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Quel est le chanteur de Un mexicain basané ?

by Nadia Moulin

La reprise (clippée) d’une chanson de Marcel AMONT, dont la version originale date de 1962 — écrite et composée par Charles AZNAVOUR et Jacques PLANTE (et défendue aussi à la même époque par LES COMPAGNONS DE LA CHANSON). « Depuis combien d’années ce Mexicain-là « basane » -t-il, sans connaître d’insolation ?

Quelle est la musique typique du Mexique ?

Le Mariachi, musique à cordes, chant et trompette

Mexique

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Le Mariachi est à la fois une musique traditionnelle mexicaine et un élément fondamental de la culture mexicaine. Les groupes Mariachis traditionnels, composés de deux musiciens ou plus, portent des costumes régionaux inspirés du costume charro et interprètent un large répertoire de chants sur des instruments à cordes. Les ensembles qui jouent la musique Mariachi « moderne » comprennent des trompettes, des violons, la vihuela et le guitarrón (guitare basse), et peuvent être composés de quatre musiciens et plus. Le vaste répertoire inclut des chants de différentes régions, des jarabes, des menuets, des polkas, des valonas, des scottishes, des valses et des sérénades, en plus des corridos (ballades typiquement mexicaines relatant des histoires de batailles, de hauts faits et d’amour) et des chants traditionnels décrivant la vie rurale.

Comment s’appelle les masque mexicain ?

Si vous souhaitez retrouver l’ambiance typique du Mexique, nous vous conseillons également de visiter la boutique de la Tienda Alma Latina.Les spécificités des calaveras

Le Mexique renferme des histoires très originales, comme celle des têtes de mort que ce pays honore tant. Concernant l’origine de la tête de mort mexicaine, il ne s’agit pas juste d’un crâne, c’est en réalité bien plus que cela. Durant l’époque des différentes civilisations précolombiennes, l’utilisation des crânes proviendrait directement d’une ancienne coutume aztèque. Dès la préhistoire en effet, la tête de mort a été une image faisant allusion aux sociétés et cultures précolombiennes. L’une de ces représentations les plus marquantes était le tzompantli, une forme de support en bois dans lequel étaient disposés les crânes de prisonniers de guerre ou des individus qui avaient été donnés en sacrifice aux dieux. Il faut noter que les anciennes civilisations comme les Mayas pensaient sans doute qu’il y avait bel et bien une vie après la mort. Ainsi, le tzompantli leur servait à donner des offrandes à Mictlantecuhtli, leur dieu des enfers. Entretenir une bonne relation avec cette puissance était indispensable. En effet, c’était lui qui conduisait l’âme dans son domaine sereinement. S’il le désirait, il pouvait retenir une âme dans son empire pendant plusieurs années. Lorsque les espagnols se sont installés au Mexique au XVIe siècle, ils ont fait disparaitre la religion indigène et les sacrifices humains.

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Comment Appelle-t-on les masque mexicain ?

Leur usage est malgré tout davantage décoratif et symbolique qu’alimentaire. Les décorations des calaveras sont le plus souvent des glaçages faits à partir de sucre glace et de colorants alimentaires, mais aussi des papiers ou des petits objets collés.

De nos jours, la fabrication industrielle a souvent remplacé les fabrications familiales, l’aspect commercial de la fête fait que la pâte et des moules sont produits industriellement.

La calavera est utilisée principalement durant le Jour des morts mais elle peut l’être toute l’année, sous la forme de caricatures politiques ou satiriques.

Plusieurs pratiques sont d’usage courant parmi les Mexicains qui fêtent leurs morts :

  • en famille, certains s’échangent des calaveras à l’effigie du destinataire ;
  • des calaveras sont déposées en offrande spirituelle sur la tombe d’un défunt ou sur des autels (privés ou publics), parfois à l’effigie d’un défunt.

La calavera au sens strict (crâne seulement) est destinée à reposer sur une surface plane et à ne présenter que la face, et, éventuellement, l’arrière du crâne. Si elle porte sur son front le nom du défunt que sa famille veille en ce Jour des morts, elle est destinée à le nourrir. L’offrande prend son sens pour l’individu qui l’a faite s’il pense que le défunt erre ce jour-là sur Terre, et a les mêmes préoccupations matérielles que les vivants. Pour ceux et celles qui n’ont pas cette croyance, l’offrande, le don à un mort, garde toutefois son sens de deuil et de travail de mémoire : faire une calavera à un mort, c’est consacrer du temps pour façonner un objet à son image ou à son nom.

La Calavera Garbancera.

 

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