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Qui est la mère de Maxime Le Forestier ?

by Judith Ferrier

Son père est britannique d’origine normande ; sa mère, Geneviève (dite Lili) (1917-2010) est française, elle a vécu un certain temps en Angleterre où elle a été traductrice pour des chaînes britanniques de télévision ; musicienne, elle a donné à ses enfants le goût de la musique, notamment du violon.

Quel âge a Catherine Le Forestier ?

Le titre ‘Qui fine arrivé’ de l’emblématique chanteur mauricien Claudio Veeraragoo est réédité dans la compilation MORIS ZEKLER – Fuzz & Soul Sega from 70’s Mauritius.

Pionnier du son rock et des guitares saturées à l’île Maurice, Claudio Veeraragoo est aussi connu pour « Ambalaba » qui a été repris par le chanteur Maxime Le Forestier. Ce ségatier d’origine indienne prend son inspiration dans la culture bollywoodienne comme dans les musiques africaines pour présenter une autre facette du séga. « À l’époque, la musique africaine était en vogue à l’île Maurice, et nous nous sommes inspirés de cela pour composer « Qui fine arrivé« , nous explique Claudio contacté au téléphone.

Sorti en 1971, l’envoûtant « Qui fine arrivé » est un morceau enregistré avec son groupe, qui deviendra par la suite le Satanik Group. L’artiste s’inspire aussi de ses idoles tels que Santana, Jimmy Hendrix ou encore du groupe de rock britannique The Shadows. « Lors d’une tournée à l’île de la Réunion, j’ai acheté un double album live du festival Woodstock dans lequel il y a un passage de Santana.

Quel est le vrai nom de Maxime Le Forestier ?

En avril 2013, il offre « Le cadeau », un nouvel opus. Maxime Le Forestier (Bruno Le Forestier de son vrai nom), est né le 10 février 1949 à Paris. Son univers d’enfant est bercé par la musique grâce à sa mère, mélomane avertie et entouré de ses deux sœurs aînées. Très jeune, il apprend le violon.

Comment se nomme le dernier album de Maxime Le Forestier ?

Voir mon actu Suivre La Presse de la Manche Maxime Le Forestier présentera samedi au théâtre à l’Italienne son dernier album.

Maxime Le Forestier sort son dernier album Paraître ou ne pas être et le voilà de nouveau sur les routes pour le présenter. Il ne sera pas tout seul lors de cette tournée. Il est accompagné d’Arthur Le Forestier (Alf) et Manu Galvin, guitaristes, de Sébastien Quezadas, percussionniste, d’Étienne Roumanet, bassiste, et de Bruno Guglielmi (BG) au clavier et guitare.

Arthur, le fils de Maxime, et Bruno sont amis, ils écrivent et composent ensemble depuis 2012. Alf & BG partageront tous deux la scène en première partie avant de laisser le plateau à Maxime Le Forestier. C’est dans sa maison de campagne que les nouvelles chansons ont été composées.

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L’album est une rencontre d’amis, d’imaginaires. Le titre de l’album est tiré d’un refrain obsédant « Paraître ou ne pas être/Ouh la la la question que voilà/Paraître ou ne pas être/La question fait débat ».

Qui est l’épouse de Maxime Le Forestier ?

Maxime Le Forestier aux Enfoirés 2013

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Maxime Le Forestier, de son vrai nom Bruno Le Forestier, né le 10 février 1949 à Paris, est un auteur-compositeur-interprète français.

Il est popularisé en 1972, avec des chansons comme Fontenay-aux-Roses, Parachutiste, San Francisco ou Mon frère, comprises dans son premier album studio, Mon frère. Vendu à plus d’un million d’exemplaires, il devient dès lors la « bande-son de toute une génération »[1].

Bruno Le Forestier naît à Paris le 10 février 1949, boulevard Pereire. Il a deux sœurs ainées : Anne née en 1943, et Catherine née en 1946.

Son père est britannique d’origine normande ; sa mère, Geneviève (dite Lili) (1917-2010) est française, elle a vécu un certain temps en Angleterre où elle a été traductrice pour des chaînes britanniques de télévision ; musicienne, elle a donné à ses enfants le goût de la musique, notamment du violon.

La famille vit à Neuilly-sur-Seine, les parents divorcent en 1963.

Bruno Le Forestier fait ses études secondaires au lycée Condorcet, mais ne dépasse pas le stade de la classe de première, renvoyé du lycée en 1965 pour indiscipline.

Au cours des années 1960, il forme le duo Cat & Maxim avec sa sœur Catherine, empruntant quelques chansons à Georges Moustaki, avant même que ce dernier ne les chante lui-même (Le facteur, La ballade de nulle part). Serge Reggiani interprète en 1968 une de ses compositions : Ballade pour un traître. C’est durant cette période qu’il adopte le prénom de Maxime. En 1969, il sort deux 45 tours en solo sous le label Festival.

En 1969, il fait son service militaire dans les troupes aéroportées, au 13e Régiment de dragons parachutiste de Dieuze. Mais il se fait porter malade avant son premier saut, et son esprit indiscipliné, son caractère rebelle l’empêchent de s’adapter à l’esprit de corps de son régiment. Il en fait tant à rebours qu’il est d’abord interné à l’infirmerie, avant que le régiment se débarrasse de lui en l’envoyant achever son service dans un bureau à Paris. Ce passage dans les troupes aéroportées lui inspirera la chanson antimilitariste Parachutiste.

En 1972, son premier album sort chez Polydor avec les titres : San Francisco, Mon frère, La Rouille, avec plusieurs titres écrits par Jean-Pierre Lemaire, alias Jean-Pierre Kernoa : Éducation sentimentale, La Rouille, Mourir pour une nuit, Fontenay-aux-roses, et un titre coécrit avec Catherine Le Forestier, Comme un arbre dans la ville. Le succès est énorme.

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En octobre 1972, il fait la première partie, à Bobino de son idole Georges Brassens. Révolté par le prix de ses places de concerts qu’il juge trop élevé, il impose des places à 10 F. En 1973, il profite d’une prestation à l’Olympia pour enregistrer un album en public. En 1974, il compose le générique de la série d’animation jeunesse Le Roman de Renart.

Qui a ecrit ambalaba ?

Le titre ‘Qui fine arrivé’ de l’emblématique chanteur mauricien Claudio Veeraragoo est réédité dans la compilation MORIS ZEKLER – Fuzz & Soul Sega from 70’s Mauritius.

Pionnier du son rock et des guitares saturées à l’île Maurice, Claudio Veeraragoo est aussi connu pour « Ambalaba » qui a été repris par le chanteur Maxime Le Forestier. Ce ségatier d’origine indienne prend son inspiration dans la culture bollywoodienne comme dans les musiques africaines pour présenter une autre facette du séga. « À l’époque, la musique africaine était en vogue à l’île Maurice, et nous nous sommes inspirés de cela pour composer « Qui fine arrivé« , nous explique Claudio contacté au téléphone.

Sorti en 1971, l’envoûtant « Qui fine arrivé » est un morceau enregistré avec son groupe, qui deviendra par la suite le Satanik Group. L’artiste s’inspire aussi de ses idoles tels que Santana, Jimmy Hendrix ou encore du groupe de rock britannique The Shadows. « Lors d’une tournée à l’île de la Réunion, j’ai acheté un double album live du festival Woodstock dans lequel il y a un passage de Santana.

Qui est la sœur de Maxime Le Forestier ?

Elle n’est en revanche pas accessible à toutes les bourses, puisqu’elle est proposée au prix de 3,5 millions de dollars, soit environ 3,2 millions d’euros. Sorti de terre en 1886, racheté en 2007 pour deux millions de dollars et rénové il y a dix ans, l’édifice est réparti sur trois niveaux, pour un total de 237 m2. On y trouve cinq chambres, un patio, ou encore un terrain de basket.

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En 1971, le chanteur à la guitare y passe un été, avec sa sœur Catherine. S’y trouve alors également une petite communauté de hippies et d’artistes. La maison est sise au 3 841, sur la 18e rue, dans le quartier de Castro, à San Francisco. L’endroit s’est embourgeoisé depuis. Sur place, une plaque précise aux passants d’où vient la renommée du lieu.

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Maxime Le Forestier s’y est rendu en 2011

L’agent immobilier chargé de trouver un acquéreur, Jessica Branson, a d’ailleurs probablement étudié ce rappel historique. À France Inter, elle avoue avoir vaguement entendu le célèbre titre de Maxime Le Forestier.

Quel est le style musical de Maxime Le Forestier ?

Un peu éprouvant…» Maxime Le Forestier est un homme-guitare, tout de notes et de mots, qui a poli sans fin son dernier opus, concentré de toutes ses influences, du protest singer à la française au baladin cosmopolite frotté de musiques du monde, un peu Brassens, un peu jazzman, sud-américain et yankee à la fois, amoureux des mélodies catchy, très français, au fond.

La gauche ? Il est tombé dedans à l’adolescence. Gauche de rupture : famille de droite – Maurras et Drumont dans la bibliothèque – un peu Pétain et très réac, une éducation catholique à Fénelon Sainte-Marie (Paris VIIIe). Sa mère divorce et rompt avec le milieu familial, lui passe à Condorcet, lycée laïque, où il voit pour la première fois des profs de gauche. Il est allergique à la discipline : il est viré après avoir malmené un enseignant. Pas grave : il a choisi l’école de la musique, classique chez lui avec ses deux sœurs, élèves du Conservatoire de Paris, folk dans les bars et les cabarets de la rive gauche, concept géographique et politique à la fois, où il croise Marc Ogeret ou Francesca Solleville qui chantent Eluard et Aragon. «C’était l’époque.» Il joue Brassens pour ses potes et forme vite un duo avec Catherine, sa sœur à la voix d’argent. «Cat et Maxim» chantent les chansons d’un copain inconnu, un certain Moustaki, qui n’a pas encore composé le Métèque.

Puis c’est une autre rupture, celle du service militaire dans les paras. «Quand tu tombes, on te relève à coups de pied.» Il s’évanouit pendant une revue : à l’infirmerie, le médecin le garde trois semaines pour qu’il lui apprenne la guitare en picking, le style des folkeux.

 

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