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Comment est morte Christine Pascal ?

by Judith Ferrier

Alors qu’elle est soignée depuis le 24 août 1996 pour des troubles psychiatriques à la clinique du Château, à Garches, Christine Pascal se donne la mort dans la nuit du 30 au 31 août en sautant par une fenêtre de l’établissement.

Quelle est la journaliste qui est décédé ?

La journaliste et romancière Claude Sarraute, femme de télévision et de radio, est décédée dans la nuit de lundi à mardi, a annoncé sa famille à l’AFP. Elle avait 95 ans.

Fille aînée de l’une des grandes écrivaines du XXe siècle, Nathalie Sarraute (1900-1999), et de l’avocat Raymond Sarraute, elle développe un caractère rieur et anticonformiste malgré l’environnement sérieux et intellectuel dans lequel elle grandit : « J’ai fait rire ma mère jusqu’à 99 ans. J’étais d’une gaieté indélébile. Avec une femme pareille, c’était ma seule chance de m’en sortir, non ? », expliquait-elle à Libération.

Licenciée d’anglais, elle fait un peu de théâtre avant de se lancer dans le journalisme, collaborant au « Sunday Express ». En 1952, elle commence à écrire au Monde.

Comment est morte Dominique Laffin ?

C’est son premier film important, avec un personnage qui lui ressemble et lui offre l’affection du public. Elle poursuit alors avec des films d’auteurs, comme Tapage nocturne de Catherine Breillat et _Félicité_de Christine Pascal.

Elle est ensuite la partenaire de Roberto Benigni dans Pipicacadodode Marco Ferreri. Mais elle s’enlise peu à peu dans un cinéma d’auteur moins convaincant. Robert Enrico s’efforce bien de la relancer dansL’Empreinte des géants, mais le film est un échec.

Alors que Domdirecteur de casting, je l’ai présentée à Claude Sautet pour être la petite amie d’Yves Montand dans Garçon !

Dominique est morte à 33 ans, emportée par une crise cardiaque. Sa mort reste un mystère : suicide ou mort naturelle ? Ce qui est sûr, c’est qu’elle était encline au désenchantement et à un certain mal de vivre.

Dans le numéro de Cinématographe daté de juin 1985, le scénariste Jérôme Tonnerre écrit à son sujet :

Il y a deux catégories d’acteurs : ceux qui jouent le rôle et ceux qui le vivent. Dominique Laffin appartenant de toute évidence à la seconde.

Elle affrontait la caméra sans filet.

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Qui est le plus grand journaliste du Monde ?

Albert Londres
Image illustrative de l’article Albert Londres Albert Londres en 1923.
Nom de naissance Albert Baptiste Joseph Londres
Naissance 1er novembre 1884Vichy, Allier

voir acte de naissance no 154 vue 65

Décès 16 mai 1932 (à 47 ans)À bord du Georges Philippar, dans le golfe d’Aden, au large du protectorat d’Aden (auj. Yémen), océan Indien
Nationalité Drapeau de la France France
Profession Journaliste, écrivain
Spécialité Reportage, journalisme d’enquête
Médias actuels
Média Presse écrite
Historique
Presse écrite Le Salut Public, Le Matin, Le Petit Journal, Excelsior, Le Quotidien, Le Petit Parisien, Le Journal
modifier Consultez la documentation du modèle

Albert Londres, né le 1er novembre 1884 à Vichy et mort le 16 mai 1932 dans le golfe d’Aden, au large du protectorat d’Aden (auj. Yémen), dans l’océan Indien, est un journaliste et écrivain français qui a donné son nom au prix récompensant chaque année en France un reportage de qualité et qui reste une référence pour le journalisme d’investigation. Il est considéré comme l’un des plus célèbres commentateurs du Tour de France[1].

Maison natale d’Albert Londres à Vichy située au 2, rue Besse.

Albert Londres naît le 1er novembre 1884 à Vichy. Il est le fils de Jean-Marie Londres, chaudronnier, d’origine gasconne, et de Florimonde Baratier, d’une famille bourbonnaise. Son grand-père paternel était colporteur, parti de Labarthe-Rivière (Haute-Garonne), bourgade de Comminges ; après la mort de ce dernier, sa veuve était venue s’établir à Vichy avec ses trois enfants[2]. Le patronyme Londres aurait d’abord été Loundrès, terme gascon désignant des zones humides ou marécages, puis Londrès[3].

La fille d’Albert Londres, Florise, naît en 1904 et sa compagne, Marcelle Laforest, mère de Florise, meurt un an plus tard en 1905.

Après le lycée, Albert Londres part pour Lyon en 1901 pour travailler en tant que comptable. Il y fait la connaissance de Charles Dullin et d’Henri Béraud qui deviendront des amis proches. En 1903, il se décide à partir pour Paris. Il y publie son premier recueil de poèmes en 1904 : Suivant les heures. René Varennes signale les recueils ultérieurs : L’âme qui vibre (1905-1907), Lointaine, La Marche à l’étoile (1908-1910). Il écrit aussi une pièce de théâtre en cinq actes et en vers : Gambetta, qui ne fut cependant jamais jouée.

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Je m’enfermerai dans ma noble tour. Cloîtré je ferai d’ardentes prières Pour que l’amitié n’ait plus de frontières.

Albert Londres


Albert Londres

en 1923.
Nom de naissance Albert Baptiste Joseph Londres
Naissance 1

er

novembre 1884 Vichy, Allier voir acte de naissance n

o

154 vue 65
Décès 16 mai 1932 (à 47 ans) À bord du Georges Philippar, dans le golfe d’Aden, au large du protectorat d’Aden (auj. Yémen), océan Indien
Médias actuels

Qui est le plus grand journaliste au Monde ?

renverse les rôles, tout au moins les identifie. La plus grande journaliste du monde, je suppose, n’admet pas d’être vouée aux réponses. J’aurai droit à beaucoup de «  Et vous ? »au cours de cet entretien. Rebecca West commença fort jeune sa carrière de lutteuse. Elle était la troisième fille d’une très pauvre famille irlandaise, transplantée en Ecosse. A dix-sept ans, Rebecca, qui s’appelait alors Cecily Fairfield, quitta le collège d’Edimbourg et se lança dans le journalisme.

Précise, elle poursuit partout dans tous les domaines sa grande enquête humaine, et son style est inimitable. Son reportage sur le couronnement d’Elizabeth II fut un modèle du genre. Je le lui dis. «  Merci », répond-elle, pressée de se moquer d’elle-même. «  Vous auriez dû me voir à la sortie de l’abbaye, courant en robe d’apparat, un diadème sur la tête, sous les trombes d’eau qui s’abattirent ce jour-là, afin d’aller écrire mon article. »

Christine de Rivoyre

(12 mars 1955.)

Qui est le meilleur journaliste ?

C’est l’un des prix les plus prestigieux pour les journalistes: le palmarès du prix Albert Londres, qui distingue des journalistes francophones a été révélé ce mardi 4 juillet. Le prix Albert Londres récompense chaque année le meilleur reporter de presse écrite: il va à Samuel Forey. Journaliste indépendant installé en Irak, blessé alors qu’il couvrait la bataille de Mossoul, il est primé pour ses reportages à Mossoul dans le Figaro. Le prix était dédié cette année aux journalistes tués par l’explosion d’une mine à Mossoul. Depuis 1985, est aussi désigné le meilleur reporter audiovisuel, de moins de 40 ans. Il récompense le duo Tristan Waleckx et Matthieu Rénier, pour leur portrait de Vincent Bolloré diffusé sur France 2. Nouveauté cette année, le premier Prix Albert Londres du Livre a été attribué à David Thomson, journaliste pour RFI, pour « Les Revenants » (Editions Les Jours/ le Seuil), une enquête sur les jeunes jihadistes français qui rentrent de Syrie ou d’Irak, diffusée également sur le site « Les Jours ».

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