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Comment s’appelait la fille cachée de François Mitterrand ?

by Nadia Moulin

Fille adultérine de François Mitterrand et d’Anne Pingeot, Mazarine Marie Pingeot effectue sa scolarité à l’école Saint-Benoît et au lycée Henri-IV à Paris.

Qui a révélé l’existence de Mazarine ?

Mazarine et Anne Pingeot lors des funérailles de François Mitterrand

C’est dans une clinique à Avignon que Mazarine voit le jour le 18 décembre 1974. En 1984, François Mitterrand la reconnaît. Et c’est dix ans plus tard que les Français font connaissance avec sa fille cachée, dans les colonnes de « Paris Match », qui révèle l’existence de la fille naturelle du Président. En janvier 1996, la jeune femme de 22 ans assiste avec sa mère à l’enterrement de François Mitterrand à Jarnac. En 2005, celle qui est devenue journaliste publie « Bouche cousue », où elle revient sur ses souvenirs d’enfance.

Où vit Mazarine Pingeot ?

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Qui est le fils de François Mitterrand ?

Jean-Christophe Mitterrand, né le 19 décembre 1946 à Boulogne-Billancourt, est un journaliste, consultant international et homme d’affaires français. Il a été impliqué dans les réseaux de la Françafrique[1].

Jean-Christophe Mitterrand est le fils aîné de François Mitterrand et Danielle Gouze. Il a deux frères : Pascal, décédé en bas âge, et Gilbert Mitterrand, né en 1949. Il a aussi une demi-sœur, Mazarine Pingeot, née en 1974.

Il épouse le 12 avril 1975 à Château-Chinon, Élisabeth Dupuy (dite Minouche), fille de la députée Lydie Dupuy, dont il divorcera, et a un fils, Adrien, né en 1983, réalisateur[2] et enseignant. Il se remarie le 17 juillet 2006 à Romorantin-Lanthenay avec Francesca Brenda, artiste peintre d’origine franco-colombienne.

Si François Mitterrand souhaite que Jean-Christophe étudie à l’Institut d’études politiques de Paris, Jean-Christophe préfère effectuer de courtes études à l’université Paris VIII Vincennes[3], où il reste peu de temps pour partir voyager[4].

Durant les années scolaires 1970-1971 et 1971-1972, il était enseignant en Algérie plus précisément à Eloued. En 1970, Jean-Christophe Mitterrand passe six mois au kibboutz Kfar Hanassi, dans le nord d’Israël où il travaille à la cueillette des pamplemousses[5], déclarant aux journalistes lors de son arrivée à Haïfa que son père soutient le peuple d’Israël et qu’il est hostile à son embargo[6].

De 1973 à 1982, il est journaliste pour l’Agence France-Presse (AFP) en Afrique de l’Ouest.

De 1983 à 1986, il est adjoint de Guy Penne, conseiller pour les Affaires africaines à l’Élysée. Il prend part aux réseaux de Charles Pasqua, impliqués dans la Françafrique[1], soupçonnés de corruption.

De 1986 à 1992, Jean-Christophe Mitterrand succède à Penne comme conseiller pour les Affaires africaines au cabinet présidentiel de son père.

Qui etait claire la maîtresse de Mitterrand ?

Cette jeune Claire peut très bien être un membre de la famille, ou bien cette mystérieuse fille cachée, Mazarine, dont on commence à parler sous le sceau du secret.

Je ne sais même plus de qui je suis jalouse, de la mère ou de la fille.

Mitterrand, qui compartimentait si bien sa vie, ne lui dit pas tout. Elle découvre son cancer de la prostate comme tout le monde, à la télévision. Et l’existence d’Anne Pingeot et de sa fille en lisant Minute. Explications houleuses… « Tu ne vas quand même pas croire ce torchon ? » lui lance le président, s’enferrant dans le mensonge. Elle écrit alors dans son carnet intime : « Je ne sais même plus de qui je suis jalouse, de la mère ou de la fille. »

À LIRE AUSSIManoir de Souzy-la-Briche : les secrets du repaire de François Mitterrand

Ils se fréquentent jusqu’au bout, déjeunent encore au restaurant quelques semaines avant le décès du président, en janvier 1996. Les gardes du corps lui ménageront un temps de recueillement devant sa dépouille et elle suivra le cercueil discrètement jusqu’au cimetière de Jarnac. Avant de mourir, le vieux président lui avait demandé de refaire sa vie, sans pour autant l’oublier : « Marie-toi, fais un enfant, tu l’appelleras François, et continue de m’aimer. »

«

Le Dernier Secret » de Solenn de Royer, éditions Grasset, octobre 2021, 416 pages, 22,50 euros

Qui était l’amant de madame Mitterrand ?

Prof de gym, de tennis, de natation, chauffeur, garde du corps, il emménage dans une chambre de bonne au-dessus de l’appartement parisien des Mitterrand « , s’est souvenu Robert Schneider.

L’histoire d’amour est alors devenue un secret de polichinelle entre François et Danielle Mitterrand. Mais en 1981, François Mitterrand est nommé président de la République, et a sommé son épouse de mettre un terme à son histoire extraconjugale. Une obligation qu’elle a vécue comme une « injustice » et un « sacrifice ». Pourtant, Danielle Mitterrand aimait éperdument son époux : « Danielle aime les grands meetings, elle admire le talent d’orateur de son mari, sa capacité à soulever l’enthousiasme des foules : ‘Je tremblais, j’étais émue. François avait des discours qui partaient des tripes, qui étaient formidables, qui m’arrachaient des larmes », écrivait Robert Schneider, citant l’ancienne Première dame. Une histoire extraconjugale qui avait tout de même duré une dizaine d’années.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Guillaume Gaffiot/Bestimage

Où habitait Monsieur Mitterrand ?

Disparu le 8 janvier 1996 à Paris, François Mitterrand repose au cimetière des Grand’ Maisons de Jarnac.

En 2005 la demeure familiale est acquise par la mairie de Jarnac, entièrement rénovée en musée, et ouverte au public en 2006 pour l’occasion du 10e anniversaire de la disparition du Président. La mairie cède les lieux en 2011, pour 1 € symbolique, à l’Institut François-Mitterrand, qui en assure depuis la gestion, y héberge une partie de ses archives historiques, et y reçoit public et chercheurs. La demeure familiale est préservée d’époque, avec salle à manger bretonne, salon rose, petit salon, cuisine, cour intérieure avec lavoir, jardin, plusieurs chambres à l’étage, ancienne vinaigrerie / tonnellerie, avec meubles, objets, photos et documents familiaux, livres, cahiers de classe, manuscrits de la vie de François Mitterrand et de quatre générations de sa famille maternelle.

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Maison natale de François Mitterrand

Pays France
Commune Jarnac
Adresse 22 rue Abel Guy
Coordonnées 45° 40′ 53″ N, 0° 10′ 47″ O

Qui a succédé au président François Mitterrand ?

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

François Mitterrand (1991).

La seconde présidence de François Mitterrand dure du 21 mai 1988 au 17 mai 1995.

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Bien qu’il sache, depuis novembre 1981, qu’il est atteint d’un cancer de la prostate (les bulletins de santé, régulièrement publiés à la suite d’une promesse électorale, sont mensongers), François Mitterrand annonce le 22 mars 1988 sa candidature à l’élection présidentielle pour un second mandat de 7 ans.

Après un premier tour où il devance avec 34,1 % des voix ses deux concurrents de droite, Jacques Chirac et Raymond Barre, il est réélu le 8 mai, avec 54,02 % des voix contre son premier ministre de cohabitation, Jacques Chirac.

Il nomme alors Premier ministre Michel Rocard et dissout l’Assemblée nationale.

En mai 1991, Édith Cresson succède à Michel Rocard et 10 mois plus tard, celle-ci, impopulaire, doit céder la place à Pierre Bérégovoy. L’année 1992 est marquée également par l’annonce officielle du cancer de François Mitterrand.

En mars 1993, il doit faire face à une deuxième cohabitation à la suite de la victoire de la droite aux élections législatives. Édouard Balladur forme un nouveau gouvernement.

Le 1er mai, Pierre Bérégovoy se suicide.

L’année 1994 est marquée par la sortie du livre de Pierre Péan sur la jeunesse de François Mitterrand et par la révélation de l’existence de sa seconde famille et de sa fille naturelle Mazarine Pingeot.

Le 8 mai 1995, Jacques Chirac est élu président de la République.

Les élections législatives anticipées de juin 1988 débouchent sur une assemblée nationale sans majorité absolue pour les coalitions gouvernementales. La droite RPR-UDF est battue, et le Front national ne sauve qu’un seul de ses députés (Yann Piat). Le groupe socialiste et apparentés n’obtient cependant qu’une majorité relative alors que les communistes refusent toute alliance gouvernementale.

Pour faire voter leurs lois, les gouvernements socialistes successifs seront alors contraints de trouver des alliances sur leur gauche (avec le parti communiste) ou sur leur droite chez les éléments centristes de l’opposition, rassemblés dans l’Union du centre (UDC, groupe parlementaire autonome issu de l’UDF). Cette politique d’ouverture au centre se manifestera par l’entrée au gouvernement de personnalités de l’UDF comme Jean-Pierre Soisson et Jean-Marie Rausch, centristes comme Michel Durafour ou Olivier Stirn ou de la société civile comme Alain Decaux et (brièvement) Léon Schwartzenberg.

Politique intérieure Politique intérieure

  • Affaire Péchiney-Triangle : Roger Patrice Pelat, ami de François Mitterrand, et des membres d’un cabinet ministériel, sont impliqués.
  • Élections municipales : le PS obtient sa meilleure implantation dans les villes de plus de 20 000 habitants depuis sa création.

Qui a précédé François Mitterrand ?

La période de la fin des années 1960 et du début des années 1970 sont notamment marquées par Mai 68, une série de grèves de travailleurs et de révoltes d’étudiants, et par la fin des Trente Glorieuses.

En 1981, François Mitterrand est élu président de la République, battant le chef de l’État sortant Valéry Giscard d’Estaing et ramenant la gauche au pouvoir pour la première fois depuis la Quatrième République. En 1981, François Mitterrand est élu avec un programme de réformes de grande envergure, le Programme commun. Après s’être assuré une majorité au parlement à l’issue des élections législatives de la même année, son gouvernement mena un programme de réformes économiques et sociales. En 1983, la forte inflation et la crise économique menent à un revirement de la politique économique, connue sous le terme de « tournant de la rigueur » – le gouvernement de gauche s’est alors engagé dans des réformes de politique fiscale et de contrôle des dépenses, et de privatisation des principales banques françaises. Bien que la majorité des nationalisations aient été annulées dès 1984, ou par les gouvernements suivants (de gauche comme de droite), les réformes sociales entreprises ont été maintenues. En politique, le Parti communiste français entame un long déclin, tandis que le Front national constitue, à l’extrême-droite, une nouvelle force[3]. Après deux années de cohabitation durant lesquelles il doit travailler avec Jacques Chirac comme premier ministre, François Mitterrand est réélu en 1988 face à ce dernier. La persistance de problèmes sociaux, et notamment du chômage, entraînent en 1993 une nouvelle cohabitation, avec Édouard Balladur comme premier ministre.

Ayant succédé à François Mitterrand en 1995, Jacques Chirac est confronté aux mêmes problèmes avant d’être lui-même contraint de cohabiter, durant cinq ans, avec Lionel Jospin comme premier ministre. En 2002, Jacques Chirac est réélu face à Jean-Marie Le Pen, après un premier tour qui aura vu l’élimination surprise de Lionel Jospin. En 2007, Nicolas Sarkozy succède à Jacques Chirac, après avoir battu Ségolène Royal lors de l’élection présidentielle. Il doit faire face à la crise financière de 2007-2008 venue des États-Unis.

En mai 2012, François Hollande succède à Nicolas Sarkozy. Pour la deuxième fois dans l’histoire de la Cinquième République, un président socialiste est élu. En mai 2017, Emmanuel Macron, le plus jeune président de la République et le plus jeune dirigeant français depuis Napoléon Bonaparte, succède à François Hollande. Il est réélu en 2022, mais dans un contexte de tensions et d’abstention croissante.

La fin de la guerre d’Algérie et les débuts de la Cinquième République[modifier | modifier le code]

À la suite de la crise de mai 1958 et du putsch du 13 mai à Alger, le gouvernement de la Quatrième République se résout à faire appel au général de Gaulle.

Où est enterré Jean-edern Hallier ?

« Essais Doc », (1) 2005, 132 p. (ISBN 978-2-226-15996-0 et 2226159967).

  • Dominique Lacout et Christian Lançon, La mise à mort de Jean-Edern Hallier, Paris, Presses de la Renaissance, 16 novembre 2006, 426 p. (ISBN 978-2-7509-0220-9 et 2750902207).
  • Anthony Palou, Allô, c’est Jean-Edern… : Hallier sur écoutes, Neuilly-sur-Seine, M. Lafon, 11 janvier 2007, 166 p. (ISBN 978-2-7499-0588-4 et 2749905885).
  • Jean-Pierre Thiollet, Carré d’art : Barbey d’Aurevilly, Byron, Dali, Hallier, Croissy-sur-Seine, Anagramme éditions, 1er janvier 2008, 317 p. (ISBN 978-2-35035-189-6).
  • Jean-Pierre Thiollet, Hallier, l’Edernel jeune homme, Paris, Neva Éditions, 1er septembre 2016, 284 p. (ISBN 978-2-35055-217-0).
  • Jean-Claude Lamy, Jean-Edern Hallier, l’idiot insaisissable, Albin Michel, 2 janvier 2017, 608 p. (ISBN 978-2226319975) et (ISBN 2226319972).
  • Jean-Pierre Thiollet, Hallier ou l’Edernité en marche, Paris, Neva Éditions, 30 octobre 2018, 288 p. (ISBN 978-2-35055-247-7).
  • Jean-Pierre Thiollet, Hallier : Edernellement vôtre, Paris, Neva Éditions, 18 novembre 2019, 368 p. (ISBN 978-2-35055-273-6).
  • Jean-Pierre Thiollet, Hallier : L’Homme debout, Paris, Neva Éditions, 31 octobre 2020, 352 p. (ISBN 978-2-35055-285-9).
  • Jean-Pierre Thiollet, Hallier : L’Edernel retour, Paris, Neva Éditions, novembre 2021, 332 p. (ISBN 978-2-35055-295-8).
  • Jean-Pierre Thiollet, Hallier : en roue libre, Paris, Neva Éditions, 25 novembre 2022, 360 p. (ISBN 978-2-35055-305-4).
    1. ↑ Un bâtiment partiellement du XIIIe siècle, dit château de La Boissière (48° 05′ 34′′ N, 3° 59′ 23′′ O ), acquis et profondément transformé au XIXe siècle par le grand-père de Jean-Edern Hallier, le général Henri Hallier (1866-1956). Cf. [1].
    2. ↑ Jean-Claude Lamy, Jean-Edern Hallier, l’idiot insaisissable, Albin Michel, 11/01/2017
    3. ↑ a b et c Jean-Claude Lamy, Jean-Edern Hallier, l’idiot insaisissable, Paris, Albin Michel, 2016.
    4. ↑ Jean-René Huguenin, Journal (1955-1962), préfacé par François Mauriac, Paris, Le Seuil, 1964.
    5. ↑ a et b Antoine de Gaudemar, « Les numéros de Tel Quel », Libération,‎ 6 avril 1995 (lire en ligne [archive du 17 août 2013] Accès libre)
    6. ↑ a et b , Who’s Who in France, Édition 1996-1997 ; Jean-Pierre Thiollet, Carré d’Art : Byron, Barbey d’Aurevilly, Dali, Hallier, Anagramme éditions, 2008, p. 218.
    7. ↑ Article paru dans France-Observateur en 1963, repris, modifié, dans J.-E. Hallier, Chaque matin que se lève est une leçon de courage, Paris, Albin Michel, 1978.
    8. ↑ cf. « J’accuse », Le Monde, 5 mai 1971.
    9. ↑ En ouverture du livre, une « note de l’éditeur » précise : « Les Éditions Libres-Hallier ne soutiennent évidemment pas les idées de la Nouvelle Droite, dont l’un des hérauts, Alain de Benoist, s’exprime ici. Les Éditions Libres-Hallier sont d’abord libres. Un débat est ouvert. Il serait suicidaire pour la gauche — ancienne ou nouvelle — de ne pas l’affronter en connaissance de cause. C’est la raison de la publication de ce livre. » Au sujet des rapports entre Alain de Benoist et Jean-Edern Hallier, cf. « Sur Jean-Edern Hallier et l’« Idiot international » ».
    10. La Cause des Peuples.

    Qui occupe actuellement le château de Souzy-la-briche ?

    Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

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    Le château et domaine de Souzy-la Briche est une résidence de villégiature de la République française. Elle est située dans la commune française de Souzy-la-Briche, dans le département de l’Essonne et la région Île-de-France. Anciennement affecté au président de la République, il est mis en 2007 à l’usage du Premier ministre français.

    Le domaine est situé en bordure du village de Souzy-la-Briche avec une entrée principale entre la Grande rue et la rue des Roches. Ce village se situe dans la région du Hurepoix, à 39 km au sud-ouest de Paris, entre Étampes et Arpajon.

    C’est la plus récente résidence présidentielle puisqu’elle a été léguée en héritage en 1972 par le banquier Jean-Jacques Simon et sa femme Renée à l’usage du Premier ministre, à charge pour l’État d’entretenir leurs sépultures et d’affecter le lieu « à la plus haute autorité de l’exécutif »[1].

    Initialement, les époux Simon souhaitaient que la demeure soit attribuée au Premier ministre ; de nouvelles dispositions testamentaires en 1972, acceptées par l’État en 1974, indiquent que la demeure doit être affectée au président de la République.

    Château de Souzy-la-Briche
    Propriétaire actuel République française
    Destination actuelle Résidence secondaire du Premier ministre français
    Coordonnées 48° 31′ 38″ nord, 2° 08′ 49″ est
    Pays France

    Qui est enterré à Perros-guirec ?

  • Laënnec, le médecin inventeur du stéthoscope, est enterré à Ploaré, à Douarnenez.
  • La tombe de Glenmor, le poète, se trouve au cimetière de Maël-Carhaix.
  • Le producteur de télévision Pierre Tchernia repose à Névez, auprès de son épouse. Il possédait une maison dans cette commune proche de Concarneau
  • La stèle en hommage à Edouard Leclerc se trouve à Landerneau. Il avait fondé les supermarchés du même nom, c’est là que se trouve la maison où il a ouvert sa première épicerie.
  • Le polémiste Jean Edern Hallier repose à Edern, une place porte d’ailleurs son nom dans la ville finistérienne.
  • Morbihan

    • Philippe de Broca, réalisateur de l’homme de Rio, est inhumé dans la commune de Sauzon à Belle-Île.
    • La sépulture de la Comtesse de Ségur, illustre auteur de livres pour enfants, se trouve à Plunéret, près d’Auray.
    • A La Gacilly, on trouve aussi la sépulture d’Yves Rocher. Le géant de la cosmétique avait promis de faire prospérer la commune, on y trouve aussi son musée.

    Côtes d’Armor

    • La sépulture de l’humoriste Thierry Le Luron se trouve à Perros-Guirec.
    • Le journaliste et présentateur télé Roger Gicquel est inhumé à Plouër-sur-Rance.

    Qui est enterré sur l’île de Saint-Malo ?

    Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

    Le tombeau de Chateaubriand est le tombeau où est enterré François-René de Chateaubriand, célèbre écrivain français né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848. Il est situé sur l’îlot du Grand Bé (presqu’île accessible à marée basse), à Saint-Malo, sa ville natale. Le tombeau est classé au titre des monuments historiques depuis 1954[2].

    Le tombeau avec en arrière-plan le Fort national et Saint-Malo

    C’est selon son vœu qu’après sa mort, le 4 juillet 1848 à Paris, Chateaubriand est enterré sur l’îlot du Grand Bé, près du bord de la falaise et éternellement tourné vers la mer et la tempête dont, dit-il, « le bruit berça mon premier sommeil »[3].

    Chateaubriand recherche en fait une petite île afin de se faire enterrer depuis 1823, comme il a pu l’écrire à cette époque à l’un de ses amis. À la veille de ses 60 ans, en 1828, il fait passer une demande au maire de Saint-Malo afin que lui soit concédée « la pointe occidentale du Grand Bey ».

    Où est enterré Jean Teulé ?

    Cela a été un choc pour ses proches : Jean Teulé est décédé le 18 octobre dernier. Âgé de 69 ans, il aurait succombé des suites d’un arrêt cardio-respiratoire consécutif à une intoxication alimentaire. Une enquête a été ouverte après ce décès. Le corps de l’écrivain a fait l’objet d’une autopsie pour éclaircir les causes de sa mort. Près de trois semaines après sa mort, le corps de l’écrivain a été rendu à sa famille. Selon une information révélée par Voici, les obsèques du compagnon de Miou-Miou se seraient déroulées ce mercredi 9 novembre dans l’après-midi. Il aurait été inhumé au cimetière Montmartre à Paris. Sa famille et quelques amis proches auraient été présents. Ces derniers se seraient ensuite rassemblés dans un restaurant du quartier du Marais.

    Après la mort de Jean Teulé, le médecin venu constater la mort avait ainsi refusé de délivrer le permis d’inhumer. Le 15 octobre, quelques jours avant la mort de l’écrivain, ce dernier et sa compagne, la comédienne Miou-Miou, avaient passé la soirée dans un restaurant du Marais où ils ont leurs habitudes. Selon Paris Match, Jean Teulé aurait commandé des boulettes de viande.

    Qui est le propriétaire du château de Groussay ?

    Sous le marteau des commissaires priseurs, près de 2 000 lots, décrits dans un catalogue de quatre volumes, sont dispersés.

    Mais heureusement, la belle histoire de Groussay ne se termine pas pour autant… C’est un homme de télévision bien connu, Jean-Louis Remilleux, qui se porte acquéreur du château. Passionné depuis longtemps de pièces rares, il s’attache à meubler de ses collections personnelles les vides laissés par la dispersion des biens. Habitué des salles de ventes, il rachète des éléments éparpillés, retrouve les photos de Cecil Beaton, les aquarelles d’Alexandre Serebriakoff. Le lieu reprend vie.

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    Se sentant avant tout dépositaire de Groussay, Jean-Louis Remilleux s’efforce également d’en être le « passeur », en ouvrant le château et son parc au public en 2000. Il fait ainsi en sorte que le rêve se poursuive et que le bon plaisir de Charles de Beistegui devienne aussi le nôtre.

    Reportage réalisé par Lucile Oliver. Photos de Philippe Louzon.

    Qui est le plus grand château de France ?

    Le château de Versailles

    le parc du château s’étend sur 815 hectares (contre plus de 8 000 avant la Révolution), dont 93 sont dédiés aux jardins ; avec ses 2 300 pièces étalées sur 63 200 m², le château de Versailles est le plus grand du monde !

    Qui est le propriétaire du château de Cassis ?

    En 1524 l’empereur du Saint-Empire romain germanique Charles Quint fait détruire le château et met la cité à feu et à sang.

    À la fin du XVIIe siècle le comte de Grignan, gouverneur adjoint de la province, renforce les défenses du château et y fait installer de nouveaux canons d’artillerie.

    Au XVIIIe siècle Cassis s’étend au-delà de ses remparts, et se développe autour du port. Le 10 février 1794, le jeune général Bonaparte fait une halte historique au château pour inspecter les batteries militaires de l’armée française, qui seront détruites le 17 avril 1813 par un commando de la Royal Navy.

    En 1896 l’administration des domaines vend le château à un buraliste de Saint-Cyr-sur-Mer. Il appartient à la famille Michelin durant 35 ans. L’actuel propriétaire fait entièrement rénover le château en ruine, en hôtel-restaurant provençal de luxe, avec vue sur le port de Cassis, la baie, et le vignoble.

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    Comment s’appelle la maîtresse de François Mitterrand ?

    Ainsi, c’est par un communiqué officiel de l’Elysée qu’elle apprend que François Mitterrand a été opéré d’un cancer en septembre 1992. Quelques mois plus tard, elle découvre dans la presse l’existence d’Anne Pingeot, sa maitresse depuis 1963… Puis, en 1994, celle de Mazarine, « la fille cachée » du chef de l’Etat. Elle s’emporte, avale des couleuvres, mais reste finalement. « Anne a été son grand amour », analyse-t-elle calmement aujourd’hui, toujours selon les bonnes feuilles publiées par Le Monde.

    Claire supporte les caprices puis le déclin d’un chef de l’État rongé par la maladie. Elle l’accompagne lors de ses derniers déplacements et est auprès de lui la veille de son départ de l’Élysée. Elle y partage bien malgré elle un repas lunaire avec Danielle, la femme du président qui s’invite à la table sans piper mot au sujet de la présence de la jeune femme. Le 17 mai 1995, François Mitterrand laisse l’Élysée à Jacques Chirac. Il s’éteint moins de huit mois plus tard, le 8 janvier 1996. Claire a presque 30 ans.

    Qui a été l’amant de Daniel Mitterrand ?

    Elle a bravé l’interdit. Dans les années 1960, alors que François Mitterrand flirtait déjà avec les plus hautes sphères, lieu de résidence estivale de François et Danielle Mitterrand (disparue il y a onze ans, en ce mardi 22 novembre, ndlr). Rapidement, celui qui était alors Premier secrétaire du Parti socialiste s’est rendu compte des regards langoureux de sa femme lancés à cet homme, qui occupait une place de choix au sein de la famille mais aussi dans la vie du couple politique.  » La famille et les proches voient apparaître un beau brun, pas très grand mais athlétique, épaules larges, ventre plat, muscles saillants, sourire sympathique « , racontait Robert Schneider dans son livre Premières Dames, publié en 2014.

    En plus de son physique attrayant, l’homme a un pedigree impressionnant : « Il est professeur de gymnastique, membre organisateur du CLAN, le Club des Loisirs Alpins et Nautiques. L’hiver, il est moniteur de ski », a écrit l’auteur. Alors, Danielle Mitterrand est vite tombée sous le charme de cet homme, un fameux « Jean », régulièrement invité à la table de la famille.

    Qui fut le dernier Premier ministre de François Mitterrand ?

    Revue d’histoire, no 7,‎ juillet 1985, p. 178 (ISSN 0294-1759, DOI 10.2307/3769948)

  • ↑ Jacques Amalric, « Chirac délivré du sortilège Mitterrand », sur Libération.fr, 8 mai 1995 (consulté le 18 mars 2020)
  • ↑ Pierre Favier, La décennie Mitterrand. 2, Les épreuves : 1984-1988, Editions Points, dl 2016, cop. 1991 (ISBN 978-2-7578-5799-1 et 2-7578-5799-1, OCLC 941084320)
  • ↑ Pierre Favier, La décennie Mitterrand. 3, Les Défis (1988-1991), Editions du Seuil, 1996 (ISBN 2-02-019103-2 et 978-2-02-019103-6, OCLC 36098707)
  • ↑ « Biographie : Michel Rocard, ex-Premier ministre et théoricien de la « deuxième gauche » », sur Outre-mer la 1ère (consulté le 18 mars 2020)
  • ↑ « Michel Rocard, trois ans au pouvoir », sur Les Echos, 4 juillet 2016 (consulté le 18 mars 2020)
  • ↑ « Michel Rocard et François Mitterrand, deux frères ennemis », sur Europe 1 (consulté le 18 mars 2020)
  • ↑ Michel Martin-Roland, La décennie Mitterrand, Seuil, ©1990-©1999 (ISBN 2-02-014427-1, 978-2-02-014427-8 et 2-02-010329-X, OCLC 23766971, lire en ligne)
  • ↑ a b c et d Pierre Favier, La décennie Mitterrand. 4, Les déchirements (1991-1995), Ed. du Seuil, 1999 (ISBN 2-02-029374-9, 978-2-02-029374-7 et 2-02-014427-1, OCLC 41340549)
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  • ↑ « Pourquoi Emmanuel Macron a-t-il choisi Jean Castex pour Matignon ?
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