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Qui est la grande sœur de Eva Queen ?

by Nadia Moulin

Une famille célèbre

Car la grande soeur d’Eva Queen n’est autre que… Jazz Correia, épouse de Laurent Correia ! Âgée de 29 ans, celle qui s’appelle en réalité Jazmin Amy Anais Lanfranchi Shooter a été révélée grâce au programme Qui veut épouser mon fils.

Qui partage la vie d’Eva Green ?

La même année, Eva Green fait ses premiers pas devant la caméra dans Innocents- The Dreamers de l’Italien Bernardo Bertolucci. Les critiques saluent la performance de la jeune comédienne qui apparaît nue plusieurs fois. Elle devient ensuite la comtesse de Dreux-Soubise dans Arsène Lupin aux côtés de Romain Duris en 2004. L’année d’après, le réalisateur anglais Ridley Scott la choisit pour incarner Sibylle de Jérusalem dans le film sur les croisades Kingdom of Heaven. Sur le tournage du film, Eva Green rencontre l’acteur néo-zélandais Marton Csokas avec qui elle est en couple. Sa popularité grandissante lui vaut d’être la nouvelle égérie d’Emporio Armani. La consécration arrive pour Eva Green en 2007 quand elle décroche le rôle d’une James Bond Girl dans Casino Royale. Pour sa performance, le public britannique lui décerne un BAFTA award puis un Empire award. La même année, elle incarne une sorcière dans A la croisée des mondes : La boussole d’or, elle y côtoie une nouvelle fois l’acteur Daniel Craig. Parallèlement, elle devient le nouveau visage du parfum Midnight Poison de Dior dont la publicité a été tournée sous la direction de Wong Kar-Wai.

Est-ce que Eva Queen est arabe ?

Vos compositions mêlent le rock anglo-saxon et les motifs orientaux, vous chantez en hébreu aussi bien qu’en anglais, vous êtes acclamée en Israël mais aussi en Europe, aux Etats-Unis, en Asie; vous vous dites juive mais farouchement laïque, et vous vous présentez comme une artiste engagée résolument «multiculturelle»… Quel mélange! Quelle est donc votre vraie identité? Je suis israélienne. Totalement israélienne. Avec des origines multiples, comme beaucoup d’Israéliens. Bien sûr, il est arrivé que, dans mon propre pays, on me fasse me sentir étrangère, parce que je chante en anglais, ou par jalousie, parce que j’ai du succès au-delà des frontières. Mais tout le monde sait bien que j’appartiens entièrement à ce pays, même si je n’y ai pas passé mon enfance et même si, à un moment de ma vie, je ne savais plus où était ma vraie identité.

Votre enfance, vous l’avez vécue aux Etats-Unis, dans le Bronx. Vous étiez une petite Américaine classique? Oh non! Mes grands-parents venaient du Yémen. Mon père, un chimiste, et ma mère, qui était enseignante, sont nés en Israël. Moi, je suis née à Haïfa. Quand j’avais 1 an, mes parents sont partis aux Etats-Unis, et je suis donc restée là-bas jusqu’à mon adolescence. J’y ai vécu en pleine confusion. Chez nous, je parlais hébreu et yéménite. A l’extérieur de la maison, je parlais anglais. J’ai grandi, très protégée, dans une enclave juive, comme dans une serre! A l’abri de tout ce qui était américain. Mon père détestait les McDonald’s, le Coca-Cola, la télé… Il m’a mise dans une école religieuse juive. C’est ce qui m’est arrivé de mieux.

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Pourquoi donc? Ce fut une expérience exceptionnelle, qui m’a permis d’intégrer les vrais principes du judaïsme. Je suis restée très amie avec le rabbin. Aujourd’hui encore, je lui téléphone toutes les semaines, et nous discutons du judaïsme. Si je me suis éloignée de la religion, c’est parce que je veux mener ma barque moi-même. Quand vous suivez une religion, tout est prévu, tout est balisé. Vous savez qui vous êtes, d’où vous venez, où vous allez… J’ai toujours eu horreur des attitudes dogmatiques, je préfère me forger mon propre jugement.

La petite juive s’est donc rebellée. Et vous avez goûté à l’american way of life. J’ai voulu prendre l’air. Quand je sortais avec mes amis, on me prenait pour une Portoricaine. Je me suis lancée dans la danse et dans le patinage. Vous imaginez, cette petite aussi typée, aussi «arabe», sur des patins, c’était surprenant. Mais personne ne s’étonne de rien à New York. Si le judaïsme m’a donné des principes moraux, New York m’a appris à me débrouiller et à me défendre. Je suivais les cours de la High School for Performing Arts, j’allais aux concerts du Grateful Dead, j’étais un peu hippie.

Américaine, donc. Non, je me cherchais… A 15 ans, j’étais très malheureuse, déchirée entre la culture de la maison et celle de l’extérieur.

Est-ce que Eva Queen a fait de la chirurgie esthétique ?

me suis fait opérer. donc et donc voilà le matin je me suis opéré matin très tôt donc lavées j’avais dormi à l’hôpital. je. me suis réveillé on s’est bien occupé de moi on m’a donné un petit médicaments pour m’endormir un petit peu et ensuite je vais arriver dans le bloc opératoire.

Pourquoi Eva Queen a des vis dans le dos ?

Pour sa première danse, Eva n’a pas démérité mais de l’avis unanime des juges, elle est un peu raide. Une raideur qui pourrait la pénaliser. Mais Eva fait une confession. Elle a été opérée d’une scoliose et elle a 18 vis dans le dos. « Mon dos est une planche » s’amuse-telle à dire. On comprend mieux pourquoi. EXTRAIT de Danse Avec les Stars du 9 septembre 2022.

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Qui est la mère d’Eva Green ?

Par son père Walter Green, Eva Green est l’arrière-petite-fille du compositeur français Paul Le Flem[10],[11],[12], l’arrière-petite-nièce du sénateur Pierre Even[12], l’arrière-petite-fille de la photographe suédoise Mia Green (en)[13], la nièce de l’actrice Marika Green et du chef opérateur autrichien Christian Berger, et par sa mère la cousine des actrices et chanteuses Elsa Lunghini et Joséphine Jobert. Elle a ainsi des origines suédoises et bretonnes par son père et des origines pieds-noires et juives séfarades par sa mère, qui est née en Algérie française.

Elle est par ailleurs de confession juive, tout comme sa mère Marlène Jobert, et se décrit comme étant « une Juive laïque n’ayant jamais été dans une synagogue dans son enfance » et se sentant « comme une citoyenne du monde »[14].

Elle décrit sa famille comme « bourgeoise » et a expliqué que sa sœur jumelle était très différente d’elle ; elle ayant toujours été plutôt « artiste et la tête dans les nuages » et sa sœur Joy, assez « discrète et cartésienne »[7]. Eva Green a les cheveux de couleur blond foncé, mais les teint en brun depuis l’âge de 15 ans[15].

Son nom de famille se prononce [ˈgʁeːn] (gréén) et signifie « branche (d’un arbre) », et non [ɡʁin] (grine), car il est d’origine suédoise et non anglaise[4],[16]. Cependant, c’est sous la prononciation anglaise de son nom qu’elle est connue.

Eva Green grandit avec sa sœur, près du parc Monceau[13], dans le 17e arrondissement de Paris[13]. Elle est élève à l’École internationale bilingue puis au lycée Fénelon Sainte-Marie, puis est scolarisée un an à l’American School of Paris, à la suite de quoi elle entame sa formation théâtrale en suivant les cours d’Eva Saint-Paul à Paris pendant trois ans, et ceux de la Webber Douglas Academy of Dramatic Art à Londres[17].

Remarquée pour sa grande capacité de travail, bien qu’étant une élève réservée, elle arrête cependant ses études à 16 ans. Après s’être rêvée égyptologue depuis une visite au Louvre à l’âge de 7 ans[18], elle change d’avis à 14 ans après avoir vu la prestation d’Isabelle Adjani dans L’Histoire d’Adèle H.[19].

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Sa mère pensait qu’une carrière d’actrice ne conviendrait pas à la sensibilité de sa fille, mais elle soutient plus tard son projet. Après sa formation théâtrale à la Webber Douglas Academy of Dramatic Art, Eva Green retourne à Paris où elle joue dans plusieurs pièces. Elle annonce avoir, pendant ses études, « toujours choisi les rôles des personnages mauvais » parce que « c’est un excellent moyen de canaliser ses émotions »[réf. nécessaire].

Son premier rôle sur scène, en 2001 dans Jalousie en trois fax d’Esther Vilar, mise en scène de Didier Long au Petit Théâtre de Paris, lui vaut une nomination au Molière de la révélation théâtrale féminine en 2002.

Quelle est la nationalité d’Eva ?

La chanteuse Eva dévoile son deuxième album, « Happiness », en novembre 2021. Une fois de plus, l’artiste pop française rencontre un grand succès avec ce disque qui casse les codes.

Qui est Eva Luna ?

Enfant de la balle, Eva Luna Fougère, alias Eva Luna, a grandi dans le milieu artistique. Mais le talent se développe par soi-même et la répétition. « J’ai joué une quinzaine de concerts un peu partout dans le département », souffle celle qui vit entre Bourg-des-Comptes et Saint-Senoux.

Où habite Eva ?

Eva sur la scène de The Voice Kids qui aura lieu mardi 25 juillet prochain – CREDIT : Philippe Leroux – TF1/ITV/Bureau 233

Mardi 25 juillet prochain, lors de son audition à l’aveugle, Eva, qui habite au Rove, tout près de Marseille, compte prouver qu’elle est courageuse et capable de surmonter le stress qui l’envahit.

Eva, du Rove, dans The Voice Kids

Eva, consciente des enjeux de cette compétition, souhaite saisir cette opportunité pour se frayer un chemin dans le monde de la musique. Elle est inspirée par de nombreux artistes qui ont réussi grâce à The Voice, et cela lui donne confiance en ses propres capacités. Elle croit fermement en ses chances et espère que les coachs seront séduits par sa voix unique.

Le choix de sa chanson pour l’audition à l’aveugle est empreint d’émotion et de signification personnelle pour Eva. Elle a décidé d’interpréter le premier succès de son idole, Nolwenn Leroy, intitulé “Cassé”.

 

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