’islamisation, le persan a su résister face à l’arabe et demeurer la langue du quotidien, de la politique et de la poésie, tandis que l’arabe n’était adopté que pour la religion. D’autre part parce que la dynastie Safavide a adopté le chiisme comme religion officielle en partie en opposition à l’Empire ottoman sunnite voisin, séparant définitivement l’Iran du reste du monde musulman. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu’en 1501 peu de Perses étaient chiites, et que l’instauration du chiisme comme religion officielle relevait d’une décision politique plus que d’une réalité populaire.

    Sunnisme

    Les musulmans sunnites, essentiellement Kurdes, Turkmènes, Baloutches et Arabes représentent entre 9 et 15% de la population.

    Quel est la religion de l’Iran ?

    Population

    77 176 930 habitants.

    Langue officielle

    La langue officielle de l’Iran est le Persan, également appelé Farsi, et est compris par 83% de la population.

    Langue parlée

    La langue couramment utilisée pour les affaires est l’anglais.

    Peuple

    Parmi les groupes linguistiques minoritaires importants, il faut mentionner les Azéris (20%) et les Luris (6,6%) au nord, les Kurdes (9%) à l’ouest, les Arabes (2,1%) au sud-ouest, les Turkmènes (1,5%) au nord-est, les Baloutchis (1,3%) au sud-est.

    Religion

    La population iranienne se compose de musulmans chiites (63%), musulmans sunnites (34%) et autres (3%).

    Fête Nationale

    1er avril : Jour de la République (1979).

    Calendrier des Fêtes

    Les fêtes musulmanes (mois de jeûne du ramadan, Eid-Fitr…) relèvent d’un calendrier lunaire et changent de date (calendrier grégorien) chaque année.

    A LIRE  Quand un homme a envie d'une femme ?

    2017

    10 février : victoire de la Révolution islamique.2 mars : martyre de Fatima.19 mars : nationalisation de l’industrie du pétrole.1er avril : jour de la République islamique.2 avril : jour de la nature.4 juin : décès de l’imam Khomeini.5 juin : jour du massacre des Révolutionnaires.16 juin : martyre de l’imam Ali.19 juillet : martyre de l’imam Sadeq.29 septembre : Tassoua, veille du martyre de l’imam Hussein.30 septembre : Achoura, jour du martyre de l’imam Hussein.9 novembre : Arbeine, 40e jour du martyre de l’imam Hussein.17 novembre : décès du prophète Mahomet.19 novembre : martyre de l’imam Reza.

    Ces jours-là, sites et musées sont fermés.

    Histoire

    Avec plus de 2500 ans d’histoire, l’Iran, connu autrefois sous le nom de Perse jusqu’en 1935, a une longue histoire militaire. 550 av. JC, Cyrus II chasse les Mèdes et fonde l’Empire perse. 330 av. JC, domination d’Alexandre le Grand. 224 av. JC, l’Empire sassanide s’installe pour près de la moitié d’un millénaire. 642, arrivée des Arabes. 999, arrivée des Turcs seldjoukides.

    Quelles libertés ne sont pas respectées en Iran ?

    En décembre, la Cour constitutionnelle de Belgique a suspendu partiellement l’application de ce traité ; elle devait se prononcer sur son éventuelle annulation début 2023.

    L’Iran a continué d’apporter un soutien militaire aux forces gouvernementales dans le conflit armé en Syrie (voir Syrie).

    Il a prêté un appui à l’invasion de l’Ukraine par la Russie en fournissant des drones Shahed 136, qui ont servi à détruire délibérément des infrastructures civiles.

    En septembre et octobre, les pasdaran (gardiens de la révolution) ont attaqué des groupes d’opposition kurdes dans la région du Kurdistan irakien, faisant plus d’une douzaine de morts, dont une femme enceinte.

    Liberté d’expression, d’association et de réunion

    Les autorités ont renforcé la répression, déjà étouffante, ne laissant aucune place à la dissidence pacifique.

    Les autorités ont censuré les médias, brouillé les chaînes de télévision par satellite et, en septembre, ajouté Instagram et WhatsApp sur la liste des applications mobiles et des réseaux sociaux bloqués ou filtrés, où figuraient déjà Facebook, Signal, Telegram, Twitter et YouTube.

    À maintes reprises, elles ont fermé ou perturbé les réseaux Internet et mobiles lors de manifestations afin de réprimer la mobilisation et de masquer l’ampleur des violations perpétrées par les forces de sécurité.

    Le projet de loi relatif à la protection des internautes, qui devait amenuiser encore davantage les libertés en ligne et l’accès au réseau Internet mondial, était toujours en cours d’examen. En septembre, le pouvoir exécutif a émis une directive limitant encore davantage l’accès aux contenus en ligne.

    Les autorités ont interdit tous les partis politiques indépendants, les organisations de la société civile et les syndicats indépendants, et exercé des représailles contre les grévistes.

    Les autorités ont opposé systématiquement une réaction militarisée aux manifestations, qu’elles soient localisées ou nationales.

    En mai, les forces de sécurité de la province du Khuzestan, ainsi que celles de la province du Tchaharmahal-et-Bakhtiari, ont utilisé illégalement des munitions réelles, de la grenaille, du gaz lacrymogène et des canons à eau pour écraser les manifestations, en grande partie pacifiques, contre l’explosion des prix des denrées alimentaires et l’effondrement meurtrier d’un immeuble à Abadan (province du Khuzestan). Au moins quatre personnes ont été tuées. Des centaines d’autres, dont des enfants, ont été blessées par de la grenaille, dont l’utilisation allait à l’encontre de l’interdiction de la torture et des autres formes de mauvais traitements1.

    La mort en détention de Mahsa (Zhina) Amini aux mains de la « police des mœurs » iranienne le 16 septembre a déclenché un soulèvement national qui s’est poursuivi pendant tout le reste de l’année. Les autorités ont fréquemment et illégalement utilisé des munitions réelles, des projectiles en métal et du gaz lacrymogène, et ont roué de coups des manifestant·e·s. Amnesty International a enregistré les noms de centaines de manifestant·e·s et de passant·e·s tués illégalement par les forces de sécurité, dont des dizaines de mineur·e·s2.

    Quel l’ancien nom de l’Iran ?

    Le terme Persis est passé au latin pour devenir Persia, puis en français Perse, terme encore utilisé dans les pays occidentaux. Le 21 mars 1935, Reza Chah Pahlavi publie un décret demandant à toutes les relations étrangères du pays de le désigner sous le nom d’Iran dans leur correspondance officielle, sans que le terme Perse tombe dans l’inusité[14]. En 1959, le gouvernement annonce que les deux noms (Perse et Iran) peuvent être officiellement utilisés de manière interchangeable[7]. En 1979, la révolution iranienne proclame la « république islamique d’Iran », désignation officielle actuelle. Les termes Perse et Iran sont toujours largement utilisés. Mont Damavand en hiver. Carte physique de l’Iran. A beautiful picture of Khuzestan - Iran

    L’Iran se situe un peu au nord du tropique du Cancer entre les parallèles 25° N et 40° N de latitude et entre les méridiens 44° E et 63° E de longitude. L’Iran fait partie du fuseau horaire UTC+03:30 qui correspond à peu près à l’heure réelle à Téhéran. L’Iran est un pays montagneux et partiellement désertique d’une superficie de 1 648 195 km2, dont 1 531 595 km2 terrestres et 116 600 km2 d’eaux intérieures[1]. Au nord-ouest, il a des frontières communes avec l’Arménie (44 km), l’Azerbaïdjan (689 km), au nord-est, il cumule 740 km de côtes sur la mer Caspienne, puis au nord-est il partage une frontière terrestre avec le Turkménistan (1 148 km). À l’est, l’Iran est borné par l’Afghanistan (921 km) au nord et le Pakistan (959 km) au sud. Les frontières occidentales sont partagées avec la Turquie (534 km) au nord-ouest et l’Irak (1 599 km) au sud-ouest, finissant au Chatt-el-Arab. Le golfe Persique et le golfe d’Oman forment l’intégralité de sa limite méridionale de 2 440 km. Cette situation sur les lignes maritimes des hydrocarbures est stratégique[1]. Au territoire continental s’ajoutent plusieurs îles dans le golfe Persique, quelques-unes dans la mer Caspienne. L’Iran connaît un contentieux avec les Émirats arabes unis depuis les années 1970 portant sur les îles Tunbs et Abou-Moussa, occupées militairement par l’Iran. La distance entre les extrêmes en Azerbaïdjan de l’Ouest au nord-ouest et au Sistan-et-Baloutchistan au sud-est est approximativement de 2 330 km[1].

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    Dacht-e-Lout.

    Le relief iranien est dominé par plusieurs chaînes de montagnes qui séparent divers bassins et plateaux. Le sommet le plus haut de l’Iran, le mont Damavand, culmine à 5 610 m[15]. Plus haute montagne eurasiatique à l’ouest de l’Hindou Kouch, il fait partie des monts Elbourz, qui surplombent la mer Caspienne au nord. Les monts Zagros coupent le pays du nord-ouest au sud-est, d’une altitude dépassant les 3 000 m, avec au moins cinq sommets de plus de 4 000 m.

    Quel est l’ancien nom de l’Iran ?

    L’Iran, autrefois connu sous le nom de Perse, a donné naissance il y a 2500 ans au premier empire à vocation universelle. Depuis lors, les plateaux iraniens ont abrité des civilisations du plus extrême raffinement, qui n’ont rien à envier à l’Occident comme à l’Orient.

    À la différence de leurs voisins, les Iraniens ne souffrent d’aucune frustration à l’égard de l’Occident. Ils n’ont de «revanche» à prendre sur personne, sinon sur les trublions cupides qui ont tenté depuis la Seconde Guerre mondiale de s’approprier leurs réserves pétrolières…

    VIDEO

    Une forteresse naturelle

    L’Iran se caractérise par l’altitude. C’est une forteresse naturelle qui domine à plus de 600 mètres de haut les plaines de la Mésopotamie, de l’Indus et de la mer Caspienne.

    Les plateaux iraniens, très arides, sont bordés au nord par la magnifique chaîne enneigée de l’Elbrouz et à l’ouest par les montagnes du Zagros. Les habitants se concentrent sur les versants de ces montagnes, en bordure du désert.

    Vaste comme trois fois la France (1,6 million de km2), l’Iran compte un peu plus d’habitants qu’elle (80 millions en 2015).

    Diversité linguistique…

    Aujourd’hui comme au temps de Cyrus, le pays témoigne d’une très grande diversité de populations et de langues. Les Persans, héritiers des anciens Perses, constituent la moitié de la population. Ils parlent persan (note). Le pays compte aussi une importante minorité turcophone (les Azéris et les habitants du littoral de la mer Caspienne) ainsi qu’une minorité arabe, au sud-ouest, autour d’Abadan.

    … et religieuse

    En matière religieuse comme en matière linguistique, l’Iran a jusqu’à ces dernières décennies témoigné d’une grande diversité.

    Qui est le père de Ramzy ?

    Révélation comique avec Ramzy (années 1990-2000)[modifier | modifier le code]

    Éric et Ramzy dans un restaurant en 2000.

    Éric Judor rencontre son alter-ego comique Ramzy Bedia en 1994[5]. La célébrité acquise par leurs sketchs à la télévision dans l’émission Les Mots d’Éric et Ramzy sur M6 se combine au succès de leurs spectacles sur scène ainsi qu’à celui de la série H en 1998.

    Ils coécrivent et jouent dans leur premier film La Tour Montparnasse infernale, qui sort en 2001, dont ils confient la réalisation à Charles Nemes. Les Robins des Bois sont également impliqués dans le projet puisque Pierre-François Martin-Laval participe à l’écriture, et Marina Foïs interprète le rôle féminin principal. Le succès commercial du film lance la carrière des acteurs.

    Le tandem Éric et Ramzy se reforme ainsi en 2004 pour Double Zéro, de Gérard Pirès, et Les Dalton, de Philippe Haïm.

    Après des apparitions dans des comédies de Djamel Bensalah, Judor s’aventure vers un cinéma plus expérimental en entamant une collaboration avec le réalisateur Quentin Dupieux. Avec lui, il sort Steak (également avec Ramzy), en 2007.

    Sa carrière se retrouve influencée par ce virage humoristique : avec Ramzy, ils écrivent et réalisent en 2008 le décalé Seuls Two, influencé par le cinéma de Dupieux, mais fraîchement accueilli par le grand public. En 2011, ils renouent donc avec leur ton habituel pour Halal Police d’État, de Rachid Dhibou. Un joli succès en salles.

    C’est à la télévision, et en solo, qu’Éric Judor va poursuivre ses volontés de changement d’humour : en 2011, il crée et porte la série Platane pour Canal +, satire du show-biz dont le succès critique lui permet de décrocher une seconde saison.

    Cette nouvelle livraison, plus centrée sur la famille, est programmée le lundi 16 septembre 2013.

    Comment s’appelle Ramzy dans la série H ?

    La France a gagné la Coupe du Monde de foot trois mois plus tôt – il est d’ailleurs question des deux buts de Zinedine Zidane en finale dans plusieurs épisodes – et le pays plane encore assez haut, en s’illusionnant sur l’équipe « black-blanc-beur » symbole d’une société réconciliée. Dans ce contexte, H tombe plutôt à pic et incarne indéniablement un moment. Ses trois personnages principaux ne sont pas blancs, incarnés par Eric Judor (Aymé Césaire, infirmier obsédé sexuel), Jamel Debbouze (Jamel Driddi, standardiste) et Ramzy Bedia (Sabri Saïd, brancardier puis barman). Une visibilité absolument rarissime encore aujourd’hui dans la fiction française, où l’inclusion reste notoirement à la traîne – seule Netflix travaille la question avec systématisme, et dans une certaine mesure, Canal Plus.

    La naissance d’une génération de comiques

    H marque aussi l’acte de naissance d’une génération comique (Eric et Ramzy, Jamel) qui s’apprête alors à régner sur les vannes hexagonales, ce qu’on a pu appeler à la suite des Nuls « l’humour Canal ». L’idée n’est pas de mener une réflexion formelle particulière sur les gags, la réalisation de H étant largement standardisée, vite faite et pas spécialement ambitieuse – même si la série a fait appel au vétéran Edouard Molinaro (Oscar, La Cage aux folles) pour lancer la machine.

     

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