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Qui a tué Emma ?

by Nadia Moulin

Elle allait parler aux flics, je ne pouvais pas laisser faire ». Si Angélique est donc bien responsable de la mort d’Emma, c’est en revanche Didier qui s’est occupé du cadavre. Mais dans cette folie meurtrière, qu’est-ce que Didier et Angélique cherchent à ce point à cacher ?

Comment est morte Bernadette Lafont ?

Au cours de sa convalescence au centre héliomarin du Grau-du-Roi, elle subit un malaise cardiaque le 22 juillet 2013 en fin d’après-midi. Transportée par le SAMU au CHU de Nîmes, elle y meurt le 25 juillet 2013[10] à l’âge de 74 ans[20].

Sa mort coïncide avec la tenue du festival de Vebron, dont elle est la marraine depuis ses origines en 1988[21] et qui lui rend hommage.

La cérémonie religieuse des obsèques a eu lieu au temple protestant de Saint-André-de-Valborgne le 29 juillet 2013 en présence de 250 personnes. Le réalisateur Jean-Pierre Mocky, qui participait à Nîmes au Festival « Un réalisateur dans la ville », est présent, aux côtés de Lionnel Astier et Marianne Denicourt[22]. Il déplore ensuite l’absence de la profession et du gouvernement[23].

Selon la tradition des cimetières protestants des Cévennes, Bernadette Lafont est inhumée dans le caveau funéraire de la propriété familiale, aux côtés de ses parents et de sa fille Pauline.

En 2013, le cinéaste Gérard Courant lui rend hommage avec un film In Memoriam Bernadette Lafont, dans lequel Alexandra Stewart, Stéphane Audran et Guillaume Gouix lisent des lettres de Bernadette Lafont et des textes de François Truffaut et de Claude Chabrol[24].

  • 1970 : Sex Power d’Henry Chapier – Salomé
  • 1970 : Piège de Jacques Baratier
  • 1970 : Élise ou la Vraie Vie, de Michel Drach – Anna
  • 1970 : Caïn de nulle part, de Daniel Daert – Marielle
  • 1971 : Les Stances à Sophie, de Moshé Mizrahi – Céline
  • 1971 : Valparaiso, Valparaiso de Pascal Aubier – Edwarda
  • 1971 : Les Doigts croisés (To Catch a Spy) de Dick Clement – Simone
  • 1971 : La Famille de Yvan Lagrange
  • 1971 : L’amour c’est gai, l’amour c’est triste de Jean-Daniel Pollet – Marie Annassian
  • 1971 : Out 1: noli me tangere (Out 1) de Jacques Rivette et Suzanne Schiffman – Sarah
  • 1972 : Out 1: Spectre de Jacques Rivette – Sarah
  • 1972 : L’Œuf (de Félicien Marceau), film de Jean Herman – Rose
  • 1972 : Une belle fille comme moi de François Truffaut – Camille Bliss
  • 1972 : What a Flash! de Jean-Michel Barjol – Elle-même
  • 1972 : Trop jolies pour être honnêtes de Richard Balducci – Bernadette
  • 1973 : La Ville bidon, ou La Décharge de Jacques Baratier – Fiona
  • 1973 : Les Gants blancs du diable de László Szabó – Bernadette, la starlette
  • 1973 : La Maman et la Putain de Jean Eustache – Marie
  • 1973 : Défense de savoir de Nadine Trintignant – Simone
  • 1973 : L’Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise de Nina Companeez – Rosemonde
  • 1973 : Je, tu, elles… (ou Elles plus elles) de Peter Foldès – La femme du van hippie
  • 1974 : Permettez-moi, Madame, d’aimer votre fille (Permettete, signora, che ami vostra figlia) de Gian Luigi Polidoro – Sandra
  • 1975 : Zig-Zig, de László Szabó – Pauline + les lyrics
  • 1975 : Une baleine qui avait mal aux dents de Jacques Bral – Bernadette
  • 1975 : Un divorce heureux, de Henning Carlsen – Jacqueline, l’infirmière
  • 1975 : Vincent mit l’âne dans un pré (et s’en vint dans l’autre) de Pierre Zucca – Jeanne Dogson
  • 1976 : Noroît, ou Le Bal de l’horreur de Jacques Rivette – Giulia
  • 1976 : L’Ordinateur des pompes funèbres de Gérard Pirès – Louise Delouette
  • 1976 : Un type comme moi ne devrait jamais mourir de Michel Vianey – Marthe
  • 1976 : Le Trouble-fesses de Raoul Foulon – Dany Lajoux
  • 1978 : Stranberg est là (Strauberg ist da) de Mischa Gallé
  • 1978 : Violette Nozière de Claude Chabrol – La codétenue
  • 1978 : Chaussette surprise, de Jean-François Davy – Bernadette
  • 1978 : La Tortue sur le dos, de Luc Béraud – Camille
  • 1979 : Le Larron (Il ladrone) de Pasquale Festa Campanile – Appula
  • 1979 : La Frisée aux lardons d’Alain Jaspard – Micheline
  • 1979 : Nous maigrirons ensemble de Michel Vocoret – Corinne
  • 1979 : La Gueule de l’autre de Pierre Tchernia – Gisèle Brossard
  • 1979 : Arrête de ramer, t’attaques la falaise ! (ou Qu’il est joli garçon l’assassin de papa) de Michel Caputo : Chimène
  • 1961 : Première de face de François Gir
  • 1965 : Sylverie ou les Fongs Hollandais de Michel Ayats
  • 1966 : La Morale de l’histoire de Claude Dagues
  • 1966 : Les Pigeons de Notre-Dame de Jacques Villa – La concierge
  • 1967 : Max le débonnaire, de Gilles Grangier (série) (segment Un Bon petit Jules)
  • 1968 : Lumière dans la nuit d’André Michel
  • 1975 : La Porte du large de Pierre Badel – Dominique
  • 1979 : Profession comédien – documentaire – de Catherine Barma et Jean-Claude Longin – Elle-même
  • 1981 : Le Chien-chien de la star Le Mythomane de Michel Wyn – Linda Marlène
  • 1982 : Merci Bernard de Jean-Michel Ribes – divers rôles (série)
  • 1982 : Mersonne ne m’aime de Liliane de Kermadec – La gardienne des sceaux
  • 1983 : Les Beaux Quartiers de Jean Kerchbron – Thérèse Respellière
  • 1983 : L’Homme, la Bête et la Vertu « Emmenez-moi au théâtre » de Marlène Bertin
  • 1984 : Les Malheurs de Malou de Jeanne Barbillon – Malou Mulet, la journaliste
  • 1984 : Désiré de Dominique Giuliani
  • 1985 : Vivement Truffaut – Documentaire de Claude de Givray – Témoignage
  • 1985 : Patte de velours de Nelly Kaplan – Jacinthe
  • 1986 : Un moment d’inattention, de Liliane de Kermadec – La mère
  • 1986 : La Divine Sieste de papa de Alain Nahum
  • 1986 : Photo Flash de Gérard Follin, Guy Girard – Elle-même
  • 1987 : Les Voleurs de lumière de Jean Sagols
  • 1987 : Waiting for the Moon de Jill Godmilow – Fernande Olivier
  • 1988 : François Truffaut, correspondance à une voix – Documentaire de Michèle Reiser – Témoignage
  • 1990 : La Tendresse de l’araignée, épisode V.

Qui a tué Emma Bovary ?

« Même ceux qui n’ont jamais lu Madame Bovary savent au moins une chose : personne n’a tué Emma, c’est elle qui s’est suicidée », écrit Jacques Rancière au tout début de l’essai qu’il consacre à l’étude du cas d’Emma Bovary, et avec lequel je voudrais ici dialoguer.

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Quel acteur est mort en plein tournage ?

En marge ou directement sur le tournage, il arrive, parfois, que des accidents tragiques aient lieu et cela peut toucher tout le monde, personne n’est épargné.

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Le destin tragique de certains acteurs

Si certains acteurs ont l’habitude d’incarner des personnages qui meurent dans leurs rôles, il arrive aussi que la mort touche les acteurs eux-mêmes durant un tournage. Par chance, certains en réchappent de justesse, mais d’autres n’ont pas eu cette chance et ont été victimes de véritables drames. C’est par exemple le cas du fils de Bruce Lee, Brandon, qui décède sur le tournage du film The Crow en se faisant tirer dessus. Au contraire, certains perdurent en forme comme ces acteurs de plus de 50 ans au physique impressionnant.

Les célébrités décédées pendant un tournage

Mais s’il y a bien une mort d’un acteur pendant un film qui a ému tout le monde, c’est celle de Paul Walker. L’acteur principal de Fast and Furious décède tragiquement dans un accident de voiture en marge du tournage de l’opus.

Quelle actrice est morte dans sa piscine ?

Elle adapte son roman et réalise le film du même titre en 1990. En 2002, elle écrit, réalise et interprète son deuxième film, Comme un avion, qui aborde le suicide de ses parents, à deux ans d’intervalle, quinze ans plus tôt.

Elle joue moins souvent dans les années 1990, mais on retient son interprétation de George Sand dans La Note bleue, mis en scène par Andrzej Żuławski (avec Sophie Marceau dans le rôle de Solange Sand, la fille de l’écrivain), son émouvante composition de femme en mal d’enfant dans Marion de Manuel Poirier, et son interprétation de Madame Verdurin dans Le Temps retrouvé de Raoul Ruiz. Sollicitée par les jeunes auteurs, elle tourne ensuite avec Laurence Ferreira Barbosa, Christophe Honoré ou Maïwenn, dans Pardonnez-moi (doublement nommé aux Césars 2007).

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Le 24 avril 2011 vers 3 h 30 du matin, Marie-France Pisier est retrouvée par son mari Thierry Funck-Brentano inanimée au fond de la piscine de leur villa de Saint-Cyr-sur-Mer[17],[18]. Sa tête et ses épaules sont coincées dans le croisillon métallique d’une « lourde chaise en fer forgé » et elle porte des bottes en caoutchouc[19],[20]. Sa mort est constatée à Toulon[21] à 7 h du matin[1].

Le rapport d’autopsie ne permet pas de déterminer les circonstances de la mort. Des analyses médico-légales toxicologiques (« un taux d’alcool important a été détecté par les analyses, qui ont mis en évidence la présence d’antidépresseurs et d’antalgiques à doses thérapeutiques »)[22],[23] puis l’autopsie finale conduisent à évoquer l’hypothèse d’un suicide de l’actrice, qui souffrait d’une récidive de cancer du sein[24], diagnostiqué pour la première fois en 2003, rendant une seconde opération avec ablation mammaire inéluctable, comme pour sa mère[25].

Près de dix années après sa mort, un conflit avec sa sœur Évelyne à propos des actes d’inceste commis par Olivier Duhamel, mentionné lors de l’enquête, est rappelé par sa nièce Camille Kouchner[26]. Dans son livre La Familia grande, celle-ci révèle que sa mère, informée en 2008-2009 des agissements d’Olivier Duhamel, a choisi de ne rien divulguer et de protéger son mari, comportement qui a choqué Marie-France Pisier. « On a compris qu’Évelyne pensait que Marie-France s’était plutôt suicidée », explique Camille Kouchner[26]. L’autopsie révélant le peu d’eau dans ses poumons suggère que Marie-France Pisier n’est pas morte par noyade[27], ce qui conduit à évoquer la possibilité d’une mort par crise cardiaque avant de tomber dans la piscine[20] ou par hydrocution[28] après cette chute. L’hypothèse d’un meurtre n’était pas écartée par l’autopsie[29].

À la suite de la publication du livre de sa sœur Camille, Julien Kouchner, fils aîné d’Évelyne Pisier, interrogé par Le Parisien le 24 janvier 2021, revient sur la mort de Marie-France Pisier : « Je n’ai jamais cru que ma tante se soit suicidée, mais je ne sais pas comment elle est morte. Ma seule certitude, c’est que toute cette histoire [concernant l’inceste sur son neveu] l’a tuée.

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Quel acteur est mort le plus de fois au cinéma ?

Ça fait quand même beaucoup de réalisateurs qui l’ont tué, c’est pas hyper gentil. Christopher Lee – 64 morts à l’écran

Ce mec a une des plus belles carrières dont puisse rêver un acteur, et il est à une mort de la première place de ce classement. Il meurt dans Star Wars, dans Dracula ou encore dans Le Locataire, mais sa mort la plus célèbre restera celle en tant que Saroumane dans Le Seigneur des Anneaux. Culte.

Lance Henriksen – 53 morts à l’écran

L’inspecteur Hal Vukovich de Terminator n’est pas forcément connu de tous, et c’est bien dommage. Du haut de ses 80 ans, on espère qu’il ne va pas nous jouer une mort de plus trop rapidement non plus.

Vincent Price – 43 morts à l’écran

Il est (réellement) mort dans les années 90, donc on ne le connaît pas hyper bien, mais c’était le « papa » d’Edward aux Mains d’argent et il est mort dans un paquet de vieux films d’horreur.

John Hurt – 43 morts à l’écran

Peut-être que vous ne pensez pas l’avoir déjà vu, mais en plus d’avoir joué dans Terminator, Alien, V pour Vandetta ou encore Snowpiercer, le Transperceneige, vous l’avez forcément vu comme Mr. Ollivander dans Harry Potter. Ça vous la coupe hein ?

Quel acteur sont mort récemment ?

Annotation :

29 août 1949 – 3 janvier 2022 (à 72 ans) Animateur, producteur de télévision et essayiste français La plupart de ces activités ont été réalisées avec son frère jumeau : Grichka, mort 6 jours avant lui, également du Covid-19 Covid-19

Quel acteur français est décédé dernièrement ?

Découvrez notre liste de 25 acteur et actrice francais morts en 2022 connus comme par exemple : Charlotte Valandrey, Jacques Perrin, Gaspard Ulliel, Michel Le Royer, Jean-Louis Trintignant, Amarande, Micheline Boudet, Andrée Damant, Henri Garcin, Edward Meeks… Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l’art, du cinéma, de la littérature, people, de la télévision, du théâtre, du documentaire, de la mode, du doublage, du rallye, du sport, du sport automobile, du sport motorisé ou de la musique. Ces célébrités peuvent également avoir été artiste, écrivain, cinéaste, documentariste, homme d’affaire, producteur, producteur de cinéma, mannequin, doubleur, conjoint de célébrité, parent de célébrité, pilote de course, pilote de rallye, sportif, dramaturge ou metteur en scène. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été belge ou américain par exemple.

 

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