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Qui a viré Denise Glaser ?

by Marine Lamiaux

A cette époque, le sujet est plus que sensible, et Robert BORDAZ, directeur de l’ORTF décide de la licencier, ce qui provoquera un tôlé auprès des artistes, et même du ministre de l’information Alain PEYREFITTE, chargé de la communication à l’ORTF qui donne ordre à Robert BORDAZ de maintenir Denise GLASER ainsi que son …

Qui est le fils d’Anne-marie peysson ?

Le 18 novembre 1964, dans le 14e arrondissement de Paris, Anne-Marie Peysson épouse Jean Falloux, ancien pilote de chasse devenu photographe et cascadeur ; il se tue le 2 septembre 1967 dans un accident d’avion[11], sur le tournage du film Les Grandes Vacances de Jean Girault[12].

De leur mariage est né Jean-Pierre[13] le 9 mai 1966[5], mort le 14 mars 1999 dans un accident de moto[13]. Il laisse un fils, Jean Falloux, né le 18 novembre 1995 à Paris de son union avec Corinne Decupère.

Dans les années 1970 Anne-Marie Peysson refait sa vie avec le journaliste Alain Krauss, qu’elle épouse le 21 décembre 1976 à Croissy-sur-Seine (Yvelines)[5].

Elle meurt le 14 avril 2015 à l’hôpital du Vésinet et est inhumée au cimetière de Croissy-sur-Seine (Yvelines)[14].

1964

:

Contes et légendes du folklore de France (Paroles et Musique)

1. Celui qui montait voir le bon Dieu
2. Les pauvres gens trop envieux
3. Les 3 pommes
4. La fève merveilleuse
1. Quatre olives
2. Au soleil de Nyons
3. La tartine
4. Sous l’olivier
5. La Légende de l’olivier
6. L’Ancêtre
1. Le théâtre fermé (Morningtown ride)
2. Qui ne risque rien
3. Un tube (Nashville Tennessee)
4. Comme un manège
1. Du bois sec pour tout l’hiver
2. Le marin de Saint-Tropez
3. Les billets de cent francs
4. Cet imbécile de Johnny
  • Anne-Marie Peysson, Comme vous, je pleure, j’aime et je ris : Autobiographie, Éditions Robert Laffont, 1978, 250 p. (ISBN 978-2-221-00044-1 et 978-2221000441)
  • Anne-Marie Peysson, Mes trucs miracles pour les balcons, terrasses et jardins, Paris, Le Livre de poche, 15 avril 1996, 190 p. (ISBN 978-2-253-08174-6 et 9782253081746, BNF 36705343)
  • Anne-Marie Peysson, 1001 trucs et astuces de nos grands-mères, Éditions de l’Archipel, 4 mars 2009, 722 p. (ISBN 978-2-8098-0135-4 et 978-2809801354)
  1. ↑ Laurent Marsick, « Anne-Marie Peysson, animatrice emblématique de RTL, est décédée à l’âge de 79 ans mardi dernier » sur RTL, 18 avril 2015
  2. L’Écho républicain de la Beauce et du Perche, 20 août 1968, interview d’Anne-Marie Peysson : « Au milieu d’une vingtaine de finalistes je me présente devant un jury présidé par Marcel Achard.
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Quelle est la profession de Denise ?

Bien que Jean ne devrait pas lui causer trop de soucis puisqu’il est plus vieux et qu’il a une place chez un ivoirier qui le loge et le nourrit, il s’avère que ses aventures amoureuses sont ce qui cause une grande partie des problèmes de Denise :

Jean continuait à n’être pas raisonnable, il la harcelait toujours de demandes d’argent. Peu de semaines se passaient, sans qu’elle reçût de lui toute une histoire, en quatre pages ; et, quand le vaguemestre de la maison lui remettait ces lettres d’une grosse écriture passionnée, elle se hâtait de les cacher dans sa poche, car les vendeuses affectaient de rire, en chantonnant des gaillardises. Puis, après avoir inventé des prétextes pour aller déchiffrer les lettres à l’autre bout du magasin, elle était prise de terreurs : ce pauvre Jean lui semblait perdu. Toutes les bourdes réussissaient auprès d’elle, des aventures d’amour extraordinaires, dont son ignorance de ces choses exagérait encore les périls. (ABD, p. 329)

Jean n’apprend jamais de ses erreurs et a toujours besoin de plus d’argent pour payer des personnes le menaçant de révéler ses amours aux maris ou aux pères des femmes séduites. S’inquiétant pour son frère, Denise se prive de sommeil pour lui fournir l’argent.

La nuit, de neuf heures à une heure, elle pouvait en coudre six douzaines, ce qui lui faisait trente sous, sur lesquels il fallait déduire une bougie de quatre sous. Mais ces vingt-six sous par jour entretenaient Jean, elle ne se plaignait pas du manque de sommeil, elle se serait estimée très heureuse, si une catastrophe n’avait une fois encore bouleversé son budget. (ABD, 330)

Même si elle tente d’accumuler assez d’argent, Jean a toujours besoin de sommes plus considérables. Il arrive sur le lieu de travail de Denise, alors qu’elle le lui a pourtant interdit, pour lui redemander de l’argent. À ce moment, Denise « se fâch[e], torturée, poussée à bout » (ABD, 369) :

Je ne veux pas savoir. Garde pour toi ta mauvaise conduite. C’est trop vilain, entends-tu !… Et tu me tourmentes chaque semaine, je me tue à t’entretenir de pièces de cent sous. Oui, je passe les nuits… Sans compter que tu enlèves le pain de la bouche de ton frère.

Jean restait béant, la face pâle. Comment ! c’était vilain ? et il ne comprenait pas, il avait depuis l’enfance traité sa sœur en camarade, il lui semblait bien naturel de vider son cœur. Mais ce qui l’étranglait surtout, c’était d’apprendre qu’elle passait les nuits. L’idée qu’il la tuait et qu’il mangeait la part de Pépé, le bouleversa tellement, qu’il se mit à pleurer. (ABD, p. 369-370)

Denise, en tant que « mère » se sacrifiant volontairement pour ses « enfants », ne dit jamais à Jean tout ce qu’elle fait pour lui.

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Qui est l’oncle de Denise ?

Denise et Baudu se réconcilient.

De juillet 1866 à mars 1867.

Denise vient déjeuner chez les Baudu. Sa cousine, Geneviève, a des doutes quant à la fidélité de son fiancé Colomban. La boutique des Baudu perd ses dernières clientes. En février 1867, Denise décide de retourner travailler au Bonheur des Dames.

14 mars 1867. Il y a des travaux d’agrandissement au Bonheur des Dames et l’intérieur est réaménagé. Le magasin réalise de belles recettes. Mme Desforges, la maîtresse de Mouret, est jalouse de Denise, qu’elle pense être sa rivale. Denise est nommée au poste de seconde vendeuse.

Premier dimanche d’août 1867 : c’est le jour de l’inventaire. Denise est de plus en plus appréciée par ses collègues. Son patron, Mouret, l’invite à un dîner, mais elle refuse car elle ne veut pas d’une aventure. Tout le monde est étonné de ce refus, mais les ragots vont bon train.

Fin octobre, début novembre 1867. Madame Desforges, jalouse, se venge en faisant venir Denise chez elle pour l’humilier. Mouret prend la défense de Denise. Desforges aide Bouthemont, renvoyé du Bonheur des Dames, à ouvrir un magasin concurrent : Aux Quatre Saisons.

25 septembre 1868. Denise a un rôle de plus en plus important dans le magasin, mais elle continue de repousser Mouret, qui est de plus en plus triste de ses refus. Des employés surpris à voler sont renvoyés.

Comment s’appelle la cousine parisienne de Denise ?

  • ↑ Mitterand 1980, p. 549.
  • ↑ Mitterand 1980, p. 550.
  • ↑ a et b Note philosophique de Zola, en tête de son ébauche du roman, citée dans Mitterand 1980, p. 551.
  • ↑ a b et c Mitterand 2001, p. 635.
  • ↑ Mitterand 2001, p. 640-642.
  • ↑ a et b Mitterand 2001, p. 643.
  • ↑ Mitterand 1980, p. 567.
  • ↑ Dossier sur Zola, Ébauche et plans sur le site de la Bibliothèque nationale de France.
  • ↑ Mitterand 2001, p. 650.
  • ↑ Mitterand 1980, p. 559.
  • ↑ Mitterand 1980, p. 557.
  • ↑ a et b Mitterand 2001, p. 652.
  • ↑ Becker et Landes 1999, p. 5.
  • ↑ Becker et Landes 1999, p. 9.
  • ↑ Becker et Landes 1999, p. 10.
  • ↑ a b et c Mitterand 2001, p. 644.
  • ↑ Becker et Landes 1999, p. 24.
  • ↑ Becker et Landes 1999.
  • ↑ Mitterand 2001, p. 605.
  • ↑ Ramond 1970, p. 334.
  • ↑ a et b Mitterand 1980, p. 551.
  • ↑ a et b Mitterand 1980, p. 552.
  • ↑ Becker et Landes 1999, p. 39.
  • ↑ Les huit commandements de Boucicaut, dossier Au Bonheur des Dames sur le site de la BnF.
  • ↑ Mitterand 1980, p. 561.
  • ↑ Portraits : deux personnages en quête d’histoire sur le site de la BnF.
  • ↑ Émile Zola, Extraits de l’ébauche du Bonheur des Dames sur le site de la bnf.
  • ↑ Gaillard 1980, p. 24.
  • ↑ Becker et Landes 1999, p. 44-45.
  • ↑ a b et c Kaminskas 2004, p. 409.
  • ↑ Zola, Extraits de l’ébauche d’Au Bonheur des Dames, cité dans Cnockaert 2004, p. 440.
  • ↑ Kaminskas souligne la propension de Zola à mettre en évidence dans Au Bonheur des Dames la laideur des femmes et le pouvoir de séduction des hommes. (Kaminskas 2004, p. 415-419)
  • ↑ « Mais elle est jolie ! » (Zola 1980, p. 90, chap. II).
  • ↑ Zola 1980, p. 166, chap. V.
  • ↑ Zola 1980, p. 160, chap. IV.
  • ↑ Cnockaert 2004, p. 442.
  • ↑ À 20 ans, elle en paraît 16 (Zola 1980, p. 89, chap. II).
  • ↑ Elle devient femme et troublante (Zola 1980, p. 263, chap. VII).
  • ↑ a et b Kaminskas 2004, p. 416.
  • ↑ Kaminskas 2004, p. 420.
  • ↑ a b et c Becker et Landes 1999, p. 51.
  • ↑ Ramond 1970, p. 27.
  • ↑ de Langenhagen et Guislain 2005, p. 157.
  • ↑ « Vous savez qu’elles se vengeront. » Bourdoncle (Zola 1980, p. 62, chap. II) ; « Vous savez qu’elles se rattraperont. » Hartmann (Zola 1980, p. 116, chap. III) ; « Oui, vous y laisserez de votre chair, mon ami. » Hartmann (Zola 1980, p. 392, chap.
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