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Quelle est la prison la plus dangereuse de la Côte d’Ivoire ?

by Nadia Moulin

Construite en 1980, la prison de douze hectares est située entre le vaste quartier périphérique de Yopougon et le parc national du Banco, avec une capacité théorique de 1 500 détenus. Dégradée et surpeuplée, la MACA a une très mauvaise réputation.

Quelle est la prison la plus vieille de France ?

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Blottie au coeur d’un large méandre du Lot, Cahors offre un concentré monumental qui couvre plus de 2000 ans d’histoire. Des vestiges galloromains à la naissance de Léon Gambetta, de l’antique Divona Cadurcorum à nos jours, l’histoire a façonné les lieux de Cahors, donnant à cette ville un charme indéfinissable. Le puissant pont Valentré, inscrit au patrimoine mondial de l’Humanité, vaut à lui tout seul un détour par Cahors, sans oublier les saveurs de la gastronomie locale et le célèbre vignoble. Ce guide propose un historique de la ville et une description des principaux monuments. Il comprend de nombreuses illustrations, une liste d’adresses utiles, trois plans détaillés et trois circuits de visite pour ne rien manquer des richesses cadurciennes.

Quelle est la prison la plus dangereuse en France ?

Trois mois plus tard, la prison est le théâtre d’un nouvel incident : Francis Dorffer a séquestré durant plus de cinq heures deux surveillants. Un bunker sous tension

Le village de Condé-sur-Sarthe (2 500 habitants) abrite une des prisons les plus récentes et modernes de l’Hexagone. Mise en service en 2013, elle est réputée pour être « la prison la plus sécuritaire de France », avec celle de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais). Avec ses portes à effet de sas, ses murs très hauts et son gigantesque mirador, cette prison est un lieu « bunkerisé et très oppressant », décrit Delphine Boesel, avocate et présidente de la section française de l’Observatoire international des prisons (OIP).

Cet établissement de haute sécurité est divisé en trois quartiers, dont un destiné à la prévention de la radicalisation. « Les détenus vivent dans de petites unités totalement hermétiques les unes par rapport aux autres. Ils n’ont de contacts qu’avec ceux qui sont dans la même qu’eux », poursuit Delphine Boesel. Sans compter que les incidents de 2019 ont poussé le directeur de la prison à durcir sensiblement les règles et les conditions de détention.

Des détenus très dangereux

Les 129 détenus n’ont pas les mêmes profils que ceux des maisons d’arrêt classiques. Ici, beaucoup purgent de très longues peines.

Qui est le prisonnier le plus dangereux de France ?

Ce mardi, selon les informations d’Europe 1, Youssouf Fofana aurait même préparé une sorte de discours pour le tribunal, lui qui porte la barbe et qui a fait savoir aux surveillants de prison qu’il espérait que Daech le missionne pour passer à l’acte.

Après sa condamnation en 2009 pour l’assassinat d’Ilan Halimi, Youssouf Fofana avait posté une vidéo de lui sur Youtube, depuis sa cellule

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Qui est le prisonnier le plus dangereux du monde ?

condamné Joseph de Angelo plus connu sous le nom de Golden State killer était un ancien officier de police américain qui a terrorisé la Californie dans les années. 1970. et 1980 ce tueur en série a commis une série de meurtres de cambriolage dans tous les cas avant de disparaître.

Qui est le pire prisonnier du monde ?

L’homme est bien connu des Russes: il est sans doute le pire tueur en série de leur histoire.Itinéraire d’un assassin

Mikhail Popkov est aujourd’hui âgé de 58 ans. Il est né dans la ville-usine de Norilsk, en Sibérie-Orientale, tristement célèbre pour avoir hébergé l’un des goulags les plus sinistres de la période stalinienne. Il met plus tard le cap à l’est de la Russie et devient policier à Irkoutsk. Mais le membre des forces de l’ordre se mue en prédateur. Expliquant plus tard ses crimes par sa détestation des « femmes frivoles » – comme l’a remarqué ici CNews -, il se sert de sa voiture de service pour emporter prostituées, clientes de bar ou promeneuses, vers des endroits isolés, les tuer, les mutiler et éventuellement les violer. Le tout sur une période courant de 1992 à son arrestation en 2012.

Mikhail Popkov a d’abord été condamné à une première peine de perpétuité pour 22 meurtres en 2015, puis à une seconde après qu’il en a avoué une cinquantaine d’autres. Reconnu comme l’auteur de 78 meurtres, il en a depuis concédé cinq supplémentaires, soit un terrible bilan de 83 victimes. Une hécatombe qui a poussé l’opinion à lui forger deux surnoms: « le loup-garou », et « le fou d’Angarsk ».

Quel est le pire criminel de France ?

Il est devenu fou peu de temps après la guerre et l’exécution de la “pucelle d’Orléans”. Il aurait enlevé, tué et violé (dans cet ordre-là) 140 enfants avant d’être exécuté pour infanticides, invocations diaboliques et lèse majesté en 1440.

A suivi Hélène Jégado au 19e siècle, encore considérée comme “la plus grande empoisonneuse du monde”. Cette cuisinière bretonne a tenté d’empoisonner une centaine de personnes avec de l’arsenic pendant 18 ans (ses motivations restent floues). Elle aurait réussi à en tuer environ 80 avant d’être finalement dénoncée par des enquêteurs et guillotinée à Rennes en 1852.

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Un historique macabre

D’autres criminels sont encore cités aujourd’hui comme les pires tueurs en série de l’histoire de France, comme Henri Désiré Landru et Marcel Petiot aux 19e et 20e siècles.

Henri Désiré Landru était surnommé “le Barbe-bleue de Gambais”. Grand séducteur et voleur, il a abusé et escroqué plusieurs femmes veuves et en a tué 11, avant d’être finalement guillotiné pour ses actes en 1922.

De son côté, Marcel Petiot était surnommé “docteur satan” par la presse. La justice a découvert en 1946 qu’il avait tué au moins une trentaine de patients, des familles entières et des “malfaiteurs”, d’après ses propres mots. Il a également été guillotiné pour ses meurtres.

Qui est le plus grand criminel de France ?

Guy Georges, de son nom de naissance Guy Rampillon, né le 15 octobre 1962 à Vitry-le-François (Marne), est un tueur en série et un violeur en série français qui était actif pendant les années 1990 en France. Il a été condamné le 5 avril 2001, pour sept meurtres, à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une période de sûreté de vingt-deux ans.

Guy Rampillon naît le 15 octobre 1962 à Vitry-le-François. Son père, George Cartwright, soldat afro-américain, est cuisinier sur la base américaine de l’OTAN de Marly-le-Roi, de passage en France et déjà marié aux États-Unis. Sa mère, Hélène Rampillon, Angevine, est montée à Marly-le-Roi travailler « au bouchon » dans les bars américains. En avril 1961, elle a eu un premier fils prénommé Stéphane, né de père inconnu. Ce premier enfant est élevé par les parents d’Hélène qui s’occupent parfaitement de lui.

Guy Rampillon est rapidement renié et abandonné par sa mère, et rejeté par ses grands-parents maternels qui considérent qu’il n’est que le fruit d’une aventure extra-conjugale. D’après le frère d’Hélène Rampillon, la couleur de sa peau ne semblait pas être un problème et donc pas la cause de ce rejet. Hélène Rampillon part vivre en Californie avec Stéphane. Elle refera sa vie loin de son deuxième fils et ne le verra jamais lors de ses brefs retours en France. Guy Rampillon est d’abord placé à Angers chez des nourrices qu’Hélène ne peut pas — ou ne veut pas — payer puis confié le 9 mai 1963 à la DDASS qui le place dès le 4 juin 1963 dans la banlieue d’Angers, chez la famille Morin qui compte cinq enfants. Mme Jeanne Morin avait déjà eu par la DDASS un enfant noir qu’elle avait pleuré quand on le lui avait repris. Guy George est accueilli comme un enfant de substitution. Il révèle très tôt un caractère solitaire au sein de cette famille nombreuse constituée de treize enfants adoptés, puis, très vite, un tempérament violent et agressif[1].

Sa mère n’ayant pas signé les papiers officiels d’abandon, il ne peut être adopté.

Le 2 février 1966, la DDASS constate « l’état d’abandon » de Guy Rampillon, bientôt pupille de l’État sous le matricule 5086.

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Afin de faciliter son adoption, par décision de justice le 23 février 1968, son nom de naissance (Rampillon), qui est celui de sa mère, est remplacé par un patronyme (Georges) provenant du prénom de son père[2].

Sa scolarité est chaotique : après avoir redoublé le CM1, il entre en sixième de transition en septembre 1974, au collège privé Notre-Dame, à Baugé en Maine-et-Loire[3],[2]. Solitaire, ses loisirs consistent à se promener dans les bois et à chasser, à l’exemple de Joe l’Indien, personnage des Aventures de Tom Sawyer, avec deux de ses frères adoptifs ; il traque, capture et vide lui-même le gibier qu’il trouve[3].

Guy Georges

Tueur en série, violeur en série
Nom de naissance
Guy Rampillon
Naissance 15 octobre 1962 Vitry-le-François (Marne)
Surnom Le tueur de l’Est parisien Le tueur de la Bastille Joe the Killer G le maudit La bête de la Bastille SK1 (Serial Killer number 1)
Condamnation 5 avril 2001

Qui est le criminel le plus dangereux du monde ?

Accusée d’avoir organisé une prise d’otages dans un tribunal dont l’issue a été meurtrière, arrêtée puis acquittée en 1971.

  • Eduardo Ravelo (né en 1968), trafiquant de drogue, arrêté en 2018.
  • James Earl Ray (1928-1998), condamné pour l’assassinat de Martin Luther King, mort en prison.
  • Christopher Wilder (1945-1984), tueur en série, tué par la police.
  • Ted Bundy (1946-1989), tueur en série, condamné à mort et exécuté.
  • Gary Ray Bowles, tueur en série, condamné à mort et exécuté en 2019.
  • Abdelbaset Ali Mohmed Al Megrahi (1952-2012), agent des services secrets libyens, condamné et emprisonné en Écosse pour sa participation à l’attentat de Lockerbie contre un avion de la PanAm. Libéré en 2009 sur raison médicale (cancer en phase terminale), il meurt le 20 mai 2012.
  • Andrew Cunanan (1969-1997), tueur en série américain et notamment assassin du couturier Gianni Versace et du promoteur Lee Miglin, se suicide alors qu’il allait être arrêté[1].
  • Jesse James Hollywood (né en 1980), trafiquant de drogue et meurtrier, arrêté au Brésil et extradé.
  • Leonard Peltier (né en 1944), militant amérindien, accusé du meurtre de deux agents du FBI dans une réserve indienne, arrêté au Canada et extradé aux États-Unis en 1976.
  • Marc Rich figure de 1983 à 2001 sur la liste des Dix Fugitifs les plus recherchés du FBI, pour avoir contourné l’embargo sur l’Iran établi à la suite de la prise d’otages de l’ambassade des États-Unis en Iran. Il fut pour cela poursuivi et condamné aux États-Unis pour violation d’embargo. Le 19 septembre 1983, un grand jury fédéral américain l’accuse de plus de 50 chefs d’inculpation (fraude, commerce avec l’ennemi, etc.). Cette condamnation aurait pu lui valoir jusqu’à 325 années de prison. Mais elle est prononcée par contumace, Marc Rich s’étant enfui en Suisse. Celle-ci refuse l’extradition demandée en 1984 par les États-Unis.
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