Le coup de grâce à été son décès. » Jean Marais meurt en 1998 après avoir désigné Nicole Pasquali comme légataire universelle.
Où se trouve la tombe de Jean Marais ?
« Les statues monumentales de Roger et Jacotte Capron
Lieu
Vieux Cimetière de Vallauris, Allée du Souvenir Français, 06220 Vallauris Golfe – Juan, France.
GPS : 43.580804, 7.053029
Tombe de Jean Marais
Tombe de Jean Marais au Vieux Cimetière de Vallauris.
Si beaucoup se souviennent de Jean Marais comme acteur, (La Belle et la Bête, Orphée, Fantomas …) peu l’associent à l’artiste multifacettes qu’il était ! De la peinture à la sculpture, du dessin à la céramique, Jean Marais a su s’exprimer avec talent à travers tous ces médiums. Son apprentissage de l’art céramique l’a conduit à se rapprocher de notre « cité des potiers » où il ouvrit sa première galerie en 1975.En 1980, il décide de s’installer à Vallauris et s’implique activement dans la vie locale Il réalisera ainsi quinze années durant les affiches de la Fête de la Poterie et offrira la statue «La Rebellissière*» qui trône aujourd’hui dans le bas de la ville. Citoyen d’honneur de la ville, ce grand homme décèdera le 08 novembre 1998.
Comment s’appelle le compagnon de Jean Marais ?
Poète, dramaturge, cinéaste, Jean Cocteau n’aura cessé dans son œuvre de célébrer son bel amant, Jean Marais. Le Pygmalion et son ephèbe sont a cœur d’“Autant en emporte l’Histoire”, ce dimanche.
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Quand Jean Cocteau rencontre Jean Marais en 1937, le coup de foudre est fulgurant : le jeune comédien (qu’il va mettre en scène dans son Œdipe roi) ressemble trait pour trait à cet éphèbe aux lignes épurées que le poète dessine depuis toujours… Dans Autant en emporte l’Histoire, sur France Inter, Stéphanie Duncan s’intéresse à ce « couple terrible de l’Occupation ».
La fiction plonge avec succès dans le Paris du début des années 1940, où l’artiste homosexuel et opiomane incarne tout ce que la morale de Vichy condamne. La création de sa pièce La Machine à écrire, au Théâtre des Arts-Hébertot, est d’ailleurs censurée à deux reprises par les Allemands, qui y voient une critique de l’Occupation. Malgré des coupes, la pièce jouée en 1941 suscite des diatribes dans la presse collaborationniste.
Quel était le nom du compagnon de Jean Marais ?
- Titre original : Cocteau – Marais, un couple mythique
- Réalisation : Yves Riou et Philippe Pouchain
- Montage : Susana Kourjian, assistée de Nobuo Coste et Fabienne Pacher
- Image : Jean-Marc Bouzou
- Son : Yolande Decarsin
- Documentaliste : Véronique Lambert de Guise
- Étalonnage : Rémi Berge
- Techniciens vidéo : Vincent Legrain et Stéphanie Boring
- Mixage : Léo Fourastié
- Musiques : Parigo musique
- Producteurs : Fabienne Servan-Schreiber et Laurence Miller
- Assistant de production : Thibaut Luque
- Sociétés de production et distribution : ARTE GEIE – Cinétévé – INA (Institut National de l’Audiovisuel) –– Arts Talents
- Participation : TV5 Monde – RTS – Radio Télévision Suisse – CNC
- Pays d’origine : France
- Langue originale : français
- Durée : 56 minutes
- Format : vidéo, couleur – noir et blanc
- Date de sortie : France – 2013
Entre Jean Marais, l’acteur le plus populaire de l’après-guerre et Jean Cocteau, l’auteur le plus éclectique du XXe siècle, s’est noué une relation unique de 1937 à 1963 entre l’art d’aimer et l’amour de l’art.
« Nous voulions montrer que l’amour est un fluide absolu, indépendant de l’âge, du sexe, de la nature et du costume », disent Yves Riou et Philippe Pouchain, les réalisateurs dans le journal L’Obs le 11 octobre 2013.
À l’occasion du cinquantième anniversaire de la mort de Jean Cocteau, ce film, riche de documents d’archives, de photos, d’extraits de films, de citations, d’anecdotes et de témoignages toujours chaleureux, toujours pertinents, dresse des portraits attachants des deux hommes. Cocteau le poète pygmalion, volubile et charmeur, toujours soucieux d’être aimé, incarnait en effet le baromètre de la vie parisienne. Romancier fêté, dessinateur d’exception, dramaturge fécond, cinéaste avant-gardiste, poète féerique, le génial touche-à-tout lança les modes et devint le bon génie de nombreux artistes.
Comment Jean Cocteau est mort ?
VIDÉO – C’est à 13 heures, le 11 octobre 1963, que Jean Cocteau s’est éteint subitement dans sa propriété de Milly-la-Forêt, où il était en convalescence depuis qu’il avait été victime d’un infarctus du myocarde, quelques mois auparavant.
Article paru dans Le Figaro du 11 octobre 1963.
L’académicien venait d’apprendre la mort d’Édith Piaf. Cette nouvelle lui causa, semble-t-il, une brutale émotion. Peu de temps après, il s’effondrait sans connaissance. Son jardinier et sa cuisinière se trouvaient à ses côtés à ce moment. Un médecin et le curé de Milly arrivaient peu après, mais le poète venait de rendre le dernier soupir, terrassé par une crise cardiaque.
L’après-midi du 11 octobre 1963, parmi les amis de l’écrivain …
La nuit est douce. Sur le chemin pavé, derrière l’église de Milly-la-Forêt, il y a des feuilles mortes et des autos. La maison de Jean Cocteau barre le chemin, blanche, tous volets clos. Les autos attendent. La nuit attend. Personne n’est venu encore, la mort toute seule est venue et l’amitié: Jean Marais et Mme Weisweiller sont là.
Les autos sont celles des journalistes. La radio de l’une d’entre elles raconte la mort du poète, religieusement écoutée par deux ouvriers du pays: un peintre et un maçon. Ils connaissaient M. Cocteau. Ils disent: «Il était bon.»
En février 1960, Jean COCTEAU, à Saint-Jean-Cap-Ferrat, est interviewé par Louis PAUWELS selon le jeu de la vérité.
J’entendrai souvent, dans Milly-la-Forêt, ces mots: «Il était bon.» «On ne s’attendait pas à sa mort. Il y avait échappé deux fois.» On dit aussi: «C’est la mort d’Édith Piaf qui l’a tué.» Il ne fallait plus qu’une émotion à ce cœur las de battre pour s’arrêter.
Quel acteur fait ses propres cascades ?
À l’affiche d’un nouvel épisode de « Mission : Impossible », l’acteur est connu pour réaliser ses propres cascades. Une réputation de casse-cou qui lui a parfois causé des problèmes lors de certains tournages.
La vidéo se situe en Norvège, au bord d’une falaise où une rampe de saut est installée. Le dispositif rappelle celui d’une vidéo de sports extrêmes. Pourtant, il s’agit du tournage de « Mission : Impossible – Dead Reckoning Part One », le dernier né de la saga culte.
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Sur son compte YouTube, Paramount présente sobrement la vidéo comme « la plus grande cascade de l’histoire du cinéma ». Au guidon de la motocross censée sauter dans le vide, un cascadeur au nom bien connu, Tom Cruise.
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C’est aujourd’hui la marque de fabrique de l’acteur qui, à 61 ans, continue de repousser ses limites pour proposer du spectacle garanti sans doublure.
Quels sont les tombes les plus visitées au Père-lachaise ?
Un saule fut en effet planté près de sa tombe.
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Oscar Wilde
Parmi les tombes les plus adulées du Père Lachaise, difficile de passer à côté de celle d’Oscar Wilde. Baptisée Flying demon angel, elle représente un sphinx ailé. La tombe a dû être protégée par des vitres pour éviter les baisers langoureux des admiratrices.
Molière
L’imposant tombeau de Molière cache surtout un grand mystère: Jean-Baptiste Poquelin est-il bien sous cette stèle? En effet, lors de sa mort, acteur et n’ayant pas eu le temps de faire sa dernière confession et d’obtenir les derniers sacrements, le curé de Saint-Eustache refuse de l’inhumer. Son épouse, Armande Béjart, réussit à obtenir cet enterrement au cimetière Saint-Joseph, mais tard le soir et dans une tombe inconnue.
La tombe de Molière au cimetière du Père Lachaise.
© / Getty Images
En 1792, le gouvernement révolutionnaire a décidé de récupérer les restes de Molière -sans connaître l’emplacement de sa dernière demeure pour sûr- afin de les placer dans le musée des Monuments français. Près de vingt ans après, le Père Lachaise récupère les os et les enterre.
Comment se termine Fantômas ?
Il déclare dans le premier film : « Un procédé de mon invention me permet de reconstituer à la perfection la peau humaine. J’ai réalisé la plupart de mes forfaits avec les visages de mes propres victimes. » Le Fantômas de Hunebelle « n’a plus recours à des postiches de théâtre […] Il utilise de véritables masques-peaux, qu’il enfile comme des gants »[3] par-dessus un autre masque — celui qui dissimule ses traits —.
L’apparition de la DS volante constitue l’un des grands moments de Fantomas se déchaîne. Poursuivi par Fandor et Juve à la fin du film, Fantômas ne doit son salut qu’à cet incroyable gadget qui lui permet de s’échapper par la voie des airs. Ailes déployées, réacteurs jaillis de derrière la plaque minéralogique, la DS, élément de la mythologie des années 1950/60 selon Roland Barthes, conforte le Fantômas de Hunebelle dans son « statut d’icône sixties ».
Le concept de cette voiture volante sera d’ailleurs repris dans un James Bond : L’Homme au pistolet d’or
Dans Fantomas contre Scotland Yard, Fantômas utilise « un petit gadget de [son] invention », la moviebox, pour exposer ses capacités de nuisance et terroriser Lord Mac Rashley. Grâce à cet appareil, une sorte de lecteur vidéo portable improbable à l’époque, le criminel présente des images de ses méfaits, en fait des extraits des deux premiers films, à son interlocuteur pour le convaincre de coopérer.
Le policier n’utilise des gadgets que dans le deuxième épisode de la trilogie, Fantomas se déchaîne. Il se dote de « petite[s] invention[s] destinée[s] à surprendre l’adversaire », précisant à ses hommes : « Nous sommes à l’époque des agents secrets et des gadgets […] Vous n’allez jamais au cinéma ? »
Le cigare-pistolet se présente sous l’aspect d’un banal cigare mais offre la possibilité de tirer un projectile lorsque par exemple on en mord la tête ou que l’on règle le détonateur par un minuteur en tournant la bague.
La gabardine-gadget, la gabardine ne servant qu’à cacher le mécanisme, est un bras artificiel qui se substitue à un bras de celui qui la porte tout en étant solidaire des mouvements de son bras opposé. Lorsque le commissaire Juve, mis en joue par un des hommes de Fantômas, lève les deux mains en l’air, il dispose en fait de sa seconde vraie main cachée sous son manteau et prête à surgir armée d’un pistolet. Ce gadget s’inspire peut-être du roman Juve contre Fantômas dans lequel Juve tente d’agripper un Fantômas qui s’échappe en lui laissant un, puis deux bras postiches.
Le commissaire Juve s’invite au bal masqué donné par Fantômas avec l’espoir d’arrêter le criminel. Costumé en pirate avec un cache sur l’œil et une fausse jambe de bois, le policier un moment menacé par quatre séides de Fantômas les met hors d’état grâce à son pilon-mitraillette.
Pourquoi pas de Fantômas 4 ?
Un succès qui aurait dû déboucher sur une suite, qui n’a finalement jamais vu le jour. Des cachets « beaucoup trop élevés »
Dans ce quatrième film, censé s’intituler Fantomas à Moscou, le journaliste Fandor aurait dû apprendre que le génie du crime qu’il ne cesse de traquer n’est autre que son père. Si le projet n’aboutit pas, c’est en partie parce que Jean Marais a beaucoup de mal à supporter « d’être dépassé par le leadership de Louis de Funès », devenu une véritable star du box-office avec Le Gendarme de Saint-Tropez, La Grande vadrouille ou encore Le Corniaud, comme l’explique l’auteur Guezennec, cité par L’Express.
Fantomas contre Scotland Yard ©Gaumont
Autre problème de taille pour les producteurs : les salaires bien trop élevés demandés par les acteurs de la trilogie. En août 2009, Mylène Demongeot assure au Parisien :
Il était prévu de faire un quatrième Fantômas à Moscou.
Qui se cache sous le masque de Fantômas ?
Après Le bossu et Le Capitan tourné avec Bourvil et sous la direction de Jean Hunnebelle, il accepte de devenir le mystérieux Fantômas et tient le rôle dans les trois films de la trilogie à succès.Pourquoi le masque ?
Parce que tout Fantômas tourne autour de la question de l’identité cachée et du déguisement. Héros multiple dont le véritable visage est inconnu de tous, Fantômas a un masque bien à lui mais provoque également les forces de l’ordre et les journalistes en prenant leur apparence. Pour la trilogie, Jean Marais a donc joué plusieurs rôles, dont celui du journaliste Fandor, et porté tous un tas de masques et de maquillages différents. Et lorsque l’un de ses personnages devait donner la réplique à Fantômas, il était doublé de dos par Christian Toma.
Pourquoi Jean Marais sous le masque ?
Avec son masque bleu-vert, sa voix inquiétante et son costume classe, son action mêlée étroitement à la comédie et son parfum de James Bond, le Fantômas d’Hunnebelle est loin du personnage d’origine (Marcel Allain, son créateur, a d’ailleurs été mécontent du résultat).
Qui est le vrai Fantômas ?
Il est le mal absolu. Avec son masque, son chapeau haut de forme et son frac, il sème la terreur dans Paris, répand de l’opium dans les souterrains de la ville, la noie sous les eaux, assassine et vole sans scrupule. Passé maître dans l’art du déguisement, il utilise les technologies nouvelles pour perpétrer ses méfaits. On l’appelle Fantômas. Né en 1911 sous la plume de Pierre Souvestre et Marcel Allain, il devient rapidement une icône de la littérature populaire avant d’accéder à la gloire cinématographique.
Quand les deux auteurs vont proposer leur idée de roman-feuilleton dont le héros sera un génie malfaisant dans la veine de Rocambole, l’éditeur Athème Fayard dit banco, mais réclame un volume de 300 pages par mois. Entre 1911 et 1913, Souvestre et Allain vont donc publier 32 aventures de Fantômas. Pour soutenir ce rythme dément, ils enregistrent à l’aide d’un dictaphone leurs écrits qui sont ensuite tapés par des dactylos. D’où leur style rocambolesque et débridé qui vaudra à Fantômas l’admiration des surréalistes.
Quel est le meilleur Fantômas ?
M 6, 20 h 50, « Fantômas contre Scotland Yard ».
André Hunebelle signait l’ultime épisode de la série « Fantômas ». Et, de loin, le meilleur.
Magie des rediffusions estivales, on le reverra pour l’énième fois, ce soir, sur M 6, à 20 h
50. L’intrigue, guère épaisse, réussit à emprunter aux films de mafia tout en nous emmenant
dans un château écossais ! Cette fois, le superméchant aux mille visages rackette les hommes
les plus riches de la planète via un « impôt sur le droit de vivre ». Ses ennemis jurés, le
commissaire Juve (Louis de Funès), le journaliste Fandor (Jean Marais) et sa fiancée (Mylène
Demongeot, superbe) sont invités par Lord McHashley afin de protéger la fortune des millionnaires
Dans une atmosphère quasi fantastique, entre fantômes ridicules et forêts écossaises
filmées à Fontainebleau, Juve et Fandor vont évidemment se faire, une fois de plus, ridiculiser
par le méchant aux astuces de James Bond. Une fois de trop ? Ereinté à sa sortie, « Fantômas
contre Scotland Yard » a marqué la fin de la saga.