Aujourd’hui, elles sont à la fois mannequins, influenceuses et créatrices de mode.
Est-ce que Denise Fabre est Grand-mère ?
Elle est par ailleurs restée proche du couple formé par l’élu et la chroniqueuse de Télématin, se montrant à leurs côtés dans différents événements de la vie niçoise. © Bruno Bebert / BestimageChristian Estrosi, maire de Nice, son épouse Laura Tenoudji et Denise Fabre au traditionnel Lou Festin Nissart à Nice.
>> PHOTOS – Christian Estrosi et Laura Tenoudji : retour en images sur leur histoire d’amour
Denise Fabre, saluée par l’équipe de Christian Estrosi
Toutefois, la parenthèse politique de Denise Fabre s’est refermée en février 2020. La septuagénaire avait quitté ses fonctions afin de se consacrer à sa famille, dont ses petits-enfants. Une décision qu’avait commenté Anthony Borré, directeur de campagne de Christian Estrosi dans Nice-Matin, saluant la « formidable ambassadrice » qu’aura été Denise Fabre pour Nice et son maire. « C’était son souhait. Denise a une vie de grand-mère épanouie bien remplie », avait-il ajouté dans les pages du journal local. C’est certainement entourée de sa famille que l’animatrice aura soufflé ses 80 bougies ce 5 septembre.
Article écrit en collaboration avec 6Medias.
Crédits photos : Bruno Bebert / Bestimage
Quel âge ont Ava et Leah ?
Que deviennent Leah Rose et Ava Marie, « les jumelles les plus belles du monde », âgées aujourd’hui de 13 ans ?
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Vous avez déjà sans doute vu cette photo qui a circulé sur la Toile dans les années 2010. Un cliché magnifique où apparaissaient deux visages de petites filles identiques, deux têtes verts aux yeux bleus. Surnommée « les plus belles jumelles du monde », à l’époque, que sont-elles devenues ?
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C’est à l’âge de 7 ans qu’Ava et Leah se sont fait connaître. En effet, leur première photo sur Instagram a rapidement fait le tour d’Internet, générant un véritable buzz. La raison ? Leur beauté hors norme. Ces deux petites filles aux cheveux blonds, aux yeux verts et au visage angélique ont été considérées comme les plus belles jumelles du monde.
Ava et Leah sont « les plus belles jumelles du monde »
Dès leur naissance, les compliments fusaient déjà concernant la beauté des deux nourrissons, se sont souvenus leurs parents au micro de The Sun. Au bout de quelques mois, Jaqi, la mère de Leah et Ava a reçu de nombreuses demandes pour faire de ses bébés, des modèles photos.
Quel est le plus gros grossissement de jumelles ?
Le grossissement représente un facteur d’agrandissement. C’est le premier chiffre qui indique la valeur de rapprochement d’une paire de jumelles. Une paire de jumelles de 7 x 50 va grossir 7 fois tandis qu’une autre de 8 x 25 grossit 8 fois. Un objet situé à 700m de vous semblera 7 fois plus près qu’à l’œil nu. Aujourd’hui, on se pose la question de savoir quel est le plus gros grossissement de jumelles. Sur le marché, il existe des paires de jumelles avec un zoom pouvant aller jusqu’à 125x.
Les différents types de jumelles
Le choix d’une paire de jumelles demande d’être précis sur le type d’objectif à observer, car il en existe de plusieurs types :
- Les jumelles de poche ;
- Les jumelles stabilisées ;
- Les jumelles pour l’astronomie ;
- Les jumelles compactes ;
- Les jumelles de nuit (vision de nuit) ;
- Les jumelles lumineuses ;
- Les jumelles de théâtre ;
- Les jumelles de sport.
Quel est le grossissement maximum d’une paire de jumelles ?
Le grossissement des jumelles varie de 4x à 20x avec une extension sur un grossissement de 40x pour des jumelles astronomiques. La stabilité des jumelles dépend fortement du facteur grossissement, qui est lui-même défini dans les intervalles suivants :
- De 4x à 6x, c’est un grossissement faible ;
- De 7x à 10x, c’est un grossissement moyen ;
- Au-delà de 10x, il s’agit d’un grossissement élevé.
Quelle est la puissance des jumelles ?
C’est comme s’il était à 100 mètres de vous.Des jumelles de 20x vous rapprocheront ce même sujet à l’équivalent de 40 mètres !
Certains diront que plus ça grossit et mieux c’est vu qu’il s’agit du but d’une paire de jumelles. Mais le choix du grossissement doit se faire en fonction du type d’observation. Il faut aussi se rendre compte que plus les jumelles grossissent, plus le champ de vision est restreint et plus il peut être difficile d’observer à main levée sans tremblements. Dans la majorité des cas une puissance de 7x à 12x est suffisante mais il existe des modèles allant jusqu’à 30x !
Vous trouverez parfois des jumelles qui ont deux valeurs avant le « x » comme par exemple des 7-21×40. Cela signifie que leur puissance n’est pas fixe. En effet, un zoom fait varier le grossissement de 7x à 21x, vous permettant de l’adapter en fonction du sujet observé. La qualité de l’observation est liée au couple grossissement/diamètre des objectifs. Voyons de suite l’importance de la seconde valeur.
Qu’est-ce que le diamètre de l’objectif sur l’optique d’une jumelle ?
Il s’agit de l’ouverture frontale des optiques des jumelles exprimée en millimètres. Dans nos exemple, la 8×25 aura une lentille de 25 mm de diamètre, la 20×50 50 mm.
Qui a été la première speakerine ?
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Speakerine
» :
Speakerine (speaker au masculin et plus rarement speakerin) construit sur le verbe anglais to speak (parler) désigne une personne dont la tâche est de présenter les programmes de télévision aux téléspectateurs par sa présence directe à l’image. Les speakerines ont été des figures emblématiques des débuts de la télé mais sont désormais presque systématiquement remplacées par des voix hors champ.
En France, elles ont disparu définitivement en 1992 sur TF1 (12 janvier 1992) et en 1993 sur France 2[1] et France 3[2], tandis que de nouvelles chaînes télévisées apparaissent directement sans speakerines, sinon avec leurs simples « voix off ».
En Belgique les speakerines ont également disparu de l’antenne à l’exception de RTL-TVI qui en compte encore deux constituant ainsi la dernière utilisation de speakerines dans les pays d’Europe.
En Suisse sur la chaîne nationale francophone RTS les speakerines ont été maintenues jusqu’en septembre 2012 avec comme dernières représentantes Fatima Montandon, Patricia Mollet-Mercier, Kim Grootscholten, Nev’eda Tegin et Christophe Nançoz.
Dans les pays anglo-saxons plusieurs des principales chaînes britanniques par exemple continuent d’employer des speakerines qu’il s’agisse d’hommes ou de femmes. Mais elles n’y sont pas appelées speaker(ine)s sinon continuity announcers. Elles peuvent être juste audibles sans être visibles à l’écran et sont généralement diffusées pendant les « bumpers » ou éventuellement dès les génériques de fins de programmes.
Les historiens de la télévision considèrent que les premières speakerines apparaissent dans les années 1930 lors d’expériences et de démonstrations de la télévision française. La secrétaire du président de la Compagnie des compteurs Suzanne Bridoux fait des essais devant une caméra le 14 avril 1931 dans le grand amphithéâtre de l’École supérieure d’électricité à Malakoff. La compagne du ministre des PTT Georges Mandel Béatrice Bretty (Béatrix Anne-Marie Bolchesi) raconte « à l’antenne » le 26 avril 1935 une tournée de la Comédie-Française à laquelle elle a participé en Italie comme membre dudit « Français »[3]. Suzy Wincker (Suzanne Pauline van Kerckhoven) lance la première émission de télévision en « haute définition » (à 180 lignes) présentée depuis le ministère des Postes et Télégraphes rue de Grenelle à Paris le 18 novembre 1935 et diffusée dans un rayon de 100 kilomètres depuis la tour Eiffel qui sert d’antenne émettrice avec une puissance de 10 kW[4].
Qui est Sainte Denise ?
Vierge, martyre avec ses compagnons les saints Pierre, André et Paul à Lampsaque dans l’Hellespont (peut-être en 251 d’après le martyrologe romain). Au proconsul qui l’invitait à sacrifier à la déesse Vénus, Pierre répliqua : « Il est plus nécessaire et plus glorieux pour moi d’offrir le sacrifice de l’adoration au Dieu vivant et véritable. » Denise apprenant que l’un des accusés, Nicomaque, venait d’apostasier, s’écria : « Il s’est perdu à jamais dans l’autre monde. » Les gardes s’aperçurent ainsi que cette jeune fille de 16 ans était chrétienne. Elle fut arrêtée, torturée puis décapitée.
Qui a été la dernière speakerine ?
Jacqueline Caurat, la dernière des pionnières de la télé Elles ont eu une notoriété difficile à imaginer aujourd’hui. Jacqueline Caurat, qui était la dernière des speakerines historiques, vient de disparaître. Une voix reconnaissable entre mille, un visage souriant : Jacqueline Caurat (1927 – 2021).
Quel est l’âge de Jacqueline Huet ?
Jacqueline Huet, née le 20 octobre 1929 à Paris et morte le 8 octobre 1986 dans la même ville, est une actrice, chanteuse et présentatrice de télévision française.
Engagée à la RTF en 1956, elle fut notamment l’une des speakerines les plus populaires de la télévision française dans les années 1960 et 1970, jusqu’en 1975.
Jacqueline Huet est la fille de Jacques Huet (né le 4 mars 1902 à Paris, mort le 9 septembre 1985 à Tours) et de Jeanne Floch (née le 24 décembre 1907 à Brest, morte le 19 février 1984 à Nice).
Fille unique choyée par sa mère, Jacqueline Huet n’a pas été élevée par son père, directeur commercial d’une maison d’appareils ménagers[réf. souhaitée].
Élève au Conservatoire de Paris, elle monte sur les planches à partir de 1945, et tourne dans de nombreux films jusqu’à la fin des années 1950. Également mannequin grâce à sa beauté, elle fait la couverture de nombreux magazines de presse féminine (Paris-Match, Jours de France, Elle) ou de télévision, jusque dans les années 1970. Elle fait même la « une » du magazine Life aux États-Unis. La marque de crème de beauté Pond’s (en) en fait son égérie jusqu’à New-York[réf. souhaitée].
En 1956, Jacqueline Huet est engagée à la RTF pour animer Pique, pique et colégram, la première émission pour la jeunesse, diffusée tous les jeudis.
En 1958, alors qu’elle se rend à son émission dans le bâtiment de la télévision au 16, rue Cognacq-Jay, elle apprend qu’un concours a lieu pour devenir speakerine et se présente à la dernière seconde ; elle gagne devant Anne-Marie Peysson et devient speakerine de la première chaîne de la télévision française jusqu’en 1975, devenant une des « célébrités » de la télévision française à cette période.
Qu’est-ce qu’elle est devenue Fabienne égal ?
Après l’arrêt brutal du show originel au début des années 90, Fabienne Égal, elle, s’est lancée dans de toutes nouvelles aventures télévisuelles.
Une reconversion des plus réussies
Après avoir rejoint RTL9 pour assurer l’animation de Double Mixte et Doublé gagnant avec Thierry Guillaume, l’animatrice a présenté Jeux sans frontières avec Nelson Monfort en 1998. Au grand dam du public, Fabienne Égal a fini par se retirer définitivement du feu des projecteurs deux ans plus tard. Comme l’ont souligné nos confrères de Gala, la principale concernée s’est reconvertie dans le média training. Elle est à ce jour coach en communication dans le milieu de l’audiovisuel. L’année passée sur son site, comme l’a remarqué Voici, l’ancienne présentatrice mettait d’ailleurs en avant ses différents ateliers.
De multiples projets à l’international
Comme des exercices axés sur la « prise de parole devant une caméra« , qui à ses yeux « demande de l’enthousiasme et surtout des techniques, que chacun peut apprendre à maîtriser« . « Aujourd’hui, coach et enseignante, Fabienne Égal accompagne les dirigeants, acteurs ou hommes politiques dans l’amélioration de leurs prestations publiques et télévisuelles« , est t-il indiqué pour mettre en avant son joli CV.
Quel est le salaire de Denise au bonheur des dames ?
Denise, quoique frêle et émotive, survit physiquement et moralement au déracinement, à la misère et aux maltraitances (alors que d’autres jeunes filles ont abandonné ou se sont soumises et ont été déshonorées) : elle est (socialement et) génétiquement résistante (sa longue chevelure symbolise sa résistance et sa pureté ininterrompues depuis sa naissance), développe des capacités d’adaptation (jusqu’à défendre le grand magasin) et attire l’attention du mâle dominant avec lequel elle peut éventuellement procréer, leur croisement étant susceptible d’améliorer le patrimoine génétique de l’espèce (le mot phylogénèse est daté de 1874…). C’est le principe de la sélection naturelle appliqué à l’environnement socio-professionnel (ce que Zola fait dans l’ensemble de ses textes). 6. Le 12 février : chapitres VII et VIII.
- Chapitre 7 : juillet 1865, après le renvoi, la misère…
- Trouver un logement, vie sans travail (p. 234-241) : toucher le fond… avant de rebondir, comme on dit maintenant.
- Employée par Bourras, 40 sous par jour (p. 241-246) : les deux employeurs de Denise sont des emplois par solidarité, pour ne pas dire par pitié, une entraide entre pauvres qui montre le cœur, la gentillesse que les gens modestes, même en difficulté, peuvent avoir entre eux. Ces qualités, que le grand magasin et le milieu des affaires n’ont pas, sont montrées objectivement par Zola, qui ne fait pas lui-même de discours politique ; Denise s’en sortira parce qu’elle a des qualités d’adaptation et de compréhension de ce qui se produit autour d’elle, aussi parce qu’elle est libre et disponible (elle n’a pas déjà un magasin à s’occuper) ; les autres semblent tous incapables de comprendre, de s’adapter, au contraire ils s’enferment dans leurs conceptions obsolètes (parce qu’ils ne parviennent pas à penser qu’elles sont obsolètes) ;
- Employée chez Robineau, janvier 1866, à 60 francs par mois, Denise défend le (principe du) grand magasin (p. 246-257) : c’est le grand changement du livre, le pivot psychologique et narratif du roman ; les arguments de Denise sont simples, de l’ordre de l’évidence pour elle, mais elle ne cherche pas à les imposer, elle reste modeste et s’affirme ;
- Avril 1866, printemps, début des opérations immobilières (p. 257-260) : voir les prolepses au chapitres II et III, avec le baron Hartmann.
- Juillet 1866 – un an après le renvoi, rencontre Denise et Mouret, proposition de réhabilitation, message pour Bourras (p. 260-264) : l’ombre du jardin des Tuileries est, dans la visibilité et l’exposition urbaines, un lieu magique, un moment où les deux personnages peuvent s’exprimer en sentant moins fortement ce qui les sépare ; Mouret découvre une femme, sa personnalité, ses idées, dont la chevelure devient un atout ; Denise reçoit de la considération, des excuses, une promesse de réhabilitation et devient digne de la confiance de Mouret.
- Opérations et propositions immobilières (p. 264-266).
- Chapitre 8 : Opérations immobilières…
- Début des travaux, réconciliation avec Baudu (p. 267-273) : le chapitre est assez familial ; zola veut montrer que le déclin du petit commerce n’est pas seulement un problème commercial, qu’il entraîne la catastrophe dans les vies de chacune des personnes concernée : le manque d’argent, les projets téméraires mais voués à l’échec, la perte de l’estime de soi, la trahison des promesses, etc.
- Colomban, entre Geneviève et Clara, l’embarras de Denise (p. 273-278) : un cas particulier du déclin…
- Quartier en travaux, tous les jours et même la nuit, septembre 1866, déclin des petits commerces (p. 278-281)
- Vente de la maison de Rambouillet, mariage repoussé (p. 281-288) : le mensonge, l’hypocrisie, la tentation s’immiscent dans les relations (qui étaient) stables et les détruisent…
- Denise quitte Robineau pour retourner bientôt au Bonheur des dames, avec 1000 francs par mois, Bourras résiste, Mouret avec Clara !
Pourquoi Denise devient le Souffre-douleur du magasin ?
Finie la sensualité, c’est plutôt à une machine que le système fait penser : « Tous n’étaient plus que des rouages, abdiquant leur personnalité, additionnant simplement leurs forces ». Il faut vendre, à tout prix (au sens propre comme au figuré !), « jeter les clientes à la caisse », cumuler toujours plus de bénéfices. Ce n’est plus un magasin, c’est « un monstre », qui dévore les acheteuses, ruine ses concurrents, épuise les employés dans de misérables guerres intestines. Car les vendeurs(euses) touchent un pourcentage sur leurs ventes qui est déterminant dans leur salaire, et doivent « déloger le camarade au-dessus de soi pour monter d’un échelon », la compétition est donc rude entre eux ! Et notre Denise, si « simple et douce », si sensible et réservée, fait office de pucelle dans un tel milieu… Avec son allure de « mal peignée » débarquée tout droit de province, avec son honnêteté un brin naïve mais ô combien admirable, la jeune femme est bien malmenée, subissant mesquineries et commérages. Pour autant elle symbolise la droiture et l’intégrité dans un monde régi par le pouvoir et la puissance : « l’estime de soi avant tout ».
Quel âge a Octave Mouret dans au Bonheur des Dames ?
Mouret s’est jeté dans la spéculation avec un tel faste, un besoin tel du colossal que tout semble devoir craquer sous lui ; au milieu de l’effarement général, il a développé dangereusement ses magasins, avant de pouvoir compter sur une augmentation suffisante de clientèle ; chaque mise en vente est un coup de carte, où il met tout l’argent de la caisse ; il emplit les comptoirs d’un entassement de marchandises, sans garder un sou de réserve ; toujours il s’agit de vaincre ou de mourir. Et dans cette lutte qui fait frémir les timorés comme Bourdoncle, Mouret garde une gaieté triomphante, une certitude des millions, en homme adoré des femmes et qui ne peut être trahi. Quand il a des accès de brusque franchise, il se déclare au fond plus juif que tous les juifs ; il tient de son père, un gaillard qui connaissait le prix des sous et auquel il ressemble physiquement et moralement ; et sa fantaisie nerveuse lui vient de sa mère, il y voit le plus clair de la chance qui le pousse, la force invincible de sa grâce à tout oser.
Sa conception du nouveau commerce des nouveautés est basée sur le renouvellement continu et rapide du capital, sur la puissance décuplée de l’entassement, le prestige de la marque en chiffres connus, qui rassure les gens et étale la concurrence sous les yeux mêmes du publie, l’annonce retentissante de ventes à perte, qui fouette l’âpreté de la cliente et double sa jouissance d’acheteuse, car elle croit voler le marchand.
Pourquoi Denise est renvoyée ?
Elle se transforme, et Mouret se montre bienveillant envers elle.
La vie est difficile : le travail pénible est physiquement difficile, et Denise a du mal à subvenir aux besoins financiers de ses frères, surtout de Jean, amateur de femmes.
Son amie, Pauline, lui conseille de prendre un amant, mais Denise s’y refuse. Deloche avoue son amour pour elle, mais elle le repousse, ne voulant être que son amie.
20 juillet 1865. Pendant cette saison d’été, il y a beaucoup de licenciements. Les méchantes collègues de Denise prétendent qu’elle a un amant et un enfant (il s’agit en fait de ses deux frères). Grâce à l’aide de son collègue Robineau, Denise passe ses nuits à coudre des cravates. Ils se font finalement renvoyer tous les deux.
Ce chapitre couvre la période de juillet 1865 à juillet 1866.
Denise est fâchée avec son oncle depuis qu’elle a accepté de travailler au Bonheur des Dames. Après son renvoi, elle se retrouve à la rue. Ne pouvant plus payer la pension de Pépé, elle loue une chambre dans la vieille maison de Bourras qui l’emploie en tant que vendeuse, même si son commerce ne fonctionne pas très bien.
En janvier 1866, Robineau, qui vient d’acheter un magasin de quartier, engage Denise. Il s’engage dans une lutte contre le grand magasin et se ruine.
Quel est l’âge de Danielle Gilbert ?
Pauline Cugnot
Cette gentille vendeuse du rayon des lingeries – rayon ennemi de celui des confections – est la seule amie de Denise lors de son premier séjour au Bonheur des Dames. C’est une jeune femme simple d’origine rurale dont les seules ambitions sont de mener une vie tranquille et d’épouser son fiancé Baugé, lui aussi vendeur. Denise lui prouve sa reconnaissance en empêchant son licenciement quand elle se retrouve enceinte et menacée de renvoi.
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Quel âge a Patrick Scemama ?
Partir à 75 ans, c’est très jeune… J’ai beaucoup appris de lui, c’était un être exceptionnel. »
Après la mort de Patrick Scemama, Danièle Gilbert avait rendu hommage à son époux. « C’était quelqu’un d’exceptionnel. C’est très dur. Je m’accroche, j’essaie de continuer à vivre », avait-elle déclaré, bouleversée par ce terrible événement. Les funérailles de Patrick Scemama ont eu lieu le 2 novembre dernier dans un cimetière parisien. Comme elle l’avait confié dans les colonnes d’Ici Paris en 2017, Danièle Gilbert était amoureuse de son compagnon, « comme au premier jour ».
Quel est l’âge de Sophie Davant ?
Sophie Davant, née le 19 mai 1963 à Bordeaux, est une journaliste et animatrice de radio et de télévision française.
Sophie Davant, de son nom complet Sophie Marie-Lise Davant, grandit à Cestas, dans la région des Landes de Bordeaux, en Gironde.
Elle est issue d’une famille de scientifiques. Son père, Pierre Davant, ornithologue[1], professeur de biologie et chercheur à l’institut de biologie marine d’Arcachon, est l’un des fondateurs de la SEPANSO (Société pour l’étude, la protection et l’aménagement de la nature dans le Sud-Ouest) et de la réserve nationale du Banc d’Arguin sur le bassin d’Arcachon[2].
Sa mère est également universitaire. Elle est cadre au CNRS, faisant de la recherche dans le domaine de la biologie cellulaire[3]. Elle militait, par ailleurs, pour la parité et l’avortement. Elle meurt en 1983 à 44 ans d’un cancer[4].
Ses grands-parents tiennent le café de la Gare de Gazinet et dirigent l’école du village[5].
Ses deux grands-pères ont marqué la vie sportive de la jeunesse cestadaise, l’un en offrant une piste d’entraînement aux adeptes du rink hockey, l’autre en lançant le mini-basket à l’école de Gazinet dans les années 1960.
Après son baccalauréat (série C), elle obtient une maîtrise de langues étrangères appliquées (LEA) anglais-allemand à l’Université Bordeaux-III[6].
Elle souhaite à ce moment travailler dans le milieu du vin.
En 1985, elle passe le concours de l’Institut de journalisme Bordeaux Aquitaine où elle entre pour une formation de six mois. À partir de décembre 1985, encore étudiante, elle présente IUTV Magazine avec d’autres étudiants, dont Thierry Moreau en février 1986.
Après un stage de huit semaines comme rédactrice au service société d’Antenne 2 en 1986, Sophie Davant travaille au 19/20 de FR3. Elle entend alors parler du départ de la présentatrice Brigitte Simonetta de la météo d’Antenne 2. Elle passe l’audition organisée par la chaîne et est choisie. Elle présente son premier bulletin dans l’émission Télématin le 13 avril 1987. Elle est annoncée par Roger Zabel, présentateur de l’émission à la place de William Leymergie. De 1987 à 2006, elle présente les bulletins météo d’Antenne 2 (France 2 à partir de septembre 1992).
En 1989, elle anime avec Didier Régnier Aventures Voyages sur Antenne 2 tout en effectuant des remplacements à Télématin.
Elle coprésente le jeu Fort Boyard avec Patrice Laffont sur Antenne 2 entre septembre 1990 et janvier 1992 (elle a remplacé Marie Talon en plein milieu de la première saison intitulée Les Clés de Fort Boyard). En novembre 1992, Sophie joue son propre rôle dans le sketch Fort Boyaux, une parodie de Fort Boyard par Les Inconnus dans l’émission La Télé des Inconnus, diffusée sur France 2. Elle revient comme candidate en 2000, 2001, puis en 2009 avec les autres anciens animateurs pour les 20 ans du programme.
Quel âge a la grande duduche ?
Danièle Gilbert passe en semaine et lance Midi Magazine avec Jacques Martin – qui lui trouve le surnom de Grande Duduche. Le principe est simple : chaque midi, Gilbert et son orchestre s’installent dans une ville de province, accueillent le gratin culturel et divertissent jusqu’à 10 millions de téléspectateurs. Après Jacques Martin, Pierre Bellemare l’accompagne dans ses pérégrinations. En 1975, c’est la gloire : la voilà seule aux commandes de l’émission de mi-journée qui fera sa renommée : Midi Première.Grande Duduche, pas Grande Nunuche
À 32 ans, la native de Chamalières maîtrise à la perfection la gestion des directs et de ses aléas. Un play-back raté ? Aucun problème, l’animatrice enchaîne et rassure l’artiste tout gêné par sa prestation ratée. Une foule envahissante ? Pas de problème, la présentatrice affirme son autorité et remet tout le monde d’équerre. Il ne faut pas confondre Grande Duduche avec Grande Nunuche. Midi Première est un show itinérant ambitieux. C’est la caravane du Tour de France tous les jours. Après ce « shoot » de bonheur, les téléspectateurs peuvent retrouver un autre gai luron : Yves Mourousi. Claude François, Sheila, Mireille Mathieu, Serge Gainsbourg, Michel Sardou… Ils feront tous l’émission phare de TF1, qui d’ailleurs ne se cantonne pas aux vedettes du showbiz – Raymond Aron est, par exemple, l’invité de Midi Première en mars 1977. Le 9 juillet 1975, Valéry Giscard d’Estaing, alors président de la République, est interrogé par Danièle Gilbert et vante les mérites de son chien. « À l’Élysée, j’avais toujours des chiens. Je n’ai jamais rencontré d’être humain qui, lorsque je reviens, saute avec une telle allégresse. » La jeune femme boit la parole présidentielle.