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Georges Brassens Cause Décès?

by Nadia Moulin

Cancer

Qui est l’héritier de Georges Brassens ?

Il y a quarante-et-un ans, jour pour jour, Georges Brassens nous quittait à l’âge de 60 ans. Cet anniversaire est l’occasion de s’intéresser à son neveu et unique héritier, Serge Cazzani. Qualifié d’ » authentique multimillionnaire du show-business «  par le site belge DH Les Sports, en 2004, le fils de Simone, la sœur du génie de la chanson française, toucherait près de 600.000 euros de revenus annuels, comprenant des droits d’auteur, selon le magazine Capital.

Serge Cazzani est par ailleurs propriétaire du dernier bateau du poète, baptisé le Gyss, qu’il avait fait restaurer par l’association des Gréements languedociens en 2020. Récemment, l’héritier s’est opposé, avec sa fille Eve, à la vente aux enchères d’objets ayant appartenu à Georges Brassens, organisée par la fille de Pierre Onténiente, son secrétaire et complice de toujours.

Bataille autour de l’héritage de Georges Brassens

L’événement, qui devait avoir lieu le 22 octobre pour les 101 ans du chanteur, a en effet été annulé par le juge des référés qui a décidé d’interdire de « procéder à la vente des 404 lots […] jusqu’à ce qu’il soit statué au fond sur [leur] propriété », précisait Libération, le 20 octobre dernier.

Qui est le fils de Georges Brassens ?

« Tombes d’artistes » (8/11)

Le caveau familial où est inhumé Georges Brassens à Sète Le caveau familial où est inhumé Georges Brassens à Sète Le caveau familial où est inhumé Georges Brassens à Sète PASCAL GUYOT / AFP

On choisit son cimetière comme on choisit sa vie : avec une part de contingence. En matière de célébrités, l’interprétation vient ensuite. Un mot hante les hagiographes de Georges Brassens, quand il s’agit de sa tombe : la simplicité. Si les chanteurs sont en général des usines à fantasmes, le Brassens de l’imaginaire populaire était pourtant celui des Copains d’abord et de Gare au gorille.

La génération suivante, celle des 45-tours et du star-system, fut enterrée à grands frais : la tombe de Claude François, à Dannemois (Essonne), est surmontée de sa statue grandeur nature, celle de Dalida, à Paris, la représente en sainte illuminée. Ces deux-là étaient des déracinés nés en Egypte.

Où se trouve la tombe de Georges Brassens dans le cimetière ?

En 1951, il rencontre Jacques Grello, chansonnier et pilier du cabaret le Caveau de la République, qui après avoir écouté Brassens tente de l’introduire dans les cabarets parisiens. Malgré plusieurs apparitions dans différentes petites salles, Brassens, qui entonne pourtant les chansons qui feront ses premiers succès (cf. La Mauvaise Réputation) ne s’impose pas. Sur scène il est particulièrement mal à l’aise e… en lire plus

Georges Brassens était un auteur-compositeur-interprète français, né le 22 octobre 1921 à Sète (alors Cette) et mort à Saint-Gély-du-Fesc le 29 octobre 1981. En 1951, il rencontre Jacque…

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Georges Brassens était un auteur-compositeur-interprète français, né le 22 octobre 1921 à Sète (alors Cette) et mort à Saint-Gély-du-Fesc le 29 octobre 1981. En 1951, il rencontre Jacques Grello, chansonnier et pilier du cabaret le …

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Liste de titres

Numéro du titre Nom du titre
1
La mauvaise réputation

– Mono Version
2 Corne d’auroch – Version Originale 25cm
3 Les funérailles d’antan
4 Bonhomme

Quel était le vrai nom de Georges Brassens ?

Biographie

L’un des auteurs-compositeurs et interprètes les plus influents de la chanson française, Georges Brassens est né à Sète le 21 octobre 1921 et mort à Saint-Gély-du-Fesc le 29 octobre 1981. Bercé par les chansons chantées par sa mère italienne dès l’enfance, il écrit très tôt les siennes dans le style swing des orchestres de jazz de la fin des années 1930, qu’il marie à la poésie dont raffole le jeune homme indiscipliné. Après un passage par le STO (Service du travail obligatoire) durant la guerre, il ne quittera plus Paris qui lui offre la reconnaissance et où il rencontre sa compagne Joha Heiman. Ses débuts dans les cabarets en 1951 sont suivis d’un succès par des interprètes comme Patachou puis par sa voix et son style inimitable à la guitare. Les classiques et les tournées s’enchaînent : « Le Gorille », « La Mauvaise réputation », « Les Trompettes de la renommée », « Le Petit cheval », « Chanson pour l’Auvergnat », « La Non-demande en mariage », soit autant de chansons qui bousculent parfois les conventions. Il ne quitte plus les scènes de Bobino ou de l’Olympia. En 1956, il tourne dans le film Porte des Lilas et en 1964 sort l’emblématique « Les Copains d’abord », qui reflète toute une époque. Couronné par le Grand Prix de l’Académie Charles-Cros dès ses débuts, il reçoit en 1967 le Grand Prix de poésie de l’Académie française puis en 1975 le Grand Prix de la Ville de Paris. Cependant, les coliques néphrétiques à répétition le contraignent à ralentir le rythme des tournées. « Le Temps ne fait rien à l’affaire », comme le chante ce doux anarchiste à l’éternelle moustache.

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Quelle est la nationalité de Georges Brassens ?

Georges Brassens (/ʒɔʁʒ bʁa.sɛ̃s/), né le 22 octobre 1921 à Sète (Hérault) et mort le 29 octobre 1981 à Saint-Gély-du-Fesc (Hérault), est un auteur-compositeur-interprète français.

Auteur de plus de deux cents chansons — parmi lesquelles Chanson pour l’Auvergnat, La Mauvaise Réputation, Le Gorille, Les Amoureux des bancs publics, Les Copains d’abord, Supplique pour être enterré à la plage de Sète, Les Trompettes de la renommée, etc. — il met également en musique des poèmes de François Villon, Victor Hugo, Paul Verlaine, Francis Jammes, Paul Fort, Antoine Pol, Théodore de Banville, ou encore Louis Aragon.

Il reçoit le Grand prix de poésie de l’Académie française en 1967.

Maison natale de Brassens à Sète.

Georges Charles Brassens naît le 22 octobre 1921 au numéro 54 de la rue de l’Hospice (rebaptisée rue Georges-Brassens en 1982), dans un quartier populaire du port de Cette[1] (le nom de la ville n’est orthographié Sète qu’en 1928[2], un changement de graphie qu’il évoque comme étant à l’origine de sa « première tristesse d’Olympio » dans la chanson Jeanne Martin[3]).

Dans la maison familiale[note 1], il est entouré de sa mère, Elvira (née Dagrosa, 1887-1962), de son père, Jean-Louis (1881-1965, maçon, comme ses parents l’étaient avant lui), de sa demi-sœur Simone Comte (1912-1994), née du premier mariage de sa mère, et de ses grands-parents paternels, Jules et Marguerite (née Josserand), natifs de Castelnaudary[4].

Sa mère, dont les parents sont originaires de Marsico Nuovo dans la région de la Basilicate en Italie du Sud[5], est une catholique d’une grande dévotion. Veuve de guerre d’Alphonse Comte, tonnelier tué au front[6] (27 août 1881-28 octobre 1914), père de Simone, la demi-sœur de Georges, Elvira épouse en 1919 Jean-Louis Brassens, un entrepreneur de maçonnerie. Le père de Georges est un homme paisible, généreux, libre-penseur, anticlérical (il refusera d’assister à la communion de son fils[7]) et doté d’une grande indépendance d’esprit. Deux caractères très différents qu’une chose réunit : le goût de la chanson. D’ailleurs, tout le monde chante à la maison. Sur le gramophone, les disques de Mireille, Jean Nohain, Tino Rossi ou Ray Ventura et ses Collégiens.

Selon le souhait de sa mère, à l’âge de quatre ans Georges commence sa scolarité dans l’institution catholique des sœurs de Saint-Vincent. Il en sort deux ans après pour entrer à l’école communale, selon le désir de son père. À douze ans, il entre au collège[note 2]. Georges est loin d’être un élève studieux. Ses amis le décrivent comme plutôt rêveur en classe[note 3]. Mais, après l’école, il préfère les jeux, les bagarres, les bains de mer et les vacances. Afin que son carnet de notes soit meilleur, sa mère lui refuse des cours de musique. Il ignorera donc tout du solfège, mais cela ne l’empêche pas de griffonner des chansonnettes sur ses premiers poèmes.

Est-ce que Georges Brassens a été marié ?

De l’espace Georges Brassens, cœur du village, à l’impasse de la Cane de Jeanne près du nouveau cimetière, l’ombre du chanteur plane encore à Saint-Gély-du-Fesc (Hérault). Le génie de la poésie y est décédé en 1981. Ce samedi 29 octobre 2022 marque les 41 ans de l’anniversaire de sa mort. Après une adolescente tumultueuse à Sète (Hérault) dans le sud de la France, le jeune Brassens est monté à Paris. Il s’est installé 9, impasse Florimont chez Jeanne et son mari Marcel. Jeanne, »la mère universelle« , qui fut l’un des grands amours de Georges Brassens. D’ailleurs, il l’a chanté.

Comme le rapporte la journaliste Sophie Delassein dans Brassens a 100 ans, il la décrivait ainsi : « Jeanne était assez extraordinaire , un être tout d’une pièce, un être généreux, violent, exclusif, charitable, compréhensif et, en même temps, elle était autre chose : elle était un peu folle« . Leur liaison était libre et insolite. Mais même à la mort de Marcel, le prodige de la chanson française ne s’engagea point. D’ailleurs, Jeanne se remaria avec un autre. Les contrats, les lois, les codes classiques, très peu pour Georges Brassens.

Où habitait Georges Brassens en Bretagne ?

Auprès de mon arbre (©DR)Sur un râtelier

Pour le moment, les 7 pipes posées sur leur râtelier sont conservées dans le coffre de la mairie, avant sûrement d’être exposées lors des animations organisées pour le centenaire de sa naissance.

.La Bretagne et Jeanne

C’est dans les années 50 que Georges Brassens a découvert la Bretagne et les alentours de Paimpol.

C’est en effet là, chez un neveu de la célèbre « Jeanne », que le chanteur avait été caché pour fuir le STO en 1942.

Fidèle à Paimpol

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Jusqu’à sa mort en 1981, il a été fidèle à Lézardrieux et Paimpol dont il appréciait la simplicité et la discrétion des habitants.

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Il aimait y venir chaque hiver et s’y est fait de nombreux amis.

A Paimpol comme à Lézardrieux, le Grand Georges pouvait mener une vie normale en toute quiétude et passer des soirées entre copains où s’improvisaient de fameux « Kenavo blues ».

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Où a vécu Brassens en Bretagne ?

L’attachement de Georges Brassens à la Bretagne remonte aux années 50. Il y accompagnait Jeanne (née Le Bonniec), celle de « La cane de Jeanne », son amante qui l’avait caché à Paris sous l’Occupation. Ils descendaient chez son neveu, Michel Le Bonniec, qui a longtemps tenu un magasin de sport, rue de l’Église, à Paimpol. C’est lui qui, après de nombreuses recherches du côté de Loguivy, lui avait trouvé, en 1971, Kerflandry, sa maison de Lézardrieux, devenue son refuge, chaque été, pendant les dix dernières années de sa vie. Il se baignait en contrebas, sur la plage des Craclais où il recherchait souvent l’inspiration pour ses chansons.

Georges Brassens, photographié en Bretagne par Eugène Le Droff en 1974. Georges Brassens, photographié en Bretagne par Eugène Le Droff en 1974. (Photo Eugène Le Droff) Des rituels entre Lézardrieux et Paimpol

Les témoins de l’époque racontent un homme discret, qui recevait, avec sa compagne Püppchen, ses amis pour des soirées et des « bœufs » mémorables à Kerflandry. Il arrivait fin juin, repartait début septembre. Il se réveillait tôt pour travailler à ses textes puis partait seul pour Paimpol, boire son café, au bar de l’Univers, place du Martray (devenu après sa mort « Aux copains d’abord ») avant de revenir à Lézardrieux.

Est-ce que Georges Brassens était Marie ?

  • ↑ Jean Garrigues, La France de la Ve République : 1958-2008, Armand Colin, 2008, p. 106.
  • ↑ Frédéric Bories, Georges Brassens. Militant anarchiste, Marseille, Le mot et le reste, 2022, 192 pages, (EAN 9782361399528), présentation en ligne sur Fabula.
  • ↑ « BRASSENS Georges, Charles », sur maitron.fr (consulté le 31 août 2021)
  • ↑ a b et c Georges Brassens : Œuvres complètes, Le Cherche midi, coll. « Voix publiques », 2007 p. 1035.
  • ↑ Sylvain Boulouque, Les Anarchistes Ni Dieu ni maître ! (anthologie), Le Monde, 2012, p. 187.
  • ↑ Roman biographique de Maryline Martin in, Brassens, Jeanne et Joha, Éditions du Rocher.
  • ↑ Bernard Lonjon, Georges Brassens : les jolies fleurs et les peaux de vache, Paris, L’Archipel, 2017, 291 p. (ISBN 978-2-8098-2284-7, BNF 45356057, lire en ligne).
  • ↑ « Une lettre au maire pour venir au secours de la « poupée » de Brassens », sur ladepeche.fr, 15 septembre 2008 (consulté le 31 août 2021)
  • ↑ Témoignage de Pierre Onténiente recueilli par Jacques Vassal, Brassens, le regard de « Gibraltar », éd. Fayard/Chorus, 2006, page 91.
  • ↑ Témoignage de Patachou recueilli par Victor Laville et Christian Mars, Brassens, le mauvais sujet repenti, éd. L’Archipel, 2006, p. 136.
  • ↑ Sophie Pams, « Chanter peut être un délit », sur Le Point, 11 juin 2011 (consulté le 31 août 2021)
  • ↑ « Georges Brassens ou l’amour de la musique et de la langue française », sur franceculture.fr, 16 septembre 2015 (consulté le 20 novembre 2019)
  • ↑ Cité par Gérard Lenne, Georges Brassens, le vieil Indien, éd. Albin Michel, 2001, p. 62.
  • ↑ « Nouvelle démarche en faveur d’un statut des objecteurs de conscience », Le Monde,‎ 29 mai 1963
  • ↑ Témoignage de Pierre Onténiente in, Brassens, le regard de Gibraltar, Fayard/Chorus, 2006, pp. 174-175.
  • ↑ Extrait du Journal de A à Z sur Brassens de René Fallet, in Brassens, éd. Denoël, octobre 2005, p. 128.
  • ↑ Voir par exemple cet article de journal, écrit en 1964 par un militant engagé, André Calvès, en critique de la chanson Les Deux Oncles
  • ↑ Témoignage de Pierre Onténiente in, Brassens, le regard de Gibraltar, Fayard/Chorus, 2006, p. 197.
  • ↑ Cité par Jean-Paul Liégeois in, Georges Brassens – Œuvres complètes, coll. Voix publiques, éd. Le Cherche-Midi, mars 2007, p. 633.
  • ↑ Victor Laville, Christian Mars, Brassens, le mauvais sujet repenti, éd. l’Archipel, 2006, p. 188.
  • ↑ http://www.lemessager.fr/Actualite/Faucigny/2012/03/25/article_jean_bertola_le_rochois_ami_de_brassens.shtml
  • ↑ http://www.crcb.org/une-voute-de-cannes-pour-jean-bertola-en-1957/.html
  • ↑ Site de la mairie de Lézardrieux
  • ↑ Jacques Vassal, Brassens, le regard de « Gibraltar », éd. Fayard/Chorus, 2006, page 264.
  • ↑ Présentation du film, Le film.
  • Quel est le vrai nom de Georges Brassens ?

    Biographie

    L’un des auteurs-compositeurs et interprètes les plus influents de la chanson française, Georges Brassens est né à Sète le 21 octobre 1921 et mort à Saint-Gély-du-Fesc le 29 octobre 1981. Bercé par les chansons chantées par sa mère italienne dès l’enfance, il écrit très tôt les siennes dans le style swing des orchestres de jazz de la fin des années 1930, qu’il marie à la poésie dont raffole le jeune homme indiscipliné. Après un passage par le STO (Service du travail obligatoire) durant la guerre, il ne quittera plus Paris qui lui offre la reconnaissance et où il rencontre sa compagne Joha Heiman. Ses débuts dans les cabarets en 1951 sont suivis d’un succès par des interprètes comme Patachou puis par sa voix et son style inimitable à la guitare. Les classiques et les tournées s’enchaînent : « Le Gorille », « La Mauvaise réputation », « Les Trompettes de la renommée », « Le Petit cheval », « Chanson pour l’Auvergnat », « La Non-demande en mariage », soit autant de chansons qui bousculent parfois les conventions. Il ne quitte plus les scènes de Bobino ou de l’Olympia. En 1956, il tourne dans le film Porte des Lilas et en 1964 sort l’emblématique « Les Copains d’abord », qui reflète toute une époque. Couronné par le Grand Prix de l’Académie Charles-Cros dès ses débuts, il reçoit en 1967 le Grand Prix de poésie de l’Académie française puis en 1975 le Grand Prix de la Ville de Paris. Cependant, les coliques néphrétiques à répétition le contraignent à ralentir le rythme des tournées. « Le Temps ne fait rien à l’affaire », comme le chante ce doux anarchiste à l’éternelle moustache.

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    Où a vécu Georges Brassens ?

    Chanteur poète moustachu inséparable de sa pipe et de sa guitare, Brassens est toujours présent dans le cœur des Parisiens et ses quartiers de prédilection, les 14e et 15e arrondissements.

    De son sud natal, Georges Brassens rêvait de la capitale. Il se voulait écrivain, Paris le révèle comme un de nos plus grands poètes.

    Chez les Brassens, on est maçon de père en fils depuis des générations. Georges n’a fait qu’adapter la coutume. Il polit les mots et les lie entre eux par des mélodies entraînantes et des rythmes travaillés. Il a su trouver l’art de construire des poèmes en chansons.

    « J’avais 18 ans/Tout juste et quittant/Ma ville natale […]/J’entrai pas aux cris/D’“À nous deux, Paris”» (Les Ricochets).

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    Artiste, antimilitariste, il se fait la belle en 1944

    Originaire de Sète (Hérault), Brassens passe plus de quarante ans à Paris. Les 14e et 15e arrondissements sont sa seconde patrie.

    À son arrivée en 1939, Brassens est hébergé chez Tante Antoinette, 173 rue d’Alésia (14e). Il se rêve artiste mais la période est à la guerre, sans fleur au fusil.

    Quel est le plus vieux cimetière du monde ?

    Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

    Le Wādī al-Salām (en arabe : وادي السلام, « la vallée de la paix ») est un cimetière islamique (principalement chiite) situé dans la ville sainte chiite de Najaf, en Irak.

    Considéré comme le plus grand cimetière du monde[1], il entoure le mausolée d’Ali, où se trouve la tombe du quatrième calife de l’islam et premier imam chiite, Ali Ibn Abi Talib.

    Plus de cinq millions de personnes reposeraient dans ce cimetière, dont, selon la tradition, plusieurs prophètes de l’islam (Houd, Sâlih…). Ce vaste ensemble funéraire, véritable « cité des morts », s’étend sur une surface considérable (6 kilomètres carrés)[2].

    Un Super Cobra attaque une position de l’Armée du Mahdi dans le cimetière en 2004, pendant l’invasion américaine en Irak

    L’un des fossoyeurs explique en 2016 « Je vois arriver 13 ou 14 cadavres supplémentaires par jour dans mon secteur, mais l’ensemble du cimetière reçoit plus de 100 combattants par jour », ces chiffres s’expliquant par les combats entre l’EI et l’armée irakienne[3].

    Mémorial Nécropole Ecumênica , cimetière vertical le plus haut du monde situé au Brésil.

    Miliciens de l’armée du Mahdi dans le Wadi al-Salam. Wadi al-Salam

    Localisation
    Nadjaf


    Irak
    Tombes 5 000 000
    Patrimonialité Liste indicative du patrimoine mondial (d) ( 2011 )
    Coordonnées 32° 00′ 18″ N, 44° 18′ 54″ E

    Quel est le nom du moulin de Brassens ?

    Il enregistre 14 albums de 1952 à 1976, qui connurent tous un énorme succès populaire. Crespières © CD78/N.DUPREY

    Crespières © CD78/N.DUPREY

    Le moulin de la Bonde

    En 1958, las de vivre à l’étroit, impasse Florimont à Paris, chez son amie Jeanne le Bonniec, il jette son dévolu sur le moulin de la Bonde, au bord du ru de Gally à Crespières, pour y recevoir les copains d’abord, ceux de son enfance mais aussi ceux du monde de la musique et du spectacle. Il y restera jusqu’en 1971, date à laquelle il s’installe en Bretagne. Il meurt le 29 octobre 1981, à Saint-Gély-du-Fesc, dans l’Hérault, laissant une oeuvre de renommée internationale.

    La maison de Georges Brassens à Crespières © Wikimédia

     

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