Très discret sur sa vie de famille, il est père de deux garçons : Philippe, né d’une Brésilienne prénommée Bettina, et Arthur Le Forestier, également chanteur, qu’il a eu avec son épouse, Fabienne.
Qui est la sœur de Maxime Le Forestier ?
Le titre ‘Qui fine arrivé’ de l’emblématique chanteur mauricien Claudio Veeraragoo est réédité dans la compilation MORIS ZEKLER – Fuzz & Soul Sega from 70’s Mauritius.
Pionnier du son rock et des guitares saturées à l’île Maurice, Claudio Veeraragoo est aussi connu pour « Ambalaba » qui a été repris par le chanteur Maxime Le Forestier. Ce ségatier d’origine indienne prend son inspiration dans la culture bollywoodienne comme dans les musiques africaines pour présenter une autre facette du séga. « À l’époque, la musique africaine était en vogue à l’île Maurice, et nous nous sommes inspirés de cela pour composer « Qui fine arrivé« , nous explique Claudio contacté au téléphone.
Sorti en 1971, l’envoûtant « Qui fine arrivé » est un morceau enregistré avec son groupe, qui deviendra par la suite le Satanik Group. L’artiste s’inspire aussi de ses idoles tels que Santana, Jimmy Hendrix ou encore du groupe de rock britannique The Shadows. « Lors d’une tournée à l’île de la Réunion, j’ai acheté un double album live du festival Woodstock dans lequel il y a un passage de Santana.
Pourquoi Maxime Le Forestier à ecrit né quelque part ?
»
— Maxime Le Forestier[2].
Le 9 septembre 1986 est promulguée la loi Pasqua, afin de faire reculer l’immigration, qui dit qu’un enfant né en France de parents étrangers ne devient plus automatiquement français à sa majorité, ou comment substituer le droit du sang au droit du sol[3]. À cette même période, le Front national commence à se faire de plus en plus présent, ce qui amène de nombreux débats concernant le sujet de l’immigration[3]. Chanteur engagé, Le Forestier décide d’écrire un hymne antiraciste soudé par des sonorités africaines, en révolte contre la loi Pasqua. Le titre est une référence à la chanson La Ballade des gens qui sont nés quelque part, de Georges Brassens.
À ce moment précis, Maxime Le Forestier connaît une période artistique difficile depuis plusieurs années, marquée notamment par les échecs commerciaux des Jours meilleurs et d’After Shave, avec l’apparition des synthétiseurs dans sa musique[4]. Marc Lumbroso, alors éditeur de Jean-Jacques Goldman chez CBS Disques, reprend les rênes de Polydor à la fin des séances du précédent album de Le Forestier, After Shave en 1986.
« Avec Moustaki, Maxime était le seul artiste rescapé des grandes années Polydor et je me le figurais comme un des gardiens du temple.
Quel est le vrai nom de Maxime Le Forestier ?
En avril 2013, il offre « Le cadeau », un nouvel opus. Maxime Le Forestier (Bruno Le Forestier de son vrai nom), est né le 10 février 1949 à Paris. Son univers d’enfant est bercé par la musique grâce à sa mère, mélomane avertie et entouré de ses deux sœurs aînées. Très jeune, il apprend le violon.
Qui a lancé la carrière de Maxime Le Forestier ?
En France, elle a ainsi emprunté Pauvre Rutebœuf, de Léo Ferré, ou encore Les Choses les plus simples, de Gabriel Yacoub, qu’elle chantera des années plus tard en duo avec Le Forestier. En septembre 1971, quelques mois après le fameux dîner au poulet, surprise : elle entonne Parachutiste à la Fête de l’Huma. « J’étais encore un inconnu, à peine signé par une maison de disques, sourit Le Forestier. Le lendemain, je recevais des messages de tout le métier : ‘On a toujours cru en vous!’Etre chanté par Joan Baez, ça aide… » L’année suivante, son premier album, avec San Francisco ou Fontenay-aux-Roses, deviendra celui d’une génération. La suite après cette publicité
Depuis, Maxime Le Forestier et Joan Baez se sont revus de loin en loin, ont fait une tournée commune en 1995. En 2015, lors de la dernière venue en France, ils ont encore chanté ensemble. Le meilleur souvenir de Le Forestier? « La guitare qu’elle m’a offerte, lors de notre deuxième rencontre. Joan était désespérée d’avoir découvert sa Martin 1880 cassée par le voyage en soute : la table d’harmonie était fendue.
Qui a ecrit ambalaba ?
Le titre ‘Qui fine arrivé’ de l’emblématique chanteur mauricien Claudio Veeraragoo est réédité dans la compilation MORIS ZEKLER – Fuzz & Soul Sega from 70’s Mauritius.
Pionnier du son rock et des guitares saturées à l’île Maurice, Claudio Veeraragoo est aussi connu pour « Ambalaba » qui a été repris par le chanteur Maxime Le Forestier. Ce ségatier d’origine indienne prend son inspiration dans la culture bollywoodienne comme dans les musiques africaines pour présenter une autre facette du séga. « À l’époque, la musique africaine était en vogue à l’île Maurice, et nous nous sommes inspirés de cela pour composer « Qui fine arrivé« , nous explique Claudio contacté au téléphone.
Sorti en 1971, l’envoûtant « Qui fine arrivé » est un morceau enregistré avec son groupe, qui deviendra par la suite le Satanik Group. L’artiste s’inspire aussi de ses idoles tels que Santana, Jimmy Hendrix ou encore du groupe de rock britannique The Shadows. « Lors d’une tournée à l’île de la Réunion, j’ai acheté un double album live du festival Woodstock dans lequel il y a un passage de Santana.
Qui est le père de Maxime Le Forestier ?
Il reprit alors une de ses chansons, Dans l’eau de la claire fontaine, en pleurs.
Quelle est l’origine de Maxime Le Forestier ?
Maxime Le Forestier aux Enfoirés 2013
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Maxime Le Forestier, de son vrai nom Bruno Le Forestier, né le 10 février 1949 à Paris, est un auteur-compositeur-interprète français.
Il est popularisé en 1972, avec des chansons comme Fontenay-aux-Roses, Parachutiste, San Francisco ou Mon frère, comprises dans son premier album studio, Mon frère. Vendu à plus d’un million d’exemplaires, il devient dès lors la « bande-son de toute une génération »[1].
Bruno Le Forestier naît à Paris le 10 février 1949, boulevard Pereire. Il a deux sœurs ainées : Anne née en 1943, et Catherine née en 1946.
Son père est britannique d’origine normande ; sa mère, Geneviève (dite Lili) (1917-2010) est française, elle a vécu un certain temps en Angleterre où elle a été traductrice pour des chaînes britanniques de télévision ; musicienne, elle a donné à ses enfants le goût de la musique, notamment du violon.
La famille vit à Neuilly-sur-Seine, les parents divorcent en 1963.
Bruno Le Forestier fait ses études secondaires au lycée Condorcet, mais ne dépasse pas le stade de la classe de première, renvoyé du lycée en 1965 pour indiscipline.
Au cours des années 1960, il forme le duo Cat & Maxim avec sa sœur Catherine, empruntant quelques chansons à Georges Moustaki, avant même que ce dernier ne les chante lui-même (Le facteur, La ballade de nulle part). Serge Reggiani interprète en 1968 une de ses compositions : Ballade pour un traître. C’est durant cette période qu’il adopte le prénom de Maxime. En 1969, il sort deux 45 tours en solo sous le label Festival.
En 1969, il fait son service militaire dans les troupes aéroportées, au 13e Régiment de dragons parachutiste de Dieuze. Mais il se fait porter malade avant son premier saut, et son esprit indiscipliné, son caractère rebelle l’empêchent de s’adapter à l’esprit de corps de son régiment. Il en fait tant à rebours qu’il est d’abord interné à l’infirmerie, avant que le régiment se débarrasse de lui en l’envoyant achever son service dans un bureau à Paris. Ce passage dans les troupes aéroportées lui inspirera la chanson antimilitariste Parachutiste.
En 1972, son premier album sort chez Polydor avec les titres : San Francisco, Mon frère, La Rouille, avec plusieurs titres écrits par Jean-Pierre Lemaire, alias Jean-Pierre Kernoa : Éducation sentimentale, La Rouille, Mourir pour une nuit, Fontenay-aux-roses, et un titre coécrit avec Catherine Le Forestier, Comme un arbre dans la ville. Le succès est énorme.
En octobre 1972, il fait la première partie, à Bobino de son idole Georges Brassens. Révolté par le prix de ses places de concerts qu’il juge trop élevé, il impose des places à 10 F. En 1973, il profite d’une prestation à l’Olympia pour enregistrer un album en public. En 1974, il compose le générique de la série d’animation jeunesse Le Roman de Renart.