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Qui est le fils d’Agnès Buzyn ?

by Marine Lamiaux

L’ancienne ministre de la Santé a notamment été mariée à Pierre-François Veil, le fils de Simone Veil, avec qui elle a eu deux enfants, Raphaël (né en 1987) et Lucas (né en 1994).

Qui est le mari de Buzin ?

Le 24 octobre 2018 à l’Assemblée nationale le député des Pyrénées-Atlantiques Jean Lassalle déclare que la ministre de la santé a fait des « efforts » pour « promouvoir son mari » ; la ministre ne peut répondre en séance car il ne s’agit pas d’une séance de questions au gouvernement[21],[22], et ne répondra pas par la suite.

En juillet 2019, en raison de l’épidémie du virus Ebola, il est missionné par le gouvernement en RDC[23],[24].

Il est de confession juive[réf. souhaitée]. Il est marié à Agnès Buzyn depuis 1997. Agnès Buzyn a deux enfants de son précédent mariage avec Pierre-François Veil et un enfant avec Yves Lévy.

  1. ↑ Pierre Laberrondo, « Yves Lévy, conseiller spécial, chargé de la santé, au cabinet de Geneviève Fioraso », acteurspublics.com, 27 juin 2012.
  2. ↑ Service de presse de l’Institut Pasteur, « Inauguration de l’Institut Pasteur de Shanghai – Académie des Sciences de Chine », 10 octobre 2004
  3. ↑ Hôtel de Matignon, « Discours de M. Bernard CAZENEUVE, Premier ministre à la cérémonie d’accréditation du laboratoire de haute sécurité biologique P4 Wuhan, 23 février 2017 » [PDF]
  4. ↑ Sud Ouest – AFP, « Quels sont les liens entre la France et le laboratoire de Wuhan, pointé du doigt par les États-Unis ? », Sud Ouest,‎ 9 mai 2020 (lire en ligne)
  5. ↑ Yaume, « L’inauguration par la France du Laboratoire P4 à Wuhan : une réalité non dissimulée », sur Hoaxbuster, 25 avril 2020
  6. ↑ France Info, « Chine : nouvelle étape pour le premier laboratoire P4 », France Info,‎ 23 février 2017 (lire en ligne)
  7. ↑ Grégory Rozières, « La recherche scientifique française appelle à voter contre Marine Le Pen », sur huffingtonpost.fr, 27 avril 2017.

Qui est la mère d’Agnès Buzyn ?

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Etty Buzyn, née Wrobel en 1935 à Paris, est une psychologue clinicienne et psychanalyste française, spécialisée dans la petite enfance. Elle est l’autrice de plusieurs livres sur la difficulté que rencontrent certains parents à asseoir leur autorité auprès de leurs enfants.

Née à Paris dans une famille juive ashkénaze originaire de Pologne, elle est confiée durant la guerre, avec son frère cadet Georges, à Marie Lacroix (1884 – 1963) à Miribel, dans l’Ain[1]. Marie Lacroix est distinguée Juste parmi les Nations en 1998[2].

Elle fait ensuite des études de psychologie, puis travaille en service de pédiatrie et de réanimation néonatale à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul à Paris. Elle a une expérience de la thérapie mère-bébé avec Françoise Dolto. Elle fait des conférences et est invitée parfois pour des débats et des émissions sur l’enfance à la télévision. Etty Buzyn participe[Quand ?] à la Nuit blanche à Paris, où elle présente dans le thème « Téléportations dans une cabine téléphonique », ce qu’elle dessine lors de ses consultations : « Les Traits de l’inconscient ».

Quel est l’âge d’Agnès Buzyn ?

Agnès Buzyn, née le 1er novembre 1962 à Paris, est une hématologue, professeure des universités – praticienne hospitalière et femme politique française.

Spécialiste d’hématologie, d’immunologie des tumeurs et de transplantation, Agnès Buzyn a effectué l’essentiel de sa carrière de médecin et d’enseignant-chercheur à l’université Paris-Descartes (Paris-V) et à l’hôpital Necker.

À partir de 2008, elle accède à des responsabilités au sein d’institutions publiques liées à la santé et au nucléaire : présidente du conseil d’administration de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (2008-2013), membre du Comité de l’énergie atomique du Commissariat à l’énergie atomique (2009-2015), membre du conseil d’administration (2009), vice-présidente (2010) puis présidente de l’Institut national du cancer (2011-2016), présidente du collège qui dirige la Haute Autorité de santé (2016-2017).

Sous la présidence d’Emmanuel Macron, elle est ministre des Solidarités et de la Santé au sein du premier et du second gouvernement Édouard Philippe. En pleine pandémie de Covid-19, elle quitte le gouvernement après le retrait de Benjamin Griveaux de la campagne pour les élections municipales de 2020 à Paris, afin de lui succéder comme tête de liste LREM ; ses listes arrivent en troisième position du second tour avec 13 % des voix.

En 2021, elle est nommée envoyée du directeur général pour les affaires multilatérales à l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Elle est nommée conseillère maître à la Cour des comptes à partir du 1er septembre 2022.

Agnès Buzyn naît le 1er novembre 1962[2], à Paris[3] dans une famille juive ashkénaze.

Sa famille paternelle est originaire de Łódź, en Pologne, où son oncle a été fusillé par les nazis en octobre 1940. Ses grands-parents, sa tante et son père, Élie Buzyn, alors âgé de quinze ans, ont été déportés à Auschwitz. Seul son père et sa tante en reviennent. Au sortir de la guerre, il s’installe en Palestine mandataire, puis à Oran, en Algérie française, et finalement en 1956 en métropole, où il exerce comme chirurgien orthopédiste à la clinique Saint-François située 36, boulevard Saint-Marcel à Paris[4]. Sa mère, Etty Wrobel, enfant caché à Miribel[5], à quelques kilomètres au nord-est de Lyon, durant la Seconde Guerre mondiale[6], est psychologue, psychanalyste et écrivaine[3].

Elle se marie en premières noces avec Pierre-François Veil, l’un des fils de Simone Veil[7], avec qui elle a deux fils[8], Raphaël et Lucas[9]. Ce dernier est marié à Nelly Auteuil, fille de Daniel Auteuil et Emmanuelle Béart[10]. Elle épouse en secondes noces Yves Lévy, directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm)[3], avec qui elle a un troisième fils, Alexandre[9].

Formation et parcours universitaire et médical[modifier | modifier le code]

Ancienne élève de l’École alsacienne[3], elle suit des études de médecine.

Où est née Agnès Buzyn ?

Bruno LEROUX

Ministre de l’intérieur de décembre 2016 à mars 2017.

Qui est le père d’Agnès ?

Agnès, croyant que son futur mari est Horace, lui exprime sa gratitude, mais Arnolphe la détrompe sans ménagements.

  • Acte III – Arnolphe inculque à sa future épouse les rudiments des devoirs conjugaux, sans oublier les terribles effets de l’infidélité. Agnès semble se résigner à ce triste avenir. Horace rencontre le tuteur qui savoure déjà la déconvenue du jeune homme : les serviteurs lui ont refusé une nouvelle visite, et la belle l’a renvoyé en lui lançant une pierre… à laquelle était joint un mot d’amour. Lorsqu’il l’apprend de la bouche d’Horace, Arnolphe enrage et comprend, par la jalousie qu’il éprouve, qu’il aime la jeune fille.
  • Acte IV – Au cours d’un monologue, Arnolphe dévoile sa volonté de se battre jusqu’au bout pour l’amour d’Agnès. L’entrevue qu’il a avec le notaire, à la suite d’un quiproquo, se solde par un report du mariage. Arnolphe insiste auprès d’Alain et Georgette pour qu’ils repoussent toute démarche d’Horace. Nouvelle rencontre entre le tuteur et le galant, au cours de laquelle celui-ci lui apprend qu’il a réussi à s’introduire dans la maison, mais que l’arrivée impromptue de M. de La Souche a obligé Agnès à le cacher dans une armoire. En outre, il lui confie qu’il a un rendez-vous pour le soir même et qu’il projette de s’introduire dans sa chambre. Malgré les conseils de sagesse prodigués par Chrysalde, Arnolphe, plus que jamais déterminé dans ses projets, donne des instructions drastiques à ses serviteurs qui doivent refouler le jeune prétendant à coups de bâton.
  • Acte V – Horace rencontre à nouveau Arnolphe et lui explique qu’il est tombé dans le guet-apens tendu par ses serviteurs et qu’il n’a eu d’autre choix que de faire le mort pour éviter d’être roué de coups. Mais Agnès, qui l’a rejoint, s’est enfuie avec lui. Horace, qui ignore toujours la nouvelle identité d’Arnolphe, demande à ce dernier d’héberger et de protéger la jeune fille. Le barbon triomphe : il a récupéré Agnès et lui tient un discours exalté sur l’amour qu’il lui porte, lequel ne rencontre que l’indifférence de la jeune fille. Entrée d’Oronte, le père d’Horace, qui veut unir son fils à la fille de son ami Enrique, de retour des Amériques, après un long séjour. Horace demande à Arnolphe d’intercéder en sa faveur auprès de son père, mais le barbon, dévoilant alors son identité, presse le père du jeune homme de ne pas tenir compte des désirs de son fils et de s’en faire obéir.
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    Qui est la mère d’Agnès Desarthe ?

    Agnès Desarthe, née Agnès Naouri le 3 mai 1966 à Paris, est une écrivaine française, auteure de livres pour adultes et pour enfants, et traductrice.

    Agnès Desarthe est l’une des trois enfants du pédiatre Aldo Naouri. Elle a épousé le cinéaste Dante Desarthe, fils du comédien Gérard Desarthe. Ils ont quatre enfants. Son frère Laurent Naouri, chanteur d’opéra, est l’époux de Natalie Dessay. Sa sœur, Elsa Rooke, est metteuse en scène d’opéra.

    Agrégée d’anglais (1988)[1], elle a d’abord travaillé comme traductrice, « puis elle rencontre Geneviève Brisac, éditrice à L’École des loisirs, qui la pousse à écrire des histoires pour enfants »[2]. Elle y publie en 1992 un premier roman pour adolescents, Je ne t’aime pas, Paulus, dont Je ne t’aime toujours pas, Paulus, paru treize ans plus tard, constitue la suite, toujours à l’École des loisirs, chez qui elle a maintenant publié une trentaine de livres jeunesse.

    Outre ces nombreux romans pour la jeunesse, elle est l’auteure d’une douzaine d’ouvrages pour adultes, dont neuf romans, publiés aux Éditions de l’Olivier. Elle a obtenu le prix du Livre Inter 1996 pour son deuxième roman, Un secret sans importance. Son sixième roman Mangez-moi, publié en 2006, est traduit dans plus de 15 pays. Elle obtient le prix Renaudot des lycéens en 2010 pour son roman Dans la nuit brune. Son roman Une partie de chasse, obtient en 2012 le Goncourt des animaux[3], décerné par des membres de l’académie Goncourt. Elle reçoit le prix littéraire du Monde en 2015[4] pour Ce cœur changeant.

    En collaboration avec Geneviève Brisac, son éditrice à L’École des loisirs, elle a consacré à Virginia Woolf une émission sur France Culture. À la suite de cette émission, elles ont publié en 2004 un essai consacré à la romancière britannique, V.W, le mélange des genres.

    Où habite Agnès Ledig ?

    Portrait : Agnès Ledig – la romancière inspirée par les Vosges !

    Le 15 février 2023 par Francoise Fontanelle

    Rencontre avec la romancière Agnès Ledig, qui s’est inspirée des Vosges pour son dernier roman.

    © Pascal Ito

    Agnès Ledig fait partie de ces romancières qui murmurent à l’oreille de ses lecteurs. Auteur de huit best-sellers, cette ancienne sage-femme raconte, avec une extrême sensibilité et un humanisme fort, le parcours de personnages blessés dont elle décrit la renaissance. Installée dans les Vosges depuis deux ans et demi, elle a puisé dans les paysages qui font désormais son quotidien, la force de l’intrigue de son dernier roman, Un abri de fortune.

    Ce n’est pas la première fois que les paysages des Vosges constituent le cadre de vos romans. Pour Un abri de fortune, il semble qu’ils sont la véritable source d’inspiration de l’intrigue de ce dernier roman… D’ailleurs, de nombreux lecteurs les reconnaîtront, comme les jardins de Berchigranges…

    Je me suis inspirée de notre lieu de vie pour construire cette histoire. J’ai simplement changé les noms pour « brouiller les pistes » mais c’est très proche de ma réalité. En particulier la cavité de pierre qui s’enfonce dans le sol que nous avons trouvée dans notre coin de forêt, qui m’a donné quelques idées pour nouer l’intrigue.

    Qu’est-ce que les Vosges ont de particulier ?

    Je pense que les Vosges ont une ambiance particulière. Dans la série Zone blanche, qui a été tournée ici, la forêt devient un personnage à elle toute seule. J’avais envie d’en faire un havre de paix et une entité avec laquelle on peut inconsciemment communiquer. De m’en servir pour montrer à quel point la nature est dans nos cœurs.

    Où est Agnès Buzyn ?

    « Agnès Buzyn, ancienne ministre, professeur d’université-praticien hospitalier, est nommée conseillère maître en service extraordinaire à la Cour des comptes, à compter du 1er septembre 2022 », a annoncé l’Élysée ce vendredi 29 juillet.

    Quel est le ministre de la Santé ?

    François Braun – Ministère de la Santé et de la Prévention.

    Qui a tué Agnès Le Roux ?

    On soupçonne Agnelet d’avoir empoché l’argent et d’avoir fait disparaître sa maitresse en laissant croire à un suicide. Ce dernier nie totalement. Le 13 août 1983, l’avocat est inculpé d’homicide volontaire et abus de confiance. Maurice Agnelet est acquitté en 2006, même si l’ancien avocat demeure le suspect numéro un pour la famille Le Roux.

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    L’année suivante, il comparaît en appel et un témoignage ahurissant a fait basculer le destin du principal suspect. Guillaume Agnelet, l’un des fils de l’accusé, s’est présenté au commissariat de Chambéry pour y révéler que son père était bien l’assassin de la jeune femme disparue. Guillaume était alors âgé de 14 ans, en 1983, lorsque son père lui aurait fait des confidences et aurait déclaré savoir où se trouvait le corps de son ex-amante.

    Quel est l’âge de Bachelot ?

    Roselyne Bachelot, née Narquin le 24 décembre 1946 à Nevers (Nièvre), est une femme politique, animatrice de radio et de télévision française.

    Docteure en pharmacie de formation, Roselyne Bachelot est ministre de l’Écologie et du Développement durable de 2002 à 2004, dans les gouvernements Raffarin I et Raffarin II, sous la présidence de Jacques Chirac.

    Sous la présidence de Nicolas Sarkozy, elle est ministre de la Santé et des Sports de 2007 à 2010 dans les gouvernements Fillon I et Fillon II, et ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale de 2010 à 2012 dans le gouvernement Fillon III.

    Elle commence ensuite une carrière dans les médias. Elle est notamment chroniqueuse dans l’émission Le Grand 8 diffusée sur D8 (2012-2016), animatrice de 100 % Bachelot sur RMC (2016-2017), ainsi que de plusieurs émissions sur LCI entre 2017 et 2020 puis chroniqueuse sur BFM TV à partir de septembre 2022. Elle intervient également dans l’émission Les Grosses Têtes, sur RTL, entre 2015 et 2020 puis à partir de septembre 2022.

    Elle exerce à nouveau une fonction politique en tant que ministre de la Culture dans le gouvernement Castex, sous la présidence d’Emmanuel Macron, de 2020 à 2022.

    Roselyne Cora Marcelle Narquin naît le 24 décembre 1946 à Nevers[1]. Elle est la fille de Jean Narquin, résistant et député gaulliste, et d’Yvette Le Dû[2], originaire de Gourin, tous deux chirurgiens-dentistes. Elle a un frère, Jean-Yves Narquin[3], ancien maire (RBM) de Villedieu-le-Château, en Loir-et-Cher, et une sœur, Françoise Bardy-Narquin[4], chirurgienne-dentiste[5], et a eu pour beau-frère François Bachelot, ancien cadre du Front national[6].

    Roselyne Bachelot a été mariée et utilise le nom d’usage Bachelot-Narquin[n 2].

    Elle a un fils, Pierre, né le 16 décembre 1969 de son mariage avec Jacques Bachelot en 1968[7]. Pierre Bachelot est le collaborateur parlementaire de sa mère de 1992 à 2002, puis conseiller parlementaire lorsqu’elle occupe la fonction de ministre de l’Écologie, de 2002 à 2004, puis de ministre de la Santé, à partir de 2007, avant d’être nommé chargé de mission auprès de la direction générale de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES)[8],[9].

    Elle est envoyée en pensionnat à sept ans. Elle reçoit une éducation stricte dans le collège La Retraite-Sacré-Cœur, à Angers, où, à huit ans, les religieuses lui font redoubler sa classe malgré son niveau, la considérant comme trop jeune pour entrer en sixième. Elle y fait de trois à quatre heures de musique par jour[10].

    Elle raconte aussi que durant sa terminale une religieuse s’était prise d’amour pour elle. Elle lui envoyait des mots doux, des lettres enflammées. La religieuse appelait Roselyne Bachelot « petit masque courageux »[11].

    Elle pratique le piano dès l’âge de trois ans et demi et le chant jusqu’à l’âge de vingt ans. Elle découvre sa passion pour l’opéra à vingt-quatre ans lorsqu’un ami l’emmène pour la première fois au Festival de Vérone[12].

    Quel âge a Jean-yves Narquin ?

    Jacques Bachelot (né le 24 janvier 1938 à Bois-Guillaume en Seine-Maritime) est un coureur cycliste français, professionnel de 1964 à 1966.

    Qui est le fils de Bachelot ?

    Elle a un fils, Pierre, né le 16 décembre 1969 de son mariage avec Jacques Bachelot en 1968[7]. Pierre Bachelot est le collaborateur parlementaire de sa mère de 1992 à 2002, puis conseiller parlementaire lorsqu’elle occupe la fonction de ministre de l’Écologie, de 2002 à 2004, puis de ministre de la Santé, à partir de 2007, avant d’être nommé chargé de mission auprès de la direction générale de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES)[8],[9].

    Elle est envoyée en pensionnat à sept ans. Elle reçoit une éducation stricte dans le collège La Retraite-Sacré-Cœur, à Angers, où, à huit ans, les religieuses lui font redoubler sa classe malgré son niveau, la considérant comme trop jeune pour entrer en sixième. Elle y fait de trois à quatre heures de musique par jour[10].

    Elle raconte aussi que durant sa terminale une religieuse s’était prise d’amour pour elle. Elle lui envoyait des mots doux, des lettres enflammées. La religieuse appelait Roselyne Bachelot « petit masque courageux »[11].

    Elle pratique le piano dès l’âge de trois ans et demi et le chant jusqu’à l’âge de vingt ans. Elle découvre sa passion pour l’opéra à vingt-quatre ans lorsqu’un ami l’emmène pour la première fois au Festival de Vérone[12].

    Après avoir interrompu ses études de pharmacie commencées à l’université d’Angers, Roselyne Bachelot obtient son doctorat en pharmacie en 1988 dans cette même université[13], dont elle sort major de promotion[14].

    Déléguée médicale au sein du laboratoire ICI Pharma de 1969 à 1976[15], elle est chargée des relations publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989[16],[17]. Elle siège au conseil d’administration du CHU d’Angers de 1986 à 2004, au titre du conseil.

    Initiée à la politique par son père Jean Narquin, conseiller municipal d’Angers et député gaulliste de Maine-et-Loire, Roselyne Bachelot milite au sein du RPR.

    Lors de l’élection présidentielle de 1981, elle vote pour le candidat socialiste François Mitterrand, sur ordre du RPR, dans le contexte politique qui opposait alors Jacques Chirac et Valéry Giscard d’Estaing. Elle déclare a posteriori regretter ce choix[18].

    Conseillère générale de mars 1982 à juin 1988, et conseillère régionale des Pays de la Loire en 1986, elle reprend en 1988 le siège de son père à l’Assemblée nationale.

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    Elle devient alors secrétaire générale adjointe du RPR de 1989 à 1992[19].

    Réélue députée en 1993, 1997 et 2002, elle participe à la commission des Affaires culturelles, familiales et sociales. Elle consacre ses travaux parlementaires aux questions de santé, de protection sociale, d’exclusion, de santé au travail, de bioéthique et de handicap. Pendant cette période, elle est régulièrement désignée pour être rapporteur ou orateur sur des textes sanitaires et sociaux majeurs. Elle s’intéresse également au Moyen-Orient : elle est présidente du groupe d’amitié France-Irak, vice-présidente du groupe d’amitié France-Syrie, vice-présidente de l’association parlementaire Euro-Arabe et vice-présidente du groupe d’études sur les territoires palestiniens.

    Où est Jean-yves Le Drian ?

    Jean-Yves Le Drian, né le 30 juin 1947 à Lorient (Morbihan), est un homme politique français.

    Membre du Parti socialiste (PS) de 1974 à 2018, il est notamment maire de Lorient de 1981 à 1998, plusieurs fois député entre 1978 et 2007 ou encore président du conseil régional de Bretagne à deux reprises entre 2004 et 2017.

    Secrétaire d’État à la Mer dans le gouvernement d’Édith Cresson entre 1991 et 1992, durant la présidence de François Mitterrand, il devient président de la Conférence des régions périphériques maritimes d’Europe en 2010.

    Il est nommé en 2012 ministre de la Défense dans le premier gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Il est maintenu dans ses fonctions dans les gouvernements Ayrault II, Valls I, Valls II et Cazeneuve, soit durant la totalité du quinquennat de François Hollande.

    En 2017, il devient ministre de l’Europe et des Affaires étrangères dans le gouvernement Édouard Philippe. Ayant quitté le PS, il œuvre pour un rassemblement des socialistes autour du président Emmanuel Macron, notamment avec la fondation en 2020 du mouvement Territoires de progrès. Il conserve son ministère au sein du gouvernement Jean Castex jusqu’à son terme, en 2022.

    Il est nommé par le président Emmanuel Macron, le 7 juin 2023, « envoyé personnel pour le Liban« . Il est chargé de contribuer à la formation d’un consensus politique au Liban pour l’élection d’un nouveau président de la République libanaise.

    Jean-Yves Le Drian est issu d’une famille catholique ouvrière de Lanester, dans la région de Lorient.

    Son grand-père paternel exerçait le métier de docker[1] et participa à la Première Guerre mondiale. Sa grand-mère paternelle tenait un bistrot sur les docks de Lorient[2].

    Son grand-père maternel était quartier-maître infirmier dans la Marine nationale.

    Son père, Jean, vendeur de pièces détachées d’automobiles aux Établissements Renault[3] et syndicaliste, est proche des milieux communistes de la ville et surtout du milieu ouvrier. Sa mère, Louisette, est couturière aux magasins d’habillement Corbière et Nobis de Quimperlé et Lorient. Elle milite par ailleurs à l’Action catholique ouvrière, ce qui lui vaut d’être invitée au concile de Vatican II[4]. Avec Jean Le Drian, qu’elle épouse le 27 avril 1946, ils militent à la Jeunesse ouvrière chrétienne[5] et continuent leurs engagements dans des mouvements syndicaux et familiaux, notamment la Confédération syndicale des familles dont Jean est un temps président national[5].

    Il a deux sœurs, Thérèse Thiery (née en 1953), conseillère générale de 2005 à 2015, et maire de Lanester de 2004 à 2020[6], et Marie Le Drian, écrivaine, née en 1949[6],[7].

    En secondes noces, Jean-Yves Le Drian épouse en 2006 Maria Vadillo (br), élue rennaise et vice-présidente du conseil régional de Bretagne[6].

    Il a un fils, Thomas, né en 1984.

    Quel poste occupe Jean-yves Le Drian ?

    Jean-Yves Le Drian, né le 30 juin 1947 à Lorient (Morbihan), est un homme politique français.

    Membre du Parti socialiste (PS) de 1974 à 2018, il est notamment maire de Lorient de 1981 à 1998, plusieurs fois député entre 1978 et 2007 ou encore président du conseil régional de Bretagne à deux reprises entre 2004 et 2017.

    Secrétaire d’État à la Mer dans le gouvernement d’Édith Cresson entre 1991 et 1992, durant la présidence de François Mitterrand, il devient président de la Conférence des régions périphériques maritimes d’Europe en 2010.

    Il est nommé en 2012 ministre de la Défense dans le premier gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Il est maintenu dans ses fonctions dans les gouvernements Ayrault II, Valls I, Valls II et Cazeneuve, soit durant la totalité du quinquennat de François Hollande.

    En 2017, il devient ministre de l’Europe et des Affaires étrangères dans le gouvernement Édouard Philippe. Ayant quitté le PS, il œuvre pour un rassemblement des socialistes autour du président Emmanuel Macron, notamment avec la fondation en 2020 du mouvement Territoires de progrès. Il conserve son ministère au sein du gouvernement Jean Castex jusqu’à son terme, en 2022.

    Il est nommé par le président Emmanuel Macron, le 7 juin 2023, « envoyé personnel pour le Liban« . Il est chargé de contribuer à la formation d’un consensus politique au Liban pour l’élection d’un nouveau président de la République libanaise.

    Jean-Yves Le Drian est issu d’une famille catholique ouvrière de Lanester, dans la région de Lorient.

    Son grand-père paternel exerçait le métier de docker[1] et participa à la Première Guerre mondiale. Sa grand-mère paternelle tenait un bistrot sur les docks de Lorient[2].

    Son grand-père maternel était quartier-maître infirmier dans la Marine nationale.

    Son père, Jean, vendeur de pièces détachées d’automobiles aux Établissements Renault[3] et syndicaliste, est proche des milieux communistes de la ville et surtout du milieu ouvrier. Sa mère, Louisette, est couturière aux magasins d’habillement Corbière et Nobis de Quimperlé et Lorient. Elle milite par ailleurs à l’Action catholique ouvrière, ce qui lui vaut d’être invitée au concile de Vatican II[4]. Avec Jean Le Drian, qu’elle épouse le 27 avril 1946, ils militent à la Jeunesse ouvrière chrétienne[5] et continuent leurs engagements dans des mouvements syndicaux et familiaux, notamment la Confédération syndicale des familles dont Jean est un temps président national[5].

    Il a deux sœurs, Thérèse Thiery (née en 1953), conseillère générale de 2005 à 2015, et maire de Lanester de 2004 à 2020[6], et Marie Le Drian, écrivaine, née en 1949[6],[7].

    En secondes noces, Jean-Yves Le Drian épouse en 2006 Maria Vadillo (br), élue rennaise et vice-présidente du conseil régional de Bretagne[6].

    Il a un fils, Thomas, né en 1984.

     

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