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Quelle formation à Jordan Bardella ?

by Marine Lamiaux

Jean-Marie Le Pen ([ ʒɑ̃maʁi ləpɛn]), né le 20 juin 1928 à La Trinité-sur-Mer (Morbihan), est un homme politique français.

Quel est le meilleur centre de formation du Cameroun ?

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Quel est le métier de Florian Philippot ?

Florian Philippot, né le 24 octobre 1981 à Croix (Nord), est un homme politique français.

Inspecteur de l’administration, se réclamant du gaullisme et du souverainisme, il soutient Jean-Pierre Chevènement à l’élection présidentielle de 2002.

En 2011, il adhère au Front national (FN) et devient rapidement un influent conseiller de Marine Le Pen, qui le nomme directeur stratégique de sa campagne présidentielle de 2012. Devenu vice-président du FN, il s’impose comme la personnalité frontiste la plus présente dans les médias et concourt à l’exclusion du fondateur du parti, Jean-Marie Le Pen.

Après avoir été battu aux élections législatives de 2012 en Moselle et aux élections municipales de 2014 à Forbach, il est élu député européen lors des élections de 2014 dans la circonscription Est, ainsi que conseiller régional aux élections de 2015 en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine (devenue ensuite région Grand Est).

Aux élections législatives de 2017, une nouvelle fois, il ne parvient pas à faire son entrée à l’Assemblée nationale, alors que l’extrême droite obtient une dizaine de députés. Dans les mois qui suivent, tandis que sa ligne « sociale-souverainiste » et son influence au sein du FN suscitent une opposition croissante en interne, il quitte la formation et fonde son propre parti, Les Patriotes (LP).

Dès lors, il accumule les échecs électoraux : il n’est pas réélu au Parlement européen en 2019 (sa liste ayant obtenu 0,6 % des suffrages), échoue au scrutin municipal de 2020 à Forbach, puis perd son dernier mandat électif à l’occasion des élections régionales de 2021 dans le Grand Est. Parallèlement, son audience augmente à nouveau avec son opposition aux mesures de restrictions prises contre la pandémie de Covid-19.

Il annonce son intention d’être candidat à l’élection présidentielle de 2022, avant de se retirer deux mois avant le scrutin, n’ayant reçu qu’un parrainage d’élus sur les 500 nécessaires. Aux élections législatives qui suivent, il échoue à nouveau à devenir député de la Moselle.

Son père, Daniel Philippot, en 2017.

Florian Philippot est le fils d’un directeur d’école primaire publique[1], Daniel Philippot, et d’une institutrice, Marion Dondaine[2]. Le couple vote pour François Mitterrand à l’élection présidentielle de 1981 avant de se rapprocher de la droite les années suivantes[3]. Daniel Philippot est nommé directeur de la section du collectif d’enseignants « Racine » du Nord-Pas-de-Calais-Picardie par Marine Le Pen en octobre 2015[4], et est élu conseiller régional des Hauts-de-France en décembre 2015. Il quitte le FN pour rejoindre Les Patriotes à sa création, en 2017[5].

Son frère, Damien Philippot, diplômé de l’ESCP Europe et de l’IEP de Paris, travaille à l’Institut français d’opinion publique (Ifop) jusqu’en 2016[6],[7],[8], en tant que directeur des études politiques, puis, selon les sources, chargé des stratégies d’entreprise au département opinion ou directeur adjoint du département opinion[8],[9]. Il est présenté en 2016 comme un « conseiller occulte » ou « officieux » de Marine Le Pen[10],[11],[12].

Quelles sont les formations les plus demandées ?

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Qui a créé l’extrême droite ?

1986), 585 p. (ISBN 978-2-02-058923-9 et 2-02-058923-0, présentation en ligne), [présentation en ligne], [présentation en ligne].

  • Jean-Yves Camus et René Monzat, Les droites nationales et radicales en France : répertoire critique, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 1992, 526 p. (ISBN 2-7297-0416-7, présentation en ligne).
  • Jean-Yves Camus et Nicolas Lebourg, Les Droites extrêmes en Europe, Paris, Le Seuil, 2015.
  • Frédéric Charpier, Génération Occident: de l’extrême droite à la droite, Paris, Seuil, 2005, 353 p. (ISBN 2020614138).
  • Michèle Cointet, Nouvelle histoire de Vichy : 1940-1945, Paris, Fayard, 2011, 797 p. (ISBN 978-2-213-63553-8, présentation en ligne).
  • Sylvain Crépon (dir.), Alexandre Dézé (dir.) et Nonna Mayer (dir.), Les faux-semblants du Front national : sociologie d’un parti politique, Paris, Presses de Sciences Po, 2015, 605 p. (ISBN 978-2-7246-1810-5, présentation en ligne).
  • Olivier Dard (dir.), Georges Valois, itinéraire et réceptions, Berne, Peter Lang, coll. « Convergences » (no 59), 2011, VI-266 p. (ISBN 978-3-0343-0505-1, présentation en ligne).
  • Olivier Dard, Charles Maurras : le maître et l’action, Paris, Armand Colin, coll. « Nouvelles biographies historiques », 2013, 352 p. (ISBN 978-2-200-24347-0, présentation en ligne).
  • Olivier Dard, Voyage au cœur de l’OAS, Paris, Perrin, 2005, 423 p. (ISBN 2-262-01154-0, présentation en ligne), [présentation en ligne].
  • Olivier Dard (dir.) et Victor Pereira (dir.), Vérités et légendes d’une OAS internationale, Paris, Riveneuve éditions, coll. « Actes académiques », 2013, 256 p. (ISBN 978-2-36013-187-7, présentation en ligne).
  • Pascal Delwit (dir.), Jean-Michel De Waele (dir.) et Andrea Rea (dir.), L’extrême droite en France et en Belgique, Bruxelles, Complexe, coll. « Interventions », 1998, 314 p. (ISBN 2-87027-734-2, lire en ligne).
  • (en) Pascal Delwit (dir.) et Philippe Poirier (dir.), Extrême droite et pouvoir en Europe, Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, coll. « Science politique », 2007, 336 p. (ISBN 978-2-8004-1388-4, présentation en ligne, lire en ligne).
  • Pascal Delwit (dir.), Le Front national : mutations de l’extrême droite française, Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, coll. « Science politique », 2012, 240 p. (ISBN 978-2-8004-1519-2, présentation en ligne, lire en ligne).
  • Alexandre Dézé (préf. Nonna Mayer), Le Front national : à la conquête du pouvoir ?, Paris, Armand Colin, coll. « Éléments de réponse / Libertés d’historien », 2012, 189 p. (ISBN 978-2-200-27524-2, présentation en ligne), [présentation en ligne].
  • Eric Dupin, La France identitaire. Enquête sur la réaction qui vient, éditions La Découverte (2017), 250 p.
  • Anne-Marie Duranton-Crabol, L’Europe de l’extrême droite : de 1945 à nos jours, Bruxelles, Complexe, coll.
  • A LIRE  Qui est mairesse ?

    Pourquoi le RN est un parti d’extrême droite ?

    Le Pen s’est, par exemple, vertement attaqué aux syndicats et a choisi les médias qui pouvaient suivre ses meetings.

    Enfin, ses propositions sur la « priorité nationale » remettent clairement en cause la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen et ses principes d’égalité et de fraternité. Elle installerait alors une société à deux vitesses où les étrangers seraient moins bien soignés, éduqués, ou protégés des discriminations et même privés d’un accès identique à l’emploi.

    3. Le racisme et le nationalisme

    C’est sans doute le principal marqueur de l’extrême droite et du RN : le nationalisme. Bien qu’elle se prétende patriote, Marine Le Pen démontre en réalité qu’elle établit une hiérarchie entre les pays et qu’elle y place la France tout en haut.

    Ce nationalisme se caractérise particulièrement par la xénophobie et le rejet de l’immigration, considéré comme un fardeau, et sur laquelle Marine Le Pen fait reposer tous les problèmes de la France. Comment compte-t-elle financer les retraites ? Avec des économies sur l’immigration ! Comment soutenir les hôpitaux ? En réduisant les aides aux étrangers ! Comment remédier à la crise dans l’éducation ? En supprimant l’école gratuite pour les enfants non français bien sûr ! Peu importe si ce genre de mesures (en plus de leur inhumanité) n’aurait absolument aucune efficacité pécuniaire, le but est surtout d’être le plus démagogique possible envers son électorat.

    La triple candidate aux présidentielles met aussi constamment en avant « l’identité nationale » dont sa vision est purement fantasmée. En 2021, elle déclarait ainsi qu’il « est essentiel de défendre nos valeurs, la laïcité, nos modes de vie, nos mœurs, nos codes qui sont en réalité bousculés en permanence par le laxisme de nos gouvernants face à des revendications incessantes de minorités ». Mais cette exacerbation du sentiment national cache surtout la nature profonde de ce parti, celui du racisme. Même si l’on ne peut bien sûr pas affirmer que toutes les personnes ayant un jour ou l’autre voté pour le RN hiérarchisent les vies humaines, ce phénomène est largement documenté pour un certain nombre de ses membres.

    On se souvient par exemple de 2012 quand Marine Le Pen avait croisé un Français d’origine maghrébine lui criant « vive Mélenchon ». Elle lui avait alors demandé s’il avait gagné sa voiture au loto, sous-entendant gravement qu’il n’avait pas pu la payer en travaillant du fait de sa nature.

    Bien sûr, les cadres du parti font tout de même attention à leurs déclarations et se défendent de tout racisme.

    Quels pays sont gouvernés par l’extrême droite ?

  • ↑ (en) « Jamaat loses registration », sur bdnews24.com, 1er août 2013.
  • ↑ (en) « Bangladesh court declares Jamaat illegal », sur Al Jazeera, 1er août 2013 (consulté le 26 janvier 2015).
  • ↑ (en) « Bangladesh high court restricts Islamist party Jamaat », sur BBC News, 1er août 2013 (consulté le 26 janvier 2015).
  • ↑ (en) Farid Ahmed et Saeed Ahmed, « Bangladesh high court declares rules against Islamist party », sur CNN, 1er août 2013 (consulté le 26 janvier 2015).
  • ↑ (en) «Bangladesh party leader accused of war crimes in 1971 conflict», The Guardian
  • ↑ « L’Iran, Dieudonné et l’extrême droite française », sur huffingtonpost.fr, 3 novembre 2014.
  • ↑ « L’ambassadeur d’Iran à la rencontre de l’extrême droite radicale », sur huffingtonpost.fr, 14 avril 2010.
  • ↑ (de) « Udo Voigt : „Die NPD steht an der Seite des Iran!“ – Das Europaparlament blendet die wahren Drahtzieher der Iran-Krise aus », sur Honestly Concerned, 15 février 2018 (consulté le 11 juillet 2020).
  • ↑ « L’Oeuvre Française : les contours géopolitiques du fascisme post-1945 – Les Yeux du Monde », sur Les Yeux du Monde, 21 mars 2017 (consulté le 11 juillet 2020).
  • ↑ (en) « Even hardliners want reform », The Economist,‎ 27 février 2016 (lire en ligne, consulté le 15 mars 2016)/
  • ↑ « Le premier ministre japonais prie au sanctuaire Yasukuni, Pékin et Séoul s’indignent », Le Monde.
  • ↑ John W. Dower, Embracing Defeat, 1999, p. 562.
  • ↑ Atlas du Japon. L’ère de la croissance fragile. De Rémi Scoccimarro, éditions Autrement, Paris, 2018
  • ↑ « Entretien avec Julien Nocetti – Historique des relations entre l’URSS/Russie et la Syrie, de la guerre froide à l’engagement militaire russe fin 2015 », sur lesclesdumoyenorient.com.
  • ↑ « Depuis un an l’Union soviétique a acquis une forte position en Irak », sur Le Monde diplomatique (consulté le 22 décembre 2017).
  • ↑ « La logique de l’URSS au Moyen-Orient [article] », sur Persée (consulté le 22 décembre 2017).
  • ↑ « Assad salue la « résistance légendaire » de Fidel Castro face à Washington », sur europe1.fr, 27 novembre 2016.
  • ↑ « Cette nuit en Asie : des milices nord-coréennes épaulent les troupes d’Assad en Syrie », sur lesechos.fr, 24 mars 2016.
  • ↑ « Deux unités militaires de Corée du Nord en Syrie pour épauler Bachar al-Assad », sur geopolis.francetvinfo.fr, 25 mars 2016.
  • ↑ Le Monde, 2/02/05 : La Corée du Nord aurait vendu de l’uranium enrichi à la Libye
  • ↑ « Nelson Mandela, un saint, selon Kadhafi », sur lorientlejour.com.
  • ↑ (en) Stephen E. Atkins, Encyclopedia of modern worldwide extremists and extremist groups. Greenwood Publishing Group, 2004
  • ↑ (it) Andrea Cascioli, « Ritratti.
  • A LIRE  Comment ne plus penser à la maîtresse de son mari ?

    Comment savoir si on est d’extrême droite ?

    Droite et extrême droite

    Le passage de l’expression « extrême droite » de l’usage politique commun au vocabulaire des sciences politiques explique en partie les difficultés de définition[13] : selon Cas Mudde, outre sa fonction de catégorisation descriptive, le terme remplit aussi dans l’usage commun une fonction de délimitation d’un « ennemi politique »[14]. La science politique anglo-saxonne parle plus volontiers de droite radicale[source insuffisante][15] signifiant par là qu’elle se situe à la limite de la droite démocratique, libérale ou conservatrice.

    Pour se distinguer de l’extrême droite, la droite traditionnelle a historiquement entretenu un refus d’alliance, dont une illustration est le « cordon sanitaire » en Belgique[16]. Cette politique est remise en question depuis quelques années : dans certains pays, comme en Autriche ou en Israël, des alliances se sont parfois nouées[17],[18],[19]. Fin 2018, un scrutin régional en Espagne voit le Parti populaire conclure une double alliance remarquée, d’un côté avec Ciudadanos, de l’autre avec Vox, petit parti d’extrême droite qui venait de faire une percée électorale notable[20]. En février 2020, c’est en Allemagne qu’une alliance entre les partis de gouvernement FDP et CDU et l’AfD d’extrême droite fait un tollé, entraînant des démissions et des manifestations[21].

    Certains mouvements d’extrême droite peuvent être liés à la droite classique, mais finirent par être classés à l’extrême droite du fait d’une radicalisation (par exemple le Fidesz hongrois). D’autres mouvements d’extrême droite s’avèrent n’avoir aucun lien avec les mouvements de droite classique, comme les factions anticapitalistes de l’extrême droite. Ces dernières s’avèrent être plus radicales et parfois en conflit avec les mouvements de la droite conservatrice radicalisées[réf. nécessaire].

    Certaines personnalités ou structures politiques peuvent évoluer considérablement comme l’illustre, en Italie, la trajectoire du Mouvement social italien (néo-fasciste) devenu Alliance nationale (centre-droit). En France, Alain Madelin, Gérard Longuet, Patrick Devedjian et Hervé Novelli sont des figures politiques de droite ayant commencé leur engagement au sein du mouvement d’extrême droite Occident[22].

    Différences entre les extrêmes droites

    Il existe de nombreuses divergences entre les extrêmes droites, notamment sur le plan économique, certaines factions sont libérales tandis que d’autres sont socialisantes[23].

    En religion, on trouve également des extrêmes droites religieuses chrétiennes (Civitas catholique, Ku Klux Klan protestant, Pamiat orthodoxe)[24], musulmanes (Front de la stabilité de la révolution islamique[25] et l’Alliance Fatah chiites, Hamas sunnite), juives (Lehava, Front national juif) qui peuvent être antagonistes.

    Si la majorité des mouvements d’extrême droite sont anticommunistes, certains mouvements prônent une forme de Communisme mêlé à du Conservatisme sociétal comme le National-bolchevisme et les eurasistes.

    Concernant leur rapport à la religion, certains mouvements sont favorables à la présence de la religion dans la société. D’autres sont plutôt laïcs et certains sont franchement théocrates[réf. nécessaire].

    Sur la stratégie électoraliste, certains prônent le réformisme tandis que d’autres prônent la stratégie révolutionnaire[26] ou contre-révolutionnaire selon les tendances[27],[28].

    Sur le rôle de l’État, certains soutiennent l’étatisme tandis que d’autres sont anti-étatistes[réf. nécessaire].

    Quel est le symbole de l’extrême droite ?

    Le symbole fut, à partir de cette période, couramment associé à des mouvements d’extrême droite néonazis et néofascistes et particulièrement antisémites, en France puis dans d’autres pays européens comme l’Italie. Emblème de Jeune Nation, Ordre Nouveau et autres mouvements néofascistes.

    Cet insigne fut repris par beaucoup de mouvements nationalistes de diverses tendances (catholiques comme païens).

    Elle fut surtout utilisée, dans les années 1960 par Occident puis au début des années 1970, par le mouvement Ordre nouveau, et après la dissolution de celui-ci en juin 1973, par les différents mouvements de jeunesses liés à l’extrême droite comme le Parti des forces nouvelles (PFN), le Front de la jeunesse ou le Groupe union défense (GUD).

    Un troisième mouvement issu du Parti des forces nouvelles, le Renouveau nationaliste, a également utilisé la croix à partir de 1981.

    La croix celtique fut utilisée par le Mouvement d’action civique et l’organisation pan-européenne Jeune Europe, une organisation antisioniste, anti-américaine, ultranationaliste prônant le nationalisme européen. Cette organisation encore connue mais dissoute perd un de ses membres, Roger Coudroy, mort en Palestine, tué par l’armée israélienne. Jeune Europe tenta de créer des Brigades européennes pour détruire les intérêts américains en Europe, pour aider les palestiniens et les nationalistes arabes contre Israël, et pour mener une révolution nationale européenne contre les Américains et les Soviétiques.

    En Allemagne, la Croix celtique est arborée par les groupes Nationalistes autonomes.

    En Angleterre, la croix celtique est utilisée par les skinheads d’extrême droite et les groupes néonazis et nationalistes blancs, tel que les partis National Front et British Movement.

    Pour Luciano Lanna et Filippo Rossi, il s’agit du mouvement transnational pro-européen Jeune Europe, fondé par le belge Jean Thiriart, qui a exporté la croix celtique en Italie dans les années 1960, grâce à un intense échange avec de jeunes italiens. Ces années sont celles qui voient l’alliance resserrée par le MSI, le Mouvement social italien, avec le regroupement des monarchistes n’a apporté aucun résultat électoral et les années de la période agitée, qui ont suivi la conférence nationale du MSI à Milan du 24 au 26 novembre 1956, qui mènera à la crise de 1957, l’année dite des diasporas, et à la naissance d’une série de partis, partis, mouvements, organisations, associations qui ne sont plus reconnues dans le MSI[pas clair].

    Le débat du Congrès de 1956, centré sur « être fasciste en démocratie », est apparu dépassé aux différentes composantes de la jeunesse du parti qui rejettent la continuité historique avec le fascisme dans le langage, le symbolisme, les références idéologiques et culturelles. Le symbolisme a donc commencé à changer, tout comme les points de référence, notamment Mircea Eliade, Corneliu Codreanu, Massimo Scaligero, Giuseppe Tucci, Pio Filippani Ronconi, Davis Neel et René Guénon.

    A LIRE  Où habite Guy Guy ?

    Qui va se présenter en 2027 ?

    Dans ce panorama qui n’est qu’hypothétique et situé à quatre ans de l’échéance, Édouard Philippe s’en tire le mieux dans la majorité, crédité de 26 à 28 % de suffrages, devant Bruno Le Maire (18 %), et donc Gérald Darmanin et François Bayrou. La suite après cette publicité

    Le PS, s’il devait présenter un candidat seul, ne dépasserait pas les 3 % et les écologistes recueilleraient entre 1 et 2 % des voix. Pas de miracle non plus pour Éric Zemmour dans ces hypothèses avec un score avoisinant les 6 %, LR étant crédité de 4 % à 10 %, selon le candidat de la majorité qui se présente. Autre élément notable : le score des gauches cumulées est historiquement bas, à tel point que le système tripartite semble encore se dessiner entre la Nupes, le bloc du centre (majorité) et le Rassemblement national. Apparaissant comme « le mieux placé » dans « le bloc central », selon l’Ifop, Édouard Philippe est le seul de la majorité à, aujourd’hui, pouvoir prétendre au second tour.

    Où se trouve le siège de Marine Le Pen ?

  • ↑ « Marine Le Pen quitte la luxueuse propriété familiale du parc de Montretout », sur leparisien.fr, 12 septembre 2014 (consulté le 25 juillet 2016).
  • ↑ Carolin Lohrenz, « Vu de l’étranger.Marine Le Pen comme nous ne la connaissions pas », sur courrierinternational.com, 22 mai 2021 (consulté le 23 mai 2021).
  • ↑ Caroline Fourest et Fiammetta Venner, Marine Le Pen démasquée, Grasset, coll. « Le Livre de Poche », 2011, p. 297-299.
  • ↑ « Avant l’Elysée, ils passaient le bac », JDD,‎ 17 juin 2011 (lire en ligne, consulté le 26 janvier 2018).
  • ↑ « Quelles études a fait Marine Le Pen ? », Closermag.fr,‎ 7 mai 2017 (lire en ligne, consulté le 26 janvier 2018).
  • ↑ « Marine Le Pen », sur la base de données des députés au Parlement européen (consulté le 26 février 2015).
  • ↑ a b c et d Dély 2017, p. 72-73.
  • ↑ Caroline Fourest et Fiammetta Venner, Marine Le Pen démasquée, Grasset, coll. « Le Livre de Poche », 2011, p. 93.
  • ↑ a b c d e f g h et i Géraldine Catalano, « Quand Marine Le Pen exerçait en tant qu’avocate », sur lexpress.fr, 7 octobre 2015 (consulté le 16 octobre 2015).
  • À contre-flots, p. 161.
  • ↑ Christiane Chombeau, Le Pen : fille et père, Éditions du Panama, 2007, p. 181.
  • ↑ a b et c Interview de Marine Le Pen dans l’émission télévisée Tout le monde en parle présentée par Thierry Ardisson sur la chaîne de télévision France 2 en mai 2006, [voir en ligne], consulté le 27 mai 2015.
  • À contre-flots, p. 153.
  • À contre-flots, p. 167.
  • ↑ Caroline Fourest et Fiammetta Venner, Marine Le Pen démasquée, Grasset, coll. « Le Livre de Poche », 2011, p. 111.
  • ↑ Valérie Igounet, « Les filles Le Pen à « cœur ouvert » », sur blog.francetvinfo.fr, 28 mai 2015 (consulté le 2 juin 2015).
  • ↑ Nicolas Lebourg et Joseph Beauregard, Dans l’ombre des Le Pen : Une histoire des numéros 2 du FN, Paris, Nouveau Monde, novembre 2012, 390 p. [détail de l’édition] (ISBN 978-2365833271), p. 215.
  • ↑ a et b Actualités régionales Île-de-France, « Portrait de Marine Le Pen (FN) », sur ina.fr, France 3, 1993 (consulté le 18 décembre 2008).
  • ↑ « Résultats des législatives par circonscription 1993 1er tour (21 mars 1993) » [cvs], sur data.gouv.fr (consulté le 23 mars 2008).
  • ↑ Valérie Igounet, Robert Faurisson : portrait d’un négationniste, Paris, Éditions du Seuil, coll. « Médiations », 2012, 455 p. (ISBN 978-2-207-25998-6), p. 318.
  • ↑ a et b « Marine Le Pen, la fille préférée », sur Le Figaro, 31 juillet 2008 (consulté le 1er août 2008).
  • ↑ Caroline Fourest et Fiammetta Venner, Marine Le Pen démasquée, Grasset, coll.
  • Quand aura lieu la prochaine élection présidentielle en France ?

    Quelles sont les dates des prochaines élections ?

    Élection Prochain vote Précédent vote
    Municipales 2026 Mars et juin 2020
    Présidentielle 2027 Avril 2022
    Législatives 2027 Juin 2022
    Départementales Mars 2028 Juin 2021

    Qui pour représenter la gauche en 2027 ?

    Si le leader de LFI fait le plein chez ceux qui ont voté pour lui lors de la dernière présidentielle, le député insoumis de la Somme le devance largement parmi les autres électeurs de gauche.

    François Ruffin-Jean-Luc Mélenchon. L’un est député La France insoumise (LFI) de la Somme, l’autre leader de ce parti qu’il a créé. En plus de leur affiliation politique, les deux hommes ont pour point commun d’être perçus comme des candidats potentiels à l’élection présidentielle de 2027. Le premier n’a jamais concouru, le second s’est déjà présenté trois fois, en passant proche du second tour en 2017 et 2022.

    Lequel est le mieux placé en vue de la prochaine course élyséenne? Un sondage Elabe pour L’Express, s’est penché sur la question.

    François Ruffin fait davantage consensus à gauche

    Premier enseignement: François Ruffin a les faveurs des électeurs de gauche et écologistes. 53% d’entre eux jugent qu’il serait un meilleur candidat pour les représenter, contre 43% pour Jean-Luc Mélenchon.

    Ce dernier est devant uniquement parmi ceux qui ont voté pour lui lors de la dernière présidentielle (55%, contre 44%). Chez les autres électeurs de gauche, le député-reporter le devance largement (74% contre 23%).

    Quand auront lieu les prochaines élections européennes ?

    Les représentants au Parlement européen sont élus par les citoyens des pays de l’Union européenne lors des élections européennes.

    Il n’y a pas de second tour.

    Les prochaines élections européennes sont prévues le dimanche 9 juin 2024.

    Les informations utiles sont disponibles à l’adresse https://www.elections.interieur.gouv.fr/scrutins/elections-europeennes

     

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