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Qui est l’actrice la plus belle du monde ?

by Marine Lamiaux

1 – Scarlett Johansson

Voilà enfin la grande gagnante de notre top 15 des actrices les plus glamours au monde : Scarlett Johansson ! Cette talentueuse actrice de 37 ans débute sur les planches de Broadway à seulement 8 ans. D’ailleurs, elle enchaînera les rôles au cinéma durant toute sa jeunesse.

Pourquoi Hedy Lamarr a inventé le wifi ?

Eté 1940. Dans une maison luxueuse de Los Angeles, une femme magnifique et un homme de petite taille sont accroupis sur le tapis du salon. Entourés de schémas complexes, ils manipulent avec précaution d’étranges mécanismes.

Faire basculer la Seconde Guerre mondiale : telle est la mission qu’ils se sont donnée ! Comment ? En inventant un procédé qui permettrait de rendre les torpilles sous-marines indétectables par les nazis. Ils travaillent sans relâche durant des mois. Bingo : en juin 1941, leur projet est breveté sous le titre « Système de communication secrète ». Mais la Navy n’y prête aucune attention. Et la guerre se gagne sans eux. En revanche, ils viennent d’inventer… le WiFi !

Tombé dans l’oubli après le conflit, leur brevet est récupéré par des militaires dans les années 1960, puis entre dans le domaine civil et trouve de nombreuses applications dans les réseaux sans fil. WiFi, GPS, codes-barres… Il est partout ! Mais qui sont ces deux inventeurs de génie ? Un tandem improbable : George Antheil, un musicien excentrique, et surtout une vamp hollywoodienne au destin incroyable : Hedy Lamarr.

Son premier coup d’éclat, Hedy le signe en 1932. Elle vit en Autriche, s’appelle encore Hedwig Kiesler, n’a pas 18 ans et apparaît nue dans Extase, un film austro-tchécoslovaque de Gustav Machaty. Elle court dévêtue dans les bois, une baignade laisse apparaître ses seins.

Qui est la fille la plus belle en France ?

4,3K

Les femmes françaises sont connues pour être élégantes et belles. Mais qui est la plus belle femme de France ?

De nombreux facteurs sont pris en compte lorsqu’on essaie de décider quelle femme est la plus belle. La beauté est généralement subjective. Ce que les gens trouvent beau, d’autres ne le voient pas forcément de la même manière. Certains préfèrent les femmes sexy à celles qui ont une silhouette volumineuse, tandis que d’autres aiment les femmes plus minces. Les couleurs et les goûts se disputent, c’est pourquoi il est difficile de décider qui est la femme la plus séduisante en France.

Qu’est-ce que la beauté ?

La beauté est ce qui rend un individu ou une chose agréable aux yeux. Les personnes sont souvent considérées comme belles, mais c’est aussi le cas des couchers de soleil, des paysages et des couchers de soleil . La beauté est généralement associée à la perfection, mais ce n’est pas toujours la réalité. La beauté peut être éphémère et ce n’est pas toujours le cas. Les femmes peuvent être belles à l’âge de 20 ans et moins attrayantes à quarante ans. La beauté peut être subjective, ce qui signifie que ce que certaines personnes considèrent comme beau, d’autres ne le voient pas nécessairement de la même manière.

Certaines femmes se distinguent par leur beauté

Pourtant, certaines femmes sont considérées comme belles. On peut penser à Laeticia Hallyday, Audrey Tautou, Marion Cotillard ou Catherine Deneuve. Ce sont des femmes françaises qui sont célèbres dans le monde entier pour leur élégance et leur beauté. Elles sont souvent copiées mais ne sont jamais égalées.

Il n’est pas facile de classer une femme comme étant la plus séduisante de France. Cependant, il est vrai que les femmes françaises sont généralement considérées comme élégantes et belles.

Quelles que soient leur forme et leur nuance, les femmes françaises sont toujours prêtes à faire tourner les têtes des hommes.

Qui est la plus belle femme de France ?

Quelle est la femme la plus éblouissante de France ? La réponse est Betul Yilmazturk : Selon une étude récente relayée par le site 10-raisons.fr, des scientifiques ont affirmé avoir découvert la femme la plus éblouissante vivant en France. Cette femme, Betul Yilmazturk, vit à Paris, la belle capitale française, qui est située dans la région Île-de-France.

Classement des plus belles femmes de France

16. Marion Cotillard

La beauté aux yeux bleus est la première sur notre sélection des plus belles femmes françaises. Elle est née le 30 septembre 1975 et a commencé à apparaître dans des films à la fin des années 1990. Marion Cotillard a reçu de nombreuses récompenses tout au long de sa carrière d’actrice. Elle a reçu un Oscar, un Golden Globe Award et deux César. Elle a fait la couverture de nombreux magazines, dont Vogue, Marie Claire, Harper’s Bazaar, Glamour, The Hollywood Reporter et Elle.

Quelles sont les femmes les plus belles du monde ?

Charlize Theron, Naomi Campbell, Audrey Hepburn, Emily Ratajkowski, Romy Schneider, Monica Bellucci, Laetitia Casta… Toutes ces femmes ont marqué leur époque, avec leurs styles bien différents, symboles de beauté idéales chacune à leur façon. Qu’elles soient des blondes sublimes comme Charlize Theron ou Scarlett Johansson, des pin-up à la Amber Heard, des femmes fatales à la Emily Ratajkowski, des baby dolls comme Doutzen Kroes, ou des femmes au charme inné comme Cameron Diaz ou Katie Holmes, elles ont toutes un visage dont le public se souvient, et elles inspirent beaucoup de femmes. Avec son immense sourire, la Française Iris Mittenaere, ancienne Miss France, a même récemment réussi à décrocher la couronne de Miss Univers. Quelques unes se sont imposées au cinéma, d’autres dans la musique. Certaines d’entre elles ont préféré faire de leurs traits leur gagne-pain, comme Claudia Schiffer, Naomi Campbell ou Kate Moss, mannequins stars des années 90, et qui ont toujours le vent en poupe et dont la beauté est toujours reconnue.

Des années 50 à nos jours, découvrez les 80 plus belles femmes du monde en images.

Quel est le salaire d’une actrice ?

Le salaire d’un acteur s’élève à 4500 € net par mois, en moyenne. Il existe toutefois des disparités entre les revenus très importantes.

Pourquoi Hedy Lamarr A-t-elle inventé le Wi-Fi ?

Eté 1940. Dans une maison luxueuse de Los Angeles, une femme magnifique et un homme de petite taille sont accroupis sur le tapis du salon. Entourés de schémas complexes, ils manipulent avec précaution d’étranges mécanismes.

Faire basculer la Seconde Guerre mondiale : telle est la mission qu’ils se sont donnée ! Comment ? En inventant un procédé qui permettrait de rendre les torpilles sous-marines indétectables par les nazis. Ils travaillent sans relâche durant des mois. Bingo : en juin 1941, leur projet est breveté sous le titre « Système de communication secrète ». Mais la Navy n’y prête aucune attention. Et la guerre se gagne sans eux. En revanche, ils viennent d’inventer… le WiFi !

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Tombé dans l’oubli après le conflit, leur brevet est récupéré par des militaires dans les années 1960, puis entre dans le domaine civil et trouve de nombreuses applications dans les réseaux sans fil. WiFi, GPS, codes-barres… Il est partout ! Mais qui sont ces deux inventeurs de génie ? Un tandem improbable : George Antheil, un musicien excentrique, et surtout une vamp hollywoodienne au destin incroyable : Hedy Lamarr.

Son premier coup d’éclat, Hedy le signe en 1932. Elle vit en Autriche, s’appelle encore Hedwig Kiesler, n’a pas 18 ans et apparaît nue dans Extase, un film austro-tchécoslovaque de Gustav Machaty. Elle court dévêtue dans les bois, une baignade laisse apparaître ses seins.

Où est morte Hedy Lamarr ?

Le Docteur O’Sullivan et ses collègues ont en quelque sorte inventé le WiFi. En 1992 et 1996, le CSIRO a obtenu des brevets pour une méthode utilisée plus tard dans le WiFi pour « ne pas diffuser » le signal.

La première version du protocole 802.11 a été publiée en 1997. Elle permet d’atteindre des vitesses de liaison allant jusqu’à 2 Mbit/s. Cela a été mis à jour en 1999 avec 802.11b pour permettre d’atteindre des vitesses de liaison de 11 Mbit/s.

Evolution de la Wi-Fi Alliance

En 1999, la Wi-Fi Alliance est devenue une association commerciale afin de pouvoir détenir la propriété de la marque Wi-Fi ; sous laquelle la plupart des produits sont vendus.

Le WiFi utilise un grand nombre de brevets détenus par de nombreuses organisations différentes. En avril 2009, 14 entreprises ont accepté de verser 1 milliard de dollars au CSIRO pour des infractions aux brevets du CSIRO. Cela a conduit l’Australie à qualifier le WiFi d’invention australienne ; bien que cela ait fait l’objet de controverses.

Le CSIRO a remporté une autre victoire juridique en 2012 et a touché 220 millions de dollars pour des violations de brevets WiFi ; des entreprises aux États-Unis devant payer les droits de licence du CSIRO. Ces droits ont été estimés à 1 milliard de dollars de redevances supplémentaires.

Étymologie du mot WiFi

Le nom Wi-Fi, commercialement utilisé au moins dès août 1999, a été inventé par la société de conseil en marques Interbrand.

La Wi-Fi Alliance avait fait appel à Interbrand pour créer un nom qui était «un peu plus accrocheur que la séquence directe IEEE 802.11b ». Phil Belanger, un membre fondateur de l’Alliance Wi-Fi qui présidait la sélection du nom « Wi-Fi », a déclaré qu’Interbrand a inventé le mot Wi-Fi en s’inspirant du mot Hi-fi. Ce mot est parfois écrit WiFi ou Wifi, mais ceux-ci ne sont pas approuvés par la Wi-Fi Alliance.

De plus, Interbrand a également créé le logo Wi-Fi. Le logo Wi-Fi, s’inspirant du yin et du yang, indique la certification d’un produit pour l’interopérabilité.

La Wi-Fi Alliance a aussi utilisé la marque Wireless Fidelity dans le slogan publicitaire «The Standard for Wireless Fidelity» pendant une courte période après la création de la marque. Aussi, la Wi-Fi Alliance s’est également appelée « Wireless Fidelity Alliance Inc » dans certaines publications.

Enfin, les technologies non-WiFi destinées à des points fixes, tels que Motorola Canopy, sont généralement décrites comme des technologies sans fil fixes. Les technologies sans fil alternatives incluent les normes de téléphonie mobile ; telles que 2G, 3G, 4G et LTE.

Mode ad-hoc WiFi

Les nœuds WiFi fonctionnant en mode ad-hoc font référence à des dispositifs qui communiquent directement les uns avec les autres sans avoir besoin de communiquer d’abord avec un point d’accès (également appelé station de base).

Le mode Ad-hoc a été inventé par Chai K. Toh lors de son invention du routage ad-hoc WiFi en 1996.

Quelle est l’actrice française qui vient de décéder ?

« La vie, on n’en a qu’une. Faut se défoncer pour que ça se passe le mieux possible. »Comme elle l’avait confié dans les colonnes de Ouest France, en août 2018, c’était ainsi que Mylène Demongeot a mené sa vie jusqu’à son dernier souffle. Après avoir mené un long combat contre un cancer du péritoine, l’actrice est décédée à l’âge de 87 ans, comme l’a rapporté l’écrivain Henry-Jean Servat à nos confrères de Midi Libre, ce jeudi 1er décembre. Face à la maladie, la star du 7e art n’avait jamais baissé les bras. À l’annonce de sa récidive en 2022, elle avait immédiatement repris les séances de chimiothérapie. À bout de forces, elle avait pourtant décidé de tout stopper et d’entamer un nouveau procédé dans lequel elle avait misé tous ses espoirs. « Je refuse de me laisser abattre , ce serait lui laisser gagner la partie et il en est hors de question », avait-elle assuré lors d’une interview accordée à France Dimanche, en octobre 2022. Et d’ajouter avec une incroyable rage de vaincre. « Je me battrais jusqu’au bout ! Je ne peux pas mourir… »

Si Dalida souhaitait Mourir sur scène, Mylène Demongeot, elle, espérait tirer sa révérence sur les plateaux de tournage. Malgré le cancer et les longues heures d’immunothérapie, elle n’a jamais refusé un script et a multiplié les rôles pendant près de 70 ans. Et pour cause.

Quel acteur est mort en plein tournage ?

En marge ou directement sur le tournage, il arrive, parfois, que des accidents tragiques aient lieu et cela peut toucher tout le monde, personne n’est épargné.

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Le destin tragique de certains acteurs

Si certains acteurs ont l’habitude d’incarner des personnages qui meurent dans leurs rôles, il arrive aussi que la mort touche les acteurs eux-mêmes durant un tournage. Par chance, certains en réchappent de justesse, mais d’autres n’ont pas eu cette chance et ont été victimes de véritables drames. C’est par exemple le cas du fils de Bruce Lee, Brandon, qui décède sur le tournage du film The Crow en se faisant tirer dessus. Au contraire, certains perdurent en forme comme ces acteurs de plus de 50 ans au physique impressionnant.

Les célébrités décédées pendant un tournage

Mais s’il y a bien une mort d’un acteur pendant un film qui a ému tout le monde, c’est celle de Paul Walker. L’acteur principal de Fast and Furious décède tragiquement dans un accident de voiture en marge du tournage de l’opus.

Quelle actrice est morte Decapitee ?

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29 juin 1967. Le jour où Jayne Mansfield perd son cerveau dans un accident de voiture

À ÉCOUTER. L’actrice, célèbre pour ses rôles d’aguicheuse à forte poitrine, possédait un quotient intellectuel rivalisant avec celui d’Albert Einstein.

Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos Publié le 29/06/2019 à 07h05 – Modifié le 29/06/2023 à 01h05

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Le 29 juin 1967, peu après 2 heures du matin, le monde perd la plus belle blonde à forte poitrine de tous les temps. La voiture de Jayne Mansfield, 163 de QI (quotient intellectuel) et 115 de tour de poitrine, s’encastre dans un camion. Quelques heures plus tôt, l’actrice américaine de 34 ans quitte Biloxi dans le Mississippi afin de rejoindre par la route La Nouvelle-Orléans, où elle doit participer à un show télé. La grosse Buick Electra 225 dans laquelle elle a pris place est conduite par son chauffeur habituel, Ronnie Harrison. Sont également du voyage son amoureux du moment, Sam Brody, et ses trois enfants, fruits d’un précédent mariage.

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Les trois adultes s’installent à l’avant de la grosse voiture, tandis que les trois enfants s’allongent sur la banquette arrière pour dormir. Vers…

Qui est l’inventeur de la Wi-Fi ?

Eté 1940. Dans une maison luxueuse de Los Angeles, une femme magnifique et un homme de petite taille sont accroupis sur le tapis du salon. Entourés de schémas complexes, ils manipulent avec précaution d’étranges mécanismes.

Faire basculer la Seconde Guerre mondiale : telle est la mission qu’ils se sont donnée ! Comment ? En inventant un procédé qui permettrait de rendre les torpilles sous-marines indétectables par les nazis. Ils travaillent sans relâche durant des mois. Bingo : en juin 1941, leur projet est breveté sous le titre « Système de communication secrète ». Mais la Navy n’y prête aucune attention. Et la guerre se gagne sans eux. En revanche, ils viennent d’inventer… le WiFi !

Tombé dans l’oubli après le conflit, leur brevet est récupéré par des militaires dans les années 1960, puis entre dans le domaine civil et trouve de nombreuses applications dans les réseaux sans fil. WiFi, GPS, codes-barres… Il est partout ! Mais qui sont ces deux inventeurs de génie ? Un tandem improbable : George Antheil, un musicien excentrique, et surtout une vamp hollywoodienne au destin incroyable : Hedy Lamarr.

Son premier coup d’éclat, Hedy le signe en 1932. Elle vit en Autriche, s’appelle encore Hedwig Kiesler, n’a pas 18 ans et apparaît nue dans Extase, un film austro-tchécoslovaque de Gustav Machaty. Elle court dévêtue dans les bois, une baignade laisse apparaître ses seins.

Pourquoi on dit le Wi-Fi ?

Pour enfoncer le clou, la nouvelle “Académie française” du net (Wikipedia) a choisi son camp : l’article sur le protocole Wifi débute par ces mots “Le Wi-Fi (nom masculin)”.

Les indécis plaident pour la marque

En toute logique, Wifi étant le nom d’une marque, le terme devrait échapper à la question du genre. On dit bien “Quel est ton code Wifi ?” après tout. Mais essayez donc de dire “As-tu Wifi ?” ou “Wifi rame ce soir”, et on vous prendra soit pour un snob, soit pour une personne très très fatiguée. Vous serez donc tôt ou tard obligé de trancher pour l’un ou l’autre : masculin ou féminin ?

Et que dit-on à l’étranger ?

Dans les langues où le genre neutre existe, la question ne se pose pas. En revanche, le débat existe bien en Espagne et en Italie, comme en France. La “Fundacion del espanol urgente” (Fundeo BBVA) explique par exemple sur son site que les deux genres sont possibles : on dira “la Wifi” si on parle de l’espace Wifi (la “zona” Wifi) et “el Wifi” dans le cas du protocole.

Qui fut à l’origine d’internet ?

La naissance d’Internet et du World Wide Web : vers la connectivité à l’échelle mondiale

Ne vous est-il jamais arrivé, suite à une panne internet, d’avoir l’impression de ne rien pouvoir faire ? D’être entièrement bloqué ? Difficile d’imaginer la vie sans internet… C’est probablement l’invention du numérique qui conditionne le plus notre vie. Pourtant, au regard de l’histoire de l’informatique, elle est relativement récente !

Les premiers jours d’Internet et sa place dans l’écosystème numérique mondial

Internet est officiellement né le 12 mars 1989. Son inventeur : Tim Berners-Lee. Il met en place le World Wide Web dans le but de faciliter le partage d’informations, de fichiers et de courriers électroniques. Dès lors, il devient plus facile à tout un chacun de stocker des documents dans un endroit que d’autres personnes peuvent consulter. Le web se présente alors comme une alternative à l’envoi de documents par un serveur. C’est avec les progrès des ordinateurs personnels et des réseaux de communication qu’il se démocratise.

Internet est une invention au cœur du monde de l’informatique… et de la data.

Qui est à l’origine d’internet ?

Terminologie

Le terme américain « Internet » est dérivé du concept d’internetting, en français : « interconnecter des réseaux », dont la première utilisation documentée remonte à octobre 1972 par Robert Elliot Kahn[2], dans le cadre de la première International Conference on Computer Communications (ICCC) à Washington. Les origines exactes du terme restent à déterminer. Le 1er janvier 1983, le nom « Internet », déjà en usage pour désigner l’ensemble d’ARPANET et de plusieurs réseaux informatiques, devient officiel[3].

En anglais, « un internet » (nom commun, sans majuscule) est un terme technique désignant un réseau constitué de l’interconnexion de plusieurs réseaux informatiques au moyen de routeurs[4]. Écrire « Internet » avec une majuscule permet alors de distinguer le réseau global d’un quelconque autre réseau de réseaux. L’usage de la minuscule devient toutefois majoritaire vers 2015[5]. En 2016, l’agence Associated Press adopte la minuscule dans son Stylebook, qui fait office de « bible orthotypographique » de la presse anglo-saxonne[6].

En français, une controverse porte sur l’usage ou non d’une majuscule (« Internet » ou « internet ») et sur l’usage d’un article défini (« l’Internet » ou « Internet »)[7]. Dans l’usage courant, l’article est très peu employé.

En France

La Commission générale de terminologie et de néologie indique qu’il faut utiliser le mot « internet » comme un nom commun, c’est-à-dire sans majuscule[8]. Dans son dictionnaire, l’Académie française donne un exemple utilisant la forme « l’internet »[9].

Au Québec

L’Office québécois de la langue française recommande d’utiliser une majuscule, car le terme « est considéré comme un nom propre qui désigne une réalité unique »[10]. De nombreux correcteurs orthographiques intégrés aux logiciels francophones utilisent la majuscule (Microsoft Office, Mozilla Firefox…).

Enfin, certains, comme Frédéric Martel, estiment qu’il faudrait aller plus loin et dire « les internets » (au pluriel et avec une minuscule) en raison du fait qu’Internet « est partout différent »[11].

Le débat se poursuit, en France comme dans d’autres pays.

Historique

En 1934, Paul Otlet décrit dans son Traité de documentation[12] une vision prémonitoire de l’avènement d’Internet.

Années 1960

Au début des années 1960, J.C.R. Licklider du Massachusetts Institute of Technology (MIT) décrivit pour la première fois les interactions sociales possibles avec un réseau d’ordinateurs[13],[14].

A LIRE  Comment savoir si une femme est sous le charme ?

En 1961, Leonard Kleinrock, également du MIT, publia le premier texte théorique sur la commutation de paquets[15].

En octobre 1962, Licklider fut le premier chef du programme de recherche en informatique de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), organisme de recherche pour la défense américaine. Il persuada ses successeurs Ivan Sutherland, Bob Taylor et le chercheur du MIT Lawrence G. Roberts de l’intérêt des réseaux informatiques.

En 1964, Leonard Kleinrock publia le premier livre sur le sujet.

En 1965, Roberts testa avec Thomas Merrill la première connexion informatique à longue distance, entre le Massachusetts et la Californie.

Quel pays a inventé le Wi-Fi ?

Malgré l’intérêt notable de l’invention de l’Autrichienne, ce n’est qu’en 1997 que les États-Unis remercieront Hedy Lamarr pour avoir mis au point le saut de fréquence.

Une reconnaissance tardive, après avoir plongé dans l’alcoolisme, Hedy Lamarr est décédée en 2000, à 86 ans dans un anonymat relatif.

Reconnaissance posthume

Ce n’est que récemment que son histoire a été révélée au grand public grâce au documentaire « Heddy Lamarr from extase to wifi », d’Alexandra Dean, sorti en 2017. La réalisatrice retrace la vie hors du commun de cette femme, en tant qu’actrice, mais aussi en tant qu’inventrice de talent.

Étalement de spectre par saut de fréquence, ancêtre du Wi-Fi

Hedy Lamarr n’a pas inventé à proprement parler le Wi-Fi, mais son invention a apporté les bases. Le saut de fréquence est encore aujourd’hui utilisé dans certaines liaisons chiffrées militaires, mais aussi dans la téléphonie mobile, pour le positionnement par satellite et les communications des navettes spatiales avec la Terre.

Lors de la déclassification du brevet des deux inventeurs, les constructeurs de matériels de transmission se sont basés dessus pour développer des moyens de communication. Dans les années 80, les téléphones portables ont énormément profité de cette invention.

Plus tard encore, l’étalement de spectre par saut de fréquence a été utilisé dans les premiers standards du Wi-Fi, la norme 802.11.

Quel est le Wi Fi le plus rapide ?

L’Union européenne a ouvert le spectre de 480 MHz (3 × 160 MHz) dans la bande 6 GHz pour mettre en œuvre des systèmes d’accès sans fil. Que signifie pour vous ce WiFi nouvelle génération ?

Êtes-vous dérangé par un nombre croissant d’appareils sans fil ? Vos appareils sont toujours bloqués dans un trafic dense ? Êtes-vous préoccupé par le surpeuplement sur les bandes 2,4 GHz et 5 GHz ou les interférences de vos voisins ? Le WiFi 7 résoudra tous ces problèmes, amenant vos performances réseau quotidiennes à un nouveau niveau. Il est idéal pour divers cas d’utilisation tels que le streaming multimédia 8K, le transfert de fichiers volumineux, l’AR/VR, le cloud computing, le travail à distance et les réunions vidéo.

TP-Link deviendra l’un des pionniers ouvrant la voie du WiFi 7 et restera l’un des fournisseurs les plus puissants de technologie de réseau sans fil à l’avenir.

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Qui est à l’origine de l’Internet ?

Terminologie

Le terme américain « Internet » est dérivé du concept d’internetting, en français : « interconnecter des réseaux », dont la première utilisation documentée remonte à octobre 1972 par Robert Elliot Kahn[2], dans le cadre de la première International Conference on Computer Communications (ICCC) à Washington. Les origines exactes du terme restent à déterminer. Le 1er janvier 1983, le nom « Internet », déjà en usage pour désigner l’ensemble d’ARPANET et de plusieurs réseaux informatiques, devient officiel[3].

En anglais, « un internet » (nom commun, sans majuscule) est un terme technique désignant un réseau constitué de l’interconnexion de plusieurs réseaux informatiques au moyen de routeurs[4]. Écrire « Internet » avec une majuscule permet alors de distinguer le réseau global d’un quelconque autre réseau de réseaux. L’usage de la minuscule devient toutefois majoritaire vers 2015[5]. En 2016, l’agence Associated Press adopte la minuscule dans son Stylebook, qui fait office de « bible orthotypographique » de la presse anglo-saxonne[6].

En français, une controverse porte sur l’usage ou non d’une majuscule (« Internet » ou « internet ») et sur l’usage d’un article défini (« l’Internet » ou « Internet »)[7]. Dans l’usage courant, l’article est très peu employé.

En France

La Commission générale de terminologie et de néologie indique qu’il faut utiliser le mot « internet » comme un nom commun, c’est-à-dire sans majuscule[8]. Dans son dictionnaire, l’Académie française donne un exemple utilisant la forme « l’internet »[9].

Au Québec

L’Office québécois de la langue française recommande d’utiliser une majuscule, car le terme « est considéré comme un nom propre qui désigne une réalité unique »[10]. De nombreux correcteurs orthographiques intégrés aux logiciels francophones utilisent la majuscule (Microsoft Office, Mozilla Firefox…).

Enfin, certains, comme Frédéric Martel, estiment qu’il faudrait aller plus loin et dire « les internets » (au pluriel et avec une minuscule) en raison du fait qu’Internet « est partout différent »[11].

Le débat se poursuit, en France comme dans d’autres pays.

Historique

En 1934, Paul Otlet décrit dans son Traité de documentation[12] une vision prémonitoire de l’avènement d’Internet.

Années 1960

Au début des années 1960, J.C.R. Licklider du Massachusetts Institute of Technology (MIT) décrivit pour la première fois les interactions sociales possibles avec un réseau d’ordinateurs[13],[14].

En 1961, Leonard Kleinrock, également du MIT, publia le premier texte théorique sur la commutation de paquets[15].

En octobre 1962, Licklider fut le premier chef du programme de recherche en informatique de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), organisme de recherche pour la défense américaine. Il persuada ses successeurs Ivan Sutherland, Bob Taylor et le chercheur du MIT Lawrence G. Roberts de l’intérêt des réseaux informatiques.

En 1964, Leonard Kleinrock publia le premier livre sur le sujet.

En 1965, Roberts testa avec Thomas Merrill la première connexion informatique à longue distance, entre le Massachusetts et la Californie.

Quel est le continent de la WiFi ?

L’Afrique est la moins connectée des six régions de l’UIT, avec 40 % de la population en ligne, dans les pays arabes ce taux est de 70 %. En Asie-Pacifique, le taux de pénétration de l’internet est passé de 61 % en 2021 à 64 % cette année. Les Amériques, la Communauté des Etats Indépendants et l’Europe affichent des taux de plus de 80 %. Le Vieux continent arrive en tête avec 89 % de sa population connectée.

 

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