Il aurait eu 84 ans aujourd’hui. Le chanteur est décédé le 11 mars 1978, à l’âge de 39 ans, électrocuté alors qu’il prenait son bain.
Qui a hérité de la fortune de Mike Brant ?
Du moins, la thèse du suicide est-elle privilégiée alors que l’accident mais aussi une mort intentionnelle sont également des pistes évoquées… Une histoire faite de chances, de hasards, de malheurs, de succès que son frère, Zvi, perpétue depuis son décès.Ils forment un duo de chanteurs, les Chocolates
Né trois ans après Mike, – aujourd’hui âgé de 71 ans -, Zvi Brant a également hérité des talents de chanteur de son frère. Les deux garçons, alors adolescents en Israël où ils sont nés, montent leur propre groupe, les Chocolates, et se produisent dans les hôtels et boîtes de nuit. En duo, ils interprètent les standards de l’époque. Mike Brant, qui maîtrise mal l’anglais, change en phonétique – ce qu’il fera des années plus tard, en français également.
Zvi entretient sa mémoire
Depuis la mort de son frère, Zvi et sa fille Yona entretiennent sa mémoire et participent à la création de projets artistiques sur Mike Brant. Ainsi, Zvi veille à ne pas laisser des rumeurs se propager, comme celle qui fait passer son frère pour un drogué. Selon certains, sa consommation supposée aurait provoqué sa mort. Le suicide ?
Quel chanteur s’est défenestré ?
En cause : le producteur de l’artiste, Simon Wajntrob. Un personnage sulfureux, aux relations d’affaires suspectes, que l’on a vu et entendu se disputer violemment avec Mike et, plus grave, avec la mère du chanteur au moment des obsèques de son fils. Wajntrob sera retrouvé mort au bois de Boulogne avec une balle dans le coeur et une autre dans la nuque, trois ans après la disparition de Mike Brant. Egalement troublant : le secrétaire du chanteur, Alain Krief, se suicide en 1984 en se jetant sous une rame de métro. Toutes ces morts suspectes ont fait émerger d’autres spéculations, dont une histoire d’espionnage en lien avec le Mossad sans qu’on en sache beaucoup plus… Une autre possibilité est que Mike Brant, en se rendant sur le balcon, ait trébuché avant de basculer puis de tomber.
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La théorie du frère
L’hypothèse du suicide reste, cependant, la plus probable. Elle est renforcée par une première tentative le 22 novembre 1974, lorsque Mike Brant, dont la vie avait changé grâce à un simple coup de téléphone, se jeta du cinquième étage de l’hôtel de la Paix à Genève. Blessé, il n’avait alors eu la vie sauve qu’au talon d’une de ses chaussures qui aurait freiné puis stoppé sa chute, au troisième étage de l’établissement.
Qui est Jeanne Cacchi ?
Mike Brant avait passé la nuit avec Jeanne Cacchi, une amie qu’il avait rencontrée dans une discothèque de Saint-Tropez, peu après son arrivée en France, et avec laquelle il venait de se réconcilier. Depuis la salle de bains, la jeune femme entendit Mike Brant prendre un appel téléphonique puis raccrocher très vite.
Il débarque à Paris avec 40 dollars en poche
Quelques minutes plus tard, découvrant qu’il avait disparu de l’appartement, elle réalisa qu’il s’était jeté du sixième étage. Une chute de 20 mètres, qui suscite aujourd’hui encore de nombreuses interrogations. Mike Brant fut enterré le 7 mai 1975, à Haïfa, en Israël, en présence de ses proches et de ses amis. Parmi eux, son frère Zvi, qui vient de préfacer « Mike Brant inédit » (1), un livre-souvenir écrit par Gilles Lhote et Fabien Lecoeuvre. On y trouve 150 photos inédites et des révélations sur la vie privée et professionnelle du crooner. Ce play-boy, fils d’une rescapée du camp d’Auschwitz et d’un maquisard polonais installés en Israël, débuta avec un orchestre de boîte de nuit.
Où est enterré Mélina Mercouri ?
Jeudi, par dizaines de milliers, les Grecs ont suivi la dépouille de Mélina Mercouri qui a été inhumée, avec les honneurs d’un premier ministre, dans le cimetière historique d’Athènes. Pour permettre aux Athéniens de dire adieu à celle que les Grecs appellent affectueusement » Mélina « , les écoles, les administrations et les magasins avaient été fermés. Après la cérémonie religieuse qui a duré plus de trois heures, le cortège s’est rendu dans le centre-ville.
Posée sur un affût de canon, la dépouille mortelle précédait une limousine où se trouvait une robe orange dans laquelle le ministre grec de la culture avait souhaité être inhumée. Son époux, le cinéaste américain Jules Dassin suivait, à pied, entouré par sa famille. Devant le Parlement, quinze salves de canon, ont rendu un dernier hommage à l’ancien député socialiste du Pirée. « Les mêmes espérances «
La foule lançait des fleurs en direction du cercueil couvert du drapeau grec. Une banderole demandait aux Britanniques la restitution des frises du Parthénon, un des grands combats de Mélina Mercouri, ministre de la culture.
Où est né Mélina Mercouri ?
Melina Mercouri (grec moderne : Μελίνα Μερκούρη, officiellement Αμαλία – Μαρία Μερκούρη, Amalía-María Merkoúri), née le 18 octobre 1920 à Athènes et morte le 6 mars 1994 à New York, est une actrice, chanteuse et femme politique grecque.
Amalía-María Mercoúri est née dans une famille de la grande bourgeoisie athénienne, originaire d’Argolide dans le Péloponnèse. Son grand-père, Spyrídon Merkoúris, conservateur et opposant à Elefthérios Venizélos, fut maire d’Athènes et son père, Stamatis Mercouris (en), ancien officier de l’armée grecque, fut député[1].
Elle est élevée par des gouvernantes étrangères et des institutrices françaises qui lui apprennent l’anglais et le français en plus du grec[1].
Elle se marie à 15 ans pour fuir le milieu familial. Elle divorce à 18 ans.
Elle s’inscrit à l’Institut dramatique du théâtre national de Grèce à Athènes, où elle est l’élève de Dimítris Rondíris, un disciple de Max Reinhardt. Il la forme au répertoire ibsénien[1]. Elle commence alors une carrière de comédienne qui se déroule entre Athènes et Paris, travaillant notamment avec Marcel Achard.
En 1949, elle réussit à échapper au répertoire dans lequel Rondíris l’avait cantonnée. Elle se tourne vers Karolos Koun (en) et la méthode de Constantin Stanislavski. Si elle triomphe dans les pièces contemporaines, ses rôles dans des tragédies antiques ne sont pas aussi réussis[2].
Le cinéaste grec Michael Cacoyannis, futur réalisateur de Zorba le grec (1964), lui offre son premier rôle au cinéma en 1955 dans Stella, film qui lui apporte d’emblée la notoriété. Peu après, elle rencontre le réalisateur américain en exil Jules Dassin, dont elle devient l’égérie. Dassin la fait tourner dans huit films et ils se marient en 1966. Le film Jamais le dimanche (1960) apporte au couple une grande renommée internationale.
Quand est morte Mélina Mercouri ?
Mélina Mercouri est morte le dimanche 6 mars à New-York des suites d’un cancer du poumon. Elle avait soixante-huit ans. Jamais le dimanche, son film le plus célèbre, mis en scène par son mari Jules Dassin, date de 1960 et lui avait valu le prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes. UNE ACTRICE EN POLITIQUE.
Qui est enterré à Cannes ?
- Miribel : tombe de Jacques Dumesnil
- Cannes : tombes de Martine Carol, Charles Fabergé, Georges Guétary, Jacques Marin, Prosper Mérimée, Jean Mineur, etc…
- Èze : tombe de Francis BLANCHE
- Peymeinade : tombe de Lolo Ferrari
- Mougins : tombe de Charles Vanel et Volodymyr VYNNYTCHENKO.
- Nice : La ville de Nice possède plusieurs cimetières. Parmi ceux ci les cimetières Caucade ; Cimiez et du Château sont les lieux de sépulture des célébrités locales. Nous trouvons les tombes de Renée Saint-Cyr, Léon GAMBETTA, René Goscinny, Jean Behra , Raoul DUFY , Henri MATISSE . Notons enfin le cimetière de Gairaut qui est lieux de sépulture de Jean et Jacques MÉDECIN (maires de Nice).
- Roquebrune-Cap-Martin : tombe de Charles-Édouard JEANNERET plus connu sous le nom de Le Corbusier.
- Saint-Paul-de-Vence: tombe de Marc CHAGALL.
- Vallauris : tombe de Jean Marais
- Carcassonne : tombe de Gilbert Benausse, Jean Cau, Raymond Chesa, Jacques Gamelin, Paul Lacombe, François-Henry Laperrine, puig aubert, Christian Baile, Maurice Sarraut, Albert Sarraut, René Nelli, Guillaume Roux Peyrusse, Henri Gout, Guillaume Ferdinand Teissier
- Castelnaudary : tombes de Antoine François Andréossy, Auguste Fourès, Eugène Mir, Félix Coffinieres, Edmond Combes
- La Digne-d’Aval : tombe de Cécile Sabouraud, épouse de Jean de Brunhoff
- Leucate : tombe de Henri de Monfreid
- Moux : tombe de Henry Bataille, Jean Lebrau
- Narbonne : tombe de Charles Trénet
- Trèbes : tombe de René Coll
- Villalier : tombe de Armand Barbes, Joe Bousquet
- Muret : tombe de Vincent AURIOL, Clement Ader
- Balma : tombe de Jose Cabanis (cimetière Balma-Lasbordes)
- Toulouse : tombe de Paul Riquet (cathedrale Saint-Étienne)
- Boissy-sans-Avoir : tombe de Romy Schneider
- Bonnieres sur Seine : tombe de Marcel Sembat
- Bougival : tombes de Guillaume Depardieu, Robert Rocca
- Carrières-sous-Poissy : tombe de Saturnin Fabre
- Jouars-Pontchartrain : tombe de Robert Dalban
- Jouy-en-Josas : tombe de Léon BLUM, Louis Joxe, François certain de Canrobert
- La Celle-les-Bordes : tombe de Georges BIDAULT
- Le Vésinet : tombe de Julien Carette
- Maisons-Laffitte : tombe de Pierre Larquey , Jules Brasseur , Albert Brasseur , Lysiane Rey
- Maurepas : tombe de Erich von Stroheim
- Montainville : tombe de Bourvil
- Montfort-l’Amaury : tombe de Thierry Gilardi, Jean Marchat, Georges Marchal
- Orvilliers : tombe de Georges POMPIDOU, Claude Pompidou
- Saint-Germain-en-Laye : tombe de Jacques Tati
- Saint-Rémy-lès-Chevreuse : tombe de Raymond Devos
- Thoiry : tombe de Jean-Pierre Cassel
- Versailles : tombes de Marc Allegret, Louis BLÉRIOT, Georges Saillard, Hélène Dieudonne, cimetière des Gonards, Jacques Carrus, cimetière Notre Dame, Pierre de Guingand, cimetière Saint Louis
- Antony : tombes de Flaminio Bertoni, Richard Guino, Pierre Kohlmann, Maurice Labrousse, Prosper Legouté, Auguste Mounié, Roger Ninféi, Georges Suant, Maurice Ténine
- Asnières-sur-Seine : tombe de Alfred Adam
- Cimetière des Chiens (abrite aussi d’autres animaux), qui serait le premier cimetière pour animaux au monde
- Bagneux, cimetière communal (À ne pas confondre avec le cimetière parisien de Bagneux) : tombes de Junie Astor, Barbara, Claude Berri, Florence Blot, Lucienne Boyer, Billy Bridge, Anne-Marie Carrière, Marcel Dalio, Charles Denner, Jean Girault, Gribouille, Jacqueline Maillan, Jacques Monod, Claude Piéplu, Stéphane Sirkis, Jean Vigo,
- Boulogne-Billancourt : tombe de C Jérôme ( cimetière de l’est )
- Bourg-la-Reine : tombes de Léon Azéma, Georges Bénédite, Henri Chopin, André Couder, Boris Dolto et sa femme Françoise Dolto et leur fils le chanteur Carlos, Evariste Galois, François Hennebique, Pierre Janet, Jacques Julien Margottin, Philippe-Jean Pelletan, Paul Portier, Arnold Van Gennep
- Châtillon : tombes de Léo Malet, Théodore Monod
- Clichy : tombes de Michel Beaune, Jacques Mesrine
- Colombes : tombe de Michel Roux
- Courbevoie : tombe d’Arletty
- Garches : tombes de Sidney Bechet, Henri Bergson, Jacqueline Delubac, Jacques Deray, Christian Duvaleix,
- Levallois-Perret : tombe de Gustave Eiffel, Nicolas Eugène Levallois, Louise Michel, Maurice Ravel, Léon Zitrone, Guy Grosso
- Marnes-la-Coquette : tombe de Maurice Chevalier
- Meudon : tombe de Louis-Ferdinand Céline, Renée Faure
- Montrouge : tombes de Michel Audiard, Georges Biscott, Coluche, Charles Pelissier, Albert Simonin
- Neuilly-sur-Seine : tombes de Armand Beauvais, Robert Chapatte, René Clair, Darry Cowl, Pierre Delanoé, Anatole France, Pierre Fresnay, Henri Genès, Michèle Leleu, Paul Meurisse, Victor Noir, Pierre Mondy
- Saint-Cloud : tombe de Bernard Blier
- Sceaux : tombes de Florian, Pierre et Marie Curie (vide depuis le transfert au Panthéon), Frédéric et Irène Jolliot-Curie.
- Ville-d’Avray : tombes de Jean Rostand, Boris Vian
- Bagnolet : tombe de Odette Laure
- Les Lilas : tombes de Jean Yanne, Jean Yonnel
- Pantin
- Le Pré-Saint-Gervais : tombe de Freddy Bario
- Saint-Ouen-sur-Seine, cimetière communal (à ne pas confondre avec le Cimetière parisien de Saint-Ouen) : tombes de Alphonse Allais, Jean Tissier, Jane Sourza , Gérard Darrieu, Marcelle Géniat, Suzanne Lenglen
- Saint-Denis :
- Cimetière communal : tombe de Pierre Degeyter (compositeur de l’Internationale)
- Basilique cathédrale de Saint-Denis : tombes des rois de France Clovis Ier, Clovis II, Pépin le Bref (Pépin III), Marie-Antoinette d’Autriche, Henri III, Henri IV, François II, Carloman II, Philippe IV le Bel, Philippe V le Long, Philippe VI de Valois, Charles IV le Bel, Charles IX, Louis III, Louis VI le Gros, Louis VII le Jeune, Louis XII, Louis XIV le Roi Soleil, Louis XV, Louis XVI, Louis XVIII
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Qui est Mélina ?
Outre une brillante carrière d’actrice et de chanteuse, elle fut une inlassable opposante à la dictature des colonels entre 1967 et 1974, période durant laquelle elle dut s’exiler en France. De retour en Grèce après la chute du régime, elle fut députée du PASOK (« mouvement socialiste panhellénique ») en 1978, et ministre de la Culture de 1981 à 1989, puis de 1993 à sa mort en 1994. Lors de son décès, une semaine de deuil national fut décrétée.
Mélina Mercouri. Melina Perez. |
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- Melina Philipsson est un synonyme du genre de mollusques bivalves Isognomon.
Quel âge a Jonathan Jonathan Dassin ?
Il nous donne rendez-vous aux Champs-Elysées. Le clin d’œil s’imposait. Jonathan Dassin aura 42 ans en septembre. « J’ai déjà vécu plus longtemps que papa (NDLR : décédé le 20 août 1980 à 41 ans) », remarque-t-il, un café à la main. Le fils aîné du chanteur est un artiste discret. On est pourtant frappé par sa très forte ressemblance avec son père. La taille. Les traits. La couleur des yeux. Le sourire.
Qui a élevé Jonathan et Julien Dassin ?
« Qu’est-ce qui m’arrive ? », se demande-t-il à voix haute. Il est 12h30, ce 20 août 1980, Joe Dassin déjeune au restaurant « Chez Michel et Eliane », rue Jeanne d’Arc à Papeete, où il a ses habitudes. Autour de lui, il y a ses deux fils, Jonathan (1an et demi) et Julien (5 mois), sa mère, la violoniste Béatrice Launer, son ami et parolier Claude Lemesle. Il semble bien, il semble heureux. La fleur aux dents, comme dans sa chanson.
Ce déjeuner à Tahiti, c’est un peu sa récompense, Dieu sait qu’il a tant et tant attendu ce moment. Il le vit comme un tournant dans sa vie, lui qui vient de passer des mois éprouvants émotionnellement et physiquement. Dassin contre Dassin : la guerre contre Christine, épousée en secondes noces le 14 janvier 1978, est déclarée.
Le divorce viendra en son temps, pense-t-il, l’enjeu, la priorité, est d’obtenir la garde de Jonathan et de Julien. Dans une vie antérieure, quand il était marié à Maryse Massiera, le couple avait perdu un bébé de 5 jours, Joshua. Traumatisé à jamais, il veut voir grandir ses fils. Absolument, passionnément.
Pourquoi Joe Dassin a fait une crise cardiaque ?
Il fait partit de la longue liste d’artistes partis trop tôt… Star des années 1970, Joe Dassin a connu de nombreux succès en France, mais aussi en Russie, en Finlande, en Grèce et en Allemagne, au cours de sa courte carrière. Connu pour ses titres Et si tu n’existais pas, Les Champs-Élysées, ou encore, L’été indien, le chanteur a vendu plus de cinquante millions de disques dans le monde. C’est au début de l’année 1980 que la santé de Joe Dassin s’est détériorée. Exacerbée par le stress, l’alcool et la drogue, la star a enchaîné les malaises cardiaques avant d’être victime fin juillet 1980 d’un infarctus. Malgré son hospitalisation, le chanteur avait souhaité retrouver la scène, et ce, contre l’avis de son médecin. Afin de se reposer, il avait alors choisi de partir en vacances quinze jours à Tahiti.
Alors qu’il avait levé le pied, Joe Dassin était installé au restaurant Chez Michel et Éliane à Papeete, lorsqu’il a été victime d’un infarctus.
Où se trouve la tombe de Joe Dassin ?
Pour voir la tombe de Joe Dassin – Avis de voyageurs sur Hollywood Forever Cemetery, Los Angeles – Tripadvisor.
Où habite Jonathan Dassin ?
Les enfants s’y éclatent.L’ardoise
Mon restau de quartierC’est le restaurant le plus proche de chez moi à Saint-Germain. J’aime leur manière bien « franchouillarde » de faire la cuisine, et ce n’est pas péjoratif. Un resto proche, simple et convivial.
Le parc de l’Ermitage à Maisons-Laffitte
Mon collègeJ’étais au collège et en première année de lycée à Maisons-Laffitte. J’habitais Feucherolles, mais j’étais en internat à l’Ermitage. J’adorais ce parc que nous devions traverser, par exemple pour aller du dortoir au réfectoire. Un collège dans un lieu de choix.
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Qui est Maryse Grimaldi ?
En 1975, le couple avait accueilli leur premier enfant, Joshua – un petit garçon prématuré qui décèdera cinq jours après sa naissance. « C’était une grande déception pour lui. Evidemment, parce qu’ il s’était projeté avec plein de choses, plein de projets… Effectivement, c’est très difficile, a confié Maryse Grimaldi. Je pense qu’on n’était plus sur la même longueur d’ondes. Il a eu envie d’autre chose, donc je n’avais aucune raison de l’empêcher sous prétexte que je l’aimais , au contraire… C’était pour moi une preuve d’amour de lui dire : « Tu as choisi autre chose, et tu as le droit ». » Le couple se sépare deux ans après le drame
En 1977, Maryse Grimaldi et Joe Dassin divorcent. Quelques mois plus tard, le chanteur épouse en secondes noces Christine Delvaux. Heureux, les amoureux s’affichent dès le lendemain de leur union à la télévision dans une émission de Michel Drucker. En septembre 1978 naît leur premier garçon, Jonathan. Son petit frère, Julien, pointera le bout de son nez en mars 1980 – cinq mois avant le décès brutal de Joe Dassin, foudroyé par un malaise cardiaque lors d’un voyage à Papeete.
Quel est le vrai nom des Grimaldi ?
Il n’y avait pas une nécessité en réalité, de se distinguer par un nom de famille. On pouvait ajouter un surnom, un nom de lieu, de métier ou le prénom du père pour se distinguer, si besoin. Pour les grandes familles, afin de faire perdurer la lignée dans le temps, des dynasties ou des «maisons» ont été établies.
Dans le cas des Grimaldi, le nom aurait été adopté par les enfants d’un certain Grimaud (Grimaldo, en italien), qui occupa des fonctions importantes dans la république de Gênes. Grimaud lui-même est l’un des fils d’Otto Canella, consul de Gênes en 1133. En 1162, Grimaud est élu consul de Gênes, une sorte de chef de cet État maritime. Les Grimaldi (pluriel de Grimaldo, comme c’est souvent le cas dans les patronymes italiens) ont occupé des positions importantes dans le nord de l’Italie et du pourtour méditerranéen. C’est l’un d’entre eux, François Grimaldi, qui marquera l’histoire, et surtout la légende. François Grimaldi “dit la Malice” parvint à s’emparer de la forteresse de Monaco, située sur le Rocher, en 1297, en se déguisant en moine franciscain. François Grimaldi concéda la seigneurie de Monaco au chef ainé de sa famille, son cousin Rainier.
Rainier Grimaldi (ou l’amiral Raynier de Grimaut) est le premier seigneur de Monaco, en occupant la forteresse récupérée selon la légende par son cousin François Grimaldi la Malice, déguisé en moine (Image : domaine public)
Après cet épisode légendaire, les Grimaldi perdront la forteresse de Monaco après très peu de temps. Finalement, un demi-siècle plus tard, d’autres descendants Grimaldi arrivent à s’imposer dans la forteresse et s’établiront définitivement sur le rocher monégasque. Entre 1301 et 1419, on compte aussi quatre périodes d’occupation génoise et en 1436 une brève occupation milanaise. Il faudra attendre 1793 pour la prochaine et dernière occupation française, qui durera jusqu’en 1814.
Cette forteresse sur un rocher forme un territoire si petit, qu’on le considère comme une seigneurie. C’est sous Lambert (1425-1494) que le souverain obtient véritablement l’indépendance en tant que seigneur de Monaco. D’autres branches de la famille Grimaldi ont «régné» sur de petits territoires, mais aujourd’hui, seule la branche monégasque des Grimaldi est toujours souveraine.
Monaco étant un petit territoire, il sera à plusieurs reprises vassal de plus grands royaumes. En 1612, sous le règne d’Honoré II, le roi Philippe III d’Espagne lui accorde le droit d’élever sa seigneurie au rang de Principauté. Honoré II sera le premier prince de Monaco. Quelques années plus tard, Honoré II change de camp et passe sous le protectorat français. Le roi d’Espagne en colère le prive de ses biens espagnols et de sa rente. Pour le consoler, le roi Louis XIII offre à son nouveau protégé des titres français, comme duc de Valentinois, marquis des Baux, comte de Carladès ou encore baron de Calvinet et du Buis ou seigneur de Saint-Rémy.
Quelle est l’origine des Grimaldi ?
│ │ │ │ │ │ │ │ │ └──> Agamemnone Grimaldi, ambassadeur de Charles Ier de Monaco auprès des Visconti │ │ │ │ x ?????? │ │ │ │ │ │ │ │ │ └──> Piètro Grimaldi │ │ │ │ x ?????? │ │ │ │ │ │ │ │ │ └──> Bigotta Grimaldi │ │ │ │ x (10/11/1381) Giovanni Grimaldi [Jean Grimaldi] dit « Jean de Bueil » (???? – après 1442), baron de Beuil, seigneur de Massoins, Grand sénéchal de Provence, gouverneur de Nice (voir plus haut) │ │ │ │ │ │ │ ├──> Guigno Grimaldi │ │ │ │ │ │ │ └──> Milo Grimaldi │ │ │ │ │ ├──> Ingone Grimaldi (1210-1235) │ │ │ x ?????? │ │ │ │ │ │ │ ├──> Luca Grimaldi (????-1277), podestat de Milan │ │ │ │ x ?????? │ │ │ │ │ │ │ │ │ └──> Gabrièle Grimaldi (????-1277), seigneur de Monaco, amiral │ │ │ │ x Catarina Zaccarina │ │ │ │ │ │ │ │ │ ├──> Gaspare Grimaldi (????-1331), capitaine de Genève, seigneur de Monaco │ │ │ │ │ x ?????? │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ ├──> Antònio Grimaldi dit « Antoine d’Antibes » (1300-1358), seigneur d’Antibes, du Prat, de La Vallée et de Lantosque, amiral de la flotte génoise │ │ │ │ │ │ x Catarina Doria │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ ├──> Luca Grimaldi dit « Luc d’Antibes » (vers 1330-1409), co-seigneur d’Antibes et de Cagnes-sur-Mer │ │ │ │ │ │ │ x Giovanna Grimaldi │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ ├──> Niccolò Grimaldi dit « Nicolas Ier d’Antibes » (1370-1452), seigneur d’Antibes et de Cagnes-sur-Mer, gouverneur de Marseille │ │ │ │ │ │ │ │ x (vers 1415) Cesarina Doria, dame d’Oneglia │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ ├──> Lambèrto Grimaldi dit « Lambert de Monaco » (1420-15/03/1494), seigneur de Monaco (du chef de sa femme), d’Antibes, de Menton et de Roquebrune │ │ │ │ │ │ │ │ │ x (29/08/1465 à Vintimille) Claudina Grimaldi dite « Claudine de Monaco » (vers 1451-19/11/1515), dame héritière de Monaco, de Menton et de Roquebrune (voir plus haut) │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ ├──> Giovanni Grimaldi dit « Jean II de Monaco » (1468-11/10/1505 à Menton), seigneur de Monaco et de Vintimille, conseiller et chambellan de Louis VIII et de Louis XII │ │ │ │ │ │ │ │ │ │ x (1486) Antònia di Savoia [Antoinette de Savoie][26] [Antoinette de Savoie] (????
Où vivent les Grimaldi ?
Palais princier de Monaco | |
Le palais princier et la place du Palais. | |
Nom local | Palais princier |
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Période ou style | Renaissance Italienne |
Début construction | XIIe siècle |
Propriétaire initial | République de Gênes |
Destination initiale | Forteresse |
Propriétaire actuel | Principauté de Monaco |
Destination actuelle | Résidence officielle du prince souverain de Monaco |
Coordonnées | 43° 43′ 53′′ nord, 7° 25′ 12′′ est |
Pays | Monaco |
Localité | Monaco |
Géolocalisation sur la carte : Monaco
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Site web | https://www.palais.mc/ |
modifier |
Le palais de Monaco, communément appelé le Palais princier[a] (monégasque : Palaçi d’u Pri̍ncipu), est la résidence officielle du prince de Monaco depuis 1297. Il est situé en haut du rocher de Monaco, quartier le plus ancien de la principauté de Monaco, surplombant la mer Méditerranée de soixante mètres.
Construit en 1191, à l’origine pour devenir une forteresse de la république de Gênes, cet édifice a connu au cours de son histoire, bombardements et sièges par de nombreuses forces étrangères. Depuis la fin du XIIIe siècle, c’est la demeure de la maison Grimaldi, famille qui conquit le lieu en 1297. Les Grimaldi gouvernent la principauté en tant que seigneurs féodaux et depuis le XVIIe siècle comme princes souverains.
Alors que les souverains européens construisent des palais luxueux de style Renaissance ou baroque, la situation géopolitique conduit le palais à être fortifié. L’occupation du lieu par les Grimaldi est peu commune, par rapport aux autres familles souveraines européennes, du fait de l’absence de palais secondaires ainsi que de l’étroitesse du territoire. Il en résulte que cette résidence fut habitée pendant plus de sept siècles par la famille princière.
Pendant le XIXe et le début du XXe siècle, le Palais et ses occupants deviennent le symbole glamour et jet set qui est associé au faste de Monte-Carlo et de la Côte d’Azur. Summum de cette théâtralité, en 1956, la vedette de cinéma américaine Grace Kelly devient princesse de Monaco après son mariage avec Rainier III. Aujourd’hui, le palais est la résidence d’Albert II, prince de Monaco.
Le palais est situé sur un site géologique unique et spectaculaire, un rocher de plus de 60 mètres de haut, au centre d’une ville construite en amphithéâtre face à la mer Méditerranée, au pied des Alpes. Il a été édifié sur l’emplacement d’une forteresse médiévale établie par les Génois en 1215.
Du XIVe au XVIe siècle, la façade sur la place fut ornée de loggias.