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Qui est la fille de Jacques Chancel ?

by Judith Ferrier

Il adopte ses deux enfants, Gauthier (né en 1973) et Marie-Alix (née en 1975). Dans les années 1960, il achète le château de Miramont à Adast.

Où est enterré Jacques Chancel ?

Herbert von Karajan, Pierre Boulez, Yehudi Menuhin, Maurice Martenot… Avec quelle grande personnalité Jacques Chancel ne s’est-il pas entretenu ? Près de 7 000 émissions sur France Inter, où il anime Radioscopie pendant 24 ans, trois grandes émissions de télévision (Grand Amphi en 1971 – 1972, Lignes de mire de 1994 à 1998 et surtout Le Grand Echiquier de 1972 à 1989) : Jacques Chancel a écouté et interrogé de nombreuses personnalités de la vie musicale. Le journaliste est mort ce mardi 23 décembre 2014. Il avait 86 ans.

Lionel Esparza rend hommage à Jacques Chancel dans le magazine de ce mardi 23 décembre , de même que Frédéric Lodéon dans Carrefour de Lodéon, à 16h .

L’indicatif de Radioscopie est entré dans la légende, tout comme bon nombre de ses entretiens. Né le 2 juillet 1928 à Ayzac-Ost (Hautes-Pyrénées), il se fait vieillir de deux ans pour partir à Saïgon à l’âge de 17 ans, où il devient correspondant de Radio France Asie et correspondant de guerre pour Paris Match.

Quel est l’âge de Jacques Chancel ?

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Radioscopie est une émission culturelle radiophonique créée par Jacques Chancel le 5 octobre 1968 et diffusée sur France Inter tous les jours en semaine de 17 heures à 18 heures jusqu’en 1982, puis à nouveau à partir de 1988 jusqu’au 5 janvier 1990[1]. L’émission, au cours de laquelle Jacques Chancel s’entretenait avec des invités, était particulièrement renommée et la plupart des personnalités de l’époque passèrent à l’antenne[2]. En tout, il y eut 2 878 émissions[3].

Dans l’émission Radioscopie le journaliste Jacques Chancel interroge un invité durant une heure[4],[5].

Toutes les émissions sont diffusées en direct[6]. Jacques Chancel passe en moyenne six heures à s’informer au préalable sur son invité[6]. Toutefois, il ne le rencontre jamais avant l’émission afin de le découvrir « en même temps que l’auditeur »[6].

Chaque émission était soit dédiée à un invité unique, soit à plusieurs invités. Les premiers invités furent Roger Vadim[7], Jean Cau[8], Françoise Hardy[9], Maurice Rheims[10], Romain Gary[11] et Guy des Cars[12]. Jacques Chancel a reçu en tout 3 600 invités[13].

Pendant les cinq premières années, du 21 octobre 1968 à 1972, un premier indicatif musical débutait l’émission par Almeria fantaisie pour un piano et deux guitares, composé par André Hossein, le père de l’acteur. C’est une composition spécialement écrite pour l’émission par Georges Delerue, intitulée Radioscopie, qui ensuite débutait le programme[14], indicatif musical au cours duquel la voix chaude de Jacques Chancel énonçait le titre de l’émission avant que les invités ne déclinent successivement leur nom, immédiatement imités par Jacques Chancel[15].

L’émission Le Grand Entretien, présentée depuis 2010 par François Busnel, semble s’inspirer de ce concept. Par ailleurs, l’invité de l’émission décline lui aussi son nom, comme dans Radioscopie[réf. souhaitée].

Qui a créé le grand échiquier ?

Le Grand Échiquier est un livre de géopolitique écrit par Zbigniew Brzeziński et publié en 1997.

Pourquoi changement Presentatrice Grand Échiquier ?

Le format du Grand Échiquier va être amené à changer. Une autre raison qui a motivé le départ de la présentatrice. L’émission devrait aller « vers plus de variétés et moins de classique » : « Ça ne me correspond plus tout à fait », a reconnu Anne-Sophie Lapix.

Qui présentait le grand échiquier avant ?

Le Grand Échiquier est une émission de télévision de variétés française créée et présentée par Jacques Chancel. Elle est diffusée à 20 h 30 sur la première chaîne de l’ORTF du 12 janvier 1972 au 12 juillet 1972, puis la deuxième chaîne couleur de l’ORTF de septembre 1972 à décembre 1974, enfin sur Antenne 2 de janvier 1975 au 21 décembre 1989.

L’émission fait son retour sur France 2 le 20 décembre 2018 et est animée par Anne-Sophie Lapix[3].

Le Grand Échiquier a succédé à Grand Amphi créé le 17 avril 1971[4] par Jacques Chancel et arrêté le 2 janvier 1972. Le premier numéro du Grand Échiquier fut diffusé le 12 janvier 1972 à 20 h 30 sur la première chaîne de l’ORTF depuis le studio 12 des Buttes-Chaumont et eut comme invité Yves Montand, vedette cette année-là de quatre films dont César et Rosalie de Claude Sautet et État de siège de Costa-Gavras[5].

L’émission, qui à l’origine ne devait pas dépasser les treize numéros, dura finalement dix-huit ans, pour un final en apothéose le jeudi 21 décembre 1989, avec pour invité le baryton basse Ruggero Raimondi.

Le Grand Échiquier mêle culture et divertissements. Le programme, qui met en avant les arts de la scène, la politique ou les sciences se compose d’un orchestre, de récitals, de variétés, de débats et d’humour.

Le Grand Échiquier, présenté par Jacques Chancel (1972-1989)[modifier | modifier le code]

L’émission se déroulait en direct et en public depuis le studio 12, puis le studio 15 des Buttes-Chaumont et occupait toute la soirée sur une durée d’environ trois heures, l’émission consacrée à la Comédie-Française ayant duré cinq heures trente.

Où est tourné le grand échiquier ?

Pensé et conçu comme un lieu de fête et de représentation de tous les arts, le château de Versailles est l’écrin idéal pour accueillir et sublimer les performances de ce numéro hors les murs du « Grand Échiquier : Un printemps à Versailles ».

Où est enterré De Lattre de Tassigny ?

Son fils unique, Bernard, est tué à Ninh-Binh, le 30 mai 1951, à la tête d’un escadron vietnamien du 1er Chasseurs.

Après plusieurs missions à Washington, Londres et Rome, il repart pour le Vietnam.

Il rentre en France pour la Conférence des Etats Associés et meurt le 11 janvier 1952 à Paris. Quatre jours plus tard ses obsèques nationales sont célébrées en la cathédrale Notre-Dame. Le jour même, le général de Lattre de Tassigny est élevé à la dignité de Maréchal de France. Il est inhumé dans son village natal de Mouilleron-en-Pareds.

• Grand Croix de la Légion d’Honneur • Compagnon de la Libération – décret du 20 novembre 1944 • Médaille Militaire • Croix de Guerre 14/18 (8 citations) • Croix de Guerre 39/45 • Croix de Guerre des T.O.E. (3 citations) • Médaille des Evadés • Médaille d’Or de l’Education Physique • Médaille d’Or de la Santé Publique • Military Cross (GB) • King Cross of the Bath (GB) • Distinguished Service Medal (USA) • Legion of Merit (USA) • Ordre de Souvorov (URSS) • Grand Croix de l’Ordre de Léopold (Belgique) • Croix de Guerre Belge • Grand Croix du Lion Blanc (Tchécoslovaquie) • Croix de Guerre (Tchécoslovaquie) • Grand Croix de l’Ordre de Saint Olaf (Norvège) • Grand Croix de l’Ordre d’Orange Nassau (Hollande) • Virtuti Militari (Pologne) • Grand Croix de l’Ordre Royal du Dannebrog (Danemark) • Commandeur de l’Ordre du Mérite Brésilien • Grand Croix Libertador San Martin (Argentine) • Mérite Militaire avec agrafe blanche (Cuba) • Mérite Militaire (Mexique) • Grand Croix du Mérite Militaire (Chili) • Grand Croix de l’Ordre Royal du Cambodge • Grand Croix de l’Ordre National du Vietnam • Grand Croix de l’Ordre du Million d’Eléphants (Laos) • Grand Croix du Parasol Blanc (Laos) • Mérite Chérifien (Maroc) • Grand Croix du Ouissam Alaouite (Maroc) • Grand Croix de l’Ordre du Sang (Tunisie) • Grand Croix de l’Etoile Noire (Bénin)

Principales publications

• Histoire de la Première Armée française Rhin et Danube , Plon, Paris 1949 Ne pas subir.

Où se trouve la tombe de Jacques Martin ?

  • ↑ « Le petit rapporteur » : l’actualité par le petit bout de la lorgnette le Figaro.fr
  • ↑ « France Culture – Saison 1994-1995 », sur radioscope.fr (consulté le 22 mai 2023).
  • ↑ « Générique « Sous vos applaudissements » avec Jean-Claude Brialy », sur dailymotion.com, 12 avril 1998 (consulté le 25 août 2017)
  • ↑ Interact SA, « Jacques Martin – Biographie, émissions… Avec Jacques Martin », sur Melody.tv (consulté le 10 janvier 2018)
  • ↑ « À Biarritz, Jacques Martin reçoit ses proches et ses amis », Le Parisien, 20 août 2007 (Résumé en ligne)
  • ↑ Dépêche d9e LCI.
  • ↑ « Télévisions et radios rendent hommage à Jacques Martin » « Copie archivée » (version du 24 octobre 2007 sur Internet Archive), dépêche AFP, 14 septembre 2007.
  • ↑ Le gouvernement est représenté par Rachida Dati, ministre de la Justice, Christine Albanel, ministre de la Culture et de la Communication, Rama Yade, secrétaire d’État aux Droits de l’Homme et enfin Christine Boutin, ministre du Logement. Le maire PS de Lyon Gérard Collomb, est par ailleurs présent. Cécilia Sarkozy, « première dame de France », qui fut notamment son ancienne épouse et avec laquelle il a eu deux enfants, assiste aux obsèques. Enfin des personnalités du monde de la télévision, le PDG de France Télévisions, Patrick de Carolis, les journalistes Stéphane Collaro, Pierre Bonte, l’animatrice Danièle Gilbert qu’il a surnommée La grande Duduche, l’humoriste Laurent Gerra, le dessinateur Piem, les chanteurs Chantal Goya et Enrico Macias et le cuisinier Paul Bocuse ont tenu à rendre un ultime hommage à Jacques Martin.
  • ↑ Nouveau cimetière de la Guillotière, carré D 13, allée 14, tombe 11 : famille Ducerf.
  • ↑ Rigoureusement authentique !
  • A LIRE  Comment gérer les reproches de son conjoint avec bienveillance ?

    Sur les autres projets Wikimedia :

    • Brigitte Hemmerlin et Vanessa Pontet, Jacques Martin, l’empereur des dimanches, préface de Jacques Chancel, Archipel, 2008.
    • Émission Un jour, un destin : Jacques Martin, les coulisses d’un empire (1re diffusion : le 20 décembre 2010, 2e diffusion : 5 janvier 2013 sur France 2)

    Qui est enterré à Blois ?

    Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

    Le cimetière de Blois-ville est, avec le cimetière de Blois-Vienne et le celui de la Forêt, l’une des trois nécropoles de la ville de Blois. Il est situé rue Alfred-Halou.

    Le cimetière est inauguré le 22 novembre 1857. Situé sur un terrain sablonneux et plat, c’est un grand cimetière rappelant la forme d’un rectangle vaguement allongé[1]. Il abrite les tombes de quelques personnalités célèbres, parmi lesquelles Jean-Eugène Robert-Houdin ou Auguste et Albert Poulain. On y trouve des cèdres de l’Atlas plus que centenaires.

    Tombe d’Auguste et Albert Poulain.

    Quel est le plus vieux cimetière de France ?

    Sépultures des personnalités les plus demandées » [PDF], sur meslieux.paris.fr, octobre 2011 (consulté le 31 mars 2016).

  • ↑ « PLU de Paris : L’environnement naturel et urbain » [PDF], sur paris.fr, 1er juillet 2010 (consulté le 31 mars 2016), p. 1 (pagination pdf).
  • ↑ a b c d et e « Cimetière du Calvaire – Paris.fr », sur meslieux.paris.fr (consulté le 1er avril 2016).
  • ↑ Georges Renault et Henri Chateau, Montmartre, Flammarion, 1897, 383 p. (lire en ligne), p. 176.
  • ↑ Sources : mairie de Paris
  • Sur les autres projets Wikimedia :

    • Jacques Barozzi, Guide des cimetières parisiens, Paris, Éditions Hervas, 1990, 190 p. (ISBN 978-2-903118-57-0, BNF 35540677), p. 126-128
    • Jeannette Thibault, À la découverte de Montmartre, Paris, Association Paris Historique, 2004, 112 p. (ISBN 978-2-909653-13-6, BNF 39216876), p. 72

    Cimetière du Calvaire

    Pays France
    Tombes
    85
    Mise en service 1801
    Abandon 1831
    Coordonnées 48° 53′ 12″ N, 2° 20′ 30″ E

    Où se trouve la tombe du Général Leclerc ?

    LECLERC (Philippe de Hautecloque : 1902-1947)

    Crypte des gouverneurs de la cathédrale Saint-Louis des Invalides de Paris

    Lieutenant de cavalerie avant 1940, il révéla déjà un grand nombre de qualités qui en firent l’un des plus grands officiers de la Seconde Guerre mondiale. Prisonnier deux fois de suite, il parvint à échapper aux Allemands : il rejoignit alors De Gaulle à Londres, et accomplit des opérations importantes (ralliements du Cameroun et du Tchad à la France Libre). Dans le désert, il prononça le serment historique de ne pas « déposer les armes tant que le drapeau français ne flottera à nouveau sur Strasbourg ». En janvier 1943, il rallia les troupes de Montgomery à Tripoli et participa à la campagne de Tunisie. Il forma alors la deuxième division blindée qui débarqua en Normandie, puis libéra Paris en août 1944, avant de marcher sur Strasbourg puis Berchtesgaden. Il représenta la France lors de la capitulation japonaise.

    JPEG - 47.6 ko Acte de naissance de Leclerc – Belloy Saint-Léonard.

    La paix fut de courte durée : dès août 1945, il fut envoyé en Indochine.

    Quel âge a Jacques Normand ?

    Jacques Normand, né Raymond Pascal Chouinard le 15 avril 1922 à Charlesbourg et mort le 7 juillet 1998[1] à Montréal à l’âge de 76 ans, est un chanteur et un animateur de radio et de télévision canadien. Il débute comme annonceur à la station de radio privée CHRC de Québec sous le nom de Raymond Boisseau, mais il adopte rapidement celui de Jacques Normand lorsqu’il passe au service de la station rivale CKCV[2]. Il est le frère de Camil Chouinard, journaliste à Radio-Canada pendant de nombreuses années, de Pierre Chouinard, ex-animateur de Radio-Canada (Montréal Express) et de Paul Chouinard, secrétaire de Daniel Johnson. Il est l’oncle du comédien Normand Chouinard et de l’animateur-réalisateur André Chouinard de Radio-Canada ainsi que de Simon Chouinard également animateur à la radio.

    Raymond Chouinard se destine à une carrière sportive lorsqu’un grave accident de plongeon le contraint à recourir aux soins du neurochirurgien Wilder Penfield et à effectuer une convalescence au lit de plusieurs mois. Il consacre alors tout son temps libre à écouter les vedettes radiophoniques de l’époque, dont Roger Baulu. Lorsqu’il sort de l’hôpital, le jeune Raymond sait qu’il veut devenir animateur à la radio.

    C’est en 1941, qu’il commence sa vie publique à la station CHRC de Québec dont il se fait congédier pour avoir interrompu la diffusion d’un discours du Général de Gaulle[3]. Malgré cela, il décroche un emploi d’animateur-chanteur à CKCV quelques jours plus tard. L’animateur-vedette de la station, Saint-Georges Côté, lui suggère alors d’adopter le pseudonyme Jacques Normand. Toutefois, c’est à la station de radio CBV qu’on lui confiera une première émission à caractère vraiment musical: Ici on chante qui sera diffusée à travers tout le réseau de Radio-Canada[3]. Il chante également à une émission matinale animée par le jeune annonceur René Lévesque[3].

    Quel est le vrai nom de Jacques Villeret ?

    Par la suite, Jacques Villeret tourne notamment sous la direction de Jean Becker dans Les Enfants du marais (1999), Un crime au Paradis (2001) et Effroyables Jardins (2003), incarnant des rôles poignants et touchants salués par le public et la critique.

    Mort

    Il meurt à Évreux (Eure) le 28 janvier 2005 des suites d’une hémorragie interne en rapport avec une maladie hépatique. Il est enterré à Perrusson (Indre-et-Loire), auprès de sa grand-mère maternelle.

    Vie privée

    Alain Meilland et Jacques Villeret en 1993 durant la tournée de La Contrebasse.

    Il épouse la comédienne Irina Tarassov le 26 décembre 1979, après deux ans de vie commune. Le couple se sépare en 1998. Il rencontre Seny, une veuve sénégalaise qui s’apprêtait à quitter Lille pour vivre avec lui à Paris, quand il meurt.

    Jacques Villeret était le parrain de Charlotte Russo, la fille de son ami Daniel Russo[6].

    Dans Un jour tout ira bien (2006), publié aux éditions Flammarion[7], Irina Tarassov relate leur parcours et leur combat contre l’alcoolisme qui finit par emporter Jacques Villeret en 2005. Cet ouvrage a fait l’objet d’une polémique. Ghislaine Villeret, la sœur de Jacques Villeret, a dénoncé « les mensonges sur son frère »[8].

    Théâtre

    • 1970 : La locandiera de Carlo Goldoni, mise en scène Jacques Ardouin, théâtre Hébertot
    • 1970 : J’ai régné cette nuit de Pierre Sabatier, mise en scène Jacques Ardouin, théâtre Hébertot
    • 1971 : Des frites, des frites, mise en scène Gérard Vergez, Théâtre national populaire
    • 1972 : Occupe-toi d’Amélie de Georges Feydeau, mise en scène Jacques-Henri Duval, théâtre des Célestins
    • 1972 : Rhinocéros d’Eugène Ionesco, mise en scène Guy Lauzin, théâtre des Célestins
    • 1972 : Le Testament du chien d’Ariano Suassuna, mise en scène Guy Lauzin, festival d’Avignon
    • 1973 : Viendra-t-il un autre été ? de Jean-Jacques Varoujean, mise en scène Jacques Spiesser, Petit Odéon
    • 1973 : Les Fourberies de Scapin de Molière, théâtre de Reims-Robert Hossein
    • 1973 : Dom Juan de Molière, mise en scène Régis Anders, festival d’Orge
    • 1974 : Gomina, mise en scène François Wertheimer, L’Européen
    • 1975-1983 : One-man show Théâtre des Blancs-Manteaux
    • 1987 : C’est encore mieux l’après-midi de Ray Cooney, mise en scène de Pierre Mondy, théâtre des Variétés
    • 1989 : Un fil à la patte de Georges Feydeau, mise en scène de Pierre Mondy, théâtre du Palais-Royal
    • 1991 : La Contrebasse de Patrick Süskind, mise en scène Philippe Ferran, théâtre Hébertot puis théâtre de la Gaîté-Montparnasse
    • 1993 : Le Dîner de cons de Francis Veber, mise en scène Pierre Mondy, théâtre des Variétés
    • 1998 : La Contrebasse de Patrick Süskind, théâtre Marigny
    • 2000 : Jeffrey Bernard est souffrant de Keith Waterhouse, mise en scène Jean-Michel Ribes, théâtre Fontaine
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    Filmographie

    Cinéma

    Longs métrages

    • 1973 : RAS d’Yves Boisset : le soldat Girot
    • 1974 : Un amour de pluie de Jean-Claude Brialy : Guillaume
    • 1974 : La Gueule ouverte de Maurice Pialat (rôle coupé au montage)
    • 1974 : Toute une vie de Claude Lelouch
    • 1975 : Sérieux comme le plaisir de Robert Benayoun : le gendarme à la télévision
    • 1975 : Dupont Lajoie d’Yves Boisset : Gérald
    • 1976 : Le Bon et les Méchants de Claude Lelouch : Simon
    • 1976 : Si c’était à refaire de Claude Lelouch : l’agent immobilier
    • 1976 : Les Naufragés de l’île de la Tortue de Jacques Rozier : Petit Nono
    • 1977 : Un autre homme, une autre chance de Claude Lelouch : un client
    • 1978 : Robert et Robert de Claude Lelouch : Robert Villiers
    • 1978 : Mon premier amour d’Élie Chouraqui : Jacques Labrousse
    • 1978 : Molière ou la Vie d’un honnête homme d’Ariane Mnouchkine : un bateleur (rôle coupé au montage)
    • 1978 : Passe montagne de Jean-François Stévenin : Georges
    • 1979 : Confidences pour confidences de Pascal Thomas : l’étudiant qui cherche du travail
    • 1979 : Un balcon en forêt de Michel Mitrani : Gourcuff
    • 1979 : Mais ou et donc Ornicar de Bertrand Van Effenterre (rôle coupé au montage)
    • 1979 : À nous deux de Claude Lelouch : Tonton musique
    • 1979 : Bête, mais discipliné de Claude Zidi : Jacques Cardot
    • 1979 : Rien ne va plus, film à sketches de Jean-Michel Ribes : Henri Fisserman / Paul Flantier / Bouli / docteur Delomien / Jacques du Breuil / Robert Valier / Florence / commissaire Blandin / le patron de La Grenade / M. Fremelin
    • 1981 : Malevil de Christian de Chalonge : Momo
    • 1981 : Les Uns et les Autres de Claude Lelouch : Jacques
    • 1981 : La Soupe aux choux de Jean Girault : l’Oxien (La Denrée)
    • 1982 : Le Grand Frère de Francis Girod : l’inspecteur Coleau
    • 1983 : Danton d’Andrzej Wajda : le général Westermann
    • 1983 : Effraction de Daniel Duval : Valentin Tralande, dit Val
    • 1983 : Édith et Marcel de Claude Lelouch : Jacques Barbier
    • 1983 : Circulez y’a rien à voir de Patrice Leconte : l’inspecteur Pelissier
    • 1983 : Prénom Carmen de Jean-Luc Godard : l’homme qui mange des yaourts dans les toilettes de la station-service
    • 1983 : Papy fait de la résistance de Jean-Marie Poiré : Reichsminister Ludwig von Apfelstrudel
    • 1983 : Garçon ! de Claude Sautet : Gilbert
    • 1984 : Les Morfalous d’Henri Verneuil : Béral
    • 1985 : Drôle de samedi (Cumartesi Cumartesi) de Tunç Okan : Maurice, le boucher
    • 1985 : Hold-Up d’Alexandre Arcady : Jérémie Planchet
    • 1986 : La Galette du roi de Jean-Michel Ribes : Utte de Danemark
    • 1986 : Les Folles Années du twist de Mahmoud Zemmouri : M’sieur John Wayne
    • 1986 : Black Mic-Mac de Thomas Gilou : Michel Le Gorgues
    • 1986 : Les Frères Pétard de Hervé Palud : Momo
    • 1987 : Dernier Été à Tanger d’Alexandre Arcady : Marcus
    • 1987 : L’Été en pente douce de Gérard Krawczyk : Maurice Leheurt dit Mo
    • 1987 : Soigne ta droite de Jean-Luc Godard : l’individu
    • 1988 : La Petite Amie de Luc Béraud : Guillaume Bertin
    • 1988 : Mangeclous de Moshé Mizrahi : Salomon
    • 1990 : Trois années de Fabrice Cazeneuve : Alexandre Guillermen
    • 1991 : Les Secrets professionnels du docteur Apfelglück d’Hervé Palud, Alessandro Capone, Mathias Ledoux, Stéphane Clavier, Thierry Lhermitte : Martineau
    • 1991 : La Montre, la Croix et la Manière (The Favour, the Watch and the Very Big Fish) de Ben Lewin : Charles, l’homme de la lingerie
    • 1991 : Le Fils du Mékong de François Leterrier : Durieux
    • 1992 : Le Bal des casse-pieds d’Yves Robert : Jérôme
    • 1992 : 588, rue Paradis d’Henri Verneuil : Alexandre
    • 1994 : Parano, sketch Nuit d’essence de Yann Piquer : le pompiste
    • 1996 : Golden Boy de Jean-Pierre Vergne : Antoine
    • 1998 : Le Dîner de cons de Francis Veber : François Pignon
    • 1998 : Mookie d’Hervé Palud : frère Benoît
    • 1999 : Les Enfants du marais de Jean Becker : Henri Pignol dit Riton
    • 2000 : Les Acteurs de Bertrand Blier : lui-même
    • 2001 : Un crime au Paradis de Jean Becker : Jojo Braconnier
    • 2001 : Un aller simple de Laurent Heynemann : Jean-Pierre
    • 2001 : Rencontre avec Jacques Rozier, documentaire de Christian Argentino : lui-même
    • 2003 : Effroyables Jardins de Jean Becker : Jacques Pouzay
    • 2003 : Le Furet de Jean-Pierre Mocky : Le Furet[9]
    • 2004 : Malabar Princess de Gilles Legrand : Gaspard
    • 2004 : Vipère au poing de Philippe de Broca : M. Rézeau
    • 2005 : Iznogoud de Patrick Braoudé : le calife Haroun El Poussah
    • 2005 : L’Antidote de Vincent de Brus : André Morin
    • 2005 : Les Âmes grises d’Yves Angelo : le juge Mierck
    • 2005 : Les Parrains de Frédéric Forestier : Lucien

    Courts métrages

    Télévision

    Distinctions

    DécorationsRécompensesNominations

    Notes et références Voir aussi

    Sur les autres projets Wikimedia :

    Bibliographie

    • Irina Tarassov-Villeret, Un jour, tout ira bien, Paris, Flammarion, 2005, 327 p. (ISBN 2-08-068891-X).

    Quel âge ont les Frères Jacques ?

    Le 14 juin 1995, Pierre Philippe (de son vrai nom Le Philipponnat), pianiste qui a accompagné le quatuor vocal de son début à 1965 décède, à Saint-Bouize (Cher)[6]. Un hommage est rendu aux Frères Jacques au Casino de Paris les 12 et 13 janvier 1996, à l’occasion du cinquantième anniversaire de leur création, en présence de nombreux artistes. 5 000 spectateurs assistent à ces concerts, mais aucune télévision n’y est présente[réf. nécessaire].

    Le 30 mai 2002, Jean-Denis Malclès, créateur de leurs costumes de scène, meurt à Paris[7]. François Soubeyran est mort le 21 octobre 2002 à Montélimar (Drôme)[8]. André Bellec meurt le 3 octobre 2008 à Pontpoint (Oise)[9]. Georges Bellec décède le 13 décembre 2012 à Senlis[10]. Enfin, Paul Tourenne disparait le 20 novembre 2016 à Montréal au Canada[11]. Le 6 novembre 2021, Hubert Degex, pianiste du quatuor de 1965 à 1982, décède à 92 ans[12].

    La Bibliothèque historique de la ville de Paris possède un fonds sur les Frères Jacques, qui comprend des costumes de scène, des partitions musicales manuscrites et imprimées, des enregistrements sonores commerciaux et inédits, des programmes, des affiches, des dessins, des coupures de presse et de la correspondance. Cette collection a appartenu à Paul Tourenne[réf. souhaitée].

    Leur répertoire comporte des chansons traditionnelles, des chansons humoristiques (Chanson sans calcium, La confiture ou Le général Castagnetas avec des paroles de Marcel Dabadie, le père de Jean-Loup), des fantaisies sur une musique classique (la Truite de Franz Schubert, sur un texte de Francis Blanche), de la pure poésie (Jacques Prévert, Raymond Queneau, Boris Vian, Bernard Dimey), des textes grinçants (Les Bonnes, satire antibourgeoise), des chansons tristes à pleurer et de philosophie de rue, ainsi que des chansons paillardes (La Digue du cul).

    • André Bellec (1914-2008), le fondateur, en justaucorps vert.
    • Georges Bellec (1918-2012), le « comique » et le plus petit (en taille), en justaucorps jaune.
    • François Soubeyran (1919-2002), le plus grand (en taille) et le poète, en justaucorps rouge.
    • Paul Tourenne (1923-2016), le premier ténor et le photographe, en justaucorps bleu ; il tenait les rôles de fille au besoin
    • Pierre Philippe (1909-1995), pianiste qui les accompagne pendant vingt ans, jusqu’en décembre 1965
    • Hubert Degex (1929-2021), pianiste à leurs côtés de décembre 1965 à 1982
    • Jean-Denis Malclès (1912-2002), décorateur de théâtre, créateur de leurs fameux costumes

    André, né le 12 février 1914[9], et Georges Bellec, né le 18 mars 1918[10], sont deux frères, tous deux nés à Saint-Nazaire[4]. Ils passent leur enfance et leur adolescence dans le marais breton (en Vendée). En 1933, la famille s’installe à Bordeaux. Après son baccalauréat, André entame une licence en droit et s’inscrit en parallèle au conservatoire de Bordeaux, y obtient un deuxième accessit de comédie et s’intègre à une compagnie. Georges, quant à lui, est un boute-en-train, il chante des chansons grivoises et il dessine. Il s’oriente vers l’École des beaux-arts de Bordeaux.

    Quel était le vrai nom de Jacques Martin ?

    Jacques Martin, né le 22 juin 1933 à Lyon (Rhône) et mort le 14 septembre 2007 à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), est un comédien, animateur de radio et de télévision, chanteur, humoriste, imitateur, réalisateur et producteur de télévision français.

    Après avoir débuté par le théâtre en 1949, il a produit et animé entre les années 1970 et 1990 de nombreuses émissions de divertissement comme Le Petit Rapporteur, L’École des fans ou Dimanche Martin.

    Germain Muller et Jacques Martin à Strasbourg en 1978.

    Fils de Joannès Martin, industriel, et de Germaine Ducerf, Jacques Martin est élevé chez les jésuites, notamment parce qu’il est souvent renvoyé pour son indiscipline. Son père joue de sept instruments et cette passion pour la musique, ainsi que celle de la cuisine, l’accompagneront toute sa vie. Il s’oriente d’abord vers le théâtre et, à partir de 1949, il suit les cours de Charles Dullin.

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    Il commence sa carrière à la télévision sous le pseudonyme de Ducerf à Télé-Strasbourg, devenue France 3 Alsace où il anime dans les années 1950 l’émission Pas très show, puis en 1961, Trois petits tours et Deux petites notes à la clé.

    À Strasbourg, il fait aussi partie de la troupe du cabaret satirique alsacien de Germain Muller, Le Barabli, entre 1959 et 1962. Par amitié pour Germain Muller, il participera au dernier spectacle du Barabli, lors du réveillon du Nouvel An 1989[1].

    Au début des années 1960, il se lance dans la chanson, comme compositeur et chansonnier dans des émissions comiques avec Jean Yanne, Roger Pierre et Jean-Marc Thibault, notamment pour un disque de parodies des Élucubrations d’Antoine enregistré avec Jean Yanne : Les Émancipations d’Alphonse, Les Revendications d’Albert, Les Pérégrinations d’Anselme, et les Préoccupations d’Antime (1966).

    Jacques Martin se produit aussi comme chanteur, assurant notamment la première partie de Jacques Brel à l’Olympia, montant un spectacle associant chansons et parodies à Bobino et participant à l’émission Le Palmarès des chansons. Il compose des chansons, écrit une comédie musicale, Petitpatapon, en 1968, qui se solde par un échec, avant de s’essayer à la réalisation de films avec Na ! en 1973. Il fait aussi l’acteur dans Erotissimo (Gérard Pirès, 1968), Sex-shop (film) (Claude Berri, 1972), Le Rescapé de Tikéroa (Jean L’Hôte, 1983) et La Passante du Sans-Souci (1982). En 1978, il enregistre avec Jane Rhodes et Rémy Corazza une version de l’opérette La Belle Hélène sous la direction d’Alain Lombard dans laquelle il incarne le roi Ménélas, époux d’Hélène.

    Repéré par Jacques Chancel en 1964, il rejoint l’ORTF et crée avec Jean Yanne l’émission 1 = 3 qui connaîtra un grand succès populaire. Ils y interprètent notamment des parodies de grands événements historiques. Leur sketch représentant Napoléon et ses maréchaux sous forme de cyclistes du Tour de France lui vaudra d’ailleurs un procès, des menaces de licenciement et surtout la fin prématurée de l’émission.

    Jacques Martin (animateur)

    Naissance 22 juin 1933 4e arrondissement de Lyon (France)
    Sépulture Nouveau cimetière de la Guillotière
    Nom de naissance
    Jacques Claude Martin
    Nationalité française
    Activités Acteur, animateur de télévision, animateur de radio, réalisateur

    Quelle est la plus vieille émission française ?

    La Team du Matin entre 6h et 10h sur Toulouse FM vous en a parlé, savez-vous quelle est la plus vieille émission TV de France ?

    Il s’agit du « Jour du Seigneur ». Diffusé sur le service public, l’émission retransmet la messe du dimanche depuis 75 ans ! Le « Jour du Seigneur » est passé pour la première fois le 24 décembre 1948. A cette époque, la France était le premier pays au monde à diffuser une messe en direct à la télévision depuis Notre Dame de Paris. Un investissement très important pour très peu de téléspectateurs car à l’époque, il n’y avait que 3 500 postes de télévision dans le pays.

    Retrouvez Léo, Elsa & Arthur du lundi au vendredi entre 06h et 10h sur Toulouse FM et en podcast ICI

    Qui animait l’émission Ça se discute ?

    D’abord animateur de l’émission de la mi-journée, Demain, Jean-Luc Delarue poursuit son ascension en devenant producteur-animateur de La grande famille sur Canal+. Cet extrait a été diffusé en 1994, sur la thématique des pères célibataires. La suite après cette publicité

    La première de

    « Ca se discute »

    , en 1994

    Jean-Luc Delarue présente, avec emphase, le principe de l’émission Ça se discute pour sa première diffusion, en 1994. Le premier numéro d’une longue série, qui s’achèvera en 2009. L’oreillette bien visible de l’animateur devient l’emblème de l’émission.

    La suite après cette publicité

    Les succès de production :

    « C’est mon choix »

    Avec le succès de Ça se discute, Jean-Luc Delarue monte sa société de production, « Réservoir prod ». L’animateur s’enrichit en produisant des émissions où des anonymes viennent raconter leurs vie, parmi lesquelles C’est mon choix, émission-phare de France 3 présentée par Évelyne Thomas.

    Les dérapages

    A l’antenne, l’image lisse de « gendre idéal » de Jean-Luc Delarue s’est peu à peu ternie. La vedette enchaine les dérapages, parfois sous l’emprise de la drogue.

    Quelle est l’émission la plus aimé des Français ?

    C’est un podium étonnant. Lorsque TF1 a annoncé qu’elle allait révéler les 50 émissions préférées des Français, on se serait attendu à ce qu’une grande marque comme Koh-Lanta, Le Plus grand cabaret du monde ou Top Chef triomphe. Eh bien non, dans le palmarès dévoilé vendredi soir, ces programmes se classent respectivement 8e, 12e et 16e.

    C’est Capital qui trône finalement en numéro 1. Un plébiscite confirmant à quel point le magazine de M6 consacré à l’économie et à la consommation, lancé en 1988 par Emmanuel Chain, est ancré dans le paysage audiovisuel et dans les habitudes du public. Le pouvoir d’achat étant la première préoccupation des Français, il est somme toute logique que ce rendez-vous attaché à la vulgarisation économique se classe en tête.

    « Thalassa » et « Recherche appartement… » dans le Top 5

    Rendez-vous en terre inconnue (France 2) et Les Guignols de l’info (diffusés jusqu’en 2018 sur Canal +) complètent le Top 3. Thalassa (France 3) et Recherche appartement ou maison (M6) se hissent quant à elles dans le Top 5.

    Lorsque l’on regarde de plus près les résultats de ce sondage effectué par Harris Interactive auprès de 1.500 personnes de 15 ans et plus représentatives de la population, on note la très forte appétence pour les émissions promettant l’évasion, le dépaysement et la découverte.

    Quelle est l’émission numéro 1 préférée des Français ?

    « Capital », « Koh-Lanta »… Découvrez les émissions préférées des Français

    Lors d’une soirée événement, TF1 a révélé les résultats d’un sondage Harris Interactive pour connaître les programmes cultes. Et il y a quelques surprises…

    Par LePoint.fr Thomas Sotto a présenté l’émission « Capital » sur M6 de 2011 à 2014. © olivier corsan / MAXPPP / PHOTOPQR/LE PARISIEN Publié le 03/09/2022 à 12h15

    Le résultat a quelque peu… désarçonné les internautes. Mais il est ce qu’il est. TF1 a dévoilé, vendredi 2 septembre, dans un programme diffusé en prime time, le classement des émissions préférées des Français, selon un sondage établi par Harris Interactive auprès de 1 500 personnes représentatives de la population. C’est Capital (M6) qui récolte les honneurs devant Rendez-vous en terre inconnue (France 2) et Les Guignols de l’info (Canal+ ).

    Sur les réseaux sociaux, les internautes, interloqués, n’ont pas compris comment Koh-Lanta pouvait ne se retrouver qu’à la 8e place de ce classement, juste derrière The Voice. Certains ont notamment reproché à TF1 de n’avoir choisi que des personnes âgées pour ce sondage.

    Pékin Express se retrouve… 28e

    Outre le top 3, c’est l’ensemble du classement, dans lequel on retrouve les 50 émissions préférées des Français, qui suscite la polémique. Des émissions en apparence très populaires, et historiques, sont très mal classées. Les 12 Coups de midi (TF1), par exemple, ne figurent qu’à la 18e place.

    Quelle est l’émission qui a duré le plus longtemps ?

    L’émission a vu passer sur son plateau des grands noms du milieu pour l’animer : Michel Denisot, Roger Zabel, Jean-Michel Larqué, ou encore Thierry Roland. Et c’est parti pour durer ! Tant que les français aimeront le foot, ils aimeront également Téléfoot.6. Le Cinéma de Minuit (depuis 1976)

    Quoi, vous ne connaissez pas le Cinéma de Minuit ? Bon, on ne va pas vous en vouloir, ce n’est ni l’émission la plus populaire, ni la plus accessible. Mais elle reste une institution. Depuis 1976, chaque dimanche soir en dernière partie de soirée, elle s’intéresse au cinéma “classique” avec un seul présentateur aux commandes depuis le départ : Patrick Brion. À l’origine diffusée sur France 2, elle été transférée sur France 5 en décembre 2018.

    5. Stade 2 (depuis décembre 1975)

    Décidément, le sport fait durer les programmes à la télévision française. En 1975, Antenne 2 lance Stade 2, une émission consacrée à l’actualité sportive. “Quelle idée”, nous direz-vous, “les français veulent faire du sport, pas s’intéresser à son actualité”. Eh bien détrompez-vous. Car l’émission est un succès depuis et elle connaît de gros pics d’audience lors des grands événements sportifs comme Roland Garros ou les Jeux Olympiques. Comme quoi, il n’y a pas que le football qui intéresse les français.

    4. Thalassa (depuis septembre 1975)

    Parfois, cela paraît complètement absurde.

     

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