Au sommaire IMAGYNA :
- Le destin se forme au moment de la naissance d’une personne, avec des signes astrologiques en harmonie ou en conflit.
- Les périodes de 10 ans affectent le destin d’une personne, pouvant être bonnes ou mauvaises en fonction de leur nombre.
- Connaître le décodage de sa carte du destin permet de prendre les bonnes décisions et d’influencer son destin.
- Vivre dans une maison avec un bon feng shui peut avoir un effet positif, en particulier pour ceux qui ont reçu un destin semé d’embûches.
- La prédiction du destin est un atout majeur pour avancer sans avoir peur de l’avenir et pour faire les bons choix.
- Il est important de savoir comment agir correctement pendant les périodes décennales pour influencer son destin.
Comment connaître mon destin ?
Le destin se forme au moment de la naissance d’une personne. Le thème natal est composé de signes astrologiques qui peuvent être en harmonie ou en conflit les uns avec les autres. Si tous les signes du thème natal d’une personne sont en harmonie, cette personne est dotée d’un bon destin. Si les signes sont en conflit, une situation défavorable se forme dans un domaine particulier de la vie. Plus il y a de conflits de ce type dans l’horoscope, plus le destin sera difficile.
De plus, les périodes de 10 ans affectent le destin d’une personne. Elles peuvent être bonnes ou mauvaises pour tout le monde. Tout dépend de leur nombre. Il est important de savoir comment agir correctement pendant ces périodes décennales.
On peut avoir une petite influence sur son destin. Pour cela, vous devez connaître le décodage de votre carte du destin. Cela vous permettra de prendre les bonnes décisions.
Vivre dans une maison avec un bon feng shui aura un effet positif sur toutes les personnes. Elle est particulièrement bénéfique pour ceux qui ont reçu un destin semé d’embûches.
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La prédiction du destin : un atout majeur
Personne n’échappe à son destin. Il survient dans le moment où nous ne l’attendons pas. Il ne prévient pas. Comme il est si fortuit. Ainsi, l’ignorance de notre destin, nous expose devant un véritable danger. Notre effort et notre espoir peut tomber en vain si nous demeurons dans cette méconnaissance. C’est pour cela qu’il est bien conseillé de savoir son destin. Si dans la vie tout est question de choix et d’option. Pourquoi la plupart des gens ont-ils à affronter des moments difficiles? Comment se fait il qu’ils rencontrent toujours des faits imprévisibles? Ils auront dus choisir la bonne voie et tout cela sera réglé. D’où notre thème: connaitre mon destin. Ce que nous allons savoir à propos de notre destin et beaucoup plus intéressant que ce que la vie nous montre. D’abord, la connaissance de notre destin nous permet d’avancer sans avoir peur de l’avenir. Une fois qu’on est sur le point d’avoir une idée en tête, de peur que le résultat ne soit pas satisfaisant, on n’ose pas à entreprendre. Toutefois, rien ne bouge quand on est devenue sceptique. Ensuite, l’appréhension de notre destin enlève toute ses craintes qui se présentent comme des blocages dans notre trajet. Elles ne nous laissent pas profiter des opportunités qui s’ouvrent devant nous. Enfin, la prémonition du destin est notre meilleur allié pour avoir un succès et reconnaitre ce qu’est la réussite. Connaitre un destin nécessite un certain paramètre comme la date de naissance. C’est le plus connu et la prédilection des experts en voyance. Une fois qu’ils ont connu notre date de naissance, il peut nous livrer des informations relatives à notre avenir.
Réaliser son potentiel
Dans Se réaliser (Robert Laffont, 2009), le philosophe Michel Lacroix définit la réalisation personnelle comme un processus qui consisterait à « développer quelque chose qui est en soi, quelque chose qui requiert d’être libéré et cultivé ». Ce « quelque chose » que chacun pressent ou ressent, « ce sont ses virtualités, ses possibilités, ses facultés, ses talents, ses ressources. Autrement dit : son potentiel ». Pour que nous saisissions bien la différence entre réalisation de son potentiel et course derrière un idéal de soi, le philosophe précise que ce qui nous défi nit est à la fois ce que nous sommes capables de faire et ce que nous avons envie de faire. « Il faut avoir les moyens de ses ambitions et les ambitions de ses moyens », dit-il, mais, fort heureusement, « il y a, entre les aptitudes et les motivations, une interaction, une alchimie qui fait que, le plus souvent, elles vont dans le même sens ». Ce besoin de réalisation personnelle ne se fait pas sentir avec la même intensité chez chacun, constatait le psychologue américain Abraham Maslow, auteur, notamment, de Devenir le meilleur de soi-même (Eyrolles, 2008). Si la souffrance, la résignation ou le contentement peuvent empêcher la prise en main de son destin, les bénéfices secondaires de la passivité peuvent aussi nous installer durablement dans le fatalisme. « Cette position n’est pas confortable, mais elle ne demande aucune initiative, avance le philosophe et psychanalyste François Roustang, auteur, notamment, de La Fin de la plainte (Odile Jacob, “Poches”, 2009). Il y a deux choses que les humains détestent : la liberté et le bonheur, parce qu’il faut les inventer, les construire, et cela est fatigant. Comment sortir de la passivité ? En la prenant à son compte sans penser pouvoir y échapper. Quand nous prenons en charge ce qui s’impose à nous, nous le transformons en liberté, en initiative et en énergie.
