Mère de deux filles, séparée de Sébastien Moura, elle s’est mariée à Saint Raphaël en 2015 avec le compositeur Stéphane Kronborg.
Quel est le vrai nom de Cali ?
Cali, de son vrai nom Bruno Caliciuri, est né le 28 juin 1968 à Perpignan. Jeune, il se passionne pour le rugby, la politique – Cali fut deux fois candidat aux élections dans son village – et le rock.
Il se fait connaître grâce à la diffusion régulière du titre « Tout va bien » sur France Inter et signe un premier album L’amour parfait en septembre 2003. Rapidement, les titres « C’est quand le bonheur » , « Pensons à l’avenir » et « Elle m’a dit » deviennent des tubes et permettent au chanteur de remporter le Prix Constantin le 9 novembre 2004. Cali entreprend une tournée où il alterne les petites scènes et festivals comme le Printemps de Bourges.
En octobre 2005, paraît Menteur . Enregistré en Irlande, Cali associe à son groupe des musiciens comme Damien Lefèvre (bassiste de Luke), Matthieu Chédid, Daniel Darc et Steve Wickham (violoniste des Waterboys). Au printemps 2007, l’issue de l’élection présidentielle lui inspire la chanson « Résistance « , qui elle-même amène un nouvel album, plus politique. L’espoir est jugé trop engagé pour certains ou trop éloigné de ses opus précédents pour d’autres.
Quel est le salaire d’une personne qui présente la météo ?
Récolter des informations
Les météorologistes sont chargés de récolter des informations, d’étudier et d’analyser les anticyclones, les vents, les pressions, l’humidité de l’air… Pour cela, ils effectuent des relevés (températures, pluviométrie…) à la surface de la Terre et dans l’atmosphère avec un matériel et des systèmes sophistiqués (satellites, stations automatiques, radio-sondes…). Ils étudient les changements qui se produisent (direction des vents, nuages, dépressions…).
Analyser des données
Les ingénieurs météorologistes analysent les phénomènes perçus et réalisent une synthèse permettant d’établir des prévisions à court ou moyen terme. Ces informations sont communiquées aux professionnels (de l’aviation, de la sécurité civile ou de l’agriculture, par exemple) et au grand public. En centre de calcul, les ingénieurs interprètent les informations transmises au niveau local et national. Ils peuvent également s’appuyer sur des connaissances en hydrologie, en océanographie ou en climatologie.
Assurer la sécurité
Une veille météorologique permet d’anticiper certains risques climatiques, comme les inondations, les avalanches, les incendies de forêts ou les pics de pollution. Grâce à leur expertise, les météorologistes assurent la sécurité des personnes, en prévenant du danger suffisamment tôt.
Qui tient le cartel de Cali ?
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Le cartel de Cali est une organisation mafieuse colombienne de narcotrafiquants basée autour de la ville de Cali. Il a été créé par les frères Rodriguez Orejuela : Miguel et Gilberto, et José Santacruz Londoño alias « Chepe » pendant les années 1970.
Ceux-ci ont leur indépendance de Pablo Escobar et du cartel de Medellin pendant les années 1980 quand Hélmer Herrera alias, « Pacho », les rejoint en tant qu’associé.
Le cartel de Cali a été surnommé « l’organisation criminelle la plus puissante de l’histoire devançant le cartel de Medellin » par la DEA, avec de nombreux mercenaires, espions et liens avec le gouvernement. La ville entière de Cali était alors couverte par un vaste réseau de surveillance que le cartel avait mis en place, et la police locale lui était inféodée. À la différence d’autres cartels, celui de Cali était composé de plusieurs hommes d’affaires légitimes et de maints entrepreneurs[2].
Selon certaines estimations, le Cartel de Cali, dans sa période florissante, a contrôlé jusqu’à 90 % des exportations de cocaïne de Colombie vers les États-Unis et 80 % vers l’Europe[3]. Au milieu des années 1990, il brassait 7 milliards de dollars chaque année. Il disposait également d’une grande influence dans les milieux politiques en y injectant d’importantes quantités d’argent, principalement données au Parti libéral, mais aussi dans une moindre mesure au Parti conservateur[4].
Le Cartel de Cali a participé à des opérations de « nettoyage social », tuant des centaines d’« indésirables ». Ces derniers comprenaient les prostituées, les enfants des rues, les petits voleurs, les homosexuels et les sans-abri. Le Cartel a formé des escadrons de la mort, dénommés « grupos de limpieza social », qui assassinèrent des centaines d’entre eux.
Où vit Cali ?
Rien d’autre ne lui importe que cette belle neige, blanche, immaculée, pas encore piétinée. C’est, pour moi, le symbole de la pureté.
Votre 5e album, paru en 2012, s’intitule Vernet-les-Bains. Pour quelles raisons ?
Cali : J’ai appelé cet album Vernet-les-Bains parce que c’est là que j’ai grandi et que j’ai vécu jusqu’à l’âge de 25 ans. C’était l’album des premières fois et toutes mes premières fois, je les ai connues à Vernet, dans les Pyrénées-Orientales. Quand j’arrive et que je passe le panneau d’entrée du village, j’ai une odeur d’enfance qui me remonte dans le nez. Ça me fait un bien fou de revoir mes amis.
Vous habitez toujours dans les Pyrénées-Orientales ?
Cali : Toujours. J’ai passé pas mal de temps à Paris, à New York, mais mon cœur restait ici. Aujourd’hui, j’habite non loin de Perpignan dans un coin où il y a très peu d’habitants. Ma fille va à l’école du village. Je l’accompagne à pied. En sortant de la maison, il y a tellement de balades à faire en montagne, et la mer est à côté. J’aime cette région, avec son identité forte. Et puis, c’est une terre qui respire le rugby…
Justement, le rugby a beaucoup compté dans votre vie…
Cali : J’ai débuté à 6 ans à Vernet. Il n’y avait que ça comme sport, je n’avais pas vraiment le choix.
Qui est le père de Cali ?
Cali en 2008 au Festival de Bobital.
Bruno Caliciuri, dit Cali, est un auteur-compositeur-interprète français né le 28 juin 1968 à Perpignan (Pyrénées-Orientales). À mi-chemin entre chanson française et rock, il revendique une position d’artiste engagé et concerné par les problèmes de la société et du monde.
Le grand-père paternel de Bruno, Giuseppe Caliciuri, est un Italien de Calabre, enrôlé dans les Brigades internationales pour combattre Franco. Il rencontre et épouse une infirmière catalane, María Pilar Gonzalès[1]. Leur fils Vincent, le père de Cali, vient au monde à Barcelone. La famille se réfugie en France après la défaite des républicains puis est enfermée dans les camps destinés aux exilés espagnols.
Son grand-père maternel, Henri Fruitet, est originaire de Vernet-les-Bains (Pyrénées-Orientales), maçon, boxeur, communiste et catalan. Il épouse une Italienne, Stella Genovese, issue d’une famille de mélomanes[2].
En 1967, ses parents, Vincent et Mireille, s’installent à Vernet-les-Bains. Bruno nait le 28 juin 1968 à Perpignan[3]. Ses parents ont en tout cinq enfants. En 1974, sa mère, directrice de l’école du village, meurt d’un cancer à 33 ans ; Cali a six ans (il relate cet événement dans le livre Seuls les enfants savent aimer en 2018). Sa sœur aînée, Sandra, n’a que douze ans et soutient sa famille dans cette épreuve[4] Son père meurt en 1992.
Sa première grande passion est le rugby à XV qu’il pratique dans son club de Vernet-les-Bains, puis à Prades (JOP XV) et à Perpignan (USAP)[5]. Cali est deux fois candidat aux élections dans son village, sans succès[5].
Seconde grande passion : la musique. Cali cite U2 (il rencontre brièvement Bono à Toulouse en 1984 à la sortie d‘un concert[6],[3]), les Simple Minds, Clash, The Silencers, les Bee Gees et surtout les Waterboys dans ses références. Il tutoie également la chanson française (Léo Ferré, Jacques Brel, Georges Brassens, Serge Gainsbourg, Michel Polnareff, Michel Jonasz, Michel Sardou, Jul…) mais aussi la musique métal qu’il cite en interview en 2001 : Slayer, Pantera et Morbid Angel, qui lui permettent d’« évacuer sa rage ».
Il dit cependant : « Quand j’ai écouté pour la première fois The Pan Within sur l’album This Is The Sea (des Waterboys), j’ai tout de suite su que c’était celle que j’amènerais sur une île déserte »[7].
Bruno Caliciuri crée son premier groupe, Pénétration anale, au lycée[7]. Les textes, pour le moins provocants, valent au chanteur quelques démêlés avec l’administration de l’établissement, puisqu’il en est exclu[8].
Il réussit tout de même son baccalauréat scientifique D avec mention assez bien et une note moyenne de 12,35 et poursuit ses études quelques mois en IUT. En 1986, il devient champion de France de pétanque en triplette, un de ses sports préférés qu’il pratique encore en amateur même si le physique n’est plus là.