Au sommaire IMAGYNA :
- La peur du conflit peut pousser une personne à choisir l’infidélité plutôt que de confronter les problèmes dans sa relation.
- Les personnes infidèles peuvent se sentir heureuses dans leur relation principale tout en cherchant à surmonter leurs frustrations par l’infidélité.
- Le pardon après une tromperie nécessite des changements personnels et une compréhension des fondamentaux relationnels.
- L’infidélité est une trahison de l’engagement et peut conduire à une séparation permanente dans la majorité des cas.
- La découverte de l’infidélité peut entraîner des sentiments de perte, de colère et de tristesse, et il est normal de ressentir ces émotions.
Pourquoi tromper au lieu de quitter ?
Pour les curieux, 21h21 : Interprétation pour la santé, l’amour et la spiritualité
Nous allons ensuite expliquer ces facteurs car nous nous concentrons souvent davantage sur les stéréotypes de amants comme si nous pouvions les dessiner en noir et blanc (sans nuances), mais il faut entrer dans les modèles de pensée qui accompagnent l’infidélité comme un processus. Voici les 10 vérités que personne ne vous a jamais dites sur la façon de penser des gens infidèles :
Peur du conflit
Celui qui trompe son partenaire a recours à l’infidélité parce qu’il a peur de se battre pour quelque chose qui le dérange. L’infidélité est le piège parfait pour surmonter ses frustrations sans avoir à les affronter d’une manière qui pourrait être intense.
Alors là, l’infidèle est assis, heureux dans sa relation, mais toujours en train de tromper et de se demander pourquoi. Sûrement, dit l’infidèle, il doit y avoir quelque chose qui ne va pas avec moi ou avec ma relation, sinon je ne ferais pas ça. Et généralement, un thérapeute commencera à explorer ces possibilités avec eux, à la recherche d’un problème sous-jacent évident à explorer et à résoudre.
Comment pardonner une tromperie : 9 conseils pour vous libérer !
Pour passer au-delà de cet acte très destructeur pour vous, il va falloir opérer des changements sur votre personne. Comment se remettre d’une tromperie ? Cela passe par une compréhension de certains fondamentaux relationnels !
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Une séparation permanente
C’est souvent inévitable et compréhensible. L’infidélité est une traîtrise de l’engagement envers l’autre. C’est une offense à nos sentiments et une attaque à notre estime de soi et notre équilibre personnel. Toutes les personnes ne peuvent pas offrir le pardon, et toutes les personnes ne méritent pas le pardon. Dans la majorité des cas, l’infidélité amène à rompre la relation.
Il est normal de se sentir complètement perdu, en colère, énervé et triste en apprenant que son partenaire a été infidèle. Les premières choses à faire sont les suivantes :
Pour certains et certaines, il en ressort que les ruptures seraient bien douloureuses et que ces douleurs psychologiques seraient visibles en observant notre activité cérébrale (au même titre qu’une douleur physique). D’autres ont suggéré que se sentir rejetée par son ou sa partenaire pouvait causer un grand sentiment de perte, voire une sensation similaire au « sevrage » d’une addiction !
Parler de sa rupture pour s’en remettre
Que l’on quitte ou que l’on se fasse quitter, que l’on se rassure : les ruptures sont douloureuses, mais des méthodes peuvent nous aider à traverser ces moments compliqués.
81% des femmes qui trompent leur conjoint l’aiment toujours*. Super. Comme les hommes, nous tenons désormais un double discours pour nous accommoder avec notre conscience. Comme eux, si nous sommes volages, ce serait pour briser une routine ennuyeuse, par curiosité, pour tester notre pouvoir de séduction. Bref, pour rompre avec la monotonie. Qui nous tient malgré tout. La preuve : 74% avouent ne pas vouloir perdre le confort et la sécurité de leur foyer pour autant. Parmi les autres bonnes raisons de ne pas quitter leur compagnon de vie, 69% des femmes volages invoquent le fait de ne pas vouloir faire souffrir leurs enfants, 35% la peur de se retrouver seule et 28% craignent le jugement des autres. Amusant, de voir comment les mêmes arguments passent d’un sexe à l’autre – si on peut dire. Ce que l’étude ne dit pas, et que nous aurions aimé savoir, c’est si ces femmes déculpabilisées et décomplexées mènent une double vie, avec un amant régulier. Ou si elles se contentent, de passer de bons moments de temps en temps, histoire de redonner un peu de piquant à une relation conjugale en baisse de régime. Car ce n’est pas tout à fait la même chose. Mais peut-être que la prochaine étude de Gleeden (site spécialisé dans les rencontres extraconjugales, mieux vaut le préciser) nous le dira ? Au passage, chapeau à toutes ces femmes qui réussissent à trouver le temps, entre leur mari, leurs enfants, leur boulot et le reste de s’adonner à quelques galipettes !