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Claude Nicolas Veil Cause Deces?

by Marine Lamiaux

Pierre-François Veil naît le 16 mars 1954 à Clichy (Hauts-de-Seine, Île-de-France) d’Antoine Veil (1926-2013) et de Simone Veil (1927-2017). Il a deux frères : Jean Veil qui est avocat, et Claude-Nicolas Veil, médecin et décédé en 2002 d’une crise cardiaque à l’âge de 54 ans.

Comment est morte Denise la sœur de Simone Veil ?

  • ↑ a b c d e f et g Marie Rameau, Denise Vernay in Des femmes en résistance 1939-1945, Autrement Editions, 2008 (ISBN 978-2-7467-1112-9), p. 54 – 61.
  • ↑ a b et c « Denise Vernay, mémoire de la déportation :: Florentine et Jean Sueur », sur florentinejeansueur.webnode.fr (consulté le 5 novembre 2020).
  • ↑ a b c d e f et g « « Une jeune résistante face à la répression » – entretien avec Denise Vernay réalisé par Aleth Briat et Pierre Kerleroux », Historiens & Géographes, n°413,‎ janvier – février 2011, p. 27 à 31.
  • ↑ Meaux 2020, p. 12.
  • ↑ Simone Veil et David Teboul, L’Aube à Birkenau, Paris, Les Arènes, 2019, 300 p. (ISBN 979-10-375-0090-8), p. 63.
  • ↑ a b c d e f et g « Le Point – Décès de Denise Vernay, résistante et déportée », sur Le Point, 6 mars 2013 (consulté le 30 octobre 2014).
  • ↑ a b c d et e Jeannine Guidollet, « Denise Vernay-Jacob », sur fondationresistance.org, Fondation de la Résistance, novembre 2016 (consulté le 25 juin 2019).
  • ↑ a et b « Mort de la résistante Denise Vernay », sur Libération, 6 mars 2013 (consulté le 30 octobre 2014).
  • ↑ « Témoignage de Denise Vernay », Debrouillum Tibi, bulletin de Association des anciennes de la Fédération française des éclaireuses, no 38,‎ 1990.
  • ↑ « Noëlla Rouget, la déportée qui a fait gracier son bourreau », sur www.franceinter.fr (consulté le 8 novembre 2020).
  • ↑ a et b Jeannine Guidollet, « Denise Vernay-Jacob », sur fondationresistance.org, novembre 2016 (consulté le 9 juin 2018).
  • Qui est Milo dans le film Simone ?

    Simone Veil s’est éteinte le vendredi 30 juin 2017 à l’âge de 89 ans. L’ex ministre et académicienne sera inhumée au Panthéon le 1er juillet 2018 avec son époux. Retour sur un épisode tragique, parmi d’autres, de la vie de cette grande dame. Une histoire intime, bouleversante…

    Elle l’appelait ‘Milou’. Elle se prénommait Madeleine. C’était la grande sœur de Simone Jacob, devenue Simone Veil. Ensemble, elles étaient rentrées vivantes d’Auschwitz-Birkenau, en mai 1945. Un enfer où elles avaient laissé mère, père et frère. Tous partis en cendres et en fumée. Seule, leur autre sœur Denise, résistante, devrait les rejoindre dans le Paris de l’après-guerre. Une France où il fallait se reconstruire et non pas regarder en arrière. Sous peine de sombrer.

    D’autant que les Français ne voulaient pas entendre les histoires insupportables des rescapés du nazisme. Simone, bachelière, étudiante en droit et en sciences politiques, bientôt mariée à Antoine Veil, future inspecteur des finances et chef d’entreprises, a le goût de la vie. Malgré la tragédie ineffaçable de la guerre. Une femme a joué un rôle dans cette résilience. C’est Madeleine qui, pour Simone, a fait office de seconde mère. C’est parce qu’elles étaient soudées qu’elles ont pu tenir dans un lieu de mort où elles aurait dû, logiquement, rester.

    Quand Simone Veil a été libérée ?

    Lorsque Simone Veil évoque son expérience personnelle en 1995 sur le plateau du journal télévisé de France 2 à l’occasion du 50e anniversaire de la « libération » des camps, les Marches de la mort sont donc encore très mal connues. Arrêtée à Nice en mars 1944 avec sa famille, Simone Jacob est déportée à Auschwitz-Birkenau par le convoi n° 71 du 13 avril 1944. À son arrivée au camp, alors qu’elle n’a que 16 ans, un prisonnier parlant français lui conseille de se dire âgée de 18 ans pour passer la sélection et éviter l’extermination. Elle est mutée dans une annexe d’Auschwitz, le camp de Bobrek, où les détenus se livrent à des travaux forcés consistant à décharger des camions d’énormes blocs de pierre ou à creuser des tranchées. Elle est évacuée de Bobrek le 18 janvier 1945 alors que l’Armée rouge se rapproche des différents camps qui forment le complexe d’Auschwitz-Birkenau. Avec les autres prisonniers, elle est forcée à marcher à pied dans la neige et le froid pendant 70 kilomètres jusqu’à Gleiwitz avant d’être transférée en train jusqu’au camp de Dora puis jusqu’à Bergen-Belsen. Le voyage en train dure huit jours au cours desquels les prisonniers ne reçoivent ni eau (sauf la neige fondue au fond de leur gamelle) ni nourriture. Si Simone Jacob survit à cette marche, sa mère contracte le typhus et meurt en mars à Bergen-Belsen.

    Sur le plateau de France 2, Simone Veil est accompagnée du responsable syndical Henri Krasucki qui a lui aussi connu la déportation à Auschwitz et, en janvier 1945, la Marche de la mort des évacués d’Auschwitz vers Buchenwald.

    Quelles sont les premières actions de résistance de Denise Vernay ?

    Au début de septembre 1943 Denise participe à un camp de cheftaines au sein du mouvement scout des Eclaireuses. Elle suit le conseil de son père de ne pas retourner à Nice dans sa famille : elle rejoint une amie cheftaine dans l’Isère.

    Parcours de résistante

    En cet automne 1943, à 19 ans, Denise, qui a reçu chez les éclaireuses le nom totémique de « Miarka », est accueillie d’abord chez cette camarade à Saint-Marcellin en Isère et rencontre un ami qui lui propose de se rendre à Lyon en tant qu’agent de liaison de la Résistance. Dès lors, elle plonge dans la clandestinité et devient sous le nom de « Miarka » agent de liaison du mouvement Franc-tireur. A bicyclette, elle glisse du courrier clandestin dans les boites aux lettres. En février 44, elle est depuis 7 mois à Lyon et on lui conseille, par prudence, de quitter cette ville : le 18 mars 1944, elle retourne à Nice où elle retrouve ses parents pour les 21 ans de sa sœur Madeleine. Ce fut sa dernière réunion de famille, car son père, sa mère, son frère et ses deux sœurs seront arrêtés, parce que juifs, dix jours plus tard et dirigés sur Drancy puis Auschwitz-Birkenau. Miarka revient à Lyon et se met entièrement au service du mouvement « Franc-tireur ».

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    À l’origine de ce mouvement, né à Lyon en 1941, se trouvent de petits cercles d’hommes venus d’horizons divers qui, peu à peu, se rejoignent pour former, dès novembre 1940, une équipe qui s’intitule d’abord « France-Liberté ». Jean-Pierre Lévy arrivé à Lyon fin 1940 crée un journal clandestin autour duquel se greffe le mouvement de résistance qui va prendre le nom de « Franc-tireur » en décembre 1941 et devient l’un des trois grands de la zone sud : Franc-tireur, Combat et Libération qui, à leur tour, fusionnent pour former les Mouvements Unis de Résistance (les MUR) appelés à coordonner la Résistance de toute la région. La direction régionale des MUR avait besoin d’un agent de liaison à Annecy pour la Haute-Savoie : « Miarka », dont le nom de guerre lyonnais devient « Annie », se porte volontaire pour cette mission au printemps 1944.

    Or, c’est la période où la Résistance Haut-Savoyarde doit reconstituer ses forces après les tragiques événements du Plateau des Glières que les maquisards ont été forcés d’abandonner devant l’attaque, le 26 mars, de la 157è division de la Wehrmacht appuyée par les forces de Vichy. À Annecy, Georges Guidollet (Ostier) est chargé depuis le mois de janvier, de maintenir les contacts avec la direction régionale des MUR. Par ailleurs, le représentant de la France Libre en Haute-Savoie, au moment des événements des Glières, Jean Rosenthal (Cantinier), vient d’aller à Londres pour à la fois rendre compte de la situation et demander de nouveaux parachutages d’armes.

    Quel métier faisait le père de Simone Veil ?

    Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

    André Jacob est un architecte français, né le 31 janvier 1891 dans le 9e arrondissement de Paris et mort en déportation le 10 avril 1944, à Kaunas.

    D’une famille juive de souche lorraine, il est le père de la ministre Simone Veil et de la résistante Denise Vernay.

    André Jacob naît le 31 janvier 1891 dans le 9e arrondissement de Paris[1],[2],[3]. Son père Edmond Jacob, né à Reims en 1852, est caissier et comptable à la Compagnie parisienne de gaz, tandis que son grand-père Jacques Jacob (1814-1882) est boucher négociant en moutons à la suite de son père, puis marchand de biens immobiliers, marié à Minette Worms, fille d’Elias Worms (1777-1861), chantre de la synagogue de Metz[4]. Sa mère Mathilde Schnerb (1857-1929) est fille de Simon Schnerb un fourreur tchèque qui était devenu bijoutier.

    Après des études secondaires à Paris au lycée Rollin[5], il est admis à la section architecture de l’École des beaux-arts, dans l’atelier de Gustave Umbdenstock et d’Henri Deglane, ses études sont interrompues par la Première Guerre mondiale au cours de laquelle il est fait prisonnier le 8 septembre 1914 à Maubeuge et interné en Allemagne, d’où il rentre, après plus de quatre ans de captivité, le 17 mars 1919[6],[7],[8].

    Pourquoi Simone Veil a survécu ?

    Simone Veil revient de loin. Fille d’un architecte juif, elle a été arrêtée à Nice par la Gestapo le lendemain des épreuves de son bac, à 16 ans, en juin 1944. Elle vivait alors sous un faux nom, avec une fausse carte d’identité, chez un professeur, de peur qu’une rafle n’emporte toute sa famille. Ils seront tous arrêtés. Sa mère, sa sœur aînée Milou et elle sont déportées à Auschwitz où elle devient le chef de famille, celle qui les protège, qui améliore l’ordinaire, qui travaille. « Il faut être un peu dur pour s’en sortir dans les camps, elles ne l’étaient pas assez », racontera sobrement Simone Veil en 1977.

    Comment Simone Veil a survécu à Auschwitz ?

    Lorsque Simone Veil évoque son expérience personnelle en 1995 sur le plateau du journal télévisé de France 2 à l’occasion du 50e anniversaire de la « libération » des camps, les Marches de la mort sont donc encore très mal connues. Arrêtée à Nice en mars 1944 avec sa famille, Simone Jacob est déportée à Auschwitz-Birkenau par le convoi n° 71 du 13 avril 1944. À son arrivée au camp, alors qu’elle n’a que 16 ans, un prisonnier parlant français lui conseille de se dire âgée de 18 ans pour passer la sélection et éviter l’extermination. Elle est mutée dans une annexe d’Auschwitz, le camp de Bobrek, où les détenus se livrent à des travaux forcés consistant à décharger des camions d’énormes blocs de pierre ou à creuser des tranchées. Elle est évacuée de Bobrek le 18 janvier 1945 alors que l’Armée rouge se rapproche des différents camps qui forment le complexe d’Auschwitz-Birkenau. Avec les autres prisonniers, elle est forcée à marcher à pied dans la neige et le froid pendant 70 kilomètres jusqu’à Gleiwitz avant d’être transférée en train jusqu’au camp de Dora puis jusqu’à Bergen-Belsen. Le voyage en train dure huit jours au cours desquels les prisonniers ne reçoivent ni eau (sauf la neige fondue au fond de leur gamelle) ni nourriture. Si Simone Jacob survit à cette marche, sa mère contracte le typhus et meurt en mars à Bergen-Belsen.

    A LIRE  Pourquoi il ne faut pas courir après son ex ?

    Sur le plateau de France 2, Simone Veil est accompagnée du responsable syndical Henri Krasucki qui a lui aussi connu la déportation à Auschwitz et, en janvier 1945, la Marche de la mort des évacués d’Auschwitz vers Buchenwald.

    Quel membre de sa famille alors qu’il n’avait que 12 ans s’est retrouvé déporté à Auschwitz ?

    Ils m’ont fait aussi participer à des combats de boxe avec d’autres déportés : évidemment, contre des plus grands que moi, ils étaient tous plus grands.

    Éternité.

    Je n’avais pas le droit à la moindre faiblesse. Il fallait se lever à 4 heures du matin, attendre des heures dans le froid. Je hurlais de froid, de faim, de solitude. Le temps était interminable. Auschwitz a été pour moi l’éternité. Aujourd’hui, je me demande ce qui me rattachait à la vie. Peut-être cette fumée qui sortait par les cheminées. L’odeur de chair brûlée me rappelait sans cesse ce qui m’attendait. Non, je ne passerai pas par là, je me répétais. Je pensais à l’après, je voulais avoir une belle vie, une très belle vie, après Auschwitz, ce n’est pas possible d’avoir une vie médiocre.

    J’étais un enfant par l’âge, mais je ne ­pouvais pas être enfant, je ne pouvais plus l’être. Je ne me considérais pas comme un enfant, je voulais devenir adulte, personne ne me prenait au sérieux, je voulais avoir mon mot à dire, j’aurais tellement voulu agir, être armé, avoir une armée. Je ne comprenais pas pourquoi le monde laissait faire de tels actes. N’avoir personne qui vous écoute, il n’y a pas pire souffrance. Mais je m’étais blindé. La douleur endurcit. La douleur vieillit. Parfois, je me croyais plus adulte et je prenais les adultes pour des enfants. J’aidais les déportés. J’avais plaisir à les aider. Quand ils étaient punis et qu’on les mettait à 50 centimètres des barbelés, je les reculais. On me ­demandait de les gifler pour qu’ils ­tombent contre les barbelés, mais je ­faisais semblant. Si je les giflais, ils pouvaient tomber et ils mouraient. Eux aussi, ils m’aidaient. Ils me soutenaient avec leurs regards. Quand ils me voyaient, ils perdaient leurs yeux égarés. J’étais un exemple pour eux. Si j’y arrivais avec mes 12 ans, alors eux aussi pouvaient y arriver. C’était pareil, plus tard, lors des marches de la mort. Je disais parfois : « Si je peux marcher, marchez ! »C’était facile à dire, bien sûr. Certains n’en pouvaient plus, ils ne pouvaient plus bouger et les Allemands venaient les ­achever.

    Un jour, à Auschwitz, j’ai réussi à avoir un petit kilo de sucre. C’était énorme, là-bas. Il ne m’a pas porté chance, ce sucre. D’habitude, je ne ­stockais rien, le frigidaire, c’était mon ventre, mais que faire avec ce kilo de sucre ? J’en ai mangé un tout petit peu, mais un jour, il y a eu des fouilles et un SS a trouvé le paquet sous mon châlit. « Qu’est-ce qu’il y a dans le sucre ? », m’a-t-il demandé. Je n’en savais rien. J’ai reçu vingt-cinq coups de bâton. Il a arrêté quand le bâton s’est cassé. Puis il a déchiré le paquet : il y avait une montre. Je ne l’avais même pas vue. J’ai mis plusieurs jours à m’en remettre.

    Où se situe le camp de concentration Auschwitz ?

    Au sud de la Pologne, à 70 kms de Cracovie, le plus grand camp de concentration et d’extermination existant durant la Seconde Guerre Mondiale reste un avertissement bouleversant. Symbole de l’Holocauste Juif, Le Musée National d’Auschwitz-Birkenau est un lieu universel de mémoire et de recueillement.

    Les plus grands camps d’extermination hitlériens dans les territoires occupés d’Europe, où étaient réalisés les plans d’anéantissement de peuples entiers, principalement des Juifs et des Polonais. Le nombre de victimes est difficilement évaluable : il s’élève très probablement à environ 1 100 000 êtres humains de 28 nationalités.

    Auschwitz est pour le monde entier le symbole de la guerre, de la terreur, du génocide et de la Shoah. Le camp a été créé par les Allemands sur le territoire de la ville occupée d’Oświęcim pour les prisonniers politiques polonais. Une première vague de transport y arrive de la prison de Tarnów le 14 juin 1940. Au cours des années suivantes, le camp s’agrandit et se compose de trois parties principales : Auschwitz I, Auschwitz II-Birkenau, Auschwitz III-Monowitz et de près de 50 camps annexes.

    Qui sont Primo Levi et Simone Veil ?

    Ils s’appellent Anne Frank, Primo Levi, Henri Borlant, Simone Veil, ou encore Elie Wiesel. Ils ont connu l’horreur avant de devenir de grands noms associés à l’histoire des camps d’Au- schwitz-Birkenau. Les portes se sont ouvertes par un terrible jour d’hiver, le 27 janvier 1945. C’était il y a 70 ans. À travers les bouleversants et précieux témoignages des survivants, le monde entier a découvert ce qu’était la « barbarie nazie ». Décryptage avec l’historienne Annette Wieviorka, spécialiste de la Shoah et de l’histoire des juifs.

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    Le choc de la découverte

    « C’est par hasard que des avant-gardes de l’Armée rouge découvrent les camps d’Auschwitz-Birkenau, dans la campagne polonaise, alors qu’il n’y avait quasiment plus personne. Plus tôt, les nazis avaient embarqué avec eux la plupart des prisonniers dans la “marche de la mort”. Sur place, le 27 janvier 1945, les Soviétiques ne découvrent donc que 7 000 survivants à bout de forces, des baraques, des monceaux d’objets, vêtements, valises, prothèses, et les ruines des crématoires dans les chambres à gaz. Personne ne prend la mesure de ce qui se passe », explique Annette Wieviorka.

    Quelle est la religion de la famille de Simone Veil ?

    , Simone Weil, le grand passage, Paris, Albin Michel, 2006.

  • François L’Yvonnet, Simone Weil, Porfolio, ADPF, Ministère des Affaires étrangères, Paris, 2000.
  • Ivo Malan (Thèse de doctorat parue aux États-Unis en 1956), L’Enracinement de Simone Weil : Essai d’interprétation, Paris, Didier, 1956
  • Jean-Marie Muller, Simone Weil : l’exigence de non-violence, Desclée de Brouwer, 1995.
  • Danielle Netter, Simone Weil : naissance d’une vocation, Paris, Riveneuve, 2015, 127 p.
  • (en) Thomas R. Nevin, Simone Weil : Portrait of a Self-exiled Jew, The University of North Carolina Press, 1991 (lire en ligne)
  • Joseph-Marie Perrin et Gustave Thibon, Simone Weil telle que nous l’avons connue, Paris, La Colombe, 1952.
  • Simone Pétrement, La Vie de Simone Weil, Paris, Fayard, 1973 (réimpr. 1997)
  • Eulalie Piccard, Simone Weil : Essai biographique et critique suivi d’une anthologie raisonnée des œuvres de Simone Weil, Paris, P.U.F., 1960 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Christiane Rancé, Simone Weil : Le Courage de l’Impossible, Paris, 2014, 256 p.
  • Fernando Rey Puente, Simone Weil et la Grèce, Paris, L’Harmattan, 2007, 248 p. (ISBN 978-2-296-04007-6, lire en ligne)
  • (it) Guia Risari, Il taccuino di Simone Weil, Palermo, Rueballu, 2014.
  • Philippe de Saint Robert, La Vision tragique de Simone Weil, Paris, Éditions François-Xavier de Guibert, 1999.
  • Bertrand Saint-Sernin, L’action politique selon Simone Weil, Paris, Le Cerf, 1988.
  • (de) Giorgia Sogos Wiquel, Simone Weil. Private Überlegungen, Bonn, Free Pen Verlag 2022, (ISBN 978-3-945177-95-2).
  • Martin Steffens, Prier 15 jours avec Simone Weil, Nouvelle cité, 2009.
  • Nadia Taïbi, Simone Weil et notre temps. Philosopher, penser, résister, Éditions M-Editer, 2019.
  • Nadia Taïbi, La philosophie au travail. L’expérience ouvrière de Simone Weil, collection Ouverture philosophique, L’Harmattan, 2009.
  • Jean-François Thomas, Simone Weil et Edith Stein : malheur et souffrance, préf. de Gustave Thibon, Namur, Culture et Vérité, 1992
  • Miklós Vető, La Métaphysique religieuse de Simone Weil, Paris, L’Harmattan, 2016 (réimpr. 1997, 2014), 3e éd. (1re éd. 1971), 204 p. (ISBN 978-2-343-03220-7, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Sylvie Weil, Chez les Weil : André et Simone, Libretto, 2013 (1re éd. 2009), 224 p.
  • Les Cahiers Simone Weil, revue trimestrielle publiée par l’Association pour l’étude de la pensée de Simone Weil
  • Pascal David, « Simone Weil, vivre pour la vérité », in Esprit & Vie, Paris, Éditions du Cerf, n° 195, juin 2008.
  • Alain Dreyfus, Simone Weil, l’incandescente, Marianne, 28 février 2014, et Simone Weil, celle qui a fasciné Jacques Julliard
  • Emmanuel Gabellieri et François L’Yvonnet (dir.), Cahier Simone Weil, Paris, L’Herne, 2014.
  • Emmanuel Gabellieri, « Simone Weil, la source grecque et le christianisme », Études, no 394,‎ mai 2001, p. 641-652 (lire en ligne) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Emmanuel Gabellieri, « Le donné et le mystère : Notes sur phénoménologie, métaphysique et révélation chez S. Weil », Archives de Philosophie, vol.
  • Quels sont les prix que Simone Veil a reçu ?

    Lauréates du Prix Simone Veil 2023[5],[6]:

    Lauréates du prix Simone-Veil 2022[7],[8]:

    • Prix Simone-Veil : Yseult Williams, On l’appelait Maïco
    • Prix des Femmes de Lettres[9] : Justine Lévy, Son fils
    • Prix de la mairie du 8e : Patricia Bouchenot-Déchin, J’ai l’énergie d’une lionne dans un corps d’un oiseau

    Lauréates du prix Simone-Veil 2019[10],[11]:

    Lauréates du prix Simone-Veil 2018[12],[13]:

    • Prix Simone-Veil : Yan Lan, Chez les yan, une famille au cœur d’un siècle d’histoire chinoise
    • Prix Coup de cœur du jury 2018 : Séverine Auffret, Une histoire du féminisme
    • Prix de la mairie du 8e : Marion Van Renterghem, Angela Merkel, l’ovni politique

    Lauréates du prix Simone-Veil 2017[14],[15],[16] :

    • Prix Simone-2017 : Theresa Révay, La vie ne danse qu’un instant
    • Prix Simone-Veil, catégorie essai : Sabine Melchior-Bonnet, Les Grands Hommes et leur mère
    • Prix spécial du jury : Marie-Ève Lacasse, Peggy dans les phares
    • Prix de la mairie du 8e : Diane Ducret, Les Indésirables

    Lauréates du prix Simone-Veil 2016 :

    Lauréates du prix Simone-Veil 2015 :

    Lauréates du prix Simone-Veil 2014 :

    Lauréates du prix Simone-Veil 2013 :

    Lauréates du prix Simone-Veil 2012[22] :

    2012 2013 2014 2015 2016 2017

    2018

    2019

    2022

    2023

    La présélection des ouvrages est assurée par le comité littéraire de Cocktail et Culture. Les lauréates de l’année précédente se joignent au jury de l’année suivante.

    Qui a écrit le texte il restera de toi ?

    « Il restera de toi… » L’émouvant et puissant poème de. Simone Weil dit par François Cluzet.

     

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