Alain Souchon vit depuis plusieurs années dans le Loir-et-Cher où il a participé à plusieurs œuvres caritatives, notamment par l’intermédiaire de son épouse Françoise impliquée dans le milieu associatif.
Qui est l’épouse de Alain Souchon ?
propriété du chanteur Alain Souchon ! VOus connaissez.
Comment vit Alain Souchon ?
Un pilier sur lequel lui peut compter dans la plus grande discrétion.
Aujourd’hui, Alain Souchon et sa Françoise, qu’il surnomme Belote, partagent leurs vies entre Paris et leur maison de campagne à Blois, dans le Loir-et-Cher, région que le chanteur apprécie pour ses randonnées interminables – même si son épouse est obligée de venir le chercher, en voiture, en fin de parcours ! S’ils ont connu l’amour et les petites joies ensemble, les tourtereaux, comme tout le monde, traversent parfois des instants plus tendus. « C’est difficile par moments, on s’agace un peu, mais il y a des choses plus importantes pour nous, assurait-il. D’abord, on a des enfants qui nous soudent beaucoup, et des petits-fils. C’est formidable. Ils m’appellent Patela et me regardent en me disant : ‘Patela, tu as un gros nez rouge !’«
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Qui est Mirella petit ?
Mirella Lepetit est la femme du célèbre compositeur et interprète français Laurent Voulzy, à qui l’on doit les tubes Le Cœur grenadine, Belle-Île-en-mer ou encore Le Pouvoir des fleurs. Il a sorti en compagnie de son acolyte de toujours Alain Souchon un nouveau disque à la fin de l’année 2014, sobrement intitulé Alain Souchon & Laurent Voulzy.
Laurent Voulzy a été tout d’abord marié avec Betty, avec qui il aura notamment deux fils qui ont également embrassé une carrière musicale, Julien et Nicolas. Dans les années 90, il vit quelque temps avec l’actrice et chanteuse Véronique Jannot, avant de faire la rencontre de Mirella Lepetit au début des années 2000. Le couple a eu un enfant, Quentin, en 2002.
Leur histoire est marquée par la grande discrétion du couple. Mirella Lepetit est une journaliste qui a notamment publié pour les journaux et magazines Télé Poche, Télé ciné obs et surtout Le Nouvel Observateur. Mirella, Laurent Voulzy ainsi que leur fils Quentin vivent tous trois entre Joinville-Le-Pont en Île-de-France et l’Angleterre. Mirella et Laurent se sont mariés le 4 juin 2010 en Bretagne, à Saint-Pierre-Quiberon, dans une cérémonie intime, à l’image du chanteur et du couple.
Qui écrit les paroles de Souchon ?
Le deal est clair depuis leur rencontre en 1974 : chaque chanson qu’ils sortent en solo, c’est Alain Souchon qui en écrit les paroles, c’est Laurent Voulzy qui en compose la musique ! Profitant de leurs dons respectifs – « lui pour les musiques, moi pour les textes » – chacun dans leur domaine, les deux stars françaises cultivent une relation prolifique depuis des lustres.
Pourquoi Laurent Voulzy, c’est « la chance de sa vie » ?
Et à l’occasion d’une interview accordée à nos confrères de Paris Match, Alain Souchon accepte d’en dire plus sur son ami de toujours, avec qui il adore partir en bateau, et avec qui il rêve d’une grande tournée ! Les deux hommes sont toujours « très proche », même quand ils sont « éloignés » pendant ce confinement. Une période pendant laquelle Alain Souchon s’est bien rendu compte que « Laurent, encore lui, était vraiment indispensable », dit-il.
Et pour cause, avoue ce dernier, « moi, en musiques, je ne suis pas très bon ». En acceptant de collaborer avec lui, Laurent Voulzy l’a donc « sorti de l’ornière ». Il est même « la chance de sa vie », ose dire Alain Souchon.
Quelles récompenses a eu Alain Souchon pour Foule sentimentale ?
- ↑ Laurent Abrial et Fabien Lecoeuvre, Petites histoires des grandes chansons, Editions du Rocher, 15 juin 2017 (ISBN 978-2-268-09583-7, lire en ligne)
- ↑ [vidéo] Alain Souchon à propos de « Foule sentimentale », Taratata, France 2, 23 octobre 1993, archive INA.
- ↑ « Alain Souchon emporté par sa Foule sentimentale », sur LExpress.fr, 11 juillet 2014 (consulté le 1er août 2019)
- ↑ « Figures du discours et contextualisation », sur revel.unice.fr (consulté le 1er août 2019)
- ↑ Platine, décembre 1993/janvier 1994.
- ↑ Michel Trihoreau, La chanson de proximité: Caveaux, cabarets et autres petits lieux, L’Harmattan, 2010, p. 144, (ISBN 2296262139).
- ↑ a et b « Évolution du classement de Foule sentimentale », sur http://lescharts.com, 14 avril 1994 (consulté le 3 mai 2012).
- ↑ « Certification des singles d’argent en 1994 », sur http://www.disqueenfrance.com, 14 avril 1994 (consulté le 3 mai 2012).
- ↑ Stupeflip crou, « Stupeflip – Stupeflip Vite !!! », 28 mars 2011 (consulté le 18 juillet 2018).
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Où habite Souchon en Bretagne ?
L’auteur-compositeur a une résidence à la Trinité-sur-Mer, dans laquelle il se rend environ trois fois par an.
Où habite Oldelaf ?
RDV ce mercredi à 8h40 et 15h50.
OLDELAF , pour Olivier Delafosse est un drôle de garçon d’origine normande qui vit dans le Perche. Il se dit chanteur qui fait rire et pas humoriste !
Pianiste de formation, étudiant en musicologie, il aime autant l’humour noir que le détournement. En janvier 2014, il a sorti « Dimanche » , son nouvel album co-produit avec des centaines d’internautes (financement participatif) et arrangé par Jean-Louis Piérot (réalisateur d’Alain Bashung, Hubert- Félix Thiéfaine, Étienne Daho…).
Il y parle d’amour « La Belle Histoire », des dimanches en familles, fait l’inventaire à la Prévert des choses dont on n’arrive pas à se séparer (« qu’est ce qu’on va en faire ») et signe aussi avec Kyan Khojandi , le créateur de la série « Bref » sur Canal +, « Kleenex » une chanson d’anthologie en citant les marques qui – de Pampers à PFG – accompagnent la vie d’un homme : du 2e voire 3e dégré à chaque fois !
Oldelaf qui a été guitariste pour les Fatals Picards joue aussi le role du Cheval à Bascule dans** Le Soldat rose 2** .
**OLDELAF en concert ** Mercredi 16 Avril au Vauban à Brest.
Oldelaf – Je Mange
Quel est le vrai nom de Oldelaf ?
« Je suis un chanteur qui fait rire, pas un humoriste » On connaît le goût d’Oldelaf pour les chansons qui font « rire, taper du pied, des mains voire dans les coudes du voisin pour les moins habiles », comme il le dit lui-même. A ce propos, deux titres nous viennent à l’esprit : le premier est le fameux single Le Café, qui faisait référence à l’addiction au café mais aussi à la routine des journées de l’homme moderne. Le clip de cette chanson, réalisé par Stéphanie Marguerite et Emilie Tarascou, connut un succès immédiat et comptabilisa pas moins de 9 millions de vues sur le web.
Dans l’album, Le Monde est beau, sorti en 2011, le titre devenu célèbre La Tristitude (la tristitude, c’est quand tu marches pieds nus
sur un tout petit Lego) a fait rire des millions de personnes par son côté décalé et plein d’humour noir. Mais, ici encore, l’humour n’est pas le but en soi à atteindre mais plutôt un moyen de dénoncer certains aspects de notre existence.
Pourquoi Oldelaf ?
Burlesque comme jamais, il nous plonge chez lui, dans l’intimité de son salon, pour une séquence déjantée et parodique qui titube dans un style entre « Le Gorafi » et « Serge le Mytho ».
La prestation filmée du musicien commence sur les chapeaux de roue. Sur un ton des plus sérieux, et comme si de rien n’était, il enchaîne les inepties. Quand on lui demande pourquoi il a choisit « Oldelaf » comme nom de scène, il bégaie que c’est une contraction de patronyme classique chez artistes: « Orelsan, c’est San. Et puis Bertignac c’est Bertrand Tignac. Voilà, c’est assez courant. »Quant à la signification du titre de son dernier album, il s’amuse à confondre l’Ancien Testament et la mythologie grecque:
Au sujet des critiques de la part de la presse le concernant, l’interprète ne manque pas d’ironie:
Sur cette même rhétorique aussi barrée que caustique, le comédien nous embobine sur « Les Victoires de la Musique » qui durent trop longtemps pour lui, sur le concert d’ouverture des Jo de 2024 qu’il ne pourra pas assurer parce que cela tombe un samedi et se régale même à inventer des dîners avec « M » ou Julien Clerc durant lesquels il spécule sur des négociations imaginaires avec l’homme d’affaires Pascal Nègre.
Où vit Feldup ?
Mais malgré cet amour de la couleur, ces sonorités brutes gorgées d’arrière-plans mélancoliques révèlent des tonalités en noir et blanc où l’expressivité des sentiments est peu à peu distillée.
Les compositions de Feldup sont des hymnes et célébrations solitaires qui ne demandent qu’à s’ouvrir au monde.
Au-delà d’être assumées, les influences du jeune musicien sont ici revendiquées. Chacun les reconnaitra. Au fil de ces titres, hymnes et célébrations solitaires qui ne demandent qu’à s’ouvrir au monde, on perçoit l’hommage rendu à ses illustres ainés. Et cet hommage, cette reconnaissance sont les signes tangibles d’une étonnante maturité.
