Trois femmes ont successivement partagé la vie de Jean Rochefort. Sa première épouse, Alexandra Moscwa, avec qui il eut ses deux premiers enfants, Marie (née en 1962) et Julien (né en 1965). Puis il partagea la vie de Nicole Garcia, qui lui donna un deuxième fils, Pierre, en 1981.
Où est enterré Jean Rochefort ?
Où a vécu Jean Rochefort ?
L’acteur, décédé lundi matin à Paris, a passé tous ses étés à Dinan (Côtes-d’Armor), dont sa famille était originaire. Il avait aussi vécu une partie de son adolescence à Saint-Lunaire (Ille-et-Vilaine).
Quelle année est mort Jean Rochefort ?
- Miribel : tombe de Jacques Dumesnil
- Cannes : tombes de Martine Carol, Charles Fabergé, Georges Guétary, Jacques Marin, Prosper Mérimée, Jean Mineur, etc…
- Èze : tombe de Francis BLANCHE
- Peymeinade : tombe de Lolo Ferrari
- Mougins : tombe de Charles Vanel et Volodymyr VYNNYTCHENKO.
- Nice : La ville de Nice possède plusieurs cimetières. Parmi ceux ci les cimetières Caucade ; Cimiez et du Château sont les lieux de sépulture des célébrités locales. Nous trouvons les tombes de Renée Saint-Cyr, Léon GAMBETTA, René Goscinny, Jean Behra , Raoul DUFY , Henri MATISSE . Notons enfin le cimetière de Gairaut qui est lieux de sépulture de Jean et Jacques MÉDECIN (maires de Nice).
- Roquebrune-Cap-Martin : tombe de Charles-Édouard JEANNERET plus connu sous le nom de Le Corbusier.
- Saint-Paul-de-Vence: tombe de Marc CHAGALL.
- Vallauris : tombe de Jean Marais
- Carcassonne : tombe de Gilbert Benausse, Jean Cau, Raymond Chesa, Jacques Gamelin, Paul Lacombe, François-Henry Laperrine, puig aubert, Christian Baile, Maurice Sarraut, Albert Sarraut, René Nelli, Guillaume Roux Peyrusse, Henri Gout, Guillaume Ferdinand Teissier
- Castelnaudary : tombes de Antoine François Andréossy, Auguste Fourès, Eugène Mir, Félix Coffinieres, Edmond Combes
- La Digne-d’Aval : tombe de Cécile Sabouraud, épouse de Jean de Brunhoff
- Leucate : tombe de Henri de Monfreid
- Moux : tombe de Henry Bataille, Jean Lebrau
- Narbonne : tombe de Charles Trénet
- Trèbes : tombe de René Coll
- Villalier : tombe de Armand Barbes, Joe Bousquet
- Muret : tombe de Vincent AURIOL, Clement Ader
- Balma : tombe de Jose Cabanis (cimetière Balma-Lasbordes)
- Toulouse : tombe de Paul Riquet (cathedrale Saint-Étienne)
- Boissy-sans-Avoir : tombe de Romy Schneider
- Bonnieres sur Seine : tombe de Marcel Sembat
- Bougival : tombes de Guillaume Depardieu, Robert Rocca
- Carrières-sous-Poissy : tombe de Saturnin Fabre
- Jouars-Pontchartrain : tombe de Robert Dalban
- Jouy-en-Josas : tombe de Léon BLUM, Louis Joxe, François certain de Canrobert
- La Celle-les-Bordes : tombe de Georges BIDAULT
- Le Vésinet : tombe de Julien Carette
- Maisons-Laffitte : tombe de Pierre Larquey , Jules Brasseur , Albert Brasseur , Lysiane Rey
- Maurepas : tombe de Erich von Stroheim
- Montainville : tombe de Bourvil
- Montfort-l’Amaury : tombe de Thierry Gilardi, Jean Marchat, Georges Marchal
- Orvilliers : tombe de Georges POMPIDOU, Claude Pompidou
- Saint-Germain-en-Laye : tombe de Jacques Tati
- Saint-Rémy-lès-Chevreuse : tombe de Raymond Devos
- Thoiry : tombe de Jean-Pierre Cassel
- Versailles : tombes de Marc Allegret, Louis BLÉRIOT, Georges Saillard, Hélène Dieudonne, cimetière des Gonards, Jacques Carrus, cimetière Notre Dame, Pierre de Guingand, cimetière Saint Louis
- Antony : tombes de Flaminio Bertoni, Richard Guino, Pierre Kohlmann, Maurice Labrousse, Prosper Legouté, Auguste Mounié, Roger Ninféi, Georges Suant, Maurice Ténine
- Asnières-sur-Seine : tombe de Alfred Adam
- Cimetière des Chiens (abrite aussi d’autres animaux), qui serait le premier cimetière pour animaux au monde
- Bagneux, cimetière communal (À ne pas confondre avec le cimetière parisien de Bagneux) : tombes de Junie Astor, Barbara, Claude Berri, Florence Blot, Lucienne Boyer, Billy Bridge, Anne-Marie Carrière, Marcel Dalio, Charles Denner, Jean Girault, Gribouille, Jacqueline Maillan, Jacques Monod, Claude Piéplu, Stéphane Sirkis, Jean Vigo,
- Boulogne-Billancourt : tombe de C Jérôme ( cimetière de l’est )
- Bourg-la-Reine : tombes de Léon Azéma, Georges Bénédite, Henri Chopin, André Couder, Boris Dolto et sa femme Françoise Dolto et leur fils le chanteur Carlos, Evariste Galois, François Hennebique, Pierre Janet, Jacques Julien Margottin, Philippe-Jean Pelletan, Paul Portier, Arnold Van Gennep
- Châtillon : tombes de Léo Malet, Théodore Monod
- Clichy : tombes de Michel Beaune, Jacques Mesrine
- Colombes : tombe de Michel Roux
- Courbevoie : tombe d’Arletty
- Garches : tombes de Sidney Bechet, Henri Bergson, Jacqueline Delubac, Jacques Deray, Christian Duvaleix,
- Levallois-Perret : tombe de Gustave Eiffel, Nicolas Eugène Levallois, Louise Michel, Maurice Ravel, Léon Zitrone, Guy Grosso
- Marnes-la-Coquette : tombe de Maurice Chevalier
- Meudon : tombe de Louis-Ferdinand Céline, Renée Faure
- Montrouge : tombes de Michel Audiard, Georges Biscott, Coluche, Charles Pelissier, Albert Simonin
- Neuilly-sur-Seine : tombes de Armand Beauvais, Robert Chapatte, René Clair, Darry Cowl, Pierre Delanoé, Anatole France, Pierre Fresnay, Henri Genès, Michèle Leleu, Paul Meurisse, Victor Noir, Pierre Mondy
- Saint-Cloud : tombe de Bernard Blier
- Sceaux : tombes de Florian, Pierre et Marie Curie (vide depuis le transfert au Panthéon), Frédéric et Irène Jolliot-Curie.
- Ville-d’Avray : tombes de Jean Rostand, Boris Vian
- Bagnolet : tombe de Odette Laure
- Les Lilas : tombes de Jean Yanne, Jean Yonnel
- Pantin
- Le Pré-Saint-Gervais : tombe de Freddy Bario
- Saint-Ouen-sur-Seine, cimetière communal (à ne pas confondre avec le Cimetière parisien de Saint-Ouen) : tombes de Alphonse Allais, Jean Tissier, Jane Sourza , Gérard Darrieu, Marcelle Géniat, Suzanne Lenglen
- Saint-Denis :
- Cimetière communal : tombe de Pierre Degeyter (compositeur de l’Internationale)
- Basilique cathédrale de Saint-Denis : tombes des rois de France Clovis Ier, Clovis II, Pépin le Bref (Pépin III), Marie-Antoinette d’Autriche, Henri III, Henri IV, François II, Carloman II, Philippe IV le Bel, Philippe V le Long, Philippe VI de Valois, Charles IV le Bel, Charles IX, Louis III, Louis VI le Gros, Louis VII le Jeune, Louis XII, Louis XIV le Roi Soleil, Louis XV, Louis XVI, Louis XVIII
Voir aussi (sur Geneawiki) Liens utiles (externes)
Où s’est marié Jean Rochefort ?
Qui m’a marqué à jamais[38] ».
Le 9 juillet 1952, Jean Rochefort se marie à Saint-Lunaire avec Élisabeth Bardin dont il divorcera en février 1960[43]. Plus tard cette même année, le 15 juin à Varsovie en Pologne, Jean Rochefort épouse Aleksandra Moskwa[43], dont il a deux enfants : Marie (née en 1962) et Julien (né en 1964), lui aussi acteur[44].
Tombe de Jean Rochefort au cimetière de Grosrouvre.
Après 20 ans de mariage, il divorce et vit pendant sept ans avec Nicole Garcia dont il a un fils, Pierre (né en 1981), acteur également. En 1989, à Raizeux[45], il épouse en troisièmes noces l’architecte et cavalière Françoise Vidal, de 20 ans sa cadette, avec qui il a deux enfants, Louise (née en 1990) et Clémence (née en 1992)[46],[7]. Après avoir habité Mareil-Marly, il avait acheté une maison à Grosrouvre dans les Yvelines[47].
En août 2016, Jean Rochefort est hospitalisé à Paris pour « des douleurs abdominales »[48].
Le 21 juillet 2017, il rend un hommage par téléphone sur Europe 1 à l’acteur Claude Rich, mort la veille. Se connaissant depuis le Conservatoire, ils avaient notamment joué ensemble dans Le Crabe-Tambour, qui avait valu à Jean Rochefort le César 1978 du meilleur acteur. En 2002, il avait remis à Claude Rich un César d’honneur[49].
Jean Rochefort meurt d’un cancer le 9 octobre 2017 à l’âge de 87 ans[50], alors qu’il était hospitalisé à l’hôpital Saint-Joseph[1], situé dans le 14e arrondissement de Paris[2]. Ses funérailles ont lieu le 13 octobre 2017 à l’église Saint-Thomas-d’Aquin, en présence notamment de ses amis Guy Bedos et Mylène Farmer[51]. Il est inhumé au cimetière de Grosrouvre[52], dans les Yvelines.
Qui est le fils de Jean-pierre Marielle ?
De sa troisième union, le 15 janvier 1979 à Boulogne-Billancourt[8] avec Catherine-Françoise Burette naîtra un fils, son seul enfant, en 1980 : François-Arthur. Il divorce en 1983.
En quatrièmes noces, il épouse à Florence (Italie) l’actrice Agathe Natanson le 4 octobre 2003[9]. C’est cette dernière qui annonce son décès à la presse.
Jean-Pierre Marielle a la réputation d’être difficile à interviewer. En 2019, le journaliste Jean-Mathieu Pernin rappelle ce qu’on dit de lui dans la profession : « Jean-Pierre Marielle ? Pas un client facile[10] ». Le Monde confirme ce trait de caractère : « Le paradoxe de ce comédien-là, c’est qu’il a l’épanchement parcimonieux, l’anecdote réticente[11] ». Le 16 juin 2012, son interview par un journaliste de France 3 – Île-de-France très embarrassé, est qualifiée de « surréaliste » par Le Médiascope[12], de « lunaire » par Jean-Marc Morandini[13],[14].
La fin de sa vie est assombrie par la maladie d’Alzheimer[15].
Il est un grand amateur de vélo, de jazz et de New York[16].
Atteint de la maladie d’Alzheimer, il meurt le 24 avril 2019 à Saint-Cloud[17] à l’hôpital des Quatre Villes, des suites d’une septicémie[18]. Il est inhumé à Précy-le-Sec, dans l’Yonne, dans le caveau familial[19].
- 1953 : La Jalousie du Barbouillé de Molière et Le Mariage forcé de Molière et Lully, mise en scène Georges Le Roy, Théâtre du Conservatoire
- 1954 : L’Amour des quatre colonels de Peter Ustinov, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Fontaine, avec la compagnie Grenier-Hussenot
- 1954 : Les Plaideurs de Racine, mise en scène Georges Leroy, Théâtre du Petit Marigny
- 1955 : Le Quai Conti de Guillaume Hanoteau, mise en scène René Dupuy, Théâtre Gramont
- 1956 : Victimes du devoir d’Eugène Ionesco, Théâtre de la Huchette
- 1956 : Chatterton d’Alfred de Vigny, mise en scène Michel Bouquet, Théâtre de l’Œuvre
- 1956 : Le Miroir d’Armand Salacrou, mise en scène Henri Rollan, Théâtre des Ambassadeurs
- 1957 : Hibernatus de Jean Bernard-Luc, mise en scène Georges Vitaly, Théâtre de l’Athénée
- 1957 : Romanoff et Juliette de Peter Ustinov, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
- 1957 : Le Chevalier d’Olmedo de Lope de Vega, mise en scène Albert Camus, festival d’Anjou
- 1958 : Tessa la nymphe au cœur fidèle de Jean Giraudoux d’après Basil Dean et Margaret Kennedy, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
- 1958 : L’Étonnant Pennypacker de Liam O’Brien, adaptation Roger Ferdinand, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
- 1960 : Champignol malgré lui de Georges Feydeau et Maurice Desvallières, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
- 1962 : Pomme, pomme, pomme de Jacques Audiberti, mise en scène Georges Vitaly, Théâtre La Bruyère
- 1963 : Tricoche et Cacolet d’Henri Meilhac et Ludovic Halévy, mise en scène Jacques Charon, Odéon-Théâtre de France
- 1964 : La Preuve par quatre de Félicien Marceau, mise en scène de l’auteur, Théâtre de la Michodière
- 1966 : La Prochaine fois je vous le chanterai de James Saunders, mise en scène Claude Régy, Théâtre Antoine
- 1966 : Se trouver de Luigi Pirandello, mise en scène Claude Régy, Théâtre Antoine
- 1967 : Rosencrantz et Guildenstern sont morts de Tom Stoppard, mise en scène Claude Régy, Théâtre Antoine
- 1967 : L’Anniversaire d’Harold Pinter, mise en scène Claude Régy, Théâtre Antoine
- 1969 : Guerre et paix au café Sneffle de Remo Forlani, mise en scène Georges Vitaly, Théâtre La Bruyère
- 1969 : Le Babour de Félicien Marceau, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l’Atelier
- 1970 : Les Poissons rouges ou Mon père ce héros de Jean Anouilh, mise en scène Jean Anouilh & Roland Piétri, Théâtre de l’Œuvre
- 1972 : Un pape à New-York de John Guare, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
- 1978 : La Culotte de Jean Anouilh, mise en scène Jean Anouilh & Roland Piétri, Théâtre de l’Atelier
- 1980 : L’Habilleur de Ronald Harwood, mise en scène Stéphan Meldegg, Théâtre de la Michodière
- 1982 : L’étrangleur s’excite d’Éric Naggar, mise en scène Jean Rochefort, Théâtre des Arts (Hébertot)
- 1986 : Oncle Vania d’Anton Tchekhov, mise en scène Christian Benedetti, Théâtre de l’Est parisien
- 1986 : Clérambard de Marcel Aymé, mise en scène Jacques Rosny, Comédie des Champs-Élysées
- 1988 : La Femme à contre-jour d’Éric Naggar, mise en scène Jean Rochefort, Théâtre des Mathurins
- 1990 : Partage de midi de Paul Claudel, mise en scène Brigitte Jaques, Théâtre de l’Atelier
- 1994 : Le Retour d’Harold Pinter, mise en scène Bernard Murat, Théâtre de l’Atelier
- 1997 : La Terrasse de Jean-Claude Carrière, mise en scène Bernard Murat, Théâtre Antoine
- 1997 : La Lune se couche de Harold Pinter, mise en scène Karel Reisz, Théâtre du Rond-Point
- 1999 : Le Nouveau Testament de Sacha Guitry, mise en scène Bernard Murat, Théâtre des Variétés
- 2007 : Les Mots et la chose de Jean-Claude Carrière, avec Agathe Natanson, sa femme, Théâtre de l’Œuvre
- 2007 : Correspondance de Groucho Marx, mise en scène Patrice Leconte, Théâtre de l’Atelier
- 2010 : Audition de Jean-Claude Carrière, mise en scène Bernard Murat, Théâtre Édouard-VII
- 2014 : Love Letters d’Albert Ramsdell Gurney, mise en scène Benoît Lavigne, Théâtre Antoine
- Les Plus Beaux Contes de Grimm, racontés par Jean-Pierre Marielle, Paris, éditions Auzou, coll.
Où habitait Jean Rochefort en Bretagne ?
Crédits photo : Gil Serpereau
Il y a deux ans déjà, le 9 octobre 2017, nous apprenions la disparition de l’une des figures majeures du cinéma français : Jean Rochefort. Né à Paris presque par hasard, la vie de l’acteur et sa carrière ont été très marqué par la Bretagne.
Pour commencer, sa naissance à Paris en avril 1930 est due à une vieille superstition bretonne : Jean Rochefort tarde à venir au monde, ainsi une grand-tante originaire du Léon conseille à la mère de l’acteur de faire le tour des églises de Paris à pied pour provoquer l’accouchement ! « Je ne suis pas né à neuf mois, mais à neuf mois et demi, ce qui prouve mon manque d’enthousiasme. Et au bout de quatre ou cinq églises, ma mère a finalement accouché. ». De retour en Bretagne, c’est dans la cité médiévale de Dinan que le futur acteur grandi. La famille Rochefort est solidement ancrée dans ce terroir depuis plusieurs siècles, et le grand-père de Jean faisait visiter la vieille cité en calèche. Cependant, la carrière dans le pétrole du père de Jean force la famille à bouger : Paris, Rouen, Vichy ; seules les vacances d’été chez les grands-parents permettent à Jean de retrouver la terre familiale.
Le jeune Jean Rochefort est très vite fasciné par le cinéma et fréquente régulièrement les salles obscures. Il est marqué notamment par « Tout va bien, madame la marquise » d’Henry Wulschleger, avec le personnage de Yonnick Le Ploumanech, séparatiste breton venu à Paris afin de représenter sa région dans un radio-crochet et qui prend goût à la vie parisienne. L’enfance heureuse et tranquille de Jean bascule quand la guerre éclate et que l’armée allemande envahie le territoire français en 1940. Alors qu’il se trouve avec sa famille à La Baule puis Saint-Nazaire, il assiste au tragique naufrage du HMT Lancastria. Cible des bombardiers allemands, le paquebot sombre avec plus de quatre mille soldats britanniques, les cadavres s’échouant sur les plages traumatisent Jean.
Après la guerre, la famille Rochefort s’installe définitivement en Bretagne quand elle achète un joli pied-à-terre à Saint-Lunaire, où s’installera ensuite la mère de Jean Rochefort après la séparation avec le père qui emménagea à Nantes. C’est dans cette grande ville bretonne que l’intérêt de Jean pour la comédie est né. Il se découvre une passion pour le théâtre, en plus du cinéma que l’adolescent solitaire retrouve chaque week-end après la semaine de lycée. « Nantes, à cette époque, était un endroit d’une mélancolie et d’une tristesse incommensurable. Et j’ai erré dans les rues de Nantes les dimanches de crachin en baguenaudant au désespoir d’adolescent et ça m’a beaucoup enrichi… ». Pendant ses vacances à Saint-Lunaire, Jean retrouve ses amis avec qui il tourne de petits films improvisés sur la plage.
Quelle âge a Jean Rochefort ?
Jean Rochefort est un acteur français, né le 29 avril 1930 à Paris où il est mort le 9 octobre 2017.
À l’instar de ses amis de la « bande du Conservatoire » (dont font partie notamment Jean-Pierre Marielle, Jean-Paul Belmondo, Claude Rich, Bruno Cremer, Annie Girardot ou Françoise Fabian), Jean Rochefort s’est peu à peu imposé comme une figure du théâtre, de la télévision puis du cinéma français dès les années 1960. Reconnaissable à sa voix chaude, à sa moustache et à un style de jeu caractérisé par le flegme et l’ironie, il a joué dans cent treize films et trente-sept téléfilms, jusqu’à son dernier rôle dans Floride, en 2015.
D’abord voué aux seconds rôles, notamment aux côtés de Belmondo dans Cartouche, Les Tribulations d’un Chinois en Chine ou L’Héritier, il devient un acteur de premier plan à partir des années 1970. Il s’installe au sommet de l’affiche de nombreux films français notables, parmi lesquels Le Grand Blond avec une chaussure noire, L’Horloger de Saint-Paul, Que la fête commence…, Un éléphant ça trompe énormément et sa suite, Nous irons tous au paradis, Le Crabe-Tambour, Tandem, Le Mari de la coiffeuse, Ridicule, ou encore Le Placard. Alternant des rôles dans des films grand public et des films d’auteurs, il devient une figure emblématique du cinéma français. C’est l’acteur fétiche d’Yves Robert et de Patrice Leconte.
Plusieurs fois récompensé, Jean Rochefort remporte notamment le César du meilleur acteur dans un second rôle pour Que la fête commence… en 1976 et le César du meilleur acteur pour Le Crabe-Tambour en 1978, puis reçoit en 1999 un César d’honneur, couronnant l’ensemble de sa carrière.
Jean Raoul Robert Rochefort naît le 29 avril 1930 dans le 20e arrondissement de Paris[1],[2],[3], il est issu d’une famille d’origine dinannaise. Son père Célestin Rochefort est fils de cocher ; autodidacte, il passe le certificat d’études, est embauché à la Banque de France à 16 ans et termine sa carrière comme cadre supérieur dans l’industrie pétrolière, dans la société Shell[4] ; sa mère Fernande Guillot est comptable[5].
Jean Rochefort grandit à Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale (à la Libération, il assiste au spectacle des femmes tondues, ce qui lui donnera une vision noire de la nature humaine[6]), puis à Vincennes, Rouen et Nantes.
Enfant rêveur, il fait des études médiocres au lycée Pierre-Corneille de Rouen, au collège de Cusset et au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés[7]. Il désespère son père, à l’opposé de son frère aîné Pierre qui intègre Polytechnique[8],[9] et devient ultérieurement ingénieur général de l’armement[10].
Jean Rochefort passe tous ses étés à Dinan. Après la guerre, la famille Rochefort achète une résidence secondaire sur la Côte d’Émeraude à Saint-Lunaire[4], en Ille-et-Vilaine, une vingtaine de kilomètres au nord de Dinan. Jean Rochefort reste toute sa vie attaché à cette région ; en 2000, il achète une maison à Saint-Briac, petite ville balnéaire qui jouxte Saint-Lunaire.
Qui est le père de Luna Garcia ?
Pour une liste plus complète, consulter IMDb[9].
Distinctions de Gael García Bernal
- 2000 : Festival international du film de Chicago du meilleur acteur partagé avec Emilio Echevarría pour Amours chiennes
- 2000 : Prix ACE du meilleur acteur pour Amours chiennes
- 2001 : Premio Ariel du meilleur acteur pour Amours chiennes
- Mostra de Venise 2001 : Prix Marcello-Mastroianni du meilleur acteur partagé avec Diego Luna pour Y tu mamá también (2001).
- 2001 : Valdivia International Film Festival du meilleur acteur partagé avec Diego Luna pour Y tu mamá también
- 2002 : MTV Movie Awards (Amérique Latine) de la meilleure insulte partagé avec Diego Luna pour Y tu mamá también
- 2002 : Young Artist Awards de la meilleure performance pour un jeune acteur partagé avec Diego Luna pour Y tu mamá también
- Festival de Cannes 2003 : Trophée Chopard de la révélation masculine
- 2003 : Mexican Cinema Journalists du meilleur acteur pour Le Crime du père Amaro
- 2003 : MTV Movie Awards (Mexique) de l’acteur préféré pour Le Crime du père Amaro
- Ft. Lauderdale International Film Festival 2004 : Prix du Jury du meilleur acteur pour La Mauvaise Éducation (2004).
- 2004 : Valdivia International Film Festival du meilleur acteur pour La Mauvaise Éducation
- Chlotrudis Awards 2005 : Meilleur acteur pour La Mauvaise Éducation
- 2005 : Glitter Awards du meilleur acteur pour La Mauvaise Éducation
- 2005 : International Gay Film Awards du meilleur acteur pour La Mauvaise Éducation
- 2005 : Prix ACE du meilleur acteur pour Carnets de voyage
- SESC Film Festival 2005 : Prix du Public du meilleur acteur étranger pour La Mauvaise Éducation et pour Carnets de voyage
- SESC Film Festival 2005 : Prix de la Critique du meilleur acteur étranger pour La Mauvaise Éducation et pour Carnets de voyage
- 2005 : Yoga Awards du pire acteur espagnol pour La Mauvaise Éducation
- 2006 : Gotham Independent Film Awards de la meilleure distribution pour Babel partagé avec Brad Pitt, Cate Blanchett, Kôji Yakusho, Adriana Barraza, Rinko Kikuchi, Said Tarchani et Boubker Ait El Caid
- 2006 : San Diego Film Critics Society Awards de la meilleure distribution pour Babel partagé avec Brad Pitt, Cate Blanchett, Kôji Yakusho, Adriana Barraza et Rinko Kikuchi
- 2007 : Festival international du film de Palm Springs de la meilleure distribution pour Babel partagé avec Brad Pitt, Cate Blanchett, Kôji Yakusho, Adriana Barraza, Rinko Kikuchi, Said Tarchani et Boubker Ait El Caid
- Provincetown International Film Festival 2008 : Prix spécial d’excellence
- SESC Film Festival 2008 : Prix du Public du meilleur acteur étrangerromantique pour El pasado
- 2011 : Prix ACE du meilleur acteur dans un second rôle pour Même la pluie
- 2012 : Abu Dhabi Film Festival du meilleur acteur pour No
- Festival international du film de Locarno 2012 : Prix spécial d’excellence
- Festival du film de Cork 2013 : Prix du Public pour Who is Dayani Cristal? partagé avec Marc Silver
- 2013 : Unasur Cine International Film Festival du meilleur acteur pour No
- 2015 : Imagen Foundation Awards du meilleur acteur de télévision dans une série télévisée comique pour Mozart in the Jungle
- Golden Globes 2016 : Meilleur acteur dans une série musicale ou comique pour Mozart in the Jungle
- 2016 : Imagen Foundation Awards du meilleur acteur de télévision dans une série télévisée comique pour Mozart in the Jungle
- Festival international du film de Saint-Sébastien 2016 : Prix Jaeger-LeCoultre
- Festival international du film de Palm Springs 2017 : Prix FIPRESCI du meilleur acteur pour Neruda
- 2017 : The Festival Pantalla de Cristal du meilleur acteur pour Me estas matando Susana
- 2018 : BTVA People’s Choice Voice Acting Awards de la meilleure performance vocale pour l’ensemble de la distribution dans une comédie d’animation pour Coco partagé avec Anthony Gonzalez, Alanna Ubach, Benjamin Bratt, Ana Ofelia Murguía, Renée Victor et Edward James Olmos
- 2018 : BTVA Feature Film Voice Acting Awards de la meilleure performance vocale pour l’ensemble de la distribution dans une comédie d’animation pour Coco partagé avec Anthony Gonzalez, Alanna Ubach, Benjamin Bratt, Ana Ofelia Murguía, Renée Victor et Edward James Olmos
- Málaga Spanish Film Festival 2020 : Prix Málaga-Sur
- 2002 : Cinema Brazil Grand Prize du meilleur acteur dans un second rôle pour Sans nouvelles de Dieu
- Prix Goya 2002 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Sans nouvelles de Dieu
- 2002 : MTV Movie Awards (Amérique Latine) du meilleur baiser partagé avec Diego Luna pour Y tu mamá también
- 2002 : MTV Movie Awards (Amérique Latine) du meilleur baiser partagé avec Maribel Verdú pour Y tu mamá también
- Chicago Film Critics Association Awards 2003 : Meilleur acteur pour Le Crime du père Amaro et pour Y tu mamá también
- Chlotrudis Awards 2003 : Meilleur acteur pour Y tu mamá también
- 2003 : MTV Movie Awards (Mexique) de la meilleure scène de sexe partagé avec Ana Claudia Talancón pour Le Crime du père Amaro
- British Academy Film Awards 2005 : Meilleur acteur pour Carnets de voyage
- 2005 : Cinema Brazil Grand Prize du meilleur acteur pour La Mauvaise Éducation
- 2005 : Russian National Movie Awards du meilleur acteur
- Satellite Awards 2005 : Meilleur acteur pour Carnets de voyage
- 2005 : Spanish Actors Union de la meilleure performance masculine pour La Mauvaise Éducation
- British Academy Film Awards 2006 : Rising Star Award
- 2006 : Awards Circuit Community Awards de la meilleure distribution pour Babel partagé avec Brad Pitt, Cate Blanchett, Kôji Yakusho, Adriana Barraza et Rinko Kikuchi
- 2007 : ALMA Awards du meilleur acteur pour Babel
- Chlotrudis Awards 2007 : Meilleur acteur pour La Science des rêves
- Festival de Cannes 2007 : Trophée Golden Camera
- Critics’ Choice Movie Awards 2007 : Meilleure distribution pour Babel partagé avec Brad Pitt, Cate Blanchett, Kôji Yakusho, Adriana Barraza et Rinko Kikuchi
- 2007 : Gold Derby Awards de la meilleure distribution pour Babel partagé avec Brad Pitt, Cate Blanchett, Kôji Yakusho, Adriana Barraza et Rinko Kikuchi
- 2007 : Imagen Foundation Awards du meilleur acteur dans un second rôle pour Babel
- Screen Actors Guild Awards 2007 : Meilleure distribution pour Babel partagé avec Brad Pitt, Cate Blanchett, Kôji Yakusho, Adriana Barraza et Rinko Kikuchi
- Granada Film Festival Cines del Sur 2008 : Prix Golden Alhambra du meilleur réalisateur pour Déficit
- 2009 : Cinema Brazil Grand Prize du meilleur acteur dans un second rôle pour L’Aveuglement
- 2009 : Vancouver Film Critics Circle Awards du meilleur acteur dans un second rôle pour L’Aveuglement
- 2013 : Dublin Film Critics Circle Awards du meilleur acteur pour No
- Chlotrudis Awards 2014 : Meilleur acteur pour No
- 2014 : Russian National Movie Awards du meilleur acteur étranger de la décade
- 2016 : Premios Fénix du meilleur acteur pour Neruda
- 2016 : Festival du film de Tribeca du meilleur film narratif pour Madly partagé avec Mia Wasikowska, Sebastián Silva, Anurag Kashyap, Sion Sono et Bat for Lashes
- 2017 : Ariel Awards du meilleur acteur pour You’re Killing Me Susana
- Golden Globes 2017 : Meilleur acteur dans une série musicale ou comique pour Mozart in the Jungle
- 2017 : Mexican Cinema Journalists du meilleur acteur pour Desierto
- 2017 : Washington DC Area Film Critics Association Awards de la meilleure performance vocale masculine pour Coco
- 2018 : BTVA Feature Film Voice Acting Awards de la meilleure performance vocale masculine pour Coco
- 2018 : Online Film & Television Association Awards de la meilleure performance vocale masculine pour Coco
- 2018 : Premios Fénix du meilleur acteur pour Museum
- Teen Choice Awards 2018 : Meilleure performance vocale masculine pour Coco
- 2019 : Ariel Awards du meilleur acteur pour Museum
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Quel est l’âge de Nicole Garcia ?
Nicole Garcia est une actrice, réalisatrice et scénariste française, née le 22 avril 1946 à Oran.
Nicole Garcia, fille de Joseph Garcia, commerçant, et de Marie Bergamo[1], naît dans une famille pied-noire à Oran, où elle passe son enfance et son adolescence. Elle arrive en France métropolitaine en avril 1962, et termine sa classe de première à Montpellier[2]. Elle s’inscrit à la faculté pour suivre des cours de philosophie et prend aussi des cours d’art dramatique. Elle entre au Conservatoire national d’art dramatique et obtient, en 1967, un premier prix en comédie moderne. Le premier film où elle joue, Des garçons et des filles, sort en 1967, mais c’est grâce à Que la fête commence de Bertrand Tavernier, en 1975, qu’elle se fait remarquer des professionnels et du public. En 1977, Henri Verneuil l’engage pour Le Corps de mon ennemi.
Nicole Garcia obtient son premier rôle principal dans La Question, film dénonçant la torture pendant la guerre d’Algérie. Son personnage d’épouse trompée dans Le Cavaleur la rend populaire et lui vaut de recevoir le César du meilleur second rôle féminin. Elle tourne dans Mon oncle d’Amérique d’Alain Resnais, Les Uns et les Autres de Claude Lelouch, L’Honneur d’un capitaine de Pierre Schoendoerffer, Garçon ! de Claude Sautet, La Petite Lili de Claude Miller…
En 1990, Nicole Garcia entame une carrière de réalisatrice, s’attachant à disséquer la complexité des rapports humains dans les longs métrages qu’elle réalise : Un week-end sur deux (1990) et Le Fils préféré (1994) sont remarqués par la critique, Place Vendôme (1998) et L’Adversaire (2002), qui met en scène Daniel Auteuil, remportent du succès auprès du public. En 2006, elle présente Selon Charlie à Cannes.
Quelle est la nationalité de Luna ?
Biographie
Sheryfa Luna, de son vrai prénom Chérifa, née le 25 janvier 1989 d’un père algérien et d’une mère française, est une chanteuse française de R’n’B. Elle a participé et a remporté la quatrième saison de l’émission de télé-réalité “Popstars“. A la suite de sa victoire, elle enregistre un album éponyme. Un premier single “Quelque part“ est entré en première semaine à la première place des meilleures ventes de singles en France.Mathieu Edward est un ex-candidat de la “Star Academy 7“. Mathieu est né à Cergy Pontoise il y a 20 ans. Mélomane éclectique, il se consacre entièrement à la musique. Auteur, compositeur et interprète, il joue de la batterie et du piano. Ce fan de Mc Solaar se décrit comme un garçon attentionné, perfectionniste et bon vivant, mais têtu et jaloux. Il sort son premier album, “Entre toi et moi“ en 2008, après son duo avec Sheryfa Luna “Comme avant“.
Où habite Luna ?
Laurie Calkhoven, auteure du livre Fières d’être sorcières !, retient notamment du personnage sa bienveillance et son indépendance, mais aussi le fait qu’elle soit idéaliste, brave, créative et d’une grande ouverture d’esprit[S 2].
Luna est capable de voir les sombrals depuis l’âge de 9 ans[1]. Son patronus est un lièvre[1].
Née le 13 février 1981[1], Luna est la fille du sorcier Xenophilius Lovegood, directeur du journal Le Chicaneur, et de Pandora Lovegood, une sorcière passionnée par les expériences[6]. Cette dernière meurt au cours d’une de ses expérimentations, à laquelle assiste Luna lorsqu’elle a neuf ans[1].
Luna a vécu avec son père dans une maison en forme de tour, située près du village de Loutry Ste Chaspoule, non loin du Terrier, la maison familiale des Weasley[4]. La maison comporte de nombreux dessins et peintures colorés, créés par Luna[4].
C’est lors d’un voyage à bord du Poudlard Express que Harry Potter fait la connaissance de Luna.
Luna arrive à Poudlard en septembre 1992, la même année que Ginny Weasley[7] (soit durant les événements de Harry Potter et la Chambre des secrets). Cependant, le lecteur et les personnages principaux ne font sa connaissance qu’à partir de Harry Potter et l’Ordre du Phénix, lorsque Harry, Ginny et Neville la rejoignent dans un compartiment du Poudlard Express[3]. Luna et son père sont parmi les seuls à croire Harry et Albus Dumbledore au sujet du retour de Voldemort, ce qui mène Harry à lui faire confiance et à accorder une interview exclusive au Chicaneur, le journal dirigé par monsieur Lovegood. Plus tard dans l’année, Luna rejoint l’Armée de Dumbledore fondée par Harry et Hermione, et participe elle aussi à l’affrontement contre les Mangemorts au Département des Mystères en compagnie de Harry, Ron, Hermione, Ginny et Neville[8].
Quelques couverture du journal Le Chicaneur, apparaissant dans les films Harry Potter.
Dans Harry Potter et le Prince de sang-mêlé, elle est invitée par Harry à la fête de Noël organisée par le professeur Slughorn[9]. Elle commente également le match de quidditch entre Gryffondor et Poufsouffle, et J. K. Rowling a affirmé avoir adoré écrire cette scène[10]. Dans le film, elle assiste au match opposant Gryffondor et Serpentard, où elle arbore un énorme chapeau en forme de tête de lion[11]. Quand les Mangemorts attaquent l’école à la fin de cette année scolaire, Luna, Ginny et Neville sont les seuls membres de l’A.D. à répondre à l’appel pour protéger l’école[12].
Dans Harry Potter et les Reliques de la Mort, Luna et son père sont présents au mariage de Bill Weasley et Fleur Delacour au Terrier, au cours duquel elle reconnaît immédiatement Harry, malgré le fait qu’il soit déguisé grâce au Polynectar, simplement par l’expression qu’il a sur son visage[13].
Qui sont les vrais parents de Luna ?
Luna Dragonneau née Lovegood est un personnage de la saga Harry Potter. Dans les films, son rôle est joué par l’actrice Evanna Lynch. Elle habite en Angleterre dans la région de Devon et dans la ville de Loutry Ste Chasouple
Luna Lovegood est née en 1981 (nous ne connaissons pas la date précise : 6 juin ou 13 février sont les plus courantes). Elle est élève à Poudlard, dans la maison Serdaigle. Tout le monde, ou presque, l’appelle « Loufoca », car elle est un peu dérangée. Elle croit en beaucoup de choses qui ne semblent pas être fondées sur des faits, mais sa foi constante et son comportement calme constituent d’une certaine manière ses plus grandes forces.
Elle vit avec son père Xénophilius Lovegood, rédacteur en chef du Chicaneur. Ils habitent dans une maison ronde, dans les collines, d’où on peut voir le Terrier.
Sa mère est décédée en 1990, lorsque Luna avait 9 ans, à cause d’un sortilège qui a mal tourné.
Luna Lovegood |
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Yeux | bleu |
Cheveux | blonds |
Famille | Xenophilius Lovegood (père) Rolf Dragonneau (mari) Lorcan Dragonneau (fils) Lysander Dragonneau (fils) Famille Lovegood/Dragonneau |
Espèce | Sorcière |
Quel est l’âge de Nicole Garcia la comédienne ?
Nicole Garcia est une actrice, réalisatrice et scénariste française, née le 22 avril 1946 à Oran.
Nicole Garcia, fille de Joseph Garcia, commerçant, et de Marie Bergamo[1], naît dans une famille pied-noire à Oran, où elle passe son enfance et son adolescence. Elle arrive en France métropolitaine en avril 1962, et termine sa classe de première à Montpellier[2]. Elle s’inscrit à la faculté pour suivre des cours de philosophie et prend aussi des cours d’art dramatique. Elle entre au Conservatoire national d’art dramatique et obtient, en 1967, un premier prix en comédie moderne. Le premier film où elle joue, Des garçons et des filles, sort en 1967, mais c’est grâce à Que la fête commence de Bertrand Tavernier, en 1975, qu’elle se fait remarquer des professionnels et du public. En 1977, Henri Verneuil l’engage pour Le Corps de mon ennemi.
Nicole Garcia obtient son premier rôle principal dans La Question, film dénonçant la torture pendant la guerre d’Algérie. Son personnage d’épouse trompée dans Le Cavaleur la rend populaire et lui vaut de recevoir le César du meilleur second rôle féminin. Elle tourne dans Mon oncle d’Amérique d’Alain Resnais, Les Uns et les Autres de Claude Lelouch, L’Honneur d’un capitaine de Pierre Schoendoerffer, Garçon ! de Claude Sautet, La Petite Lili de Claude Miller…
En 1990, Nicole Garcia entame une carrière de réalisatrice, s’attachant à disséquer la complexité des rapports humains dans les longs métrages qu’elle réalise : Un week-end sur deux (1990) et Le Fils préféré (1994) sont remarqués par la critique, Place Vendôme (1998) et L’Adversaire (2002), qui met en scène Daniel Auteuil, remportent du succès auprès du public. En 2006, elle présente Selon Charlie à Cannes.