Le comédien Jean–Marc Thibault, connu pour son rôle dans la série « Maguy » et pour avoir formé avec Roger Pierre l’un des plus populaires tandems comiques du théâtre français, est mort dimanche à Marseille à l’âge de 93 ans, a annoncé sa famille.
Où est Teddy Vrignault ?
Dans les années 1990, André Gaillard participe à l’émission de Jacques Pradel Perdu de vue dans l’espoir de découvrir de nouveaux éléments, mais en vain. On n’a jamais retrouvé aucune trace ni du comédien, ni de sa voiture[2].
Teddy Vrignault a été déclaré mort en 2004, conformément à la loi portant sur une disparition non résolue et qui produit les mêmes conséquences que si le décès de l’intéressé avait été constaté[3].
Un expert indépendant en généalogie ayant cependant retrouvé le signalement du décès d’un homonyme Pierre Édouard Georges Vrignault, né le même jour que lui, donc possiblement lui[4], signalé par la Mairie du 18e arrondissement à l’INSEE en date du 29 janvier 1999 et enregistré à l’état civil du 18e arrondissement de Paris[5],[6]. Un acte de transcription n° 18/516/1998, “déclaré d’absence” avait été dressé par le Tribunal de Grande Instance de Paris[7].
- 1957 : Péricles, prince de Tyr de William Shakespeare, mise en scène René Dupuy, théâtre de l’Ambigu
- 1958 : Les Matadors de Marcel Marceau, théâtre de l’Ambigu
- 1959 : La Cathédrale de René Aubert, mise en scène Pierre Valde, théâtre Hébertot
- 1960 : Le Mobile d’Alexandre Rivemale, mise en scène Jean-Pierre Grenier, théâtre Fontaine
- 1961 : Liliom de Ferenc Molnár, mise en scène Jean-Pierre Grenier, théâtre de l’Ambigu
- ↑ « Teddy Vrignault (1928-1984?) », sur BnF (consulté le 23 avril 2020).
Quel est l’âge de Jean-Marc Thibault ?
AFP
Le comédien Jean-Marc Thibault, qui a longtemps formé avec Roger Pierre un des plus célèbres duos comiques du théâtre français, est décédé dimanche 28 mai à Marseille à l’âge de 93 ans, a annoncé sa famille à l’Agence-France-Presse (AFP).
« C’était un père et un homme formidable, un acteur que j’aimais beaucoup et qui m’a beaucoup aidé dans ma vie », a indiqué Alexandre Thibault, fils de l’humoriste également connu pour son rôle dans la série télévisée Maguy.
« Un acteur très populaire vient de nous quitter », a réagi la ministre de la culture, Françoise Nyssen. « Jean-Marc Thibault avait formé avec Roger Pierre, pendant des décennies, l’un des duos comiques les plus appréciés des Français. Leur complicité faisait merveille sur scène et au cinéma, et sur les écrans de télévision », a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Jean-Marc Thibault dans la série « Maguy », avec Rosy Varte, en 1985.
Où habite Pierre et Jean ?
Pierre et Jean est le quatrième roman de Guy de Maupassant, écrit d’un seul trait durant l’été 1887. C’est une œuvre naturaliste (ou réaliste-psychologique). L’œuvre, est éditée en volume le 9 janvier 1888 chez Paul Ollendorff. Elle est composée du récit, mais également d’une célèbre préface intitulée « Le roman », dans laquelle Maupassant développe des considérations générales sur le roman, tout en affirmant paradoxalement que ces idées pourraient s’opposer à « l’étude psychologique » qu’est Pierre et Jean. Le roman n’a donc pas pour fonction d’illustrer la préface.
Pierre et Jean a pour cadre la ville du Havre, où vivent les Roland.
M. Roland, ancien bijoutier parisien, a déménagé dès qu’il a pu avec sa femme au Havre, par amour inconditionnel de la mer. Ils ont deux fils, Pierre et Jean. Après leurs études à Paris, où Pierre, l’aîné, a successivement essayé plusieurs cursus, avant d’obtenir la médecine, avec des dispenses de temps obtenues du ministre, et où Jean a tranquillement obtenu sa licence de droit, ils rejoignent leurs parents au Havre dans l’appartement familial, dans le but de créer plus tard leur cabinet respectif dans cette ville.
L’incipit s’ouvre sur une partie de pêche en mer avec la famille et Mme Rosémilly, jeune veuve de 23 ans, voisine des parents.
L’élément perturbateur qui enclenche le drame familial est la visite du notaire, qui informe les Roland que Léon Maréchal, un très bon ami de la famille perdu de vue depuis leur départ au Havre, est mort et qu’il lègue tout son argent à Jean. La rivalité fraternelle se découvre petit à petit entre les deux frères, opposés physiquement et moralement[1].
C’est Marowsko qui le premier laisse entendre à Pierre ce qu’implique cet héritage, puis la serveuse de la brasserie. Peu à peu, grâce notamment à un portrait de Maréchal qui confirme sa ressemblance avec Jean, Pierre découvrira la vérité et le secret familial en fouillant dans le passé de sa mère : elle avait entretenu jadis une liaison avec cet homme.
Lors d’une violente dispute fraternelle, Jean, qui croit que son frère est seulement jaloux de son imminent mariage avec Mme Rosémilly, apprend les conclusions de Pierre quant à l’adultère de sa mère et sa filiation. Contrairement à ce dernier qui torturait psychologiquement sa mère depuis qu’il savait la vérité, Jean prend le parti de sa génitrice.
À la fin du roman c’est l’aîné, le fils légitime, qui est exclu et s’auto-exclut du cercle familial, en s’engageant comme médecin sur le transatlantique La Lorraine. M. Roland accepte le mariage de Jean avec Mme Rosémilly et ne sera jamais au courant de la véritable paternité de son fils cadet.
- Pierre Roland : homme brun de 30 ans, né en 1855. Il est jaloux de son frère Jean et va enquêter sur la légitimité de l’héritage de celui-ci.
Qui est Jean Bart dans Pierre et Jean ?
Maréchal: Plus riche que la famille Roland, dans son testament il donne toute sa fortune à Jean. Il est d’abord client de la bijouterie familiale et c’est comme ça que Louise Roland et M. Maréchal vont se connaître. M.Marowsko : est un vieux polonais, réfugié politique en France. C’est lui qui soulève les doutes de Pierre sur la légitimité de Jean Roland. Maître Lecanu : notaire qui va annoncer à la famille le décès de M. Maréchal ainsi que le testament. Le vieux matelot Papagris : surnommé Jean-Bart, il est chargé de la garde du bateau de la famille Roland. La serveuse de la brasserie: Elle va par une remarque pousser Pierre à enquêter sur la légitimité de son
Qui es Pierre Richard ?
Pierre Richard, est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur français, né le 16 août 1934 à Valenciennes (Nord).
Devenu une vedette comique du cinéma français au début des années 1970, il connaît ses plus grands succès en interprétant des personnages burlesques, rêveurs et gaffeurs. Il est ainsi à plusieurs reprises François Pignon (ou François Perrin) dans les films de Francis Veber. Il est souvent surnommé « Le Grand Blond » depuis le film Le Grand Blond avec une chaussure noire (1972).
Le château de Rougeville, propriété de la famille Defays, à Saint-Saulve, près de Valenciennes.
Pierre-Richard Maurice Léopold Defays[1] naît dans une famille de la grande bourgeoisie de Valenciennes ; il est le fils de Maurice Defays, industriel qui a dilapidé la fortune familiale[2], et de Madeleine Paulasini[3]. Il est également le petit-fils de Léopold Defays[n 1], polytechnicien[4], directeur de l’usine sidérurgique Escaut-et-Meuse[5]. Son prénom composé lui vient du vrai nom de Pierre Richard-Willm, qui était l’acteur préféré de sa mère[2].
Son père étant parti avant sa naissance, il grandit auprès de sa mère et de ses deux grands-pères. Il souffre toute sa vie du « mal de père », comme il le confie dans Le Petit Blond dans un grand parc, un récit autobiographique écrit en 1989 à l’intention de ses deux fils[6]. Il a 7 ans lorsque pour la première fois, par hasard, il rencontre son père à Paris, sur l’hippodrome de Longchamp, et il lui arrive par la suite de le revoir dans le château familial[7], mais son père ne s’intéresse pas à lui[8]. Il se console à travers une autre image paternelle, son grand-père maternel, Argimiro Paolassini[9]. Immigré italien, provenant d’un petit village proche d’Ancône, Argimiro s’installe à Valenciennes vers l’âge de vingt ans. Porteur de rails, il finit par monter son entreprise. Pierre Richard a une immense admiration pour ce grand-père immigré, car comme lui il était plus proche de Geronimo que de Henry Ford et avait su préserver ses racines paysannes. Il lui faisait penser à Raimu : c’est peut-être pour cela, selon lui, qu’il est devenu son acteur préféré. Argimiro est mort en 1946, la même année que Raimu. Il confie encore : « Il avait dit à ma mère en parlant de moi, de tous mes petits-enfants, celui-ci réussira. Ma mère me l’a répété, ça m’est resté et, jusqu’à mes quarante ans, cette prédiction m’a donné confiance en mon destin, et la certitude que je réussirais un jour ou l’autre ». Par contre, le grand-père paternel Léopold Defays lui a tracé un destin plus sérieux en l’envoyant en pension dans l’objectif d’intégrer Sciences Po ou Saint-Cyr[9].
Il passe son enfance et une partie de son adolescence dans le château familial de la Rougeville à Saint Saulve, près de Valenciennes où il est élève au lycée Henri-Wallon, puis pensionnaire de l’institution Notre-Dame[10].
Où est enterré Pierre Richard ?
Dans les années 1950, il cesse de jouer dans des films et part dans les Vosges diriger le théâtre du Peuple de Bussang fondé par Maurice Pottecher. En 1975, il écrit son autobiographie, intitulée Loin des Étoiles.
Pierre Richard-Willm est resté célibataire. Il meurt à l’institut Pasteur de Paris le 12 avril 1983[5],[2]. Il est enterré dans le cimetière de Bussang, dans les Vosges.
- Loin des Étoiles, par Pierre Richard-Willm, Belfond, 1975.
- ↑ Archives des Pyrénées-Atlantiques, commune de Bayonne, acte de naissance no 392, année 1895 (vue 263/864)
- ↑ a et b INSEE, « Pierre Richard-Willm dans le fichier des personnes décédées », sur deces.matchid.io (consulté le 9 mai 2023)
- ↑ O. Barrot et R. Chirat, Noir et Blanc, Flammarion, 2000, p. 490
- ↑ a et b Archives de l’Isère, bureau de recrutement de Grenoble, feuillet matricule n°227 d’Alexandre Pierre Richard (vue 61).
Qui est Célia Lacerda ?
Originaire du Brésil, Ceyla Lacerda est une mannequin et actrice mariée à l’acteur français Pierre Richard.
Si le public la découvre sur les podiums, la belle se destine tout d’abord à une toute autre carrière. Loin de la mode, elle souhaite devenir reporter et intègre la faculté de Cásper Líberoun et l’université privée d’Anhembi Morumbi à São Paulo, où elle suit un cursus de journalisme.
En 1981, elle change radicalement de voie et se tourne vers le mannequinat. Durant sa carrière elle défile sur les podiums les plus prestigieux et pour les plus grandes maisons de haute couture, dont Yves Saint Laurent et Chanel. Elle s’essaie un temps au cinéma et obtient un rôle dans Madame De…aux côtés de Carole Bouquet. La mode reste pourtant sa grande passion.
Dès 2010, elle devient propriétaire d’une usine de confection au Brésil. Sa marque, CR Lacerda, est spécialisée dans la production de produits personnalisés et exclusifs principalement destinés aux professionnels. En 2013, elle collabore avec Ralph Kemp pour sa collection Automne-Hiver.
Comment est morte Rosy Varte ?
Très appréciée des Français, elle remporte d’ailleurs, en 1987, le sept d’or de la meilleure comédienne.
Sa dernière apparition à la télévision date de 2007, avec le téléfilm français Hubert et le Chien.
En 2011, au retour de vacances d’été à Bénodet, la comédienne affaiblie ne pèse plus que trente kilogrammes. En janvier 2012, alors qu’elle souffre depuis longtemps de problèmes respiratoires, l’état de santé de Rosy Varte s’aggrave soudainement.
Le 13 janvier 2012, après avoir été admise à l’hôpital américain, elle meurt d’une bronchite compliquée d’une infection pulmonaire. Une messe est dite en l’église arménienne de Paris, le jeudi 19 janvier 2012. Plusieurs personnalités viennent assister à son enterrement et soutenir son mari, le réalisateur et producteur Pierre Badel. Tous ses partenaires de la série Maguy sont présents ce jour-là : Jean-Marc Thibault, Henri Garcin, Catherine Rich, Chantal Ladesou, mais aussi Marthe Mercadier ou encore Charles Aznavour. D’autres acteurs de théâtre qui ont joué avec elle, parmi lesquels Yann Collette et Louis Velle et Bichou[2], sont venus aussi lui rendre un ultime hommage.
Rosy Varte repose dans la 4e division du Cimetière Pasteur de Bagnolet. Pierre Badel, son époux, mort un an et demi plus tard, y est également inhumé.
- 1948 : Manon d’Henri-Georges Clouzot
- 1949 : Vendetta en Camargue de Jean Devaivre : Conchita
- 1951 : Trois femmes d’André Michel : Paméla
- 1952 : Lettre ouverte d’Alex Joffé : la concierge
- 1952 : Minuit quai de Bercy de Christian Stengel : Mme Boulay, l’épicière
- 1953 : Les hommes ne pensent qu’à ça d’Yves Robert : Dolorès, la victime du dragueur
- 1953 : Virgile de Carlo Rim : la grande Léa
- 1953 : À nous deux Paris ! de Pierre Kast (court métrage)
- 1954 : Casse-cou, mademoiselle de Christian Stengel : la collègue
- 1955 : French Cancan de Jean Renoir : une habituée du café
- 1955 : Les Assassins du dimanche de Alex Joffé : Marie Simonet
- 1955 : Gueule d’ange de Marcel Blistène : Mathilde, une ancienne détenue
- 1956 : Pardonnez nos offenses de Robert Hossein
- 1958 : En légitime défense d’André Berthomieu : Rita, une prostituée
- 1958 : Le Petit Prof de Carlo Rim : Madame Léa
- 1960 : Fortunat d’Alex Joffé : Rosette Falk, la femme du tailleur
- 1960 : Le Gigolo de Jacques Deray : Marilyn
- 1961 : Le Tracassin ou Les Plaisirs de la ville d’Alex Joffé : la patronne du restaurant
- 1961 : L’Amour à 20 ans, sketch : Antoine et Colette de François Truffaut : la mère de Colette
- 1962 : La Vendetta de Jean Chérasse : Madame Lauriston
- 1963 : Suzanne et le cambrioleur de Jean Bacqué (court métrage)
- 1964 : Un monsieur de compagnie de Philippe de Broca : la mère d’Isabelle
- 1964 : Angélique, marquise des anges de Bernard Borderie : voix de Rosalba Néri
- 1965 : Thomas l’imposteur de Georges Franju : Madame Valière
- 1965 : Les sultans de Jean Delannoy : la fille dans le club
- 1966 : Trois enfants dans le désordre de Léo Joannon : Madame Duchemin, la mère de la chanteuse
- 1966 : Le Voyage du père de Denys de La Patellière : la barmaid du bistrot « La Patrie »
- 1968 : Salut Berthe de Guy Lefranc : Berthe Chautard
- 1969 : La Honte de la famille de Richard Balducci : Perrine Hadol
- 1969 : Mon oncle Benjamin d’Édouard Molinaro : Bettine Machecourt
- 1969 : Le Pistonné de Claude Berri : la mère
- 1970 : Daisy Town de René Goscinny et Morris (dessin animé) : voix de Lulu Carabine
- 1971 : Le Viager de Pierre Tchernia : Elvire Galipeau
- 1972 : Le Bar de la fourche d’Alain Levent : Maria
- 1972 : La Belle Affaire de Jacques Besnard : Thérèse
- 1973 : La Grande Nouba de Christian Caza : la vicomtesse
- 1974 : Peur sur la ville d’Henri Verneuil : Germaine Doizon
- 1977 : La Ballade des Dalton de René Goscinny, Morris, Henri Gruel et Pierre Watrin (dessin animé) : voix de Miss Worthlesspenny
- 1978 : L’Amour en fuite de François Truffaut : la mère de Colette
- 1980 : T’inquiète pas, ça se soigne d’Eddy Matalon : Rose Carlin, la nurse
- 1982 : Le Braconnier de Dieu de Jean-Pierre Darras : la première musicienne en voiture
- 1982 : Rock and Torah / Le Préféré de Marc-André Grynbaum : Esther, la mère d’Isaac
- 1982 : Le Bourgeois gentilhomme de Roger Coggio : Madame Jourdain
- 1983 : Garçon ! de Claude Sautet : Gloria
- 1984 : Joyeuses Pâques de Georges Lautner : Marlène Chataigneau, la mère de Julie
- 1985 : Monsieur de Pourceaugnac de Michel Mitrani : Nérine
- 1986 : Chère canaille de Stéphane Kurc : Daisy
- 1967 : Caviar ou Lentilles de Giulio Scarnicci et Renzo Tarabusi, mise en scène Gérard Vergez, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny : Valéria
- 1969 : Rappelez-moi votre nom de Jean-Maurice Lassebry, mise en scène Jacques-Henri Duval, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny – Sabine
- 1974 : Edmée de Pierre-Aristide Bréal, mise en scène Michel Roux, réalisation Georges Folgoas, Théâtre Marigny
- 1975 : Le Pape kidnappé de João Bethencourt, adaptation André Roussin, mise en scène René Clermont, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Édouard VII : Sera
- 1977 : Madame Jonas dans la baleine de René Barjavel, mise en scène Max Fournel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny : Mme Jonas
- 1979 : Nina d’André Roussin, mise en scène Jean-Laurent Cochet, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny : Nina
- 1981 : Mademoiselle de Jacques Deval, mise en scène Jean Meyer, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny : Alice Galvoisier
- 1946 : Maria d’André Obey, mise en scène Claude Sainval, Comédie des Champs-Élysées
- 1946 : Des souris et des hommes d’après John Steinbeck, mise en scène Paul Œttly, Théâtre Édouard VII
- 1947 : Le Juge de Malte de Denis Marion, mise en scène Maurice Cazeneuve, Théâtre Montparnasse
- 1947 : Liliom de Ferenc Molnar, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
- 1949 : La Corde au cou de Jean Guitton, mise en scène A.
Qui a joué avec Jean-Marc Thibault ?
Second rôle habitué des comédies populaires, Jean-Marc Thibault tourne notamment avec Alex Joffé, (Les Assassins du dimanche, 1955), Francis Rigaud (Les Baratineurs, 1965), Yves Boisset (La Femme flic, 1979) et Jean Marboeuf (Vaudeville, 1986).
Quel est l’âge de Jean-marc Thibault ?
AFP
Le comédien Jean-Marc Thibault, qui a longtemps formé avec Roger Pierre un des plus célèbres duos comiques du théâtre français, est décédé dimanche 28 mai à Marseille à l’âge de 93 ans, a annoncé sa famille à l’Agence-France-Presse (AFP).
« C’était un père et un homme formidable, un acteur que j’aimais beaucoup et qui m’a beaucoup aidé dans ma vie », a indiqué Alexandre Thibault, fils de l’humoriste également connu pour son rôle dans la série télévisée Maguy.
« Un acteur très populaire vient de nous quitter », a réagi la ministre de la culture, Françoise Nyssen. « Jean-Marc Thibault avait formé avec Roger Pierre, pendant des décennies, l’un des duos comiques les plus appréciés des Français. Leur complicité faisait merveille sur scène et au cinéma, et sur les écrans de télévision », a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Jean-Marc Thibault dans la série « Maguy », avec Rosy Varte, en 1985.
Quel âge a Rosy ?
Cyril Rosy est âgé de 27 ans. Sa date de naissance est le 28/09/1995.
Où habitait Rosy Varte ?
Lorsque son mari prend sa retraite, elle se met au vert également et vit ses dernières années à « pêcher en Bretagne, dans la région de Bénodet, sortir à Paris, prendre des vacances où ça nous chante… Vivre, quoi« , avait-elle expliqué au Parisien. Rosy Varte : ce dont elle souffrait
Malheureusement, durant les ultimes années de sa vie, Rosy Varte s’est considérablement affaiblie. « Elle souffrait depuis longtemps d’insuffisance respiratoire. Alors, elle rêvait toujours de pouvoir reprendre. Mais elle n’avait pas les forces nécessaires. En plus, le dynamisme de Rosy se retournait contre elle, parce qu’on lui a proposé jusqu’au dernier moment des pièces, mais c’étaient des pièces dynamiques« , avait confié son mari au micro d’Europe 1.
Qui est enterré à Carnac ?
Dans le cimetière repose également Joseph LE ROUZIC (1863-1941), qui fut maire de Carnac et député du Morbihan de 1910 à 1919, inscrit au groupe Radical-socialiste.
Où est le corps de De Gaulle ?
Une première: aucun de ses prédécesseurs à l’Élysée n’avait jusqu’ici choisi de reposer à Paris.
» LIRE AUSSI – EN DIRECT – L’ancien président Jacques Chirac est mort
● Charles de Gaulle, enterré à Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne) La tombe très simple du général de Gaulle dans le cimetière adjacent à l’église de Colombey. FRANCOIS NASCIMBENI/AFP
Le 9 novembre 1970, à 19h30, le général de Gaulle rend son dernier souffle à la Boisserie, sa résidence de Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne). Âgé de 79 ans, il a succombé à une rupture d’anévrisme. Sa mort est annoncée par une dépêche AFP le 10 novembre à 9h40.
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Le premier président de la Ve République avait prévu de son vivant les détails de ses funérailles. «Je veux que mes obsèques aient lieu à Colombey-les-Deux-Eglises. […] Ma tombe sera celle où repose déjà ma fille Anne et où un jour reposera ma femme. Inscription: Charles de Gaulle (1890-….). Rien d’autre.»
Le natif de Lille refuse farouchement que les plus grands hommages lui soient rendus. «Je ne veux pas d’obsèques nationales. Ni président, ni ministres, ni bureaux d’assemblées, ni corps constitués. […] Aucun discours ne devra être prononcé, ni à l’Église ni ailleurs.
Qui est enterré à Perros-guirec ?
Morbihan
- Philippe de Broca, réalisateur de l’homme de Rio, est inhumé dans la commune de Sauzon à Belle-Île.
- La sépulture de la Comtesse de Ségur, illustre auteur de livres pour enfants, se trouve à Plunéret, près d’Auray.
- A La Gacilly, on trouve aussi la sépulture d’Yves Rocher. Le géant de la cosmétique avait promis de faire prospérer la commune, on y trouve aussi son musée.
Côtes d’Armor
- La sépulture de l’humoriste Thierry Le Luron se trouve à Perros-Guirec.
- Le journaliste et présentateur télé Roger Gicquel est inhumé à Plouër-sur-Rance.
Où sont enterrés les présidents de la République ?
C’est aussi un lieu d’écriture pour le mémorialiste de Gaulle. De la grande tour de la bâtisse, le Général fait son bureau. Il y rédige ses Mémoires de guerre
, ses
Mémoires d’espoir
, ainsi que ses principaux discours. « Là, regardant l’horizon de la terre ou l’immensité du ciel, je restaure ma sérénité », écrira-t-il. La Boisserie n’est réservée qu’à un usage privé et familial. Une exception néanmoins : l’invitation par le couple de Gaulle du chancelier allemand Konrad Adenauer les 14 et 15 septembre 1958 pour marquer les premiers pas de la réconciliation entre les deux pays. Le Général meurt dans sa bibliothèque, terrassé par un malaise. Il est enterré à Colombey comme il l’avait souhaité. Propriété de la famille de Gaulle, la Boisserie est inscrite aux monuments historiques et ouverte au public. Un mémorial Charles de Gaulle perpétue également le souvenir de l’ancien président de la République à Colombey.
Georges Pompidou : Orvilliers et Cajarc
Habitant quai de Béthune, sur l’île Saint-Louis, à Paris, Georges Pompidou acquiert une propriété à Orvilliers, à l’ouest des Yvelines en 1954, alors qu’il est banquier. Un ancien relais de poste dénommé la Maison-Blanche en raison de la couleur de ses murs. C’est là que, jusqu’à son élection à la présidence de la République en 1969, il a l’habitude de passer ses week-ends en compagnie de sa famille et de ses amis, avec lesquels il peut jouer au croquet dans le jardin, au billard dans le vaste salon où ce féru de littérature lit également des poèmes. Ambiance cosy à l’abri des remous de la politique. Mais Pompidou n’oublie pas ses racines provinciales. Né à Montboudif, en Auvergne, il aime se replonger dans cette France profonde et paysanne. C’est pourquoi, au début des années 1960, il achète une maison à Cajarc dans le Lot. Son fils, Alain, expliquera : « Mon père avait toujours voulu avoir des terres, pouvoir bénéficier d’un potager, d’un verger et élever des moutons… » À Cajarc, le Président donne l’image d’un gentleman- farmer sensible aux plaisirs champêtres simples, rentrant du bois, scrutant ses moutons, sa légendaire cigarette au coin des lèvres. À une époque où l’image commence à devenir prégnante dans la vie politique, il fait de cet attachement à la ruralité un atout. Mais Pompidou meurt avant la fin de son mandat présidentiel. Il ne sera pas enterré dans la commune lotoise mais à Orvilliers. En revanche, une « Maison des Arts Georges et Claude Pompidou » a été fondée à Cajarc dont Claude Pompidou a été la présidente d’honneur.
Giscard d’Estaing : l’Auvergne en héritage
Valéry Giscard d’Estaing est le seul président de la V
e
République à être né à l’étranger. Il a vu le jour à Coblence en Allemagne, le 2 février 1926 avant que, quelques mois plus tard, l’Inspection des finances ne mute son père à Paris.