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Qui est Raphaël Duhamel ?

by Nadia Moulin

Se diversifiant, Raphaël Duhamel est également rédacteur pour le studio de photographie Akta. Jeune auteur-réalisateur, il a produit le court-métrage All Souls day en 2020, qui a notamment été sélectionné lors du Festival de Los Angeles Independent Shorts Awards.

Qui sont les parents de Benjamin Duhamel ?

Fils de Patrice Duhamel, journaliste et ancien Directeur Général de France Télévisions et de Nathalie Saint-Cricq, responsable du Service Politique de France 2, Benjamin Duhamel voit le jour en 1995. Enfant, il grandit dans une famille nombreuse, entouré de quatre frères.

Benjamin suit une éducation bilingue jusqu’en 2009. Il entre ensuite au lycée Henri IV à Paris où il décroche son baccalauréat en 2012. La même année, il intègre Sciences Po Paris. Entre 2015 et 2016, Benjamin Duhamel est président de Sciences Po TV. Il est diplômé en 2017 d’un master en politiques publiques.

En février 2017, il débute sa carrière de journaliste, au sein de la station radio RTL où travaille son oncle, Alain Duhamel. D’abord stagiaire, il devient journaliste pigiste pour ce média. En 2018, il est approché par LCI et intègre la rédaction. En février 2019, il officie sur la chaîne d’information continue BFM TV, comme journaliste au service politique.

Benjamin Duhamel hérite, à la rentrée de septembre 2023, de BFM Politique, grande interview politique diffusée chaque dimanche à la mi-journée. Il en avait déjà assuré la présentation en tant que joker de Jean-Baptiste Boursier.

Qui est la mère de Raphael Duhamel ?

  • ↑ « Médias français : qui possède quoi », Le Monde diplomatique,‎ 1er juillet 2016 (lire en ligne, consulté le 3 septembre 2017)
  • ↑ « Débat d’entre-deux-tours Macron – Le Pen : éviter l’invective et l’irrationnel », La Nouvelle République,‎ 3 mai 2017 (lire en ligne, consulté le 3 septembre 2017)
  • ↑ « La Nouvelle République du Centre-Ouest : Olivier Saint-Cricq tient la barre », sur La Lettre A
  • ↑ « Benjamin Duhamel, le fils de Nathalie Saint-Cricq, trop couvé ? Sa petite réflexion », Gala,‎ 15 juin 2020 (lire en ligne, consulté le 11 septembre 2020)
  • ↑ Camille Sánchez, « Nathalie Saint-Cricq : son étonnant lien de parenté avec une ministre d’Élisabeth Borne », Auféminin.com, 23 mai 2022 (consulté le 10 juin 2022)
  • ↑ « Sciences Po Alumni », sur asso.fr (consulté le 4 novembre 2021).
  • ↑ a et b ROTH Marie-Laure, « Ecole de journalisme de Sciences Po – Les enseignants », sur www.journalisme.sciences-po.fr (consulté le 3 mai 2017)
  • ↑ Institut National de l’Audiovisuel – Ina.fr, « Recherche Ina fr », sur www.ina.fr (consulté le 3 mai 2017)
  • ↑ « François Lenglet à France 2 », sur www.liberation.fr, Libération, 25 juin 2012 (consulté le 26 avril 2017)
  • Muriel Pleynet, nouvelle patronne du service politique de France Télévisions.
  • Quelle est la tendance politique d’Alain Duhamel ?

    Alain Duhamel, né le 31 mai 1940 à Caen (Calvados), est un journaliste politique et essayiste français classé au centre de l’échiquier politique[réf. nécessaire].

    Il est membre de l’Académie des sciences morales et politiques depuis 2012 et de l’Académie de Nîmes depuis 2015.

    Alain Duhamel naît en 1940 à Caen. Son père, Michel Duhamel, et son grand-père, sont médecins[1]. Il a deux frères, Jean-François Duhamel (1941-2020), pédiatre et universitaire, et Patrice Duhamel, ancien directeur général de France Télévisions. Son père est catholique et démocrate chrétien, tandis que sa mère est une radicale et laïque[2].

    Il suit ses études à l’Institut d’études politiques de Paris, dont il est diplômé (section Service public, promotion 1962[3]). Il est également titulaire d’un diplôme de 3e cycle[Lequel ?] en science politique[4].

    Il se marie le 1er juillet 1967 avec France Boeswillwald[5], ancienne professeure agrégée de musique et cheffe d’orchestre (Orchestre Montaigne) et il est le père de deux enfants[2], Arnaud et Valérie. Il est devenu par l’intermédiaire de sa belle-famille protestant[6].

    Il n’a aucun lien de parenté avec le politologue Olivier Duhamel[2].

    En 1963, il devient chroniqueur au Monde[2] et en 1992, à Libération.

    [à développer] Parallèlement à ses activités dans la presse écrite, il était connu pour avoir animé ou coanimé plusieurs émissions télévisées consacrées à la politique : À armes égales (de 1970 à 1973 sur la première chaîne de l’ORTF), Cartes sur table sur Antenne 2 (de 1977 à 1981), l’émission de débat Mots croisés de septembre 1997 à juin 2001 avec Arlette Chabot[7], Question ouverte (de 2001 à 2006), et enfin 100 minutes pour convaincre (de 2002 à 2005) sur la même chaîne.

    Quel était le rôle de Duhamel à l’Académie française ?

    Georges Duhamel, né à Paris le 30 juin 1884[2] et mort à Valmondois (Seine-et-Oise, actuellement Val-d’Oise) le 13 avril 1966[3], est un médecin, écrivain et poète français.

    Rendu célèbre par l’écriture de Civilisation (prix Goncourt 1918) puis de la Chronique des Pasquier, il fut élu en 1935 membre de l’Académie française dont il fut secrétaire perpétuel de 1944 à 1946[4]. Il devint ensuite un président très actif pour le renouveau de l’Alliance française après-guerre. Georges Duhamel est aussi le père du compositeur Antoine Duhamel et le grand-père de l’écrivain journaliste Jérôme Duhamel.

    Georges Duhamel naît au 4, rue Coypel[2] près de la place d’Italie dans le 13e arrondissement de Paris[5]. Il est le troisième d’une famille de quatre enfants[6] — originaire de Septeuil en Île-de-France du côté paternel[7],[5] et de Normandie du côté maternel[8] — qui vit chichement des activités d’un père, Pierre-Émile Duhamel (1849-1928), « fantasque et inconstant[7],[9] », et d’une mère, Marie Emma Pionnier (1854-1939), tous deux herboristes[2]. « Pharmacien[notes 1] », son père décide d’entreprendre, passé quarante ans, des études de médecine[4].

    Après une enfance perturbée par les nombreux déménagements de sa famille (plus d’une dizaine d’adresses à Paris, puis au Havre, Nevers, et enfin à Montreuil-sous-Bois[10],[7]), Georges Duhamel fait ses études au lycée Buffon à Paris, puis au lycée de Nevers, et enfin à l’Institution Roger-Momenheim pour l’année de philosophie[4],[11].

    Il obtient son baccalauréat en 1902 et décide alors de poursuivre des études scientifiques. Après une licence de sciences, il entame des études de médecine, qu’il achève en 1909.

    Les membres de l’abbaye de Créteil en 1906. Georges Duhamel est le deuxième en partant de la gauche.

    Entre 1906 et 1908, il crée avec son ami le poète Charles Vildrac, qui deviendra son beau-frère, et René Arcos « l’abbaye de Créteil » ou groupe de l’Abbaye, phalanstère d’artistes regroupant poètes, écrivains, musiciens et peintres[12], groupe d’écrivains unanimistes, expérience qu’il a relatée de façon romancée, bien qu’il s’en soit défendu, dans le cinquième volume de la série de la Chronique des Pasquier, le Désert de Bièvres. Georges Duhamel avait marqué son entrée dans la littérature par des poèmes, puis la publication de Des légendes, Des batailles, en 1907, L’Homme en tête et Sur la technique poétique (avec Charles Vildrac), en 1909, Selon ma loi, en 1911.

    Tandis que son théâtre est représenté à L’Odéon, il se voit confier en 1912 une rubrique critique au Mercure de France. Il devient un des auteurs de la maison, qu’il dirige ensuite pendant quelques années, à la mort d’Alfred Valette en 1935.

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    À l’occasion de représentations théâtrales à l’abbaye de Créteil, il fait la rencontre et s’éprend de l’actrice Blanche Albane[12] avec laquelle il entretient une importante correspondance.

    Qui est le nouveau conjoint de Nathalie Simard ?

  • ↑ «Noël une tradition en chanson», sur TVA Nouvelles (consulté le 29 novembre 2019).
  • ↑ « Écrivez directement à Nathalie Simard et elle vous répondra dans sa toute nouvelle chronique », sur 7 Jours, 16 septembre 2020 (consulté le 4 octobre 2020)
  • ↑ Yan Lauzon, « «Simplement bien avec Nathalie»: Nathalie Simard lance son magazine bien-être », sur Le Journal de Montréal (consulté le 21 mai 2021)
  • ↑ « Nathalie Simard animera l’émission du midi de la radio Country Pop 92,9 », sur Le Nouvelliste, 1er septembre 2021 (consulté le 17 septembre 2021)
  • ↑ Nathalie Simard revient sur sa participation à Sortez-moi d’ici
  • ↑ Nathalie Simard nous offre cette savoureuse reprise de Tourne la page
  • Sortez-moi d’ici!… mais pas tout de suite: de retour au Costa-Ricaavec Nathalie Simard et Marianne St-Gelais
  • ↑ Nathalie Simard prépare un album bien spécial
  • ↑ « Nathalie Simard, Régis Simard, Ève Simard-Decelles – Nathalie et Régis Fêtent Noël », Non officiel. Aucune sortie en magasin, sur Discogs (consulté le 24 mars 2017).
  • ↑ « Nathalie Simard – Noël avec Nathalie », Album compilation de chansons de Noël non vendu en magasin., sur Discogs (consulté le 12 décembre 2019).
  • ↑ « Archives 1982 – », sur ADISQ (consulté le 8 juin 2021)
  • ↑ « Archives 1983 – », sur ADISQ (consulté le 8 juin 2021)
  • ↑ « Archives 1984 – », sur ADISQ (consulté le 8 juin 2021)
  • ↑ « Archives 1985 – », sur ADISQ (consulté le 8 juin 2021)
  • ↑ « Archives 1986 – », sur ADISQ (consulté le 8 juin 2021)
  • ↑ « Archives 1987 – », sur ADISQ (consulté le 8 juin 2021)
  • ↑ « Archives 1988 – », sur ADISQ (consulté le 8 juin 2021)
  • ↑ « Archives 1989 – », sur ADISQ (consulté le 8 juin 2021)
  • ↑ « Archives 1991 – », sur ADISQ (consulté le 8 juin 2021)
  • Qui sont les frères et soeur de Olivier Duhamel ?

    Sa mère, Colette Rousselot (1924-2008), travaille dans l’édition en 1952, lorsque son beau-père, Maurice Bourdel[2], lui cède, ainsi qu’à sa sœur Nadine, une partie des actions qu’il détient dans les éditions de la Table ronde. Elle rencontre Claude Gallimard qu’elle épouse en secondes noces le 14 novembre 1980 à Paris[3],[4].

    Olivier Duhamel a trois frères : Jérôme (né en 1948, mort accidentellement en 1971) énarque, Stéphane (né en 1951), qui présida RTL puis La Provence, et Gilles (né en 1952), médecin, inspecteur général des affaires sociales.

    Dans sa jeunesse, il voit passer des personnalités importantes chez ses parents, ce qu’il évoque dans une biographie de ses parents, intitulée Colette et Jacques, publiée en 2019[5].

    Ses parents sont très proches de l’armateur Francis Fabre, président des Chargeurs réunis, et du couple Pierre et Hélène Lazareff qui les reçoivent régulièrement — avec Olivier Duhamel et ses frères — en même temps que d’autres personnalités, le dimanche dans leur propriété de Louveciennes[6].

    Il fait ses études supérieures à l’université de Paris (campus de Nanterre) de 1967 à 1973. Après une première année en sciences économiques, il poursuit par le droit. Licencié en droit puis diplômé d’études supérieures en droit public et en science politique.

    Olivier Duhamel est marié de 1974 à 1981 à Leïla Murat (née en 1953[7]), cousine de Salomé Murat (épouse d’Albin Chalandon), descendante des princes d’Empire Joachim Murat et Louis-Alexandre Berthier[8]. Olivier Duhamel se remarie en 1987 avec la juriste et romancière Évelyne Pisier (déjà mère de trois enfants, issus d’un premier mariage avec Bernard Kouchner) et ensemble ils adoptent deux enfants chiliens : une fille, Aurore, en 1987 et un garçon, Simon, en 1989. Évelyne Pisier relate cette expérience dans Une question d’âge, une « autobiographie fictionnée » publiée en 2005. Évelyne Pisier est la sœur de l’actrice Marie-France Pisier.

    Il n’a aucun lien de parenté avec Alain Duhamel ou Patrice Duhamel[9].

    Olivier Duhamel (à gauche) avec le directeur de Sciences Po Richard Descoings le 24 novembre 2010, jour de son dernier cours donné à l’Institut.

    Olivier Duhamel devient assistant à l’université Paris X-Nanterre. Il y obtient son doctorat d’État en droit public en 1979 avec une thèse sur La Gauche et la Ve République, dirigée par René de Lacharrière[10], dans laquelle il analyse le rejet originel, puis le ralliement de la gauche française aux institutions et aux pratiques créées par Charles de Gaulle. Nommé professeur des universités à l’université de Besançon à la suite de son succès au concours d’agrégation de droit public en 1981, il est ensuite nommé à l’université Paris X-Nanterre (1984-1988), puis à l’université Paris-I-Panthéon-Sorbonne. Il enseigne pendant plus de vingt-cinq ans à l’institut d’études politiques de Paris (Sciences Po), assurant le cours d’institutions politiques en première année de 1986 à 2010, ainsi que différents cours sur la vie politique française, le droit constitutionnel et la politique comparée.

    Qui est le mari de Nathalie Simon ?

    À partir de 2014, elle est animatrice sur France Bleu. Elle tient aussi une chronique sur cette station, chronique diffusée le weekend, à compter de février 2016, intitulée Les conseils bien-être de Nathalie Simon. Il s’agit d’une série radiophonique à base de conseils pour prendre soin de soi[3].

    En 2016, elle anime pour Canal Overseas une chaîne évènementielle éphémère à l’occasion du championnat du monde de surf en Martinique.

    En 2017, elle anime pour Canal Overseas une chaîne évènementielle éphémère à l’occasion de l’ultra trail La diagonales des fous à la Réunion.

    En 2017, elle présente une chronique santé « 100 % bien-être » le matin sur France 3.

    En parallèle de sa carrière sportive, elle crée en 1989 avec son mari Tanguy Dadon, Sport Away Voyages et un premier Club Nathalie Simon en République dominicaine (plusieurs autres ont depuis été créés). La société s’est agrandie depuis et est maintenant un groupe (Tourisport) dédié aux voyages sportifs ou d’aventure.

    En 1988, elle crée en collaboration avec la marque Aquaman une ligne de vêtements isothermiques destinés aux femmes véliplanchistes. En 1994, elle crée également en partenariat avec la société Banana Moon une ligne maillots de bains à son nom. En 1999, elle crée une ligne de vêtements en collaboration avec la société New Man, pour leur ligne « Signature », de l’été 2000.

    Quel âge a Nathalie parquet ?

    souhaitée]

    Lors de son année de Miss France, Nathalie Marquay représente la France au concours Miss Univers le 27 mai 1987 à Singapour. Elle ne sera pas classée. Le 12 novembre 1987, au Royal Albert Hall de Londres, elle devient la 6e dauphine de Miss Monde 1987.[réf. souhaitée]

    Le 31 décembre 1987, elle transmet son titre de Miss France à Sylvie Bertin, Miss Bresse-et-Bugey élue Miss France 1988.

    Le 17 juin 1988, alors qu’elle n’est plus la Miss France en titre, Nathalie Marquay est demi-finaliste lors de l’élection de Miss International se déroulant à Gifu au Japon (classée dans le top 15).

    A LIRE  Les Signes Révélateurs d'Intérêt : Pourquoi il m'ignore alors que je lui plais ?

    Nathalie Marquay obtient ses premiers rôles dans des sitcoms sur TF1. En 1994, elle a interprété une miss dans Le Miel et les abeilles, une lutteuse dans Salut Les Musclés. Elle a fait plusieurs figurations dans Les Filles d’à côté (une maman, une sirène, une sportive) et est apparue dans Les Garçons de la plage.

    Elle joue en 1994 dans La Veuve Noire, un télefilm érotique faisant partie de la série Aphrodisia qui est diffusée sur M6. En octobre 2005, un article avec des photos consacré à sa participation à cette série, est publié par le magazine Voici[4].

    Elle joue ensuite dans les sitcoms de TF1 La Croisière foll’amour puis dans Les Vacances de l’amour en 2000 où elle incarne la mère de Paul.

    En 2001, elle apparaît dans 2 épisodes la série 72 heures dans laquelle elle interprète Mona et la doublure de Natacha. En 2002, elle apparait dans un épisode de la série policière Navarro[réf. nécessaire].

    De 2001 à 2008, elle incarne Monica, la secrétaire de Caroline dans les saisons 7 à 14 de la série Sous le soleil sur TF1.

    Nathalie Marquay

    Nathalie Marquay au Festival de Cannes 2002.
    Biographie
    Nationalité Française
    Naissance 17 mars 1967 Comines (Nord)
    Compétitions

    Où vit Nathalie Simard ?

    C’est comme si, là-bas, j’étais allée consolider le tout», a expliqué la chanteuse, se disant «libérée» après avoir «repris le pouvoir sur [s]a vie», elle qui a été agressée sexuellement pendant des années par son ex-imprésario, Guy Cloutier.

    «La faim, la force, le dépassement, quand tu es dénutri, quand tu n’as pas ce qu’il te faut pour passer à travers toutes les épreuves… On est vraiment mis à rude épreuve. Dormir à la belle étoile, tenter de vivre totalement le moment présent sans penser que quand je vais m’endormir, y a-t-il peut-être une tarentule qui va venir me visiter, une bibitte qui va me piquer ou une armée de fourmis rouges qui va m’attaquer! Il faut vraiment que tu t’abandonnes et que tu ne fasses qu’un avec la nature.»

    Nathalie Simard continue d’animer à la radio à Country Pop 92,9 en Mauricie, région où elle vit depuis plus de 10 ans. Dès le 9 janvier, elle pilotera le créneau d’après-midi, de 13 h à 16 h. Elle continue par ailleurs de signer une chronique hebdomadaire dans le magazine «La Semaine» et est pleinement engagée dans son magazine trimestriel «Simplement bien avec Nathalie».

    • La téléréalité «Sortez-moi d’ici!» sera diffusée à TVA chaque dimanche, à 18 h 30, à compter du 19 février prochain.

    Quel est le lien de parenté entre Olivier et Alain Duhamel ?

    de l’Observatoire, 2021.

    1. ↑ Hervé Hamon et Patrick Rotman, Les Intellocrates : Expédition en haute intelligentsia, FeniXX réédition numérique, 1er janvier 1981 (ISBN 978-2-402-03948-2, lire en ligne)
    2. ↑ a b c et d Anne Fulda, « Alain Duhamel, l’éternel observateur », Le Figaro, encart « Le Figaro et vous »,‎ 16-17 janvier 2021, p. 36 (lire en ligne).
    3. ↑ « Alain Duhamel », sur sciences-po.asso.fr.
    4. ↑ LesBiographies.com, « LesBiographies.com – moteur de recherche biographique », sur lesbiographies.com (consulté le 20 avril 2021).
    5. ↑ Who’s Who in France : : dictionnaire biographique, Éditions Jacques Lafitte, 1992.
    6. ↑ a et b « Un coup sur la tranche », in Le Nouvel Observateur no 2540, semaine du 11 juillet 2013, pages 28-29.
    7. Mots Croisés sur tvmag.com
    8. ↑ a et b Enguérand Renault, « Alain Duhamel quitte la matinale de RTL », sur lefigaro.fr, 26 juin 2013
    9. ↑ « Pour dire les choses comme elles sont, rien dans l’itinéraire de Ségolène Royal au PS ne lui valait un statut de présidentiable et rien dans les fonctions officielles de second rang qu’elle avait occupées au gouvernement ne la prédestinait ni même ne la préparait à une candidature, en tout cas pas le bilan qu’elle y avait laissé. » Alain Duhamel : Les Prétendants 2007, Plon, 2007 (ISBN 978-2-259-19856-1)
    10. ↑ Source : dépêche AFP du 15 février 2007
    11. ↑ (fr) « Aphatie – Duhamel : le débat », sur teleobs.nouvelobs.com, 23 décembre 2009
    12. ↑ (fr) Kevin Boucher, « « Qui veut devenir président ? »

    Qui est la mère de Duhamel ?

    Dans la famille Saint-Cricq, l’information coule dans les veines. Fille d’un magnat de la presse, Jacques Saint-Cricq, Nathalie Saint-Cricq est depuis trente ans avec Patrice Duhamel, directeur de grands titres nationaux. Tous deux ont eu cinq enfants, dont Benjamin Duhamel, journaliste au service politique de BFMTV qui officiait, ce lundi 27 février, dans le Face à Face en remplacement d’Apolline de Malherbe. Dans un entretien accordé, en juin dernier, à Jordan De Luxe pour son émission Chez Jordan ( Télé Loisirs ), la cheffe du service politique de France Télévisions avait évoqué son fils. Et surtout, les critiques qu’il doit essuyer : « Quand il fait un truc, on dit qu’il est aussi con que sa mère « , a-t-elle lancé sans détours à l’animateur.

    Beaucoup pensent que le journaliste de 26 ans est « pistonné », rapporte la collègue d’Anne-Sophie Lapix : « Quand il était à LCI, il y avait aussi Alain Duhamel donc c’était compliqué. Il a été débauché par BFMTV. Quelques jours après, Alain a aussi débarqué sur BFMTV . » Elle-même touchée par les critiques à de nombreuses reprises, elle s’est dit « embêtée » que son fils y soit également confronté.

    Qui est la compagne actuelle de Bernard Kouchner ?

  • ↑ Aujourd’hui président de CMP/Medica France-Benelux (éditeur de la presse professionnelle Le Quotidien du Pharmacien, Le Généraliste et Le Quotidien du médecin) et du Syndicat national de la presse médicale.
  • ↑ Alain Guillemoles, Bernard Kouchner : la biographie, Bayard, 2002, p. 34.
  • ↑ a et b Burnier 2008, p. 110-120.
  • ↑ Burnier 2008, p. 292-293.
  • ↑ Abbé Pierre, Bernard Kouchner, Dieu et les Hommes, Robert Laffont, 1993, p. 168-169.
  • ↑ a b c et d Hervé Hamon, Patrick Rotman, Génération, t. 1, Fayard, 1987, p. 132-134.
  • ↑ « Jeunesse et engagement pendant la guerre d’Algérie », par Ludivine Bantigny dans Parlement, Revue d’histoire politique, en 2007
  • ↑ Hamon et Rotman, Génération, t. 1, p. 98.
  • ↑ Hamon et Rotman, Génération, t. 1, p. 216-217.
  • ↑ Hamon et Rotman, Génération, t. 1, p. 226-227.
  • ↑ Hamon et Rotman, Génération, t. 1, p. 252.
  • ↑ Hamon et Rotman, Génération, t. 1, p. 309.
  • ↑ Hamon et Rotman, Génération, t. 1, p. 293-294.
  • ↑ Hamon et Rotman, Génération, t. 1, p. 504.
  • ↑ Hamon et Rotman, Génération, t. 2, p. 11-20.
  • ↑ a et b Pierre Péan, Le Monde selon K., Fayard, 2009, p. 39-68.
  • ↑ En 1991, dans L’heure de vérité, il dira qu’il est né au Biafra.
  • ↑ Anne Vallaeys, Médecins sans frontières : la biographie, Fayard, 2005.
  • ↑ Hamon et Rotman, Génération, t. 2, p. 260.
  • ↑ a et b Burnier 2008, p. 191-198.
  • ↑ a et b Hamon et Rotman, Génération, t. 2, p. 244-247.
  • ↑ Anne Vallaeys, Médecins sans frontières : la biographie, Fayard, 2005, p. 124. Anne Vallaeys cite Philippe Bernier, Des Médecins sans frontières, Albin Michel, 1980.
  • ↑ Burnier, op. cit., p. 167-172. Burnier précise que ce fait est contesté par Borel, un autre fondateur qui prétend que le nom aurait été proposé par Bernier.
  • ↑ Burnier 2008, p. 167-172.
  • ↑ Hamon et Rotman, Génération, t. 2, p. 608-609.
  • ↑ Burnier 2008, p. 222-227.
  • ↑ Jean-Francis Pécresse, Une vie de révoltes, lesechos.fr, 20 décembre 2001
  • ↑ Burnier 2008, p. 227-231.
  • ↑ Anne Vallaeys, op. cit., p. 297-302.
  • ↑ United Nations, « La responsabilité de protéger | Nations Unies », sur United Nations (consulté le 1er juillet 2020)
  • ↑ a et b Hamon et Rotman, Génération, t. 2, p. 624-634
  • ↑ Burnier 2008, p. 296.
  • ↑ Burnier 2008, p. 290-291.
  • ↑ Burnier, op. cit., p. 292.
  • ↑ Élise Féron, « Popularité médiatique et pouvoir local : B. Kouchner dans la 20e circonscription du Nord en 1988 », Le Parachutage politique, sous la direction de Bernard Dolez et Michel Hastings, p. 215-238
  • ↑ a et b Burnier 2008, p. 302.
  • ↑ Burnier 2008, p. 304-305.
  • ↑ Burnier, op. cit., p. 313-319.
  • A LIRE  Regards Intenses d'Attirance : Décryptage des Signes Amoureux

    Bernard Kouchner

    Fonctions
    Ministre des Affaires étrangères et européennes
    Conjoint Évelyne Pisier (divorcés) Christine Ockrent
    Diplômé de Faculté de médecine de Paris
    Profession Médecin gastro-entérologue Militant humanitaire

    Qui est Simon Kouchner ?

    Alors que l’enquête se poursuit, malgré prescription des faits, c’est désormais un autre membre du clan Duhamel qui s’apprête à être interrogé.

    Il s’agit de Simon Duhamel, le fils adoptif d’Olivier Duhamel et Evelyne Pisier, et demi-frère de Camille Kouchner et de « Victor ». Le jeune homme de 32 ans et sa soeur Aurore, elle aussi adoptée, ont longtemps été écartés du secret familial comme le révèle Le Parisien, ce lundi 19 avril. En effet s’ils étaient au courant des agissements de leur père depuis 2008, ils n’avaient pas été mis au courant de la publication du livre de la fille de Bernard Kouchner, qu’ils ont appris la veille de sa sortie en librairie : « Camille et ses frères ont estimé qu’Aurore et Simon étaient trop liés à leur père pour garder le secret. Surtout Simon qui est sans-emploi et vit aux Genêts-d’Or (la propriété familiale des Duhamel, ndlr). Il y a eu une scission » raconte un des proches de la famille à nos confrères.

    Simon Duhamel multiplie les frasques

    Le Parisien revient également sur le parcours compliqué de Simon Duhamel.

    Quel âge a le fils de Christine Ockrent ?

    Christine Ockrent est une journaliste belge, née le 24 avril 1944 à Bruxelles.

    Exerçant en France, elle est la deuxième femme, après Hélène Vida, à présenter le Journal de 20 heures. Elle dirige L’Express, avant de présenter des émissions politiques sur France 3, puis d’être, de février 2008 à mai 2011, directrice générale de l’Audiovisuel extérieur de la France (AEF).

    Christine Ockrent est la fille de Greta Bastenie, femme au foyer[1], et du diplomate belge Roger Ockrent[2], ancien chef de cabinet du Premier ministre Paul-Henri Spaak, puis directeur de l’Administration belge de coopération économique pour le plan Marshall, et ambassadeur de Belgique auprès de l’OCDE.

    Elle a une sœur, Isabelle, née en 1950, qui était directrice de la communication de la RATP entre 2008[3],[1] et 2015[4].

    Depuis le début des années 1980, Christine Ockrent partage la vie de Bernard Kouchner, avec lequel elle a un fils, Alexandre, né le 11 mars 1986[2], journaliste et acteur.

    Installée en France après la nomination de son père à l’OCDE, Christine Ockrent suit les cours du collège Sévigné de Paris, puis est diplômée de l’Institut d’études politiques de Paris en 1965 (section relations internationales) et étudie à l’université de Cambridge[2].

    Après un stage au Bureau d’information des Communautés économiques européennes en 1965 et 1966, elle se lance dans une carrière de journaliste au sein de l’unité européenne de documentaires d’actualités de NBC News entre 1967 et 1968. Elle collabore au célèbre magazine de CBS, 60 Minutes entre 1968 et 1976 comme réalisatrice et journaliste au bureau londonien de l’émission et est correspondante pour la même chaine de 1976 à 1977[5].

    Elle travaille ensuite comme journaliste et réalisatrice au magazine vendredi sur FR3 et à l’émission 20/20 sur ABC News[2]. Pour la chaine française, elle décroche une exclusivité en 1979 en interviewant dans sa cellule Amir Abbas Hoveida, ancien Premier ministre du Shah d’Iran, destitué lors de la Révolution islamique. L’orientation des questions et la rigueur du ton adopté par Christine Ockrent suscitent une vive controverse au sein du monde du journalisme, au vu de la situation de l’ancien dirigeant iranien, exécuté le surlendemain d’une balle dans la nuque à l’issue d’un procès expéditif mené par l’ayatollah Sadeq Khalkhali[6],[7].

    De retour en France en 1980, elle intègre la rédaction d’Europe 1 et se voit confier la charge du journal de 8 heures. Puis en octobre 1981, elle est embauchée par le nouveau président d’Antenne 2, Pierre Desgraupes, qui la désigne pour présenter le journal télévisé de 20 heures en alternance avec Patrick Poivre d’Arvor, avec la charge de rédactrice en chef adjointe puis rédactrice en chef déléguée. Elle est alors la deuxième femme à présenter un journal télévisé de 20 heures en France et après son maintien prolongé à l’antenne, elle reçoit le surnom de « Reine Christine »[8].

    Qui est le fils de Duhamel ?

    Alain Duhamel, né le 31 mai 1940 à Caen (Calvados), est un journaliste politique et essayiste français classé au centre de l’échiquier politique[réf. nécessaire].

    Il est membre de l’Académie des sciences morales et politiques depuis 2012 et de l’Académie de Nîmes depuis 2015.

    Alain Duhamel naît en 1940 à Caen. Son père, Michel Duhamel, et son grand-père, sont médecins[1]. Il a deux frères, Jean-François Duhamel (1941-2020), pédiatre et universitaire, et Patrice Duhamel, ancien directeur général de France Télévisions. Son père est catholique et démocrate chrétien, tandis que sa mère est une radicale et laïque[2].

    Il suit ses études à l’Institut d’études politiques de Paris, dont il est diplômé (section Service public, promotion 1962[3]). Il est également titulaire d’un diplôme de 3e cycle[Lequel ?] en science politique[4].

    Il se marie le 1er juillet 1967 avec France Boeswillwald[5], ancienne professeure agrégée de musique et cheffe d’orchestre (Orchestre Montaigne) et il est le père de deux enfants[2], Arnaud et Valérie. Il est devenu par l’intermédiaire de sa belle-famille protestant[6].

    Il n’a aucun lien de parenté avec le politologue Olivier Duhamel[2].

    En 1963, il devient chroniqueur au Monde[2] et en 1992, à Libération.

    [à développer] Parallèlement à ses activités dans la presse écrite, il était connu pour avoir animé ou coanimé plusieurs émissions télévisées consacrées à la politique : À armes égales (de 1970 à 1973 sur la première chaîne de l’ORTF), Cartes sur table sur Antenne 2 (de 1977 à 1981), l’émission de débat Mots croisés de septembre 1997 à juin 2001 avec Arlette Chabot[7], Question ouverte (de 2001 à 2006), et enfin 100 minutes pour convaincre (de 2002 à 2005) sur la même chaîne.

     

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