Jeanne-Augustine Barthélemy de Maupassant, la femme de l’acteur français Louis de Funès, est décédée le 7 mars 2015 à l’âge de 101 ans.
Qui est le fils de Louis de Funès ?
Un arrondissement qu’il a connu adolescent, puisqu’il a été élève du prestigieux lycée Condorcet. Il a vécu dans notre arrondissement de nombreuses années, au 13, rue Condorcet puis au 42, rue de Maubeuge.
Qui est la femme de Cruchot ?
« Ma biche », lancé par le maréchal des logis Ludovic Cruchot dans la série des « Gendarmes », lui a collé toute sa vie à la peau. Principalement connue pour donner la réplique à Louis de Funès, l’actrice Claude Gensac est décédée à 89 ans dans son sommeil dans la nuit de lundi 26 décembre à mardi 27 décembre, a annoncé son fils à l’AFP.
Particulièrement connue comme Josépha, la femme de Ludovic Cruchot dans la série « Les Gendarmes », Claude Gensac l’est également dans Jo ou Hibernatus. Au cours de sa carrière elle sera en tout 10 fois l’épouse de Louis de Funès !
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Elle a tourné jusqu’au bout, a-t-il souligné. En effet, Claude Gensac a été en 2013 à l’affiche de Elle s’en va d’Emmanuelle Bercot, avec Catherine Deneuve, de Lulu femme nue de Solveig Anspach, la même année, ainsi que de Baden Baden de Rachel Lang en 2016.
Nommée pour un César de la meilleure actrice en 2015
Pourtant, après la mort de son partenaire Louis de Funès en 1983, l’actrice avait connue une traversée du désert. Elle avait finalement réussi à rebondir grâce au théâtre.
Qui est la mère de Julia de Funès ?
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Julia de Funès, née le 4 mars 1979 à Paris, est une philosophe, écrivaine et conférencière française.
Née le 4 mars 1979 à Paris, elle est la petite-fille de l’acteur Louis de Funès (1914-1983) et de Jeanne Barthélémy (1914-2015)[1],[2]. Son père est Olivier de Funès, pilote de ligne né en 1949, et sa mère est Dominique Watrin, née en 1956[3]. Julia de Funès a deux frères cadets, des jumeaux nés en 1996[4],[5]. À l’âge de 19 ans, elle effectue un stage dans l’émission Comme au cinéma, présentée par Frédéric Lopez sur France 2[6].
Elle est titulaire d’une maîtrise de philosophie obtenue en 2002 à l’université Paris Nanterre, d’un DESS (devenu master) en ressources humaines à l’IGS Paris en 2005[7],[8], ainsi que d’un doctorat en philosophie à l’université Paris-Descartes. Sa thèse, soutenue en 2017 sous la direction de Michela Marzano[9],[10], a pour sujet « De l’identité personnelle à l’authenticité : entre représentation et mimétisme ».
Après avoir travaillé dix ans dans les ressources humaines[11], Julia de Funès crée en 2010 Prophil conseil, un cabinet de conseil en philosophie, qui intervient dans de grandes entreprises[12]. La même année, elle présente Le Bonheur selon Julia, un programme court sur la philosophie, diffusé sur France 5 et produit par Frédéric Lopez[13].
Qui sont les 4 Gendarmettes ?
Qui est la mère de Daniel de Funès ?
Louis de Funès a été marié de 1936 à 1942 à Germaine Louise Élodie Carroyer, la mère de Daniel de Funès.
Quelle maladie est mort Louis de Funès ?
Le 27 janvier 1983, le comédien Louis de Funès s’éteignait au CHU de Nantes des suites d’un infarctus. Depuis 1975, l’inoubliable interprète du gendarme de Saint-Tropez avait établi sa résidence principale au château de Clermont, la propriété familiale située au Cellier, près de Nantes.
Quel âge a Julie de Funès ?
Julia de Funès est docteure en philosophie et spécialiste du monde de l’ entreprise et du management. Diplômée de l’Institut Supérieur de Gestion (ISG) de Paris, elle travaille dans le secteur des ressources humaines avant d’ouvrir en 2010 Prophil Conseil, un cabinet de conseil qui s’appuie sur la philosophie pour des interventions dans des entreprises.
En 2017, Julia de Funès passe un doctorat en philosophie, et publie Socrate au pays des process en 2017, La vie de bureau : ou comment je suis tombée en Absurdie en 2019 ou Le Siècle des égarés en 2022.
En 2021, s’exprimant sur le télétravail dans une émission de France Culture, elle développe son point de vue sur les surfaces d’échange grandissantes entre vie de famille, vie personnelle et vie professionnelle : « La plupart des entreprises en France ont été darwiniennes. Elles se sont adaptées en comprenant que c’est pas la vie qu’il faut amener au bureau, mais c’est le bureau qu’il faut amener dans sa vie personnelle.«
Julia de Funès est la petite-fille de l’acteur Louis de Funès.
Où est la maison de Louis de Funès ?
Louis de Funès de Galarza est un acteur français comique très populaire né en 1914. C’est l’un des plus célèbres et des plus appréciés du cinéma français. Parmi ces rôles les plus connus, citons la série « Les Gendarmes », la trilogie « Fantomas », « Le Corniaud », « Les aventures de Rabbi Jacob », « La Folie des Grandeurs » ou « La Grande Vadrouille » (1966), ce dernier restant pendant plus de quarante ans, le plus grand succès du cinéma français avec plus de 17 millions de spectateurs.
Dans les années1940-1960, Louis de Funès passe ses vacances au domaine de Clermont, après son mariage, en 1943, avec Jeanne Barthélémy, nièce de Marie Barthélémy, propriétaire du Château à la mort de son mari, le Comte Charles Nau de Maupassant.
Qui est le père de Laurent de Funès ?
Louis de Funès a interprété de nombreuses chansons sur scène, à l’écran ou sur disque, parmi lesquelles
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:
- 1962 : Pour toi, Dans mes godasses, C’est défendu et Comme la douane dans La Grosse Valse de Robert Dhéry, musique Gérard Calvi, avec Guy Grosso, Michel Modo, Pierre Tornade et Jacques Legras
- 1967 : Ferme tes yeux mon bébé, mélodie et paroles de « mémé Fourchaume » dans Le Petit Baigneur
- 1970 : Les Poupons (ou Quand tu fais « La la la – la la »), musique François de Roubaix, paroles Jean Halain et Remo Forlani, dans L’Homme orchestre avec son fils Olivier
- 1981 (24 décembre) : Le Divin Enfant sur le plateau du Grand Anniversaire, émission de variétés de FR3 animée ce soir-là par Guy Béart.
Il a également enregistré des fables, des pièces de théâtre et des histoires pour enfants (Les Aristochats) sur micro-sillons[142].
- 1953 : La Tomate présente le Journal de Jules Renard (33T – Phillips – Ref: N 76007R)
- 1958 : Le Bœuf et l’Âne de la crèche avec Louis de Funès (l’âne) et Jacques Fabbri (le bœuf) (33T – Erato – ref: LDEV 3097)
- 1958 : Le Bourgeois gentilhomme de Molière, interprété entre autres par Louis de Funès et Bernard Blier (16T – Contrepoint – ref: V 16.25005.30) puis en 33T – Vogue – N° COF.11 (1972)
- 1959 : Les Fourberies de Scapin de Molière (16T – Contrepoint) puis en 33T – Vogue – N° COF.12 (1972)
- 1960 : La Grosse Valse (33T – ref: LD 593 30)
- 1964 : Louis de Funès joue avec les classiques (4 × 45T).
- Volume 1 (Vogue, EPL 8259)
- Volume 2 (Vogue, EPL 8260)
- Jean de La Fontaine : La Cigale et la Fourmi, Le Petit Poisson et le Pêcheur, Le Lion et le Moucheron
- Jean Racine : Les plaideurs
- Volume 3 (Vogue, EPL 8261)
- Jean de La Fontaine : La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf, La Montagne qui accouche, Le Chat, la belette et le petit Lapin
- Nicolas Boileau : Les Embarras de Paris
- Volume 4 (Vogue, EPL 8262)
- Jean de La Fontaine : Le Savetier et le Financier
- Molière : Monologue de l’avare
- Pierre Corneille : Stances à Marquise
- Voltaire : La Vanité, Les oui et les non, Épigramme imitée de l’anthologie
- 1964 : Louis de Funès joue Molière (L’Avare, Les Fourberies de Scapin, Le Bourgeois gentilhomme), La Fontaine (Fable) (33T – Vogue)
- 1969 : Un client sérieux une comédie de Georges Courteline avec Fernandel (33T – Ref: DECA FM 133522) -.
Qui est le propriétaire du château de Clermont ?
Maupassant et Louis de Funès
La famille de Maupassant rachète le château et en reste propriétaire jusqu’en 1941. L’écrivain Guy de Maupassant aurait séjourné à Clermont mais ses liens avec la famille éponyme restent à démontrer .
Qui est propriétaire du château de Louis de Funès ?
Devenu une grande vedette, et alors en plein succès commercial de La Grande Vadrouille, Louis de Funès décide de l’acquérir pour redonner à son épouse le château de son enfance, elle qui a vécu avec lui ses années de galère alors qu’elle venait d’un milieu bourgeois. Face au baron Charles Juchault des Jamonières, le notaire mandaté par Louis de Funès remporte les enchères pour 830 000 francs de l’époque (soit environ 1 160 000 euros en 2022[14]), soit à peu près ce qu’il peut toucher pour un film à la même époque[15].
Le château, inhabité depuis six ans et délabré, nécessite deux ans de travaux et restaurations[12]. L’acteur se sépare de sa maison de campagne à Saint-Clair-sur-Epte et de son appartement d’été à Hyères[16]. Cette retraite bretonne, dont il apprécie le calme qu’il trouve en ces lieux, lui permet de vivre loin des journalistes et des curieux, alors que sa vie quotidienne d’antan en région parisienne n’est plus permise depuis trois ans par sa notoriété envahissante[11],[12]. Il laisse son épouse s’occuper de la restauration et se consacre plutôt aux 25 hectares de parcs et jardins l’entourant[15]. Passionné de botanique, l’acteur y entretient notamment une roseraie[16]. Il interdit la chasse sur ses terres et pratique l’agriculture biologique sur ses cultures[16]. À partir de 1976, après son double infarctus, Louis de Funès se sépare également de son appartement parisien du parc Monceau, pour ne plus vivre qu’au château[16]. Il y réside jusqu’à sa mort, survenue à l’hôpital de Nantes en 1983[16].
Le domaine comporte alors 30 pièces, 365 fenêtres, d’importantes dépendances, un parc de 30 hectares.
Sa famille ne pouvant entretenir un tel bâtiment, le vend en 1986 à l’Association pour le Développement des Alternatives à l’Hospitalisation (ADAH).
L’ADAH est une association qui s’occupe de personnes handicapées atteintes de troubles mentaux[17].
L’ADAH y installe ses pensionnaires et les logis extérieurs sont alors transformés en ateliers afin d’occuper ces derniers : couture, taille de pierre, menuiserie, blanchisserie. Une autre partie est transformée en salle de restaurant, une autre encore en salle des arts où sont tenues les manifestations artistiques du centre lors des portes ouvertes (théâtre, exposition des œuvres de l’atelier arts plastiques et manifestations musicales classiques extérieures) et une partie de la bâtisse est réhabilitée afin d’y accueillir l’organisation de divers évènements (mariages, congrès…).
Dans les jardins, l’association conserve la roseraie de Louis de Funès et l’utilise comme atelier d’horticulture.
Cependant, l’ADAH, face à des problèmes financiers, doit se résoudre à se séparer de Clermont, qui est finalement acheté en 2005 par un entrepreneur immobilier.
Celui-ci transforme le château pour y aménager et revendre 45 logements privés.
À la fin de l’été 2009 les premiers résidents emménagent dans les appartements créés dans le château.
Qui est le propriétaire du château de Fontainebleau ?
Par ailleurs, depuis 1981, le château fait partie avec son parc du patrimoine mondial de l’UNESCO. Riche d’un cadre architectural de premier ordre, le château de Fontainebleau possède également une des plus importantes collections de mobilier ancien de France, et conserve une exceptionnelle collection de peintures, de sculptures, et d’objets d’art, allant du VIe au XIXe siècle. Saint Louis (1214-1270), auteur des agrandissements du domaine au Moyen Âge. Portrait par Le Greco, vers 1590, Paris, musée du Louvre.
Un château fort est mentionné à cet endroit pour la première fois en 1137 dans une charte du roi des Francs Louis VII le Jeune. La date exacte de la fondation du château reste inconnue, mais le premier édifice a probablement été construit sous le règne du père de Louis VII, Louis VI le Gros, voire sous celui de son grand-père, Philippe Ier, lorsqu’il réunit le Gâtinais au domaine royal français en 1068[4].
En 1169, une autre charte de Louis VII établit et dote un chapelain pour desservir la chapelle[5],[6] ; celle-ci sera consacrée à la Vierge et à saint Saturnin[7],[6] par Thomas Becket, archevêque de Cantorbéry, alors réfugié à Sens. À la Noël 1191, Philippe II Auguste fête à Fontainebleau le retour de la troisième croisade[7].
Le château est agrandi par Louis IX, qui l’appelle « ses déserts »[8] où il aime à prendre le « déduit[N 2] de chasse »[9] au XIIIe siècle ; il y installe des religieux de l’ordre des Trinitaires en 1259 dans l’enceinte même du château pour desservir l’hôpital-couvent[10] qu’il fonde[11]. De cette disposition originelle subsistent les fondations de la chapelle des Trinitaires et de leurs bâtiments conventuels, alors situés à proximité de l’actuelle chapelle de la Trinité[11].
Philippe IV le Bel est le premier roi de France à naître au château en 1268 et fait aménager des appartements en 1286. Il est également le premier roi à y mourir des suites d’une chute de cheval en 1314, après une longue agonie[12]. En 1313, Jeanne de Bourgogne, petite fille de saint Louis par sa mère et propriétaire du domaine de Fontainebleau, épouse Philippe de Valois, futur roi de France Philippe VI de Valois, qui y fait des séjours fréquents. En 1325, le château reçoit la visite d’Isabelle de France devenue reine d’Angleterre[N 3]. En janvier 1332, a lieu à Fontainebleau la signature du contrat de mariage entre Jean II le Bon et Bonne de Luxembourg[13]. Le roi y vit dès 1350. Charles V le Sage y installe une bibliothèque et Isabeau de Bavière y entreprend des travaux, après avoir acquis les domaines de la forêt de Bière[N 4], de Fontainebleau, de Moret et la châtellenie de Melun en 1404. Charles VI y séjourne à partir de 1388. Le château est cependant abandonné en raison des affrontements de la guerre de Cent Ans, lorsque la cour s’exile au bord de la Loire et à Bourges.
Château de Fontainebleau | |
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L’escalier en Fer-à-cheval. | |
Propriétaire actuel |
État français |
Destination actuelle | Musée |
Protection | Classé MH (1862, 1913, 1930, 2008 et 2009) Patrimoine mondial (1981) |
Qui est le propriétaire du château de Cassis ?
En 1524 l’empereur du Saint-Empire romain germanique Charles Quint fait détruire le château et met la cité à feu et à sang.
À la fin du XVIIe siècle le comte de Grignan, gouverneur adjoint de la province, renforce les défenses du château et y fait installer de nouveaux canons d’artillerie.
Au XVIIIe siècle Cassis s’étend au-delà de ses remparts, et se développe autour du port. Le 10 février 1794, le jeune général Bonaparte fait une halte historique au château pour inspecter les batteries militaires de l’armée française, qui seront détruites le 17 avril 1813 par un commando de la Royal Navy.
En 1896 l’administration des domaines vend le château à un buraliste de Saint-Cyr-sur-Mer. Il appartient à la famille Michelin durant 35 ans. L’actuel propriétaire fait entièrement rénover le château en ruine, en hôtel-restaurant provençal de luxe, avec vue sur le port de Cassis, la baie, et le vignoble.
Sur les autres projets Wikimedia :
Qui est le propriétaire du château de Maintenon ?
Huit siècles d’histoire !
Au fil des siècles, le château de Maintenon a connu de nombreuses transformations. Le caractère défensif du château fort primitif s’est effacé définitivement au profit de la résidence aristocratique confortable et moderne.
Les plus importantes modifications seront réalisées au XVIème siècle par Jean Cottereau et au XVIIème siècle par Madame de Maintenon. La relation entre Madame de Maintenon et le roi Louis XIV favorisa les aménagements et les agrandissements du château. Au XIXème siècle, le duc Paul de Noailles et l’architecte Henri Parent modifieront les façades de la cour d’honneur. Le duc Paul de Noailles et sa femme Alicia de Rochechouart de Mortemart moderniseront le château et y amèneront du confort. Les descendants du duc Paul de Noailles, M. et Mme Raindre hériteront d’un domaine très endommagé par la Seconde Guerre mondiale. Ils attacheront beaucoup d’importance à le remettre en état.
Les seigneurs de Maintenon
La présence d’un château à Maintenon est attestée depuis le XIIIème siècle. Il appartient à la lignée des Amaury, les seigneurs de Maintenon…
Quelle est la cause du décès de Louis de Funès ?
Charles Guyard, édité par Laura Laplaud 10h03, le 27 janvier 2023
Chaque jour, Europe 1 se penche sur une idée ou un problème dans votre quotidien. Le 27 janvier 1983, Louis de Funès décédait d’une crise cardiaque à Nantes. Une exposition lui rend hommage jusqu’à dimanche au Cellier où l’acteur est enterré. Dans cette commune de Loire-Atlantique, où il a vécu, Louis de Funès continue d’émerveiller les plus jeunes, 40 ans après sa mort.
La Grande Vadrouille, Le Gendarme de Saint-Tropez, Le Petit baigneur… 40 ans après sa mort, l’acteur continue d’émerveiller, même les plus jeunes d’entre nous. Au Cellier, une commune de Loire-Atlantique où il a vécu et où il est désormais enterré, une exposition rend hommage à Louis de Funès.
Toujours indémodable
« C’est mon acteur préféré », « il est trop drôle »… Pour les écoliers du Cellier, c’est une évidence, leur idole au cinéma, repose dans le cimetière de la commune. Plus qu’un nom, l’acteur et sur tous ses gages, reste une référence pour ces enfants d’à peine huit ans.
Quel est l’âge de Galabru ?
Son tempérament comique et son physique truculent en faisaient un des acteurs français de théâtre et de cinéma les plus populaires. Le comédien Michel Galabru est mort lundi matin à Paris, à l’âge de 93 ans. Sa famille a précisé qu’il s’était éteint « dans son sommeil ».
Acteur populaire. L’acteur, né le 27 octobre 1922 à Safi au Maroc, est mort lundi matin à 5h30, selon les informations de sa fille Emmanuelle. Michel Galabru a mis sa faconde au service de nombreuses oeuvres de répertoire et de boulevard, de films très grand public comme la série des Gendarmes de Jean Girault ou plus exigeants comme Le juge et l’assassin de Bertrand Tavernier, qui lui avait valu un César du meilleur acteur en 1977.
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Michel Galabru était encore sur scène très récemment. Toutefois, en novembre dernier, en raison d’une grande fatigue, il avait dû annuler les représentations de deux pièces, où il tenait l’affiche.
Quel film a rendu célèbre Louis de Funès ?
La Grande Vadrouille (1966)
Quelle est la cause de la mort de Bourvil ?
Il y meurt le 23 septembre 1970 à 00h45, selon son acte de décès portant le numéro 1970/1442.
- ↑ Selon une autre source, c’est lors d’une représentation à Lyon de Ouah ! Ouah ! que Bourvil est gêné par son kyste à l’oreille et que les médecins, après l’analyse du kyste, lui annoncent qu’il est atteint d’un cancer. Sa lourde chute de vélo sur le tournage des Cracks ne serait alors qu’à l’origine d’« un hématome et des douleurs permanentes dans le bas du dos », qui se sont ajoutées à sa maladie de Kahler. (Franck et Jérôme Gavard-Perret, « André Bourvil et Louis de Funès ou le parcours singulier d’un duo exceptionnel », sur Autour de Louis de Funès).
- ↑ « J’ai eu le prix à Venise, bon, j’en suis pas mal fier, mais je ne confonds pas vitesse et précipitation, Bourvil et Sarah Bernhardt. Le rire dans la qualité, c’est ce que je voudrais pouvoir faire. L’imbécile heureux, voilà mon emploi. Que je m’évade, de temps en temps, je ne dis pas non, mais ce sera toujours pour y revenir. » Bourvil ; Source : Maurice Bessy, André Bourvil, Denoël, 1972
- ↑ a et b Acte de naissance d’André Raimbourg, dans le registre d’état civil de Prétot-Vicquemare de 1917, page 5, acte no 8 du 28 juillet 1917, archives départementales de la Seine-Maritime.
- ↑ Marc Lemonier, Guide des lieux cultes du cinéma en France, Horay, 2005, p. 127.
- ↑ Philippe Crocq et Jean Mareska, Bourvil. De rire et de tendresse, Éditions Privat, 2006, p. 16-17
- ↑ Catherine Claude, Un certain Bourvil, Messidor, 1990, p. 29.
- ↑ Christian Plume et Xavier Pasquini, Bourvil, Bréa Editions, 1983, p. 9-13.
- ↑ Christian Plume, Xavier Pasquini, op. cit., p. 14
- ↑ Philippe Crocq, Jean Mareska, op. cit., p. 21
- ↑ Philippe Crocq, Jean Mareska, op. cit., p. 28
- ↑ Xavier Collombier, « Dominique Raimbourg nous parle de son père André dit Bourvil », France 3, Pays de la Loire, 28 septembre 2012 (lire en ligne)
- ↑ « Bourvil fils entre à l’Assemblée nationale », Libération, 6 septembre 2001 (lire en ligne)
- ↑ Philippe Crocq, Jean Mareska, op. cit., p. 46
- ↑ Christian Plume, Xavier Pasquini, op. cit., p. 32
- ↑ Sandro Cassati, André Bourvil. Une histoire vraie, City Edition, 2010, p. 67
- ↑ Laurent Delahousse, « André Bourvil, la rage de vaincre », documentaire Un jour, un destin, 23 octobre 2013, 41 min 30 s.
- ↑ Sandro Cassat, op. cit., p. 144
- ↑ Christian Plume, Xavier Pasquini, op. cit.