Marcel Amont partage sa vie de 1956 à 1959 avec Tamara Vladimirovna Deiness, avec qui il a deux enfants, Katia et Alexis. Il épouse en 1977 Marlène Laborde, devenue son agent, avec qui il reste marié jusqu’à sa mortQui est la compagne de Marcel Amont ?
En janvier 2021 paraît son 10e livre, Mirlitontaines et chansons oubliées, illustré de dessins de l’auteur, et, en octobre, il publie pour la première fois un roman, Adieu la belle Marguerite.
Marcel Amont partage sa vie de 1956 à 1959 avec Tamara Vladimirovna Deiness, avec qui il a deux enfants, Katia et Alexis.
Il épouse en 1977 Marlène Laborde, devenue son agent, avec qui il reste marié jusqu’à sa mort ; ils ont une fille et un garçon, Romélie et Mathias[6].
Marcel Amont meurt le 8 mars 2023 à Saint-Cloud, à l’âge de 93 ans[7], des suites de problèmes cardiaques. Ses obsèques se tiennent dans l’intimité le 20 mars, puis il est incinéré au crématorium du Mont Valérien de Nanterre, où son cercueil est exposé au public chaque après-midi entre le 15 et le 19 mars[8].
Le 12 août, un hommage lui est rendu en la chapelle de Borce, dans la vallée d’Aspe, dans le Béarn (Pyrénées-Atlantiques), là où il épousa Marlène Laborde en 1998. La cérémonie se déroule sous la forme d’une messe suivie par un hommage vidéo et audio. Une centaine de personnes y assiste, parmi lesquelles sa veuve, ses deux enfants, et l’ancien député Jean Lassalle, admirateur et proche du chanteur[9].
- 1956 : Escamillo (Georges Coulonges / Christian Roi)
- 1957 : La Chanson du grillon (Jean Dréjac)
- 1958 : Julie (Jacques Datin / Maurice Vidalin)
- 1958 : L’Amour en mer (Michel Rivgauche)
- 1959 : Tout doux, tout doucement (Frank Gérald, Pierre Delanoë / Troxel, Christopher, Ellis) adaptation française du succès américain des Fleetwoods Come Softly To Me
- 1959 : Bleu, blanc, blond (Jean Dréjac/Hal Greene, Dicks Wols), adaptation française du succès américain de Johnny Tillotson True, true happiness
- 1960 : Les Bleuets d’azur (Jacques Larue / Guy Magenta)
- 1961 : Dans le cœur de ma blonde (Jean Dréjac / N. Petty)
- 1962 : Le Mexicain (parfois intitulée Un Mexicain) (Jacques Plante / Charles Aznavour)
- 1963 : Moi le clown (Jacques Mareuil, Charles Aznavour)
- 1965 : Maria et le pot au lait (Marcel Amont)
- 1965 : Au bal de ma banlieue (Jean Dréjac)
- 1967 : Samba d’été (Marcos Valle, Michel Pécarrère)[10]
- 1967 : Dans 45 ans (Michel Pécarrère / John Lennon,Paul McCartney) adaptation française de When I’m Sixty Four
- 1970 : Le Monsieur qui volait (Claude Nougaro, Marcel Amont)
- 1970 : Moitié orange, moitié citron (H. Giraud, W. Lewis, M. Rivgauche, A. Rouvre)
- 1971 : L’amour ça fait passer le temps (Jean-Michel Rivat, Franck Thomas / Roland Vincent)
- 1971 : Monsieur (Gilles Thibault / Jacques Renard)
- 1971 : Benjamin le bienheureux (Yvan Dessca / Éric Charden)
- 1971 : C’est aujourd’hui dimanche (Bernard Estardy, Jean-Michel Rivat / Franck Thomas)
- 1972 : Bleu, blanc, rouge et des frites (F. Thomas et Y. Dessca / Jean-Pierre Bourtayre)
- 1973 : L’amour à vol d’oiseau (R. Vincent / M. Jourdan)
- 1974 : Y’a toujours un peintre (Jean-Michel Rivat / Roland Vincent)
- 1974 : Le Chapeau de Mireille (Georges Brassens)
- 1975 : Les Artistes (Marcel Amont, Jacques Revaux / Roland Vincent)
- 1976 : La musique est de retour (Marcel Amont, M. Jourdan / Gustin)
- 1977 : On ne guérit pas de son enfance (Marcel Amont / Michel Cywie)
- 1977 : Les chansons d’Italie (Didier Barbelivien – Gérard stern)
- 1979 : Viennois (Alain Souchon)
- 1979 : Paris rombière (François Cavanna / Roland Vincent)
- 1979 : Pour traverser la rivière (Gilles Vigneault)
- 1979 : La Galère (Maxime Le Forestier / Julien Clerc)
- 1982 : Demain j’arrête de fumer (Marcel Amont)
- 1983 : Ça va, ça vient (S. Cutugno / Claude Lesmesle)
- 1983 : Cette France (Didier Barbelivien / Claude Lemesle)
- 1985 : Le Tam-tam des gorilles (Lana et Paul Sebastian / Sylvain Lebel) (45 tours pour enfants)
- 1989 : Comme un goût de paradis (Marcel Amont – Sylvain Lebel / Michel Héron)
- 1991 : Sympathic (Marcel Amont)
- 2006 : Démodé (Marcel Amont / Philippe Loffredo)
- 2009 : Il a neigé (Marcel Amont / Mathias Miramon)
- 2018 : Par-dessus l’épaule (Igit)
Les titres de Marcel Amont font partie du catalogue d’Universal.
Quel est le chanteur de Un mexicain basané ?
A l’occasion des cérémonies du 11 novembre, un hommage au « plus jeune résistant » de France, le petit Marcel dit « Quinquin », tué en 1944 à 6 ans, a été rendu mercredi en Haute-Vienne.
« Marcel Pinte. Né le 12 avril 1938, mort pour la France le 19 août 1944. Un hommage au « plus jeune résistant » de France, le petit Marcel dit « Quinquin », tué en 1944 à 6 ans, a été rendu ce mercredi à Aixe-sur-Vienne (Haute-Vienne) à l’occasion des cérémonies du 11 novembre . Le nom de Marcel Pinte, ajouté au monument aux morts du village proche de Limoges, a été dévoilé, sous une toile de parachute datant de 1944 ceinte d’un ruban bleu blanc rouge, lors d’une cérémonie devant une assistance réduite, pour cause de Covid, a constaté un journaliste de l’AFP.
« Les gens qui passeront devant ce monument aux morts seront interpellés par ce nom et surtout l’âge », a réagi Marc Pinte, un descendant de la famille. « C’est un honneur, un aboutissement, une satisfaction.
Quelle maladie a eu Marcel Amont ?
En janvier 2021 paraît son 10e livre, Mirlitontaines et chansons oubliées, illustré de dessins de l’auteur, et, en octobre, il publie pour la première fois un roman, Adieu la belle Marguerite.
Marcel Amont partage sa vie de 1956 à 1959 avec Tamara Vladimirovna Deiness, avec qui il a deux enfants, Katia et Alexis.
Il épouse en 1977 Marlène Laborde, devenue son agent, avec qui il reste marié jusqu’à sa mort ; ils ont une fille et un garçon, Romélie et Mathias[6].
Marcel Amont meurt le 8 mars 2023 à Saint-Cloud, à l’âge de 93 ans[7], des suites de problèmes cardiaques. Ses obsèques se tiennent dans l’intimité le 20 mars, puis il est incinéré au crématorium du Mont Valérien de Nanterre, où son cercueil est exposé au public chaque après-midi entre le 15 et le 19 mars[8].
Le 12 août, un hommage lui est rendu en la chapelle de Borce, dans la vallée d’Aspe, dans le Béarn (Pyrénées-Atlantiques), là où il épousa Marlène Laborde en 1998. La cérémonie se déroule sous la forme d’une messe suivie par un hommage vidéo et audio. Une centaine de personnes y assiste, parmi lesquelles sa veuve, ses deux enfants, et l’ancien député Jean Lassalle, admirateur et proche du chanteur[9].
- 1956 : Escamillo (Georges Coulonges / Christian Roi)
- 1957 : La Chanson du grillon (Jean Dréjac)
- 1958 : Julie (Jacques Datin / Maurice Vidalin)
- 1958 : L’Amour en mer (Michel Rivgauche)
- 1959 : Tout doux, tout doucement (Frank Gérald, Pierre Delanoë / Troxel, Christopher, Ellis) adaptation française du succès américain des Fleetwoods Come Softly To Me
- 1959 : Bleu, blanc, blond (Jean Dréjac/Hal Greene, Dicks Wols), adaptation française du succès américain de Johnny Tillotson True, true happiness
- 1960 : Les Bleuets d’azur (Jacques Larue / Guy Magenta)
- 1961 : Dans le cœur de ma blonde (Jean Dréjac / N. Petty)
- 1962 : Le Mexicain (parfois intitulée Un Mexicain) (Jacques Plante / Charles Aznavour)
- 1963 : Moi le clown (Jacques Mareuil, Charles Aznavour)
- 1965 : Maria et le pot au lait (Marcel Amont)
- 1965 : Au bal de ma banlieue (Jean Dréjac)
- 1967 : Samba d’été (Marcos Valle, Michel Pécarrère)[10]
- 1967 : Dans 45 ans (Michel Pécarrère / John Lennon,Paul McCartney) adaptation française de When I’m Sixty Four
- 1970 : Le Monsieur qui volait (Claude Nougaro, Marcel Amont)
- 1970 : Moitié orange, moitié citron (H. Giraud, W. Lewis, M. Rivgauche, A. Rouvre)
- 1971 : L’amour ça fait passer le temps (Jean-Michel Rivat, Franck Thomas / Roland Vincent)
- 1971 : Monsieur (Gilles Thibault / Jacques Renard)
- 1971 : Benjamin le bienheureux (Yvan Dessca / Éric Charden)
- 1971 : C’est aujourd’hui dimanche (Bernard Estardy, Jean-Michel Rivat / Franck Thomas)
- 1972 : Bleu, blanc, rouge et des frites (F. Thomas et Y. Dessca / Jean-Pierre Bourtayre)
- 1973 : L’amour à vol d’oiseau (R. Vincent / M. Jourdan)
- 1974 : Y’a toujours un peintre (Jean-Michel Rivat / Roland Vincent)
- 1974 : Le Chapeau de Mireille (Georges Brassens)
- 1975 : Les Artistes (Marcel Amont, Jacques Revaux / Roland Vincent)
- 1976 : La musique est de retour (Marcel Amont, M. Jourdan / Gustin)
- 1977 : On ne guérit pas de son enfance (Marcel Amont / Michel Cywie)
- 1977 : Les chansons d’Italie (Didier Barbelivien – Gérard stern)
- 1979 : Viennois (Alain Souchon)
- 1979 : Paris rombière (François Cavanna / Roland Vincent)
- 1979 : Pour traverser la rivière (Gilles Vigneault)
- 1979 : La Galère (Maxime Le Forestier / Julien Clerc)
- 1982 : Demain j’arrête de fumer (Marcel Amont)
- 1983 : Ça va, ça vient (S. Cutugno / Claude Lesmesle)
- 1983 : Cette France (Didier Barbelivien / Claude Lemesle)
- 1985 : Le Tam-tam des gorilles (Lana et Paul Sebastian / Sylvain Lebel) (45 tours pour enfants)
- 1989 : Comme un goût de paradis (Marcel Amont – Sylvain Lebel / Michel Héron)
- 1991 : Sympathic (Marcel Amont)
- 2006 : Démodé (Marcel Amont / Philippe Loffredo)
- 2009 : Il a neigé (Marcel Amont / Mathias Miramon)
- 2018 : Par-dessus l’épaule (Igit)
Les titres de Marcel Amont font partie du catalogue d’Universal.
Quel âge est mort Marcel Amont ?
Marie Gicquel avec AFP 10h40, le 09 mars 2023, modifié à 10h23, le 10 mars 2023
Mercredi, le chanteur Marcel Amont, vedette du music-hall, est décédé à l’âge de 93 ans. Selon un communiqué de sa famille, l’artiste bondissant et showman fantaisiste, aux 75 années de carrière, s’est éteint à son domicile, à Saint-Cloud à l’ouest de Paris. Le début des années 70 ont marqué le point culminant de sa carrière.
Le chanteur Marcel Amont, vedette du music-hall connu pour de nombreux tubes comme « Bleu, blanc, blond », est décédé mercredi à l’âge de 93 ans, selon un communiqué de sa famille transmis à l’AFP. L’artiste bondissant et showman fantaisiste, aux 75 années de carrière, s’est éteint à son domicile, à Saint-Cloud à l’ouest de Paris, a précisé la même source.
Un « divertisseur »
Né le 1er avril 1929 à Bordeaux, Marcel Miramon, de son vrai nom, « monte » à Paris en 1950, se faisant peu à peu un nom dans des cabarets. En 1956, son premier disque reçoit un Grand prix de l’Académie Charles-Cros et il fait la première partie d’Edith Piaf à l’Olympia.
Comment est Marcel Amont aujourd’hui ?
Il est décédé à son domicile, à Saint-Cloud, en région parisienne.
Qui a écrit les paroles de la chanson Le chapeau de Mireille ?
Alors que ma carrière est au creux de la vague, En 1975, Georges Brassens, mon ami depuis vingt ans, décide de me céder « Le chapeau de Mireille », qu’il vient de composer. Une très belle preuve d’amitié.
En 1975, je ne suis pas au sommet de ma gloire, loin s’en faut. Je passe de moins en moins souvent à la radio, mes tubes, « Bleu, blanc, blond », « Le Mexicain », sont derrière moi. Heureusement, grâce à mes tournées dans le monde entier, je gagne encore très bien ma vie. De jeunes interprètes talentueux, comme Michel Delpech, Joe Dassin ou Dave, tiennent désormais la vedette sur les ondes, mais c’est moi que Coquatrix vient chercher pour monter un spectacle à l’Olympia.
Il veut faire l’événement, avec une revue à peu de frais, la scène mythique étant en déroute financière. Je saisis cette chance au vol et prépare un show avec danseuses et choristes. Grâce au bouche-à-oreille, la salle est comble pendant cinq semaines. Pourtant, les maisons de disques ne me sollicitent guère et les radios continuent de me bouder. Par chance, en 1971, « L’amour, ça fait passer le temps » est un tube et me relance : un million de disques vendus. Mais je sens l’épée de Damoclès au-dessus de ma tête. Je traverse une période éprouvante.
Quelle est la musique typique du Mexique ?
Le Mariachi, musique à cordes, chant et trompette
Mexique
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Inscrit en 2011 (6.COM) sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité
Le Mariachi est à la fois une musique traditionnelle mexicaine et un élément fondamental de la culture mexicaine. Les groupes Mariachis traditionnels, composés de deux musiciens ou plus, portent des costumes régionaux inspirés du costume charro et interprètent un large répertoire de chants sur des instruments à cordes. Les ensembles qui jouent la musique Mariachi « moderne » comprennent des trompettes, des violons, la vihuela et le guitarrón (guitare basse), et peuvent être composés de quatre musiciens et plus. Le vaste répertoire inclut des chants de différentes régions, des jarabes, des menuets, des polkas, des valonas, des scottishes, des valses et des sérénades, en plus des corridos (ballades typiquement mexicaines relatant des histoires de batailles, de hauts faits et d’amour) et des chants traditionnels décrivant la vie rurale.
Comment s’appelle la musique typique du Mexique ?
Il est originaire de l’ouest du Mexique, plus précisément des États de Nayarit, Colima et Jalisco, qui se disputent sa paternité[2].
L’ orchestre de mariachi est apparu à la fin des années 1700 ou au début des années 1800 dans le centre-ouest du Mexique . Le mot mariachi peut provenir de la langue aujourd’hui disparue des Indiens Coca, mais l’étymologie du mot et l’histoire ancienne de la forme et de ses adeptes sont inconnues[10]. Les trompettes n’ont été ajoutées qu’au début du XXe siècle, mais elles sont maintenant plus ou moins un élément essentiel. La musique mariachi se composait initialement de sones locaux ou régionaux (musique instrumentale), mais, très tôt, les performances ont commencé à inclure des éléments vocaux[10].
Le mariachi est devenu populaire grâce au Mariachi Vargas de Tecalitlán, qui a voyagé avec le général Lázaro Cárdenas lors de la tournée présidentielle et a animé les rassemblements de l’ancien président du Mexique[11].
En 2011, « Le mariachi, musique à cordes, chant et trompette » a été inscrit sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité[12]. Le dossier mariachi a été présenté par l’Institut national d’anthropologie et d’histoire (INAH-Conaculta) et le secrétaire à la culture de l’État de Jalisco en août 2010[11].
Genre musical typique du Nord du Mexique, le Norteño fait jouer des instruments traditionnel tels que l’accordéon, le bajo sexto, une grande guitare à six cordes, le taloche, la contrebasse dont on claque les cordes comme une percussion. La musique norteña est ainsi nommée parce qu’elle est principalement née dans les États du nord du Mexique, Nuevo León et Tamaulipas[13]. La ville de Monterrey s’est imposée en tant que principal berceau de cette musique parce qu’elle tenait déjà une place importante dans la production musicale, et à cause du nombre d’immigrants européens dans sa population urbaine. Le premier moteur de l’apparition de la musique norteña a été le flux durable d’immigrants européens, principalement allemands, tchèques et polonais, venus travailler à la construction des lignes de chemin de fer vers les États-Unis[14]. Santiago Jiménez et Narciso Martínez ont été les pionniers du style norteño sur les enregistrements et les émissions de radio dans les années 1930. En raison de leur popularité dans les enregistrements, leurs styles sont devenus des modèles pour une génération de musiciens[15].
D’origine ouest-mexicaine la musique ranchera constitue un des genres du mariachi. Cette musique apparaît au début du XXe siècle. Elle est caractérisée par les mêmes orchestrations. En ce qui concerne les paroles, les histoires populaires liées à la révolution mexicaine, à la vie paysanne, aux chevaux, à la famille, aux bars et cantines et aux tragédies amoureuses ont d’abord prévalu. Par la suite, les thèmes se sont surtout focalisés sur l’amour[2].
Comment s’appelle les masque mexicain ?
Si vous souhaitez retrouver l’ambiance typique du Mexique, nous vous conseillons également de visiter la boutique de la Tienda Alma Latina.Les spécificités des calaveras
Le Mexique renferme des histoires très originales, comme celle des têtes de mort que ce pays honore tant. Concernant l’origine de la tête de mort mexicaine, il ne s’agit pas juste d’un crâne, c’est en réalité bien plus que cela. Durant l’époque des différentes civilisations précolombiennes, l’utilisation des crânes proviendrait directement d’une ancienne coutume aztèque. Dès la préhistoire en effet, la tête de mort a été une image faisant allusion aux sociétés et cultures précolombiennes. L’une de ces représentations les plus marquantes était le tzompantli, une forme de support en bois dans lequel étaient disposés les crânes de prisonniers de guerre ou des individus qui avaient été donnés en sacrifice aux dieux. Il faut noter que les anciennes civilisations comme les Mayas pensaient sans doute qu’il y avait bel et bien une vie après la mort. Ainsi, le tzompantli leur servait à donner des offrandes à Mictlantecuhtli, leur dieu des enfers. Entretenir une bonne relation avec cette puissance était indispensable. En effet, c’était lui qui conduisait l’âme dans son domaine sereinement. S’il le désirait, il pouvait retenir une âme dans son empire pendant plusieurs années. Lorsque les espagnols se sont installés au Mexique au XVIe siècle, ils ont fait disparaitre la religion indigène et les sacrifices humains.
Quel est l’âge de Isabelle Aubret ?
Par Jacques Pessis
Publié le 04/08/2023 à 18:33, Mis à jour le 04/08/2023 à 20:08
Isabelle Aubret a mis un terme à sa longue carrière de chanteuse après avoir donné deux dernières représentations en mars 2023 dans sa commune natale de Marquette-Lez-Lille. Marion Bousquet
L’artiste et ancienne gymnaste s’est élancée pour la première fois de sa vie en Provence, le lendemain de son anniversaire.
Isabelle Aubret mériterait de figurer en bonne place dans le Livre des records. Au lendemain de ses 85 printemps, à bord d’un avion volant à 4000 mètres d’altitude dans le ciel de Provence, elle a sauté en parachute pour la première fois de sa vie.
L’aventure a débuté par une conversation avec le directeur d’un hôtel de Villeneuve-lès-Avignon, où elle était descendue. Il lui a raconté sa passion pour ce sport avec un tel enthousiasme qu’elle a aussitôt éprouvé l’envie de vivre, à son tour, un moment dans le ciel. « C’était à la veille de mon anniversaire. Après avoir décrété que j’étais complètement folle, Gérard Meys, mon producteur a décidé de m’offrir ce cadeau », raconte-t-elle.
Dans la foulée, elle a téléphoné à son médecin pour lui demander son avis. « Moi, je ne le ferais pas », a-t-il répondu, avant que les arguments déployés par son interlocutrice le fassent changer d’avis. En revanche, son cardiologue lui a immédiatement donné son feu vert.
Quel est l’âge de Adamo ?
Salvatore Adamo, né le 1er novembre 1943 à Comiso en Sicile (Italie), est un auteur-compositeur-interprète italo-belge[1].
Fils d’une famille sicilienne immigrée en Belgique en 1946, il passe son enfance à Jemappes dans le monde des ouvriers mineurs du Hainaut. Entré dans le monde de la chanson en 1960, il connaît le succès international à partir de 1964 avec Tombe la neige, chanson suivie d’autres titres célèbres : Mes mains sur tes hanches (1965), Inch’Allah (1967)…
Salvatore est le fils de Concetta et Antonino Adamo. En 1947, son père part pour la Belgique afin de travailler dans les mines, accompagné de sa famille, qui s’installe à Jemappes, dans l’arrondissement de Mons. Entre 1950 et 1960, la famille Adamo s’agrandit de sept enfants[2]. À l’âge de 13 ans, le jeune Salvatore est victime d’une méningite qui le contraint à vivre une longue hospitalisation à Louvain. Son père quitte aussitôt son emploi de mineur et la famille s’installe alors à Bruxelles. Dix mois plus tard, guéri, Salvatore reprend sa scolarité dans le but de devenir journaliste[3]. En parallèle, il écrit de la musique et son grand-père lui offre une guitare[4].
En 1960, il participe à un concours de Radio Luxembourg[4] et remporte la finale à Paris[5]. En 1963, il rencontre un premier succès avec Sans toi ma mie, qu’il doit en partie à l’opiniâtreté de son père, car l’accueil de la chanson est lent après l’enregistrement. Elle ne passe pas à la radio parce qu’on trouve sa voix bizarre. Il a même droit à cet avis négatif : « refusé pour voix désagréable ». Son père décide alors de prendre en main la destinée de son fils et démarche salles de spectacles et firmes phonographiques. Salvatore Adamo déclare à ce sujet : « j’avais vraiment l’impression que le disque était condamné. Comme un berger qui croit en son étoile, mon père a eu une idée géniale : mener une campagne « juke-box». À l’époque, un juke-box dans un café avait le potentiel d’une radio locale. Bingo ! Les gens ayant entendu ma chanson la réclament à la radio. Tout commence. La suite est merveilleuse. Sans toi ma mie reste six mois en tête des hit-parades ». La même année, grâce à Annie Cordy, il effectue sa première télévision[6] avec Danièle Danaé. Les succès s’enchaînent vite : Tombe la neige, Vous permettez, Monsieur ?, La Nuit (1964), Dolce Paola (en référence à Paola, à l’époque princesse de Liège, et future reine des Belges), Les Filles du bord de mer et Mes mains sur tes hanches (1965), Ton nom, Une mèche de cheveux (1966), Une larme aux nuages, Inch’Allah, Notre roman (1967), L’amour te ressemble, F… comme femme, (1968), À demain sur la lune, Petit bonheur (1969), Va mon bateau (1970), J’avais oublié que les roses sont roses (1971), C’est ma vie (1975).
Adamo signant des autographes en 1964.
Qui est le compagnon d’Isabelle Aubret ?
50 Years. The Official History, Londres, Carlton Books Limited, 2005, p.20.
Sur les autres projets Wikimedia :
Isabelle Aubret |
---|
Précédée par Suivie par |
Isabelle Aubret
Naissance | 27 juillet 1938 Marquette-lez-Lille |
---|---|
Nationalité | française |
Activité | Chanteuse |
Période d’activité | 1952 – 2023 |
Conjoint |
Gérard Meys |
Qui est le mari de Isabelle Aubret ?
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Gérard Meys, né le 21 septembre 1936 à Paris 10e[1], est un éditeur musical français.
Il est connu pour être l’éditeur d’artistes majeurs de la chanson française, parmi lesquels on retrouve Jacques Brel, Juliette Gréco, Jean Ferrat[2] et Isabelle Aubret[3].
Né dans le 10e arrondissement de Paris, il est élevé par sa mère d’origine polonaise. Il travaille dès l’âge de 16 ans comme coursier chez Warner Bros. Il montre des poèmes à Boris Vian, qui le présente à Jacques Canetti, directeur artistique chez Philips.
C’est d’ailleurs chez Philips qu’il travaille quand il découvre les chansons de Jean Ferrat. Comme la maison de disques refuse de produire Ferrat (tout comme Pathé Marconi), Meys décide de le produire lui-même en tant qu’indépendant[4]. Il crée alors les productions Meys en 1960, puis les productions Alleluia en 1965[1]. Après avoir lancé la carrière de Jean Ferrat, il contribue au développement de celle d’Isabelle Aubret, avec laquelle il partage sa vie.
Il est légataire du droit moral de Jean Ferrat[5].
Quel accident a eu Isabelle Aubret ?
« J’étais d’un milieu ouvrier, mes opinions politiques n’étaient pas les siennes, il était plus radical. Moi, j’étais pour l’harmonie, le consensus. Mais comme Brel, il s’est pris de passion pour mon parcours, ma mère, mon enfance pauvre dans le Nord », s’est-elle souvenue au micro de RFI. Isabelle Aubret a été victime de deux lourds accidents
Isabelle Aubret est sur le point d’être choisie pour jouer dans Les Parapluies de Cherbourg, de Jacques Demy, mais le destin en décide autrement. En 1963, à Arnay-le-Duc sa voiture dérape et elle est victime d’un terrible accident qui coûte la vie d’une personne et en blesse trois autres. Elle-même hospitalisée, la chanteuse est opérée et doit entamer une longue rééducation qui l’oblige à mettre sa carrière entre parenthèses.
En 1981, la chanteuse est malheureusement victime d’un autre accident, alors qu’elle répète un numéro de trapèze pour le gala de l’Union des artistes, avec son partenaire, le boxeur Jean-Claude Bouttier. Elle fait une chute grave et se brise les deux jambes. Ce n’est qu’après deux difficiles années de rééducation qu’elle recouvre complètement la capacité de marcher. « J’avais 23 ans, dix-huit fractures. J’étais défigurée, des broches qui sortaient de mes jambes« , s’était-elle souvenue dans We Culte.
Qui est le mari d’Isabelle Aubret ?
Isabelle Aubret devient la première artiste à représenter deux fois la France à l’Eurovision, lorsqu’elle est choisie en 1968 avec sa chanson, La Source, qui lui vaut une troisième place.
En 1969, elle quitte le label Polydor et signe un contrat d’enregistrement avec le label Meys, dont le producteur est Gérard Meys… qui devient son mari ! Isabelle Aubret n’a jamais eu d’enfants car les hommes de sa vie ne le souhaitaient pas.
Que devient Isabelle Aubret ?