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Qui est le mari de Caroline Kennedy ?

by Judith Ferrier

Edwin Schlossberg est un designer américain né le 19 juillet 1945 . Il est l’époux de Caroline Kennedy, fille de John Fitzgerald Kennedy, 35e président des États-Unis.

Qui est James Kennedy ?

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

James Kennedy (vers 1408-1465) était évêque de Dunkeld (1437-1440), puis de St. Andrews (1440-1465). Il participa au concile de Florence et seconda la régente Marie d’Egmont pendant la minorité du roi d’Écosse Jacques III.

Il était le troisième et plus jeune fils né vers 1408 de Sir James Kennedy de Dunure et de la princesse Marie d’Écosse, fille de Robert III d’Écosse et veuve de George Douglas.

Il est élu évêque de St.Andrew en 1440 alors qu’il siège à Florence auprès du pape Eugène IV qui le consacre dans cette fonction. En 1444 il est nommé Chancelier d’Écosse à la place de William Crichton mais démissionne très rapidement pour éviter que cette nouvelle fonction interfère avec son sacerdoce.

En 1450, il fonde le Collège de St Salvator à St. Andrews.

Après la mort de Jacques II en 1460, Kennedy et son frère ainé Gilbert Kennedy 1er Lord Kennedy sont nommés parmi les six régents chargés du gouvernement pendant la minorité de Jacques III.

Quel âge a la fille de Kennedy ?

A Canberra, elle aura pour tâche de renforcer le front commun entre les Etats-Unis et l’Australie sur fond de tensions avec la Chine dans l’Indo-Pacifique.

L’annonce en septembre de l’achat par l’Australie de sous-marins américains à propulsion nucléaire avait notamment provoqué l’ire de Pékin, qui y avait vu une décision « extrêmement irresponsable ».

L’envoyé spécial de Joe Biden pour la région Indo-Pacifique, Kurt Campbell, avait quant à lui, début décembre, accusé la Chine de « mettre l’Australie à genoux » avec un barrage de sanctions s’apparentant, selon lui, à une « guerre économique ».

Une entrée tardive en politique

Agée de 64 ans, Caroline Kennedy est le seul enfant encore vivant de JFK et de Jackie Kennedy. En 1999, son frère John Kennedy Junior a perdu la vie lors du crash en mer du petit avion qu’il pilotait. Une mort tragique, comme pour tant de membres du clan, certains évoquant même la « malédiction des Kennedy ».

Caroline Kennedy apparaît dans une photo restée célèbre où, enfant, on la voit se cachant sous le bureau de son père à la Maison Blanche.

Quelle maladie avait Rosemary Kennedy ?

Tout comme Henrietta Lacks, à la même époque, la vie de Rosemary Kennedy fut tragiquement compromise en 1941, en raison des décisions prises par sa famille et ses médecins. Quelles ont été les motivations derrière ces décisions et comment ont-elles radicalement bouleversé le cours de sa vie ?

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La tragique histoire de Rosemary Kennedy et son destin obscur

Rosemary Kennedy est née le 13 septembre 1918 en tant que troisième enfant de Joseph P. Kennedy Sr. et Rose Fitzgerald Kennedy. Elle faisait partie de la célèbre famille Kennedy, connue pour son implication en politique et dans le service public aux États-Unis. Rosemary était décrite comme une jeune femme vivante et extravertie, mais sa vie prit un tournant tragique lorsqu’elle subit une lobotomie. En effet, en 1941, à l’âge de 23 ans, Rosemary a subi une lobotomie préfrontale, une procédure médicale qui implique la destruction des connexions entre les lobes frontaux et le reste du cerveau.

La lobotomie était une procédure médicale controversée pratiquée dans les années 1930 et 1940. Elle impliquait une intervention chirurgicale visant à sectionner ou à détruire les connexions nerveuses du lobe frontal du cerveau. Cette procédure était souvent utilisée comme traitement pour des troubles mentaux tels que la schizophrénie ou la dépression, mais elle était également utilisée de manière abusive et inappropriée dans certains cas.

Rosemary a subi une lobotomie en 1941, sur recommandation de son père et de certains médecins. À l’époque, il était pensé que cela pourrait la calmer et atténuer ses sautes d’humeur. Cependant, la lobotomie a eu des conséquences dévastatrices sur Rosemary. La procédure a entraîné une détérioration de ses capacités mentales et cognitives. Elle a perdu la capacité de parler de manière cohérente, de marcher normalement et de mener une vie indépendante.

Les raisons de la lobotomie de Rosemary Kennedy

Les raisons de la lobotomie de Rosemary Kennedy peuvent être examinées à travers différents aspects. Tout d’abord, ses problèmes de comportement et d’humeur étaient considérés comme significatifs et difficiles à gérer, d’autant plus en raison de son retard mental. En effet, Rosemary Kennedy était atteinte d’un retard mental. Ce retard se caractérisait par des limitations significatives dans le développement de ses capacités intellectuelles et de son fonctionnement adaptatif. Rosemary présentait des comportements impulsifs, des sautes d’humeur intenses et des accès de colère fréquents, des symptômes qui pouvaient être exacerbés par sa condition intellectuelle. Ses troubles du comportement représentaient un défi considérable pour sa famille et les professionnels de la santé qui s’occupaient d’elle au quotidien, car ils devaient composer avec une combinaison complexe de troubles mentaux et de limitations cognitives. Dans l’espoir de trouver une solution pour atténuer ses symptômes et améliorer sa qualité de vie, la lobotomie a été envisagée comme une option thérapeutique.

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Cependant, il existe également des spéculations sur d’autres motivations qui auraient pu jouer un rôle dans la décision de procéder à la lobotomie de Rosemary.

Qui a épousé la veuve de Kennedy ?

LES ARCHIVES DU FIGARO – Le 20 octobre 1968 Jacqueline Bouvier, veuve du président Kennedy, épouse l’armateur grec Aristote Onassis. La réception a lieu sur le yacht du milliardaire. Récit de ce mariage très médiatisé.

Un mariage critiqué. Le 20 octobre 1968 Jackie Kennedy, âgée de 39 ans, s’unit à l’homme d’affaires grec Aristote Onassis, âgé de 62 ans, sur l’île de Skorpios située sur la mer Ionienne.

La nouvelle du mariage, annoncée pendant les jeux olympiques de Mexico, surprend outre-Atlantique et dans le monde. Ainsi la journaliste Hélène de Turckheim écrit dans Le Figaro du 19 octobre 1968: «Le premier sentiment fut l’incrédulité. Quand entre deux annonces de médailles olympiques le speaker de la télévision annonça le prochain mariage de Jacqueline Kennedy avec Aristote Onassis, on crut d’abord à une de ces nouvelles fantaisistes qui ne cessent de circuler depuis deux ans sur les éventuelles “romances” de la veuve du président assassiné. Mais il fallut vite se rendre à l’évidence: l’histoire était vraie et confirmée par les principaux intéressés à New York et à Athènes.»

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La First Lady de coeur déçoit de nombreux Américains

La veuve de JFK occupe une place particulière dans le cœur des Américains, depuis le drame de Dallas. Elle reste la First Lady. Aussi, ils s’étonnent de son choix, voire sont très critiques ou déçus, en raison de la personnalité du futur époux, divorcé orthodoxe. Sa «vie sentimentale a été traversée d’orages»: de nombreuses conquêtes, une relation tumultueuse avec la cantatrice Maria Calllas, dont il s’est séparé il y a quelques mois. Mais surtout ses compatriotes ne comprennent pas que la jeune veuve choisisse un mari qui a vingt-trois ans de plus qu’elle.

Qui est Bobby Kennedy son engagement ?

Au début des années 1950, Robert Kennedy travaille comme conseiller juridique pour différentes commissions d’enquête du Sénat des États-Unis, à Washington, notamment pour le sénateur républicain Joseph McCarthy et pour la commission anti-mafia, sous la direction du sénateur démocrate John Little McClellan, où il affronte celui qui deviendra son plus implacable ennemi, Jimmy Hoffa, président du syndicat des camionneurs.

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De gauche à droite : John Fitzgerald Kennedy, Robert Francis Kennedy et Edward Moore Kennedy.

Lorsque son frère John Kennedy mène campagne pour devenir sénateur du Massachusetts, Robert Kennedy l’épaule et le conseille. Alors que John Fitzgerald ne vit que pour la politique et est réaliste, Bobby se montre plus idéaliste, faisant sienne la phrase de George Bernard Shaw « Vous voyez le monde tel qu’il est et vous vous dites : « Pourquoi ? », moi je rêve d’un autre monde et je me dis : « Pourquoi pas ? »[2].

Bobby Kennedy, John F. Kennedy et J. Edgar Hoover.

À 35 ans, Bobby Kennedy passe au premier plan lorsque son frère John, élu en novembre 1960 président des États-Unis, prend ses fonctions en janvier 1961 et le nomme procureur général des États-Unis (ministre de la Justice). Il mène alors une grande lutte contre le crime organisé et la pègre[3], notamment contre Jimmy Hoffa, Sam Giancana, Santo Trafficante Junior et Carlos Marcello. Il indique que « dans certaines villes des États-Unis, les forces locales du maintien de l’ordre sont entièrement aux mains des gangsters. […] Les gangsters se sont emparés du contrôle complet de certaines industries pour s’y tailler un monopole[4]. »

Après l’échec de l’invasion de la baie des cochons en 1961, qui visait à renverser le gouvernement cubain, il supervise de nouvelles opérations clandestines contre Cuba. Miami devient l’épicentre de la plus grande opération paramilitaire (nom de code JM/WAVE) jamais montée sur le sol américain. L’opération fut démantelée après la crise des missiles de Cuba, à l’issue de laquelle Washington prit l’engagement de ne plus attaquer Cuba en échange du retrait des missiles soviétiques déployés sur l’ile[5]. Il joua un rôle fondamental dans la résolution pacifique de cette crise, étant chargé par son frère d’établir un contact secret avec l’ambassadeur soviétique Anatoli Dobrynine[6] par l’intermédiaire d’un journaliste et du « résident » local du KGB ; il élabore avec l’ambassadeur le compromis permettant à l’URSS de retirer ses missiles de Cuba sans perdre la face.

Bobby (c’est son surnom) est le plus proche conseiller de son frère. C’est également lui qui presse son frère de s’engager activement en faveur des droits civiques durant l’été 1963, peu avant que ce dernier ne soit assassiné.

Après l’assassinat de John Kennedy, le 22 novembre 1963, Bobby remet sa démission le 3 septembre 1964 au nouveau président Lyndon B. Johnson, avec lequel il ne s’entend pas.

 

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