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Quel âge avait Steve Mcqueen quand il est mort ?

by Judith Ferrier

Classé 13e plus grande star de légende par l’American Film Institute en 1999, John Wayne a été certainement un des acteurs les plus représentatifs du western, une incarnation à lui seul de l’Amérique conquérante.

Quelle était la maladie de Steve McQueen ?

Steve McQueen fait parti de ces acteurs incontournables qui ont marqué de nombreuses générations, mais qui sont malheureusement morts beaucoup trop jeunes.

Lundi 27 avril 2020, la chaîne de télévision C8 rend hommage à un des acteurs les plus talentueux de sa génération Steve McQueen, en diffusant le film Nevada Smith. L’occasion de s’intéresser d’un peu plus près à la maladie qui a fauché la vie de cet acteur en plein vol. Son état de santé se détériore dès 1978, alors qu’il présente une toux très persistante. Gros fumeur, il prend la décision d’arrêter la cigarette et suit un traitement antibiotique qui ne semble pas avoir les effets escomptés. Ainsi, le 22 décembre 1979, à la fin de tournage Le Chasseur, une biopsie révèle un mésothéliome pleural. Il s’agit d’un cancer de la plèvre incurable, habituellement associé à l’inhalation de poussières d’amiante.

Qui est la femme de Flash McQueen ?

Sally Carrera

Voix originale

Bonnie Hunt (films, Cars Toons, jeux, parcs)

Sofie Veloz (Cars 3 : Course vers la victoire)

Voix française

Cécile de France

Voix québécoise

Mélanie Laberge

Alias

SallyMlle Sally (par Martin)

Apparence

Porsche bleue ciel, yeux bleus

Personnalité

Intelligente, jolie, aimante, compatissante, douce

Résidence

Radiator Springs

Compétences

EloquenceVitesse

Ami

Doc Hudson

,

Martin

,

Cruz Ramirez

,

Guido

,

Luigi

,

Fillmore

,

Sergent

,

Flo

,

Ramone

,

Red

,

Lizzie Sally Carrera, plus connue simplement en tant que Sally, est l’avocate de la petite ville de Radiator Springs ainsi que la conjointe du célèbre bolide Flash McQueen. Il s’agit d’un protagoniste majeur dans la franchise Cars des studios Pixar, en dépit de son rôle secondaire dans la plupart des médias de celle-ci. Elle a été interprétée dans la version originale par l’actrice, scénariste, productrice et réalisatrice américaine Bonnie Hunt dans toutes ses apparitions à l’exception du jeu-vidéo Cars 3 : Course vers la victoire où elle a exceptionnellement été doublée par Sofie Veloz. Dans la version française, la voix de Sally est celle de l’actrice belge Cécile de France alors que l’actrice canadienne spécialisée dans le doublage Mélanie Laberge a assuré son doublage dans la version québécoise. Comme la plupart des autres personnages de la série, elle a souvent été reproduite en figurine, notamment par la société Mattel. Biographie[]

Passé[]

Sally Carrera est une avocate à succès de Los Angeles. Cependant, elle n’est pas véritablement heureuse et décide donc de quitter la Californie. La belle Porsche parcourt alors de longues distances et finit par tomber en panne d’essence dans la petite ville de Radiator Springs. Là, Sally est repérée par Doc Hudson, le médecin de la ville, qui la répare, puis elle est accueillie par Flo, la propriétaire d’un café, ainsi que par tous les autres habitants. Ainsi, l’avocate décide de prendre un nouveau départ dans cette ville sachant qu’elle est « tombée amoureuse » de la vue sur la vallée des Ornements où se trouve de la ville. En plus d’être une avocate, Sally devient également la propriétaire du Cosy Cone Motel, une cour touristique récemment rénovée qui peut servir de gît pour les touristes. Malheureusement, une autoroute, l’Interstate 40, est rapidement construite et toutes les voitures passant dans la région l’utilisent désormais pour gagner du temps, et plus personne ne revient à Radiator Springs, laissant ses résidants malheureux sans clients.

En 2005, la voiture de course Flash McQueen se retrouve par hasard à Radiator Springs en essayant de retrouver l’autoroute pour se rendre en Californie où il devait disputer une course au circuit du Los Angeles International Speedway la semaine suivante. Au cours de son intrusion dans la ville, McQueen détruit accidentellement la route de celle-ci avec la statue de Stanley, le fondateur des lieux, en essayant d’échapper au policier Shérif, qui le prend en chasse après qu’il l’ait réveillé en roulant à toute vitesse.

Quelle voiture est Flash McQueen dans la vraie vie ?

L’inspiration était là , prête à donner vie aux personnages du film.

Flash McQueen

Flash McQueen est la voiture de course vedette du film. Il est le savant mélange d’un modèle de Ford GT et d’une voiture de course de Nascar, les fameuses courses de voitures américaines. Il est le personnage principal de Cars qui se perd sur cette route 66 alors qu’il cherchait à rejoindre l’autoroute. Flash McQueen se retrouve alors à Radiator Springs, une petite ville abandonnée qui a fait les frais de la construction de la voie rapide. Il ne savait pas, à ce moment-là, qu’il entamait le plus beau voyage de sa vie.

Martin

Martin arrive tout droit du Kansas où John Lasseter et son équipe l’ont déniché au bord de la route 66 devant un snack au nom de « Cars on the route ». Il ne servait qu’à la décoration du lieu. En devenant Martin, la dépanneuse, ami de toujours de Flash McQueen dans le film, John Lasseter a permis au snack de voir sa clientèle décuplée par les visites des fans du film Cars. Le monde du cinéma a réhabilité la fameuse route 66.

Sally Carrera

Sally Carrera est une Porsche 911. Elle n’est, bien sûr, pas issue de la route 66, mais de par son personnage, elle participe à l’action engagée par les studios Disney et Pixar pour rendre un bel hommage à la route 66. Avocate, Sally Carrera a quitté la grande ville pour se retirer à Radiator Springs. Elle explique donc, dans le film, que les valeurs d’un retour à la simplicité lui ont dicté ce choix pour aider réellement les autres.

Qui a tué Staline ?

Des éléments sont cependant troublants :

  • dans ses Mémoires publiés en 1993, Molotov affirme que Beria s’est vanté auprès de lui d’avoir empoisonné Staline ; lors des funérailles de celui-ci, Malenkov et Molotov marchaient effectivement en tête du cortège avec Beria quand ce dernier aurait affirmé : « C’est moi qui ai liquidé le tyran[20] » ;
  • il est également avéré que Beria avait refusé une intervention médicale dans les dernières heures de la vie de Staline alors que ce dernier était inconscient, sous prétexte qu’il était seulement en train de dormir[réf. nécessaire] ;
  • enfin, l’autopsie du corps du défunt est introuvable et semble avoir disparu sans laisser de trace alors qu’elle mentionnait des hémorragies intestinales évoquant un empoisonnement ; en outre, Beria fit déporter tous ceux qui y avaient participé[8].
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Après Staline : le début d’une déstalinisation[modifier | modifier le code]

C’est à Beria que revient l’honneur de prononcer l’éloge funèbre de Staline sur la place Rouge[20].

Beria, nommé ministre de l’Intérieur réunifié avec la Sécurité d’État et vice-président du Conseil des ministres, dispose d’atouts pour succéder à Staline. Il sait qu’il existe d’autres ambitions. Il a une tactique et un programme. Il se rapproche de Malenkov. Pendant les trois mois où il a les mains libres, l’incarnation de la terreur policière stalinienne se révèle paradoxalement un champion de la libéralisation du régime. Dès le 4 avril, il relâche les victimes du complot des blouses blanches et fait savoir que leurs aveux avaient été extorqués par la torture, première fois que l’État soviétique reconnaît une faute. Il ferme les grands chantiers du socialisme alimentés par la main-d’œuvre pénitentiaire. Il fait promulguer une amnistie qui libère un million de détenus du Goulag. Il restitue le Goulag au ministère de la Justice, limitant ainsi en partie l’arbitraire qui y régnait, et il dénonce en connaissance de cause son inutilité économique ainsi que son hypertrophie. Il fait voter au Politburo l’enlèvement des portraits de dirigeants dans les défilés et manifestations, mesure qui ne lui survit pas. Il se prononce à l’intérieur pour un meilleur traitement des minorités nationales, et à l’extérieur pour une politique résolue de Détente avec l’Occident, fût-elle payée de l’abandon de la RDA et de la réunification de l’Allemagne en échange de sa démilitarisation[8].

Les collègues de Beria le craignent, qui en tant que chef du NKVD dispose de pouvoirs quasi-illimités et qui montre ses ambitions pour succéder à Staline comme dirigeant suprême de l’Union soviétique[3].

À peine trois mois après la mort de Staline, et dans les trois jours qui suivent l’écrasement de la révolte berlinoise, Beria est piégé, arrêté le 26 juin 1953, transféré dans le bunker de l’état-major de l’armée et exécuté six mois plus tard avec six de ses collaborateurs.

Il existe au moins trois versions, avec chacune des variantes, de l’élimination de Beria.

Pourquoi Peut-on dire que Staline est un dictateur ?

Staline ayant pris la succession de Lénine, il abandonne peu à peu la direction collégiale pour progressivement imposer, en s’appuyant sur la bureaucratie née lors de la guerre civile, un régime totalitaire. Le pouvoir oligarchique absolu est mis en place progressivement[40]. Le processus est achevé à la fin des années 1930.

Considérant que c’est sous les formes nationales de la lutte prolétarienne que l’on peut défendre avec succès les intérêts internationaux du prolétariat (« La théorie léniniste de la révolution est en même temps la théorie du développement de la révolution mondiale »[41]), ce qui en amène certains à estimer qu’il fut peu porté sur l’internationalisme, Staline désigne sa politique sous le nom de « marxisme-léninisme » et de « socialisme dans un seul pays ». Presque jamais sorti de Russie, méprisant envers le Komintern (« la boutique »[42]), il ne croit pas à une révolution mondiale qui n’en finit pas de se faire attendre et veut compter sur les seules forces de l’Union soviétique. Il ne croit plus non plus à une NEP qui n’en finit pas d’agacer les planificateurs, tant à cause de ses externalités (la « crise des ciseaux ») que de son caractère non orthodoxe au regard de l’idéologie marxiste. Hanté comme tous les bolcheviks par la possibilité d’une prochaine confrontation avec les pays capitalistes, il veut accélérer à tout prix la modernisation industrielle pour s’y préparer. C’est le sens de son fameux discours au XVIe congrès du Parti (juin 1930) où il martèle que « chaque fois que la Russie a été en retard, nous avons été battus ». D’où, à partir de fin 1928, la priorité absolue que Staline accorde à l’accumulation du capital par pressurisation de la paysannerie (jusque-là ménagée par la NEP), au développement « à toute vapeur » des moyens de production et de l’industrie lourde.

Entre 1929 et 1933, Staline met en place la « collectivisation » des terres. Il livre en fait ce qui est peut-être considéré comme la dernière guerre paysanne de l’histoire européenne. En 1934, l’objectif est atteint, mais à un prix exorbitant :

  • la moitié du cheptel a été abattue sur place par les paysans ;
  • les riches terres à blé d’Ukraine et d’autres régions ont été ravagées par la famine de 1932-1933 — entre quatre et dix millions de morts selon les estimations[43],[44] — que Staline n’a rien fait pour empêcher, en admettant qu’il ne l’a pas délibérément provoquée ;
  • fuite anarchique de 25 millions de campagnards vers des villes vite surpeuplées ;
  • plus de deux millions de prétendus koulaks, paysans supposés « riches », déportés par familles entières en Sibérie et abandonnés sur place à leur sort[45]…

Le système des kolkhozes et des sovkhozes permet à l’État d’acheter à vil prix les récoltes et de financer l’industrialisation.

Quel est le surnom de Staline ?

Après avoir adhéré au Parti ouvrier social-démocrate russe, il se fait appeler Koba (en hommage à un héros populaire Géorgien) puis choisit le pseudonyme de Staline qui découle du russe stal, désignant l’acier.

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Lénine a été son mentor

Le jeune Staline poursuit ses actions militantes en Russie et en Géorgie, et multiplie les arrestations et déportations en Sibérie. En 1904, il rejoint le Parti et participe activement à la Révolution russe de 1905.

Son ascension fulgurante, Staline la doit en partie au fondateur même du bolchevisme : Lénine, qu’il a rencontré en Finlande en 1905. En 1912, ce dernier le nomme à la tête de la Pravda, le journal du parti bolchévique. C’est aussi lui qui incite Staline à l’écriture d’ouvrages de référence sur le parti communiste. Lors des révolutions russes de 1917, il contribue au retour de Lénine en Russie avant de participer à la révolution d’octobre les 7 et 8 novembre qui renverse le pouvoir.

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Staline a connu une ascension fulgurante

À la formation du nouveau gouvernement, Staline est nommé commissaire du peuple aux nationalités. Dans les années qui suivent, en pleine guerre civile, son influence grandit rapidement au sein du Parti communiste ; au point d’alerter Lénine, qui aurait vu cette ascension d’un mauvais oeil.

Qui sont les victimes du NKVD ?

Les catégories de personnes suivantes ont été arrêtées par le NKVD au cours de son opération polonaise, comme décrit dans les documents soviétiques :

  1. Membres « actifs » de la minorité polonaise en Union soviétique (pratiquement tous les Polonais[1],[2]).
  2. Tous les immigrés de la Seconde République polonaise.
  3. Réfugiés politiques de Pologne (pour la plupart membres du Parti communiste de Pologne ).
  4. Anciens et actuels membres du Parti socialiste polonais et d’autres partis politiques polonais non communistes.
  5. Tous les prisonniers de guerre de la guerre polono-soviétique restant en Union soviétique.
  6. Membres de l’Organisation militaire polonaise figurant sur la liste spéciale (la plupart d’entre eux n’étaient pas membres de cette organisation).

Bien que les autorités soviétiques prétendent que les victimes exécutées étaient toutes des Polonais de souche, certaines des personnes tuées étaient également des Biélorusses, des Juifs, des Ukrainiens et des Russes, arrêtés à tort et accusés d’être des Polonais de souche en raison de leurs noms de famille ou de leurs confessions religieuses[17]. 47,3 % du nombre total de « Polonais » arrêtés en Biélorussie étaient en fait des catholiques biélorusses ethniques, dont beaucoup se sont déclarés polonais dans les années 1920. Ils représentaient 14,2 % des personnes arrêtées lors de l’opération polonaise à travers l’Union soviétique (septembre-novembre 1938). 13,4% des personnes arrêtées étaient des Ukrainiens de souche. 8,8% des personnes arrêtées étaient des Russes ethniques[17].

Selon les archives du NKVD, 111 091 Polonais et personnes accusées de liens avec la Pologne ont été condamnés à mort et 28 744 condamnés au Goulag ; soit 139 835 victimes au total[18]. Ce nombre constitue 10 % du nombre total de personnes officiellement condamnées pendant la période de la Yejovchtchina, sur la base de documents confirmatifs du NKVD[19].

Selon l’historien Bogdan Musiał (en) : « On estime que les pertes polonaises en RSS d’Ukraine étaient d’environ 30 %, tandis qu’en RSS de Biélorussie… la minorité polonaise a été presque entièrement anéantie ou déportée. Musiał est également d’avis qu’« il ne semble pas improbable, comme l’indiquent les statistiques soviétiques, que le nombre de Polonais soit passé de 792 000 en 1926 à 627 000 en 1939[16]».

La quasi-totalité des victimes des fusillades du NKVD étaient des hommes d’après Michał Jasiński, la plupart avec des familles. Leurs femmes et leurs enfants ont été traités suivant l’Ordre opérationnel n° 00485. Les femmes étaient généralement condamnées à la déportation vers le Kazakhstan pour une durée moyenne de 5 à 10 ans. Les enfants orphelins sans parents disposés à les prendre ont été placés dans des orphelinats pour être élevés en suivant l’idéologie soviétique, sans aucune connaissance de leurs origines. Tous les biens de l’accusé ont été confisqués. Les parents des hommes exécutés – ainsi que leurs beaux-parents – n’avaient plus rien pour vivre, ce qui scellait généralement leur sort.

Pourquoi Staline veut éliminer les koulaks ?

Mais ce fut une victoire à la Pyrrhus : les forces des paysans avaient été surestimées, et les économies pour l’année suivante n’existaient pratiquement pas. Beaucoup de paysans abandonnaient leur ferme pour rechercher des emplois dans l’industrie dans les villes qui se développaient. De plus, les prix mondiaux pour les céréales se sont effondrés en raison de la crise économique mondiale, si bien que les bolcheviks ne pouvaient plus acheter suffisamment d’installations et de machines nécessaires pour la construction de leur industrie[58]. « Dégageons le koulak du kolkhoz ». Affiche de propagande soviétique (1930). L’encadré : « Les koulaks sont les exploiteurs les plus féroces, les plus brutaux, les plus sauvages : ils ont maintes fois rétabli, dans l’histoire des autres pays, le pouvoir des grands propriétaires fonciers, des rois, des prêtres et des capitalistes. Lénine ».

Dans une conférence de spécialistes agricoles du 27 décembre 1929, Staline critique âprement toutes les idées d’intégration des koulaks dans les nouveaux kolkhozes. Au lieu de cela, il annonce la « liquidation de la classe des koulaks ». Il en appelle à l’« offensive contre les éléments capitalistes des villages », et déclenche ainsi une véritable guerre contre les paysans[59],[2],[60],[61],[62], ou contre les villages[63].

Il y a d’abord eu une incertitude sur la manière dont cette liquidation devait se dérouler — cela restait la tâche des autorités locales d’interpréter l’annonce de Staline et de la mettre en œuvre. Malgré le manque d’indications claires de la part de Moscou, a commencé en janvier 1930 dans de nombreuses régions une dékoulakisation de masse, par exemple dans l’Oural, la Transcaucasie, la République socialiste soviétique d’Ukraine, et l’oblast de Riazan près de Moscou[64]. La campagne prend vite de la dynamique et conduit à travers le pays à des confusions importantes[65].

Sous la présidence de Viatcheslav Molotov, un des plus proches confidents de Staline, une commission prend le 15 janvier 1930 la tâche de régler les grands traits de la campagne de dékoulakisation. Le Politburo du PCUS avait confié cette tâche à la « commission Molotov » dès novembre 1929. La commission comprenait tous les secrétaires du Parti des régions de culture importante de blé, ainsi que leurs collègues des territoires choisis comme buts des déportations à venir des koulaks. Appartenaient aussi à la commission Guenrikh Iagoda (sous-chef de l’OGPU, Sergueï Sirtsov [66] (président du conseil des commissaires du peuple), Iakov Iakovlev, Nikolai Muralov, Moissei Kalmanovitch (commissaire du peuple pour les sovkhozes), Tikhon Yourkine (directeur du Zentralny organ upravleniya kollektivnymi khozyaistvami — l’organe central de direction des économies collectives), Grigori Kaminski ainsi que Karl Bauman, premier secrétaire du Parti de l’oblast de Moscou[67],[68],[69]).

Le 30 janvier 1930, le Politburo accepte les propositions de la commission avec la directive « Sur les mesures pour éliminer les ménages de koulaks dans les territoires complètement collectivisés. »[70].

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Qui est le plus grand acteur de western ?

Ensemble, ils ont tourné : Rio Grande (1950), L’Homme tranquille (1952), L’aigle vole au soleil (1957), (trois films signés John Ford) ; Le Grand McLintock (Andrew V. McLaglen, 1963), Big Jake (Sherman, 1971). D’elle, John Wayne dira : « C’est le meilleur mec que j’ai jamais connu »[98]. Il dira aussi : « j’ai mené plus de batailles que Napoléon et j’ai gagné plus de guerres que les Allemands. J’ai réussi à prendre des forts imprenables : Corregidor, Fort Apache et…Maureen O’Hara ! »[réf. nécessaire]

En France, Raymond Loyer fut la voix la plus régulière de John Wayne, l’ayant doublé dans pas moins de 44 films. Claude Bertrand l’a également doublé à douze reprises, Jean Martinelli à quatre reprises ou encore Marc Valbel et William Sabatier qui ont doublé l’acteur respectivement dans trois films chacun.

Parmi les autres voix ayant doublé John Wayne, Citons Jean-Claude Michel dans Alerte aux marines[99], Jacques Erwin dans La Ruée sanglante, Jean Violette dans la série télévisée Le Choix de…, Daniel Sarky dans le second doublage de Retour aux Philippines, Jean-Bernard Guillard dans les scènes supplémentaires de Première Victoire et enfin Marc Alfos dans L’Homme qui tua Liberty Valance à l’occasion du redoublage de 2012.

  • Raymond Loyer (*1916 – 2004) dans Le Fils du désert (doublé en 1978), La Prisonnière du désert, Rio Bravo, El Dorado, Rio Lobo, etc.
  • Claude Bertrand (*1919 – 1986) dans Les Cavaliers, Alamo, Le Jour le plus long, L’Ombre d’un géant, etc.
  • Jean Martinelli (*1909 – 1983) dans Première Victoire, Les Quatre Fils de Katie Elder, Cent dollars pour un shérif et Une bible et un fusil.
  • Marc Valbel (*1907 – 1960) dans La Chevauchée fantastique, La Belle de San Francisco et La Rivière rouge
  • William Sabatier (*1923 – 2019) dans Les Sacrifiés (2e doublage), L’aigle vole au soleil et La Conquête de l’Ouest
  1. ↑ Il existe à ce sujet une deuxième version, rapportée par Dan Ford : John Ford aurait lui-même suggéré que Duke se trouve un nom parmi les grandes figures de l’histoire américaine. Dans la version de Walsh, Duke n’aurait même pas été consulté (McBride 2007, p. 260-261).
  2. ↑ Toutefois, peu de salles sont équipées et le film fut souvent projeté en 35 mm (McBride 2007, p. 261).
  3. ↑ Film Alamo, dialogue à la 29e minute.
  4. ↑ (en) « Acte de naissance (retranscription) et acte de décès », sur CinéArtistes (consulté le 13 août 2018).
  5. ↑ Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
  6. ↑ (en) Richard Meran Barsam, Dave Monahan, Looking at Movies. An Introduction to Film, W.W. Norton & Company, 2010, p. 289.
  7. ↑ Anton Giulio Mancino, John Wayne, Paris, Gremese, 1998.
  8. ↑ Fabre 2007, p. 99.
  9. ↑ Fabre 2007, p. 100.
  10. ↑ Zolotow 1979, p. 13.
  11. ↑ Zolotow 1979, p. 15.

Est-ce que John Wayne a fait la guerre ?

La blessure est profonde et pris de remords Wayne devient un « super patriote » à tel point qu’il devient le militaire par excellence, plus exactement le soldat américain par excellence. Les témoignages de vétérans sont à mourir de rire, qui décrivent comment mettre son casque à la John Wayne ou encore comment « faire une John Wayne », c’est à dire un acte de témérité totalement inutile mais très viril au combat. La star combat sans relâche à l’écran et participe pleinement à éliminer les supposés communistes du sol américain en devenant président de l’Alliance cinématographie pour la préservation de l’idéal américain, il dénonce et incite à dénoncer, sa guerre est déclarée ! Un cow-boy déchu

Il déclare d’ailleurs publiquement sa flamme conservatrice, donne la fessée à répétition aux femmes dans les films et devient un parangon de machiste réactionnaire au fil des années 1960 avant de se planter lamentablement sur la guerre du Vietnam qu’il soutient corps et âme jusqu’au déplorable film de propagande Les Bérets Verts, tourné en 1968. John Wayne a perdu une partie de ses fans qui ne peuvent plus le regarder qu’en cachette, lors de séance de régressions coupables.

Qui est l’acteur le plus aimé au monde ?

The Harris Poll vient de publier le classement des dix comédiens (et comédiennes) les plus populaires aux Etats-Unis. Le grand gagnant de cette étude remporte le titre pour la cinquième fois de sa carrière.

Plutôt Johnny Depp ou plutôt Julia Roberts? C’est à cette question qu’ont été soumises les personnes interrogées dans le cadre du sondage annuel établis par The Harris Poll sur les acteurs préférés des Américains. Après avoir dominé le classement en 2002, 2004, 2005 et 2013, Tom Hanks remporte la mise une nouvelle fois cette année.

L’acteur, doublement oscarisé pour ses performances dans Philadelphia et Forrest Gump, s’est notamment illustré en 2015 dans Le pont des espions de Steven Spielberg. Tom Hanks devance Johnny Depp et Denzel Washington, respectivement deuxième et troisième de ce classement.

Sandra Bullock devant Jennifer Lawrence

Au pied du podium, c’est la légende d’Hollywood John Wayne qui se distingue. L’acteur de Rio Bravo et Le jour le plus long, disparu en 1979, est toujours présent dans le coeur du public américain. Il est suivi dans ce classement de popularité par Harrison Ford dont l’année 2015 aura été marquée par son retour dans la saga Star Wars.

Qui est le plus bel acteur du monde ?

On ne présente plus le nombre d’or. Établi durant l’Antiquité, il permettrait d’évaluer la perfection d’un visage en fonction de ses proportions. L’année dernière, c’est Robert Pattinson qui avait été élu “homme le plus beau du monde” avec un score ahurissant de 92,15 %. Mais l’acteur britannique vient de se faire devancer par un célèbre compatriote.

Qui est le plus beau acteur américain ?

Daniel Craig, Javier Bardem, Patrick Dempsey, George Clooney… Ces acteurs d’âge mûr sont des beaux-gosses que l’on adore voir au cinéma, mais qu’en était-il il y a dix ou vingt ans ? A cette époque, ils n’étaient pas aussi sexy qu’aujourd’hui et certains peuvent remercier le temps de les avoir « bonifiés » ! Retour sur ces acteurs plus beaux maintenant qu’avant.

 

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