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Quels ont été les épouses de Jean-Louis Trintignant ?

by Judith Ferrier

Décédée en 2003, Marie Trintignant était la mère de quatre enfants : Roman, Paul, Léon et Jules. C’était il y a vingt ans. Le 1er août 2003, Marie Trintignant rendait son dernier souffle sous les coups de son compagnon de l’époque, Bertrand Cantat, alors qu’ils se trouvaient en Lituanie.

Qui était le dernier compagnon de Marie Trintignant ?

Nadine Trintignant fête ses 88 ans ce 11 novembre. Son vrai nom, ses débuts dans le cinéma, les infidélités de Jean-Louis Trintignant, le terrible décès de Marie Trintignant après la perte d’un bébé, la mort de son époux qui l’a « mutilée »… Itinéraire d’une cinéaste et écrivaine pleine de courage.

Nadine Trintignant célèbre ses 87 ans le 11 novembre. Malheureusement, la cinéaste n’a pas été épargnée par les épreuves de la vie et a connu de nombreux deuils. Elle a perdu son bébé, décédé à neuf mois, mais aussi sa fille Marie Trintignant, morte sous les coups de Bertrand Cantat, et a été « mutilée » par la perte de son mari, son grand amour, Alain Corneau. Mais elle a su se relever avec dignité, trouver le courage de continuer à vivre, à exister. Son parcours, ses secrets, ses moments de détresse et de grande joie… Retour sur la vie de Nadine Trintignant, pleine de vicissitudes.

Nadine Trintignant : son vrai nom

Lucienne Marquand, de son vrai nom, naît le 11 novembre 1934 élevée par des parents comédiens, Jean-Georges Marquand et Lucienne-Fernande Cornilliat, et aux côtés de cinq frères et sœurs. Deux d’entre eux deviennent acteurs, tout comme leurs parents, Christian et Serge.

Nadine Trintignant voulait être « libre » financièrement

En avance sur son temps, Nadine Trintignant se bat dans sa jeunesse pour être indépendante financièrement. « Je croyais au grand amour (…) mais au cas où ça n’arrivait pas, je voulais être libre de pouvoir partir sans me poser de question« , avait-elle confié dans Tout Le Monde En Parle. Grâce à son acteur de frère, elle décroche, toute jeune, un stage chez LTC, laboratoire de tirages de copies de films.

Est-ce que Nadine Trintignant vit toujours ?

En juillet 2003, Marie Trintignant est à Vilnius, en Lituanie, pour le tournage du téléfilm Colette, une femme libre, réalisé par sa mère, Nadine Trintignant. Son compagnon, Bertrand Cantat, l’accompagne alors. Le 26 juillet, vers 23 h 30, le couple rentre à leur hôtel où une dispute éclate. Les insultes fusent et le chanteur va commencer à porter à sa compagne une série de coups. Vers 5 h 30, le 27 juillet, il appelle le frère de l’actrice, Vincent Trintignant, raconte lui avoir donné « une gifle, qu’elle allait peut-être avoir un œil au beurre noir ».

Le frère se rend auprès de sa sœur qui a été couchée dans un lit, une serviette sur la tête. Il découvre le visage de l’actrice. « C’était loin d’être un simple coquard », déclarera-t-il lors du procès de Bertrand Cantat. Vincent Trintignant fait prévenir les secours, à 7 h 16. L’actrice est opérée dans la foulée pour juguler une hémorragie cérébrale. Le 29 juillet, elle subit une seconde opération puis est rapatriée à Paris le 31 juillet. « Cela fait à peu près deux jours que son cerveau est mort cliniquement », déclare le neurochirurgien Stéphane Delajoux.

Comment est morte la première fille de Jean-Louis Trintignant ?

Jean-Louis Trintignant et sa fille Marie Trintignant, le 10 janvier 2001, pendant les répétitions de leur pièce FRANCOIS GUILLOT via AFP Jean-Louis Trintignant et sa fille Marie Trintignant, le 10 janvier 2001, pendant les répétitions de leur pièce « Comédie sur un quai de gare » au théâtre Hébertot, à Paris

FRANCOIS GUILLOT via AFP

DÉCES – ”Ça m’a complètement détruit et je n’arrive pas à m’en remettre”. Mort ce vendredi 17 juin à l’âge de 91 ans, l’immense acteur Jean-Louis Trintignant ne s’était jamais relevé de la mort de sa fille Marie, tuée sous les coups de son compagnon Bertrand Cantat en 2003.

Figure incontournable du cinéma et du théâtre français, Jean-Louis Trintignant est “mort paisiblement, de vieillesse, ce matin, chez lui, dans le Gard, entouré de ses proches”, a indiqué son épouse Mariane Hoepfner Trintignant dans un communiqué.

Entré dans l’histoire du cinéma avec Un homme et une femme de Claude Lelouch, Jean-Louis Trintignant l’a terminée avec le même réalisateur pour une dernière apparition sur grand écran dans Les plus belles années d’une vie, en 2019, où il retrouvait aussi sa partenaire Anouk Aimée.

Mais pendant plus de dix ans, le comédien avait cessé de travailler, profondément meurtri par la mort de sa fille Marie, avec qui il entretenait une grande complicité en privé comme sur scène. En 2003, Marie Trintignant, 41 ans, est tuée par son compagnon, le chanteur Bertrand Cantat. Un drame qui avait suscité l’émoi en France et mis en lumière les violences exercées contre les femmes.

′′Ça m’a complètement détruit”

En mai 2018, interviewé par Laurent Delahousse dans l’émission 19h le dimanche de France 2, Jean-Louis Trintignant revenait sur ce drame et les conséquences sur sa vie. “C’est arrivé il y a quinze ans. C’est curieux, hein? Moi, je ne pensais pas qu’il y avait si longtemps. C’était en 2003. Ça m’a complètement détruit et je n’arrive pas à m’en remettre. En même temps, on est fait de nos bonheurs et de nos drames.”

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Alors que le journaliste lui demandait comment il avait réussi à se relever, Jean-Louis Trintignant l’interrompait: “Je ne me suis pas tellement relevé. Parce que je vais de plus en plus mal depuis quinze ans.

Quel cancer avait Jean-Louis Trintignant ?

Jean-Louis Trintignant s’est éteint ce vendredi à l’âge de 91 ans a annoncé à l’AFP son épouse Mariane Hoepfner Trintignant via un communiqué transmis par son agent. L’acteur et comédien est « mort paisiblement, de vieillesse, ce matin, chez lui, dans le Gard, entouré de ses proches », a précisé son épouse. Celui qui s’est fait connaître en 1956 avec le film Et Dieu…créa la femme, avait révélé en 2017 qu’il était atteint d’un cancer de la prostate. Il était malgré tout monté sur scène l’année suivante à Paris pour des poèmes de Vian et Prévert notamment. Après avoir laissé entendre dans un premier temps qu’il allait arrêter le cinéma, Jean-Louis Trintignant a en fait continué le cinéma jusqu’aux dernières années de sa vie. En 2019, l’acteur avait par exemple participé au film de Claude Lelouch Les plus belles années d’une vie, aux côtés d’Anouk Aimée, avec qui il avait déjà joué dans Un homme et une femme, récompensé d’une palme d’or au Festival de Cannes en 1966. Au total, Jean-Louis Trintignant aura tourné dans 130 films, alors qu’il ne se prédestinait pas à ce métier. Retour sur la carrière d’un acteur, comédien et aussi pilote auto qui a voulu être réalisateur ou même photographe.

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« Monter à Paris » pour faire du théâtre

Jean-Louis Trintignant est né en 1930 à Piolenc, dans le Vaucluse. Il grandit dans ce qu’il appelle « la bourgeoisie provinciale« . Avant d’être maire de Pont-Saint-Esprit, dans le Gard, son père était résistant. « Je me souviens une fois, il nous a dit à ma mère, mon frère et moi : je suis désolé, mais on va faire exploser un train allemand de munitions – on habitait pas très loin de la gare – et notre maison va être soufflée, alors il faut la quitter », raconte-t-il à Armelle Héliot dans l’émission À voix nue sur France Culture en 2004. Sa mère est catholique, son père anticlérical – « comme tout bon radical-socialiste« , lui reçoit « une éducation catholique sans jamais être très pieux« . Jean-Louis Trintignant n’est pas un enfant gai. Il confiera lors de nombreuses interviews avoir voulu se « suicider plusieurs fois » lorsqu’il était adolescent.

Son amour pour le théâtre lui est transmis par sa mère, « passionnée de tragédies et surtout de Racine« . À la fin des années 40, il est étudiant en droit à Aix-en-Provence quand il découvre la pièce de théâtre Jules César de Shakespeare, au festival de Nîmes. « C’était magnifique dans les arènes de Nîmes. Et puis, c’était la découverte de Shakespeare. J’avais un peu lu, mais pas très bien.

Où repose Jean-Louis Trintignant ?

Par Kevin Sonsa-Kini

&nbsp|&nbspJournaliste

Passionné, dynamique et actif sur les nouvelles actus, Kevin Sonsa-Kini est capable de dénicher les nouvelles des personnalités à tout moment, le matin, l’après-midi et le soir !

Mort le 17 juin 2022 à l’âge de 91 ans, Jean-Louis Trintignant a été inhumé le 22 juin au cimetière du pont de Justice à Nîmes, loin de Paris où repose sa fille Marie (décédée en 2003). Un journaliste et auteur d’un ouvrage sur la vie de Jean-Louis Trintignant explique pourquoi il ne repose pas aux côtés de sa fille.

Jean-Louis Trintignant célèbre ses 88 ans sur la scène du théâtre de la Porte Saint-Martin ou il lit des poèmes de Prévert, Vian, Leprest ou encore Apollinaire à Paris. © Coadic Guirec/Bestimage © BestImage, Coadic Guirec Purepeople

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Jean-Louis Trintignant nous a quittés le 17 juin dernier à l’âge de 91 ans. Selon son épouse Mariane Hoepfner Trintignant à l’AFP, l’acteur « est mort paisiblement, de vieillesse, ce matin, chez lui, dans le Gard, entouré de ses proches.

Qui est la mère de Pauline Trintignant ?

Nadine Marquand-Trintignant est une réalisatrice, scénariste et écrivaine française, née le 11 novembre 1934 à Nice.

De son vrai nom Lucienne Marquand, elle naît de parents comédiens, Jean-Georges Marquand (1904-1992) et Lucienne-Fernande Cornilliat (1906-2006). Parmi ses cinq frères et sœurs, deux autres suivront le chemin artistique : les acteurs Christian (1927-2000) et Serge (1930-2004).

Jean-Louis Trintignant, son premier époux.

Elle épouse en 1961 Jean-Louis Trintignant, divorcé de Stéphane Audran. De ce mariage, naissent trois enfants : Marie (1962-2003), Pauline (1969-1970), Vincent Trintignant (né en 1973).

Divorcée en 1976[1], elle épouse en 1998 son compagnon de longue date, le réalisateur Alain Corneau qui adopte dans la foulée Marie et Vincent[2] avec le consentement de leur père biologique. Alain Corneau meurt en 2010 et est inhumé auprès de Marie au cimetière du Père-Lachaise (45e division).

Alain Corneau, son second mari.

Nadine Trintignant commence sa carrière en tant que stagiaire au laboratoire de tirages de films LTC. En 1955, elle devient monteuse de films : Du rififi chez les hommes de Jules Dassin (1955), Si Paris nous était conté de Sacha Guitry (1956), Léon Morin, prêtre de Jean-Pierre Melville (1961)[3]…

En 1965, elle réalise son premier court métrage Fragilité, ton nom est femme.

Qui vivait avec Marie Trintignant ?

Aujourd’hui, que vous reste-t-il de Marie Trintignant à part un prénom tatoué?Beaucoup de choses, je suis incapable de jeter. Même un dessin d’enfant sur une nappe de restaurant, je le garde. C’était mon premier amour, une histoire assez longue et romantique. Je venais d’une cité HLM. Tout en acceptant le mien, elle m’a fait entrer dans son monde. Moi, le gamin inculte, timide et sauvage, je découvrais le théâtre et la poésie auprès d’une femme très libre, moderne et contemporaine.

Vous écrivez qu’elle vous a appris à faire l’amour. Étiez-vous impressionné par elle?Sans avoir eu la même enfance, je crois qu’on se ressemblait finalement. Mais il fallait être prêt pour l’aimer, ce qui n’a pas été le cas de son dernier homme, je crois. Marie avait déjà aimé et on pouvait imaginer qu’elle aimerait encore beaucoup. Elle arrivait avec une famille, des parents dont elle était très amoureuse, et des enfants qui prenaient toute la place chez elle. Sans compter un métier qui la passionnait.

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Continuez-vous à voir votre ancienne belle-famille?Oui, nous sommes restés très liés avec Jean-Louis . Il a été l’un des premiers, avec mon fils, Jules, à lire mon livre*.

Où se trouve la tombe de Marie Trintignant ?

Tombe de Marie Trintignant et d’Alain Corneau : Cimetières : Cimetière du Père-Lachaise : 20ème arrondissement : Paris : Routard.com.

Quel est le nom de l’Ex-mari de Marie Trintignant ?

Nadine Trintignant publie en 2003 le livre Marie, ma fille, résumé par ces mots : « Je t’aime, ma fille chérie. Je t’aime à jamais. Peut-être parviendrai-je un jour à ne plus être obsédée par les horribles images de la fin de ta vie. J’arriverai à penser à toi avec douceur, et à te sourire. Peut-être. Je ne suis sûre de rien. »[11]

Le 13 mai 2007, Bertrand Delanoë, maire de Paris, inaugure le square Marie-Trintignant (ou jardin Marie-Trintignant) situé entre l’hôtel de Sens et la Seine, rue de l’Ave-Maria, dans le 4e arrondissement[12]. Il existe également une rue Marie-Trintignant à Brest et une allée Marie-Trintignant à Rezé (Loire-Atlantique).

En 2016, Samuel Benchetrit, son ex-mari, lui rend hommage à travers son livre La Nuit avec ma femme[13].

Dessin de Marie Trintignant et Patrick Dewaere dans Série noire.

Où vit Roman Kolinka ?

» Vinyle

Avec un père batteur du groupe Téléphone, il a été biberonné au son des guitares des années 70, celles des Rolling Stones et de Lou Reed. « Je suis resté figé au rock de cette époque, à ces trucs que me faisait écouter mon père. Ce qui sort aujourd’hui, je n’y connais rien. »

Chèvres

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Il y a deux ans, Roman Kolinka quittait Paris et son agitation pour s’installer à Uzès, petite commune du Gard où il avait ses souvenirs d’enfance. Il vit près de son grand-père, dans une maison familiale achetée par Marie Trintignant au début des années 80. Et il assure « kiffer la vie à la campagne ».

Mia

C’est sa rencontre avec Mia Hansen-Løve qui lui vaudra une renaissance. Après lui avoir confié un rôle dans Eden, la cinéaste le sollicite à nouveau pour L’avenir*, film où Roman donne la réplique à Isabelle Huppert et apparaît profond, sensible, tout en nuances et gravité.

Cantine

Son histoire personnelle et ses années de vaches maigres lui auront enseigné au moins une chose : « Rien à foutre de la célébrité. Ça vient, ça part », lâche-t-il.

Quand est morte Pauline Trintignant ?

Jean-Louis Trintignant nous a quittés le 17 juin dernier à l’âge de 91 ans. Selon son épouse Mariane Hoepfner Trintignant à l’AFP, l’acteur « est mort paisiblement, de vieillesse, ce matin, chez lui, dans le Gard, entouré de ses proches. » Jean-Louis Trintignant laisse derrière lui, une carrière riche de plus de soixante ans et aussi, son fils Vincent, né de sa liaison avec Nadine Trintignant, également mère de ses deux filles, Pauline et Marie Trintignant, mortes respectivement en 1969 et 2003.

Jean-Louis Trintignant « n’a jamais vraiment aimé » Paris

C’est au cimetière du Pont de Justice à Nîmes que Jean-Louis Trintignant a été enterré le 22 juin dernier. Un lieu différent de celui de sa fille Marie qui repose au cimetière du Père Lachaise à Paris.

Grand admirateur de Jean-Louis Trintignant, le journaliste Laurent Del Bono est l’auteur de l’ouvrage Jean-Louis Trintignant, une histoire de famille qui sortira le 22 septembre 2022 aux éditions Prisma groupe.

Qui a tué l’actrice Trintignant ?

« Elle a eu un accident », assure un autre.

Le 29 juillet, la police lituanienne assure que Bertrand Cantat a frappé puis poussé l’actrice, provoquant sa chute, mais aussi qu’il a attendu de longues heures avant d’appeler les secours. Une enquête est ouverte, Bertrand Cantat placé en garde à vue. La famille Trintignant porte plainte à Paris. Les médias relaient alors ces évolutions et parlent d’une « dispute qui tourne mal ». « Bertrand Cantat est soupçonné d’avoir battu l’actrice, qui serait violemment tombée sur la tête », entend-on à la radio.

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« Un crime passionnel »

L’affaire est alors présentée comme « un crime passionnel ». « La violence a eu raison de l’idylle », assure un autre reportage dans un journal de France 2. On présente Marie Trintignant comme une femme « fragile ». « L’actrice possède une grâce pleine de fêlures », écrit Le Parisien. Tandis que Bertrand Cantat est décrit comme « le rocker de tous les excès » que l’on compare volontiers à Jim Morisson. On met en avant sa réputation de militant engagé, « de bougon à la voix forte », son « charisme » et « ses prestations scéniques à la limite de l’hystérie ».

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« Pour les fans du rocker, le drame de Vilnius est un cauchemar. Se sont-ils trompés sur Bertrand Cantat ? Y avait-il un salaud sous l’icône ? », s’interroge le Nouvel Observateur. France Inter donne la parole le 31 juillet à Marc Garcia, directeur de Mouv qui affirme : « C’est le groupe phare du rock. C’est un drame. Il y a des gens qui ont pleuré en apprenant cette nouvelle.

Qui est le fils de Trintignant ?

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

Vincent Trintignant, également connu sous le nom de Vincent Trintignant-Corneau, né le 3 septembre 1973, est un acteur, scénariste, réalisateur et producteur de cinéma français.

Vincent Trintignant est le fils de l’acteur Jean-Louis Trintignant et de la réalisatrice Nadine Marquand. Frère cadet de l’actrice Marie Trintignant, Vincent Trintignant est par conséquent l’oncle des quatre fils de Marie : les acteurs Paul Cluzet, Léon Othenin-Girard, Roman Kolinka et Jules Benchetrit.

En 1998, sa mère Nadine Trintignant épouse le réalisateur Alain Corneau qui adopte ensuite, à l’âge adulte, Vincent et sa sœur Marie, avec le consentement de leur père biologique[1].

Fils de l’acteur Jean-Louis Trintignant et de la réalisatrice Nadine Trintignant, neveu des acteurs Christian Marquand et Serge Marquand, Vincent Trintignant suit la voie familiale. Il est ainsi successivement acteur, assistant de réalisation et scénariste, travaillant la plupart du temps en famille. Par la suite, il est devenu réalisateur et producteur.

En 2002, il occupe le poste de premier assistant réalisateur sur l’épisode pilote de la série télévisée Commissaire Valence.

  • 1996 : L’Insoumise de Nadine Trintignant – coscénariste
  • 2001 : L’Île bleue de Nadine Trintignant – coscénariste
  • Ressources relatives à l’audiovisuelVoir et modifier les données sur Wikidata :

Comment est décédée Marie ?

Pour les orthodoxes comme pour les catholiques, Marie est restée toute sa vie sans jamais pécher, de sa naissance à son « endormissement » dans la mort. Les orthodoxes parlent de Dormition et non de mort, tandis que les catholiques évoquent son Assomption.

L’Assomption est un dogme catholique selon lequel, au terme de sa vie terrestre, Marie a été « enlevée corps et âme » au ciel. Le 1er novembre 1950, ce point de foi, en réalité fort ancien dans la mémoire de l’Église, est finalement défini sous forme de dogme par la constitution apostolique Munificentissimus Deus du pape Pie XII, sous le sceau de l’infaillibilité pontificale. Les catholiques fêtent l’Assomption le 15 août.

Les orthodoxes emploient le terme de Dormition depuis le Ve siècle. Ce dogme signifie que la Vierge, morte sans souffrir, est vivante dans un état de paix spirituelle. Ils critiquent le nom d’Assomption, qui entretient l’ambiguïté en laissant croire que la Vierge a été enlevée au Ciel de son vivant. La fête de la Dormition, le 15 août, se présente comme une célébration de la vie éternelle : « Tu es passée à la Vie, toi qui es la mère de la Vie[39]. »

  • Mère de Dieu (ΜΡ ΘΥ) à l’enfant Jésus en tendresse, icône sur bois de Transylvanie, fin du XVIIIe siècle.
  • Icône sur verre « Mater dolorosa », XIXe siècle, Musée de Sibiel, Transylvanie.
  • Icône abyssine Théotokos à l’enfant Jésus, musée Paul Delouvrier[40], Évry, France.

Luther insiste sur l’humilité de Marie et son accueil de la grâce[41]. Calvin affirme qu’elle a besoin du pardon, et refuse, à la différence de Luther, de célébrer les fêtes mariales. Il n’accepte pas l’appellation « Mère de Dieu ».

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L’adoption des dogmes de l’Immaculée Conception en 1854 et de l’Assomption en 1950 par l’Église catholique creuse un nouvel écart entre elle et les Églises orthodoxes et protestantes qui estiment que ces dogmes établis tardivement ne reflètent pas une réalité historique ou spirituelle mais constituent des excès du culte marial (Mariolâtrie).

Les méthodistes n’ont pas d’écrits officiels ou d’enseignements sur Marie, sauf ce qui est mentionné dans l’Écriture et les enseignements œcuméniques. Ils considèrent essentiellement que le Christ a été conçu dans son sein par l’Esprit-Saint et qu’elle a donné naissance au Christ en étant vierge. John Wesley, le principal fondateur du mouvement méthodiste au sein de l’Église d’Angleterre, estime que Marie « est restée une vierge pure et sans tache »[42]. L’Église méthodiste considère que Marie était vierge avant, pendant et immédiatement après la naissance du Christ[43].

De ceci, les Églises méthodistes unies rejettent les notions de Marie corédemptrice ou médiatrice. Ils rejettent également la vénération des saints, de Marie et des reliques : ils estiment que le respect et la louange sont réservés à Dieu seul.

Où se trouve le corps de la Vierge Marie ?

Son sarcophage a été enlevé de là par les orthodoxes grecs. L’entrée se trouve à la vingt-troisième marche[18].

Du côté est de l’église on accède à la chapelle du Sépulcre de Marie. Les autels des Grecs et des Arméniens s’en partagent l’abside. Du côté ouest on remarque l’autel des Coptes. Il y a aussi un mihrab datant de l’époque où les musulmans y avaient des droits.

  1. ↑ Simon Claude Mimouni, Les traditions anciennes sur la Dormition et l’Assomption de Marie : Études littéraires, historiques et doctrinales, Brill, 2011, p. 312.
  2. ↑ in Liber Joannis de Dormitione Mariæ et De Transitu Beatæ Mariæ Virginis
  3. ↑ Saint Modeste de Jérusalem, saint Sophrone de Jérusalem, saint Grégoire de Tours, saint Jean Damascène, etc.
  4. ↑ Pierre Maraval, Lieux saints et pèlerinages d’Orient : histoire et géographie des origines à la conquête arabe, Cerf, 1985, p. 264.
  5. ↑ B. Bagatti, « La tombe de Marie à Gethsémani », Les Dossiers de l’Archéologie, no 10,‎ mai-juin 1975, p. 122-126.
  6. ↑ Alviero Niccacci, op. cité
  7. ↑ (en) Joan E. Taylor, Christians and the Holy Places : The Myth of Jewish-Christian Origins, Clarendon Press, 1993, p. 384
  8. ↑ a b c et d Simon Claude Mimouni, Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère, Paris, 2012, éd. PUF, p. 522.
  9. ↑ Peter Schäfer, The Bar Kokhba War Reconsidered, 2003, Mohr Siebeck, Tubingen, Allemagne, p. XVIII.
  10. ↑ Simon Claude Mimouni, La tradition des évêques chrétiens d’origine juive de Jérusalem, in Studia patristica vol. XL, publié par Frances Margaret Young, Mark J. Edwards, Paul M. Parvis, éd. Peeters, Louvain, 2006, p. 462.
  11. ↑ François Blanchetière, Enquête sur les racines juives du mouvement chrétien, p. 127.

Comment la Vierge Marie a pu tomber enceinte ?

La conception virginale du Christ par Marie s’appuie sur divers passages de l’Ancien et du Nouveau Testament :

  • Mt 1, 18+ : « or avant qu’ils aient mené une vie commune, elle se trouva enceinte par le fait de l’Esprit Saint »
  • Mt 1, 20+ : « l’Ange du Seigneur lui apparut en songe et lui dit : « […] ce qui a été engendré en elle vient de l’Esprit Saint […] » »
  • Lc 1, 34, : « Mais Marie dit à l’ange : « Comment cela sera-t-il, puisque je ne connais pas d’homme ? » »
  • Is 7, 14 (version de la Bible de Jérusalem)] : « C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe : Voici, la jeune femme est enceinte, elle va enfanter un fils et elle lui donnera le nom d’Emmanuel. »

La tradition chrétienne voit également dans le « porche fermé » de la vision d’Ezéchiel (Ez 44, 1-3) le symbole de la virginité de Marie :

1 « Il me ramena vers le porche extérieur du sanctuaire, face à l’orient. Il était fermé. » 2 « YHWH me dit : Ce porche sera fermé. On ne l’ouvrira pas, on n’y passera pas, car Adonaï, le Dieu d’Israël, y est passé. Aussi sera-t-il fermé. » 3 « Mais le prince, lui, s’y assiéra pour y prendre son repas en présence de YHWH. C’est par le vestibule du porche qu’il entrera et c’est par là qu’il sortira. »

L’interprétation virginale de la prophétie d’Isaïe est contestée par certains, qui opposent à la Bible des Septante (traduite de l’hébreu ancien en grec entre le IIIe et le IIe siècle avant Jésus-Christ), la Bible Massorétique (traduite de l’hébreu ancien (mots écrits sans les voyelles ce qui ouvrait le champ aux erreurs d’interprétation) en hébreu moderne (mots écrits avec l’ajout de voyelles afin d’éviter lesdites erreurs) par un groupe de Juifs appelés les Massorètes entre le VIIe et le Xe siècle après Jésus-Christ).

  • Dans la version massorétique, la traduction du prophète Isaïe concernant la naissance du Messie dit que celui-ci naîtrait d’une jeune femme (עלמה – almah), ce mot ne précisant pas si cette jeune femme serait mariée ou non, vierge ou non, mais seulement sa qualité de primoparturiente (femme qui met au monde son premier enfant).
  • La version des Septante traduit le même passage d’Isaïe en disant que le Messie naîtrait d’une παρθενος (parthenos = vierge).

Quel âge avait la Vierge Marie ?

D’après un écrit apocryphe du protévangile de Jacques, il est rapporté qu’elle avait 16 ans lorsqu’elle fut enceinte de Jésus. Selon Joseph le Charpentier, autre apocryphe, elle avait 14 ans. Ces textes ne sont pas reconnus par l’Église ?

La mort de la Vierge Marie dans la Bible

Une seule chose importe vraiment : qu’elle ait été glorifiée, corps et âme ; c’est le dogme de l’Assomption, promulgué par le pape Pie XII en 1950. Ce texte ne parle pas pour Marie de « résurrection » (ce serait reconnaître qu’elle était effectivement morte) mais d' »Assomption » : « Nous affirmons, […] que l’Immaculée Mère de Dieu, Marie toujours Vierge, après avoir achevé le cours de sa vie terrestre, a été élevée corps et âme à la gloire céleste« . C’est ce que nous fêtons le 15 août.

La mort de Marie, mère de Jésus

Marie nous précède dans le Ciel, elle vit déjà dans la gloire de Dieu. Par son Assomption, elle nous ouvre le chemin : elle anticipe notre résurrection. Nous vivrons, nous aussi, corps et âme dans le Ciel : Dieu sera alors « tout en tous » dans la vie éternelle.

 

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