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Où habite Roger Gicquel ?

by Judith Ferrier

Roger Gicquel choisit de s’installer en 1997 sur les rives de la Rance dans les Côtes-d’Armor. Revenu en Bretagne après sa carrière de journaliste, de producteur et de présentateur, il y écrit des livres où transparait sa passion pour cette région.

Où habite Julien Arnaud ?

Julien Arnaud, présentateur du journal de 20 heures de TF1 pendant les vacances et du Grand soir tous les jours de 20h à 22h sur LCI (canal 26 de la TNT), est un Conflanais de cœur. Amoureux de sa ville et de l’information, il nous présente son métier et ses souvenirs de jeunesse.

Julien Arnaud, vous êtes un enfant de Conflans-Sainte-Honorine…

Effectivement, Conflans, c’est mon enfance, là où j’ai grandi, où j’ai passé une bonne vingtaine d’années. C’est à Conflans que j’ai eu tous mes copains, dont certains sont toujours mes amis aujourd’hui. En primaire, j’étais à l’école Paul-Bert, au collège j’étais à Montaigne, puis au lycée à Jules-Ferry.

Quel est le lieu de vos meilleurs souvenirs ?

J’ai une affection particulière pour le parc municipal. Gamin, j’ai beaucoup joué au tennis-club, qui est situé là-bas. C’est là où je passais tout mon temps libre, il y avait comme un parfum de Roland-Garros… J’y suis d’ailleurs retourné récemment et j’ai eu un peu de nostalgie à regarder les enfants prendre des cours et taper contre le mur. Je les ai vus se promener dans le parc derrière, c’est vraiment mon endroit favori.

Comment vous est venue l’envie de devenir journaliste ?

Très jeune, j’étais déjà un grand consommateur de presse. À l’âge ou mes copains écoutaient Big Fun, j’écoutais les grandes radios et les infos.

Comment est mort Roger Gicquel ?

Il revient à l’antenne de TF1 à partir de 1983, à la présentation et à la production de l’émission Vagabondages dans laquelle il reçoit des personnalités du monde culturel notamment. Il quitte la chaîne en 1986, à l’annonce de sa privatisation par le gouvernement[2],[9]. De 1987 à 1994, il retrouve France Inter avec la revue de presse du week-end[2].

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En 1994, il fait son retour à la télévision à la demande de Jean-Pol Guguen, directeur de la station régionale France 3 Ouest[2], où il anime et produit chaque samedi En flânant[5]. à partir de 1995, il se retirera progressivement du monde de la télévision , pour prendre sa retraite officiellement en 2003.

Il meurt à Plouër-sur-Rance près de Saint-Malo dans les Côtes-d’Armor le 6 mars 2010 à l’âge de 77 ans des suites d’un infarctus[2]. Il est inhumé dans cette même ville[10].

Roger Gicquel choisit de s’installer en 1997 sur les rives de la Rance dans les Côtes-d’Armor. Revenu en Bretagne après sa carrière de journaliste, de producteur et de présentateur, il y écrit des livres où transparait sa passion pour cette région.

De septembre 1999 à janvier 2003, il est l’auteur d’une chronique mensuelle dans Le Peuple breton, magazine d’opinion édité par l’Union démocratique bretonne (UDB)[11]. Tout au long des années 2000, il milite aux côtés de l’UDB et des Verts[12]. Il s’engage également au niveau associatif, notamment avec Eau et rivières de Bretagne, association qui milite entre autres contre les algues vertes[13].

Il est officier de la Confrérie des fins gousiers d’Anjou[14].

  • 1975-1981 : Journal de 20 heures (TF1)
  • 1983-1986 : Vagabondages (TF1)
  • La Violence et la Peur, Éditions France-Empire, 1977, 255 p.
  • Des virages et des hommes, Éditions France-Empire, 1981, 255 p.
  • Roger Gicquel et Jean-Paul Renvoizé, Pilotes de grands chemins, Paris, Michel Vincent, coll.

Où travaille Thomas Hugues ?

  • ↑ Pierre Dezeraud, « Treize ans après « Sept à Huit », Thomas Hugues et Laurence Ferrari se retrouvent sur CNews », sur ozap.com, Puremédias, 15 janvier 2019 (consulté le 18 août 2020)
  • ↑ Fanny Petoin, « Thomas Hugues quitte CNews et rejoint une autre chaîne », sur www.programme-tv.net, 22 juin 2020 (consulté le 16 mai 2023)
  • ↑ Stéphane Soumier va lancer la chaîne économique BSmart TV
  • ↑ La rédaction, « « Je me sens à ma place »: Thomas Hugues parle de sa nouvelle émission sur Public Sénat », sur Nice-Matin, 2 juin 2022 (consulté le 16 mai 2023)
  • Gala, « Laurence Ferrari », sur gala.fr (consulté le 4 août 2011)
  • ↑ « Rupture », Libération,‎ 20 – 21 octobre 2007, p. 34
  • ↑ « Thomas Hugues s’est marié ! », sur ladepeche.fr, 6 avril 2011
  • ↑ Henri Févrat, « Une Saint-Vincent fédératrice », sur lejsl.com, 25 janvier 2011
  • A LIRE  Infidélité après 50 ans : Entre désir, routine et reconstruction

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    Qui a dit la France a peur ?

    Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

    Roger Gicquel

    « La France a peur » est la phrase d’ouverture du journal télévisé de TF1 du 18 février 1976, prononcée par le présentateur Roger Gicquel le lendemain de l’arrestation du meurtrier de Philippe Bertrand dans l’affaire Patrick Henry.

    La phrase est souvent utilisée hors de son contexte original et détournée de son sens initial, à savoir une argumentation contre toute tentative de vengeance et de justice expéditive.

    Le 30 janvier 1976, vers 12 h, à Troyes, Patrick Henry enlève Philippe Bertrand[1], âgé de sept ans, à la sortie de son école. Suspecté de l’enlèvement, Patrick Henry est placé en garde à vue le 11 février mais, faute de preuves, la police le remet en liberté, le 13 février. Interrogé par les médias lors de sa sortie, Patrick Henry déclare qu’il est « innocent » et que « le véritable criminel mérite la peine de mort pour s’en être pris à un enfant »[2]. Après enquête, la police arrête de nouveau Patrick Henry le 17 février 1976 dans une chambre d’hôtel qu’il louait. Dans cette chambre, sous le lit, se trouve le corps de Philippe Bertrand enroulé dans un tapis. Patrick Henry confesse alors le meurtre au juge d’instruction.

    Le 18 février 1976, Roger Gicquel ouvre le journal télévisé de TF1 par les propos suivants :

    « Bonsoir.

     

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