Décédé le 29 octobre 2011 des suites d’un coma, il est inhumé le 4 novembre 2011 auprès de sa femme Magali Vendeuil à Neauphle-le-Vieux (Yvelines), après des obsèques religieuses en l’église de Boulogne-Billancourt. Il a quatre enfants.
Qui est le fils de Pierre Mondy ?
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Quel est l’âge de Jean Lefebvre ?
En plus de sa carrière d’acteur, Jean Lefebvre s’était essayé à l’écriture avec le livre Qu’est-ce qu’elles me trouvent ? ou encore à la chanson avec le 45 tours Le démon de midi.
Jean Lefebvre meurt le 9 juillet 2004 à l’âge de 84 ans, des suites d’une crise cardiaque dans sa résidence du restaurant La Bohème à Marrakech, au Maroc. Il est incinéré, ses cendres sont répandues sur le Mont-Blanc[11].
Jean Lefebvre se marie quatre fois (dont deux fois avec la même femme). Il épouse en premières noces à Paris (XVIe) le 22 novembre 1950, Micheline Reine Grasser (divorce prononcé le 24 janvier 1962) ; en deuxièmes noces à Neuilly-sur-Seine le 20 mai 1967, Catherine Chassin-Briault, dite Yori Bertin (divorce prononcé le 7 mars 1973) ; en troisièmes noces à Paris (XVIe) le 13 décembre 1974, il se remarie avec sa deuxième épouse dont il divorce le 8 juillet 1977. Enfin, il épouse, à Las Vegas le 17 juillet 1994, Brigitte Jacqueline Françoise Lerebours. Il est le père de cinq enfants : Bernard, Catherine, Marie-Christine, Carole et Pascal; le grand-père de Thomas, Charlotte, Clément et Constance ainsi que l’arrière-grand-père d’ Alexis, Lazlo, Sève et Romane.
- 1933 : Judex 34, de Maurice Champreux – Roger de Trémeuse, le fils de Judex
- 1947 : Un flic, de Maurice de Canonge – Une figuration chez le coiffeur
- 1948 : Ruy Blas, de Pierre Billon – Un garde
- 1951 : Bouquet de joie, de Maurice Cam – Georges
- 1952 : Une fille sur la route ou Voyage incognito, de Jean Stelli – Loulou
- 1952 : L’Amour toujours l’amour, de Maurice de Canonge – Jacques
- 1955 : Une fille épatante ou Une fille futée, de Raoul André
- 1955 : Les Diaboliques, de Henri-Georges Clouzot – Robert, Le deuxième classe aviné à la pompe à essence
- 1955 : Cherchez la femme ou Une fille à la redresse, de Raoul André – Joé
- 1955 : Gas-oil, de Gilles Grangier – Le chauffeur du car
- 1956 : Villa sans souci, de Maurice Labro – Le valet de chambre
- 1956 : Les Indiscrètes, de Raoul André – Laroche
- 1956 : La Meilleure Part, d’Yves Allégret – Raymond
- 1956 : Cette sacrée gamine ou Mademoiselle Pigalle, de Michel Boisrond – Jérôme, le copain
- 1956 : Les Aventures de Gil Blas de Santillane (Una Aventura de Gil Blas), de René Jolivet et Ricardo Muñoz Suay – Scipion
- 1956 : L’Homme et l’Enfant, de Raoul André – Albert
- 1956 : Et Dieu… créa la femme, de Roger Vadim – Apparition – L’homme qui veut danser
- 1956 : La Châtelaine du Liban de Richard Pottier – La Pie
- 1957 : Le Septième Commandement, de Raymond Bernard – Edouard, le fils d’Emilie
- 1957 : Que les hommes sont bêtes, de Roger Richebé – Francis
- 1957 : L’Ami de la famille, de Jack Pinoteau – Le jardinier
- 1957 : Méfiez-vous fillettes, de Yves Allégret – Matz
- 1957 : Nous autres à Champignol, de Jean Bastia – Un soldat romain, un roi Mérovingien, Henri III, un mousquetaire, le zouave du pont de l’Alma, un homme en exode
- 1957 : La Polka des menottes, de Raoul André – L’inspecteur Martial
- 1957 : Quand la femme s’en mêle, de Yves Allégret – Fred
- 1958 : Le Dos au mur, d’Édouard Molinaro – Mauvin
- 1958 : La Bigorne, caporal de France, de Robert Darène – Potiron
- 1958 : Tabarin, de Richard Pottier – Julien
- 1958 : En légitime défense, d’André Berthomieu – Georges
- 1958 : La Fille de Hambourg, de Yves Allégret – Georges
- 1958 : Un drôle de dimanche, de Marc Allégret – L’huissier
- 1959 : Houla-Houla, de Robert Darène – Le gendarme farfelu
- 1960 : Les Moutons de Panurge ou La grande ville, de Jean Girault – Juste une apparition
- 1961 : La Vendetta, de Jean Chérasse – Colombo
- 1961 : La Belle Américaine, de Robert Dhéry et Pierre Tchernia – Chougnasse, le chef comptable
- 1962 : Les Veinards, de Jean Girault (segment Un yacht) – Le marin
- 1962 : Un clair de lune à Maubeuge, de Jean Chérasse – Un mineur
- 1962 : Le Roi des montagnes ou Le voleur de femmes, de Willy Rozier
- 1962 : Terreur sur la savane (Konga Yo), de Yves Allégret – Jean
- 1962 : Le Gentleman d’Epsom ou Les grands seigneurs, de Gilles Grangier – Charly
- 1962 : Les Ennemis, d’Édouard Molinaro – Le médecin
- 1962 : Le Repos du guerrier, de Roger Vadim – Armand
- 1962 : Gigot, le clochard de Belleville (Gigot), de Gene Kelly – Gaston
- 1963 : Faites sauter la banque !, de Jean Girault – Le contremaître sur le chantier
- 1963 : Le Coup de bambou, de Jean Boyer – L’auvergnat
- 1963 : Chair de poule, de Julien Duvivier – Le curé
- 1963 : Les Grands Chemins, de Christian Marquand – Le joueur aux cartes à Bellecourt
- 1963 : Paris champagne, de Pierre Armand
- 1963 : Les Tontons flingueurs, de Georges Lautner – Paul Volfoni, petit truand et frère de Raoul
- 1963 : Bébert et l’Omnibus, de Yves Robert – Balissart
- 1964 : La Mort d’un tueur, de Robert Hossein – Tony
- 1964 : Le Gendarme de Saint-Tropez, de Jean Girault – Le maréchal des logis Lucien Fougasse
- 1964 : Une souris chez les hommes ou Un drôle de caïd, de Jacques Poitrenaud – Le surveillant T.V
- 1964 : Relaxe-toi chérie, de Jean Boyer – Blaise
- 1964 : Monsieur, de Jean-Paul Le Chanois – Le détective privé
- 1964 : Allez France !, de Robert Dhéry – Le supporter saoul
- 1964 : Les Gorilles, de Jean Girault – Le machiniste électro
- 1964 : Compartiment tueurs de Costa-Gavras
- 1964 : Angélique, marquise des anges de Bernard Borderie – un courtisan
- 1965 : Les Copains, de Yves Robert – Le restaurateur
- 1965 : Quand passent les faisans ou Les escrocs, d’Édouard Molinaro – Arsène Baudu
- 1965 : Le Gendarme à New York, de Jean Girault – Le maréchal des logis Lucien Fougasse
- 1965 : Le Dix-septième Ciel ou Une page d’amour, de Serge Korber – Le plongeur
- 1965 : La Bonne Occase ou Les Belles Conduites, de Michel Drach – Le pompiste
- 1965 : Les Bons Vivants ou Un grand seigneur, de Gilles Grangier (segment Le Procès) – Léonard Maburon
- 1966 : Le Solitaire passe à l’attaque, de Ralph Habib – Robert Le Goff
- 1966 : On a volé la Joconde (Il Ladro della Gioconda), de Michel Deville – Le gardien
- 1966 : Du mou dans la gâchette ou Deux tueurs, de Louis Grospierre – Léon Dubois
- 1966 : Angélique et le Roy, de Bernard Borderie – le médecin
- 1966 : Ne nous fâchons pas, de Georges Lautner – Léonard Michalon
- 1966 : Trois Enfants dans le désordre, de Léo Joannon – Fernand
- 1967 : Un idiot à Paris, de Serge Korber – Goubi
- 1967 : Le Fou du labo 4, de Jacques Besnard – Eugène Ballanchon
- 1968 : Un drôle de colonel, de Jean Girault – Cutterfeet
- 1968 : Le Gendarme se marie, de Jean Girault – Le maréchal des logis Lucien Fougasse
- 1969 : Le Bourgeois gentil mec, de Raoul André – M.
Quels sont les prix d’une pierre tombale ?
Comme dit précédemment, le prix de la pierre tombale dépend de nombreux critère :
Le modèle de pierre tombale à réaliser est choisi par la famille ou recommandé par le défunt de son vivant. Le marbrier peut aider les proches dans le choix à faire en prenant en compte la confession de la personne décédée, sa personnalité et le mode d’obsèques (crémation ou inhumation). Les modèles sont très nombreux depuis le tombal classique, au mausolée ou chapelles. Ainsi le prix est très varié.
En ce qui concerne la taille, notez que plus monument est imposant, plus de tarif est élevé. Ainsi, un monument cinéraire est moins onéreux qu’un monument funéraire. De même, un monument destiné pour une tombe individuelle coûte moins cher qu’un autre dédié à un caveau familial. En général, les monuments de petites tailles à faible complexité peuvent coûter à partir de 500 €. En revanche, le coût d’un grand monument nécessitant des travaux plus complexes peut atteindre les 15000 €, voire plus.
Le prix d’un même modèle de pierre tombale peut également changer d’une région à une autre.
Comment est mort Pierre Tornade ?
Quel est le prix d’une pierre de taille ?
Sujet intéressant.
On peut tabler déjà sur le cout du M3 d’agglos, parpaings, quérons. Le 20x20x50 est à 1.20TTC. entre 0.95€ et 1.45€.
Il en faut si mon calcul est bon 10 sur 5 rangées soit 50 donc 60€ le m3.
Sur certains sites, on peut voir aussi des prix allant sur des 100€ le m3 à récupérer. Après si c’est sur une ruine là, il faudra négocier entre la démolition, des travaux de terrassement et la récupération selon l’accessibilité.
Prévoir 1000€ un encadrement de porte et 1200 à 1500 pour un encadrement avec voute pour du 19s et beaucoup plus si c’est du 17s voir du 15s d’après ces informations.
Un des éléments est donc la datation. Et bien sur la qualité des pierres: parement, intérieur et voir si entre l’intérieur et l’extérieur si c’est comblé avec des végétaux ou autre et donc une difficulté à établir une cotation sur une facade.
Il faut voir en outre la qualité des pierres angulaires. Si les pierres sont lisses…
Consultez un site sur ces produits.
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site spécialisé en anciens matériaux
Comment est mort Pierre Mondy ?
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Qui joue la femme du Commissaire Cordier ?
La comédienne italienne, morte à l’âge de 92 ans, avait notamment joué dans des films de Federico Fellini et de Claude Chabrol ou encore aux côtés de Pierre Mondy dans la célèbre série de TF1.
L’actrice Antonella Lualdi, célèbre pour avoir joué dans la série Les Cordier, juge et flic, est morte à l’âge de 92 ans. Selon l’agence de presse italienne Ansa, la comédienne s’est éteinte ce jeudi dans un hôpital de la région de Rome.
En France, le public la connaissait principalement pour son personnage de Lucia, la femme du commissaire Pierre Cordier, campé par Pierre Mondy, dans le feuilleton policier, diffusé de 1992 à 2005 sur TF1.
Née en 1931 à Beyrouth au Liban, Antonella Lualdi avait toutefois côtoyé au début de sa carrière dans les années 50 des grands noms du cinéma. L’actrice italienne avait ainsi tenu des rôles secondaires dans des films Federico Fellini, de Claude Chabrol ou de Claude Sautet.
Elle était notamment apparue aux côtés de Jean-Paul Belmondo dans À double tour, en 1959 mais aussi auprès d’Yves Montand, Michel Piccoli et Gérard Depardieu dans Vincent, François, Paul… et les autres en 1974.
Quel nom est mort dans Fort Boyard ?
Père Fouras, Passe-partout, Passe-temps… Fort Boyard a marqué l’histoire de la télévision non seulement par son concept inédit, mais aussi par sa galerie de personnages originaux. Parmi eux, La Boule était le geôlier de l’émission, inflexible et sans pitié envers les participants du jeu télévisé phare de France 2. Celui qui l’incarnait, Yves Marchesseau, est mort ce week-end à Saintes (Charente-Maritime), a annoncé lundi matin France Bleu La Rochelle .
Âgé de 62 ans, il a succombé à un cancer de l’oesophage, découvert en début d’année. Il s’était confié début août à France Dimanche sur ses problèmes de santé. « Je suis foutu, j’ai un cancer », indiquait-il alors. Après des séances de radio et chimiothérapie, ainsi qu’un régime particulier, La Boule avait alors perdu près de 20 kilos et se disait épuisé. « Mes problèmes de santé se sont multipliés », expliquait-il dans le magazine, même s’il espérait encore revenir à Fort Boyard.
La suite après cette publicité L’émotion d’Olivier Minne
Après plusieurs métiers, dont celui de cariste dans une usine de métallurgie, Yves Marchesseau avait été repéré par Patrice Laffont, qui lui avait donné sa chance dans l’émission estivale de France 2, en 1994.