Au sommaire IMAGYNA :
- La jalousie excessive et non contrôlée n’est pas acceptable dans une relation de couple saine.
- Les désaccords et les sujets qui fâchent ne doivent pas être évités ou ignorés dans une relation de couple.
- Les violences physiques, verbales et psychologiques ne devraient jamais être acceptées ou banalisées dans une relation de couple.
- Il est important de ne pas tolérer les comportements de surveillance, de fouille ou d’interdiction de parler à d’autres personnes dans une relation de couple.
- Les stratégies d’évitement du conflit peuvent nuire à la communication et à l’épanouissement dans une relation de couple.
- Les comportements qui nuisent à l’intégrité physique, psychologique ou émotionnelle ne doivent pas être tolérés dans une relation de couple.
Qu’est-ce qu’il ne faut pas accepter dans un couple ?
Lisez aussi Les Secrets de l’Homme Scorpion en Amour : Pourquoi Reviennent-ils Toujours?
Si vous vous apercevez que votre partenaire est sans cesse en train de vous surveiller, qu’il fouille votre téléphone ou votre sac à main, qu’il s’énerve lorsque vous parlez à un autre homme que lui, ce n’est pas un comportement acceptable de sa part. Dans un couple sain, il ne se passe pas ce genre de choses. La jalousie peut être saine lorsqu’elle est minime et contrôlée. Lorsqu’elle devient abusive c’est non seulement dangereux mais aussi très malsain. Ne laissez surtout pas votre partenaire agir de la sorte, ce n’est bon pour aucun d’entre vous.
Toute relation peut connaître des hauts et des bas, notamment en amour. S’il est naturel d’avoir des divergences de points de vue, des désaccords sur certains points, de s’opposer, il existe en revanche un certain nombre de choses à ne pas tolérer dans une relation de couple. Elles peuvent en effet nuire à l’intégrité physique, psychologique ou émotionnelle de la personne, être sources de mal-être et faire voler le couple en éclats.
Erreur n°1 – Avoir peur du conflit
Cette erreur de communication dans le couple est fréquente. Elle touche aussi bien des couples qui débutent leur relation amoureuse, que ceux qui ont de longues années de vie commune. Souvent, l’un des partenaires (ou les deux) a mis en place de véritables stratégies d’évitement du conflit. Les désaccords et sujets qui fâchent sont soigneusement contournés. Les incompréhensions et les frustrations sont littéralement “mises sous le tapis”. Et les disputes quasi inexistantes, donnant l’impression d’une relation épanouie.
Les violences physiques ou psychologiques
Les violences physiques, verbales et psychologiques ne devraient jamais être acceptées ou banalisées, peu importe de qui elles proviennent. Même dans la colère, même quand les mots dépassent la pensée, même sur un coup de sang alors que normalement je ne fais jamais ça, ce sont des actes graves qu’il ne faut jamais accepter. Si c’est parfois difficile à admettre quand on est dans une relation tumultueuse ou qu’on est sous la coupe de quelqu’un, il ne faut jamais hésiter à demander de l’aide, voire à contacter les autorités.
Revoir ses exigences, aussi
Accepter l’autre tel qu’il est passe aussi par le fait d’être moins exigeante, plus tolérante et voir la qualité du défaut. Il faut accepter que les imperfections de l’autre fassent partie de la relation. L’humour bienveillant et l’autodérision peuvent permettre de dédramatiser et apporter une dose de légèreté dans le couple souligne la psychologue. Et si on n’arrive toujours pas à accepter l’autre tel qu’il est et que les agacements pèsent trop lourd sur la relation, il peut être utile de prendre rendez-vous avec un thérapeute de couple pour en parler. Individuellement ou ensemble, cette démarche peut permettre d’envisager des manières plus adaptées d’aborder cette problématique et de travailler sur son intelligence émotionnelle conclut la professionnelle.
Me priver de cette fête que j’attendais avec impatience n’était pas une option. Il a tenté un « Si tu y vas, on est plus ensemble » et il n’a pas été déçu. Ce jour-là, je l’ai quitté, j’ai cassé le vase de la gentillesse et je l’ai remplacé par celui de l’amour de soi, en jurant qu’on ne m’y reprendrait plus.
Aujourd’hui, les règles que je suis prête à accepter dans mon couple, pour assurer son bon fonctionnement, n’ont qu’une limite : celle de mon bien-être. Je sais à présent que le grand amour de ma vie, c’est moi. À quoi me sert de me corrompre pour correspondre aux attentes d’un autre ?
Savoir mettre le holà
Démarrer une nouvelle relation amoureuse équivaut à entamer une nouvelle page. Si ce que vous avez pu « écrire » auparavant garde son importance, il ne faut en aucun cas mêler votre partenaire actuel à ces histoires sous peine de risquer de le blesser. Parfois, il est difficile pour certains d’accepter qu’une autre personne a, par le passé, reçu l’affection de l’être aimé. Alors, évoquer son ex à tout bout de champs, c’est niet !
Dire non, exprimer un refus, cela ne signifie pas manquer de respect à l’autre, le dévaloriser ou ne pas prendre en compte ses envies ou ses besoins. Il est en effet possible de dire non en respectant l’autre, c’est-à-dire en lui laissant la porte ouverte. Un refus n’empêche pas le dialogue, la possibilité de choisir et de se mettre d’accord.
Qu’est-ce que le respect dans un couple ? Respecter l’autre au quotidien
Choisir ses mots avec soin ; une marque de respect dans le couple
Quand on est en colère, nos mots dépassent souvent notre pensée, et les mots forts sont souvent des mots qui blessent. Comme nous sommes blessés, nous avons envie de blesser.
ÊTRE EN AMOUR AVEC SOI-MÊME
Le premier repère est incontournable et radical. Impossible d’être heureux en couple si on n’est pas d’emblée heureux avec soi-même. L’amour, c’est d’abord à soi qu’on doit l’offrir. Tomber en amour avec sa propre vie. Être d’agréable compagnie pour soi-même. Se connaître et s’accueillir tel-le qu’on est. Développer une belle intimité avec son monde intérieur. Se sentir en confiance, solide et fier-e d’être qui je suis. Tout un défi, mais tellement fondamental ! C’est la base ! Apprendre à savourer sa propre présence. À habiter sa solitude. À goûter la plénitude de son existence.