Home » Qui est l’épouse de Michel Creton ?

Qui est l’épouse de Michel Creton ?

by Judith Ferrier

Lola Créton, née le 16 décembre 1993 à Paris, est une actrice française.

Où vit Michel Creton ?

Connu sous le nom d’amendement Creton, ce texte permet aux jeunes handicapés de rester dans un établissement adapté au-delà de l’âge de 20 ans, jusqu’à ce qu’ils aient trouvé une solution durable dans une structure pour adultes[3].

Depuis décembre 1989, Michel Creton est le parrain de l’association Turbulences qui a créé et gère La Maison du xxie siècle à Saint-Dié-des-Vosges. Cet établissement inauguré en 1995 constitue un centre pilote de rééducation pour personnes handicapées qui, dans l’esprit de l’amendement prôné par l’acteur et adopté par le Parlement s’adresse dans le même lieu tant aux adultes qu’aux enfants[4].

Début 2011 à Cambrai, la résidence Michel Creton est inaugurée sur le site des Papillons blancs du Cambrésis, une association qui se dévoue dans l’accompagnement des personnes handicapées mentales.

  • 1966 : Le Théâtre de la jeunesse : La Clef des cœurs d’Yves-André Hubert (Scénario et dialogues de Michel Subiela) : Le Nantais
  • 1966 : Au théâtre ce soir : Trois garçons, une fille de Roger Ferdinand, mise en scène Jean Marchat, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny
  • 1966 : Au théâtre ce soir : La Prétentaine de Jacques Deval, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny
  • 1967 : Au théâtre ce soir : Les J 3 de Roger Ferdinand, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny
  • 1966 : Corsaires et Flibustiers de Claude Barma (feuilleton télévisé) : Tanne-Cuir
  • 1968 : Le Bourgeois gentilhomme (téléfilm) : Covieille
  • 1968 : En votre âme et conscience, épisode : Les Innocents d’Eldagsen de Claude Barma
  • 1970 : Un mystère par jour (série télévisée) : L’ombre d’un doute de Jacques Audoir : le sportif accusé
  • 1970 : Au théâtre ce soir : La Roulotte de Michel Duran, mise en scène Alfred Pasquali, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny
  • 1971 : La Dame de Monsoreau (Mini-série) : Chicot
  • 1971 : Donogoo (téléfilm) : un actionnaire
  • 1972 : Au théâtre ce soir : Charmante Soirée de Jacques Deval, mise en scène Pierre Mondy, réalisation Georges Folgoas, théâtre Marigny
  • 1972 : Aux frontières du possible de Claude Boissol : Jacques Mestès, un gardian, épisode « Alerte au minotaure »
  • 1973 : L’Hiver d’un gentilhomme de Yannick Andréi : le chef des brigands
  • 1974 : La Juive du Château Trompette de Yannick Andréï.
  • 1974 : Au théâtre ce soir : La Moitié du plaisir de Steve Passeur, Jean Serge et Robert Chazal, mise en scène Francis Morane, réalisation Georges Folgoas, théâtre Marigny
  • 1975 : La Mort d’un touriste d’Abder Isker
  • 1975 : La Fleur des pois (Téléfilm) : Albert Tavernier
  • 1976 : Ces beaux messieurs de Bois-Doré (Mini-série) : Villaréal
  • 1977 : La Mort amoureuse (Téléfilm) : Dédé
  • 1977 : La Mer promise de Jacques Ertaud
  • 1979 : Fou comme François de Gérard Chouchan : François
  • 1980 : Au théâtre ce soir : La Prétentaine de Jacques Deval, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny
  • 1980 : Marie-Cavale (Téléfilm) : Mauriec
  • 1981 : Frère Martin (Téléfilm) : Frère Guillaume
  • 1981 : Treize (Téléfilm) : Pierre Mallois
  • 1981 : La guerre n’aura pas lieu (Téléfilm) : Olax
  • 1981 : La Vie des autres : Pomme à l’eau (Série TV) : Rouchon
  • 1983 : Julien Fontanes, magistrat (Série TV) : Jacques Fouleix
  • 1983 : Le Crime de Pierre Lacaze (Téléfilm) : Commissaire Mathias
  • 1984 : Le Tueur triste de Nicolas Gessner (Téléfilm) : Maurice
  • 1986 : A nous les beaux dimanches (Téléfilm) : André Larcher
  • 1988 : Le Ravissement de Scapin (Téléfilm) : Scapin
  • 1995, 1996 et 2006 : Navarro (Série TV) : Jean Girardin / Mr Derval / Laforge
  • 1996 et 1998 : Commissaire Moulin (Série TV) : Louis Berghese / Michu
  • 1997 et 1999 : Maître Da Costa (Série TV) : Patrick Merlo /Paul Ardenne / Pierre Lourcat
  • 1998 : Julie Lescaut (Série TV), épisode 3 saison 7, Piège à flics de Pascal Dallet : Commissaire Sylvère
  • 1999 : Les Bœuf-carottes (Série TV) : Daniel Gaucher
  • 2000 : On n’a qu’une vie (téléfilm) : L’homme à l’imperméable
  • 2001-2009 : Central Nuit (série télévisée) : Franklin
  • 2003 : Le Premier fils (téléfilm) : Cardelli
  • 2004 : B.R.I.G.A.D. (série télévisée) : Charles Varel
  • 2005 : Mis en bouteille au château (téléfilm) : Robert
  • 1961 : Hélène ou la Joie de vivre de John Erskine, mise en scène Louis Ducreux, théâtre de la Madeleine
  • 1963 : Dom Juan de Molière, mise en scène Pierre Dux, théâtre de l’Œuvre
  • 1965 : L’Amérique de Max Brod d’après Franz Kafka, mise en scène Antoine Bourseiller, Odéon-Théâtre de France
  • 1966 : Les Paravents de Jean Genet, mise en scène Roger Blin, Odéon-Théâtre de France
  • 1966 : La Prétentaine de Jacques Deval, mise en scène Robert Manuel, théâtre Marigny
  • 1967 : Xavier de Jacques Deval, mise en scène Jacques-Henri Duval, théâtre Édouard VII
  • 1968 : La Baye de Philippe Adrien, mise en scène Antoine Bourseiller, théâtre de Chaillot
  • 1968 : La Moitié du plaisir de Steve Passeur, Jean Serge & Robert Chazal, mise en scène Robert Hossein, théâtre Antoine
  • 1973 : Vol au-dessus d’un nid de coucou de Dale Wasserman, mise en scène Pierre Mondy, théâtre Antoine
  • 1975 : La Sirène de l’oncle Sam de Neil Simon, mise scène Emilio Bruzzo, théâtre Fontaine
  • 1981 : Barnum de Michael Stewart, musique Cy Coleman, mise en scène Yves Mourousi, direction musicale Frank Bacri
  • 1985 : Le Sexe faible d’Édouard Bourdet, mise en scène Jean-Laurent Cochet, théâtre Hébertot
  • 1986 : L’Opéra de quat’sous de Bertolt Brecht, mise en scène Giorgio Strehler, théâtre du Chatelet
  • 1987 : L’Affaire du courrier de Lyon d’Alain Decaux et Robert Hossein, mise en scène Robert Hossein, Palais des congrès de Paris
  • 1988 : La Liberté ou la mort d’après Danton et Robespierre d’Alain Decaux, Stellio Lorenzi et Georges Soria, mise en scène Robert Hossein, Palais des congrès de Paris, interprète le rôle de Fabre d’Eglantine.
  • 1989 : Un fil à la patte de Georges Feydeau, mise en scène Pierre Mondy, théâtre du Palais-Royal
  • 1993 : Les Désarrois de Gilda Rumeur de Maria Pacôme, mise en scène Jean-Luc Moreau, théâtre Saint-Georges
  • 1995 : L’Apollon de Bellac de Jean Giraudoux, mise en scène Frédéric Ferney, théâtre de la Madeleine
  • 2000 : Phèdre 2000 d’Yves Guéna, mise en scène Philippe Rondest, théâtre Mouffetard
A LIRE  Pourquoi la vie est devenu si difficile ?

Qui est la mère de Felix Moati ?

Félix Moati, né le 24 mai 1990 à Paris, est un acteur et réalisateur français.

L’acteur membre du jury de la Révélation Cartier au Festival de Deauville 2012.

Il est le fils du réalisateur et journaliste Serge Moati (né en 1946), issu d’une famille juive tunisienne, et de Sophie Gourdon (née en 1954), énarque, présidente de la troisième chambre de la Cour des comptes depuis 2015[1].

Son grand-père paternel, Serge (1903-1957), fils de franc-maçon, socialiste et franc-maçon lui-même à la Grande Loge de France[2], rattaché à la communauté des Granas, était journaliste, notamment à Tunis socialiste et au Petit Matin

Sa grand-mère paternelle, Odette née Scemama (1905-1957), est quant à elle issue de la communauté des Juifs natifs de Tunisie, les Twânsa.

Sa tante, Nine Moati, née en 1938, est une romancière.

Il a un demi-frère, Victor, né en 1982, et une sœur, Irène, née en 1985.

Il fait ses débuts au cinéma dans deux films aux registres très différents, la comédie adolescente LOL de Lisa Azuelos et le film d’horreur Livide.

Où habite Denis Menochet ?

Habitué aux rôles qui demandent un engagement total comme dans Jusqu’à la garde, l’acteur revient dans trois films. Et se ressource dans sa maison finistérienne près de la baie d’Audierne.

Qui est le père de Léopold Moati ?

  • Tous en scène, 2002
  • Le Pen, vous et moi, 2003
  • Mes questions sur…, série de documentaires, 2005-
  • Paris 2012 : les coulisses d’une campagne, réalisé avec Philippe Rouquier, 2005
  • La Prise de l’Élysée, 2007
  • Mitterrand à Vichy, 2008
  • Le Peuple de la rue, les invisibles
  • Changer la vie, docu-fiction sur l’accès au pouvoir de François Mitterrand, 2011.
  • Élysée 2012, la vraie campagne!, 2012
  • Législatives 2012, La vraie campagne!, 2012
  • Méditerranéennes – mille et un combats » , 2013
  • Adieu Le Pen , 2014
  • Quai d’Orsay – Les coulisses de la diplomatie, France 3, 2015
  • Gauche, année zéro?, 2017
  • Académie française, Voyage au pays des Immortels[29], 2020

Serge Moati a contribué au documentaire Paris Couleurs, de l’indigène à l’immigré en tant que délégué de production.

  • Le Nœud de vipères, 1971 (adaptation du roman de François Mauriac)
  • Le Sagouin, 1972 (adaptation du roman de François Mauriac)
  • Le Pain noir, 1974 (feuilleton, adaptation du roman de Georges-Emmanuel Clancier)
  • Rossel et la Commune de Paris, 1977
  • Ciné-roman, 1978 (adaptation du roman de Roger Grenier)
  • Mont-Oriol, 1980, (adaptation du roman de Guy de Maupassant)
  • Mort aux ténors, 1987, avec Philippe Khorsand
  • La Croisade des enfants, 1988
  • Une femme dans la tourmente, 1994 où il tient un rôle
  • Parfum de famille, 1997 où il tient un rôle
  • Jésus, 2001
  • Capitaines des ténèbres, 2005
  • Mitterrand à Vichy, 2007
  • Je vous ai compris : De Gaulle, 1958-1962, 2010
  • Sigmaringen, le dernier refuge, 2017

Serge Moati au 20e Maghreb des livres (Paris, le 8 février 2014).

  • La Saison des palais, éd. Grasset, Paris, 1986.
  • La Haine antisémite, éd. Flammarion, Paris, 1991.
  • Paroles d’orphelins, éd. Jean-Claude Lattès, Paris, 1998.
  • Le Septième Jour d’Israël. Un kibboutz en Galilée (en collaboration avec Ruth Zylberman), éd. Mille et une nuits, Paris, 1998.
  • Villa Jasmin, éd. Fayard, Paris, 2003.
  • Du côté des vivants, éd. Fayard, Paris, 2006.
  • 30 ans après, éd. Seuil, Paris, 2011.
  • Dernières nouvelles de Tunis, éd. Michel Lafon, Paris, 2011.
  • Le Pen, vous et moi, éd. Flammarion, Paris, 2014.
  • avec François Nussbaumer, Temples maçonniques de France et de Belgique éd. Le Noyer, 2015.
  • avec Edward Vignot, Rêves d’Orient, mon musée idéal, Place des Victoires, 2016, 207 pages.
  • Juifs de France, pourquoi partir ?, éd. Stock, Paris, 2017.
  • Il était une fois en Israël, Fayard, 2019.
  • Lettre à Anita, éd. Fayard, 2020.
  1. ↑ Jean-Claude Raspiengeas, « Serge Moati, l’éternel orphelin de Tunis », La Croix,‎ 20 mai 2011 (ISSN 0242-6056, lire en ligne)
  2. ↑ Serge Moati, Villa Jasmin, éd. Fayard, Paris, 2003, p. 353.
  3. ↑ Il adoptera plus tard le prénom de Serge, en hommage à son père décédé prématurément en 1957.
  4. ↑ « Moati : de l’arabe mu’atî, “qui donne”, “généreux”, “munificent” », Paul Sebag, Les noms des Juifs de Tunisie, éd. L’Harmattan, 2002, p. 106.
  5. ↑ Serge Moati, Villa Jasmin, p. 351-352.

 

Vous aimeriez aussi

Notre site utilise les cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez refuser si vous le souhaitez. Accept Lire