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Maîtriser l’Art de Poser les Bonnes Questions : La Clé de la Communication Efficace

by Margaret Jacob

Au sommaire IMAGYNA :

  • Poser les bonnes questions est essentiel pour une communication efficace.
  • L’écoute active et la reformulation sont des alliés précieux pour poser les bonnes questions.
  • La communication non verbale de l’interlocuteur doit être prise en compte lors du questionnement.
  • Éviter les questions négatives ou hors sujet est crucial pour le succès du questionnement.
  • Le questionnement est utile dans de nombreuses situations, surtout en posture de leadership.
  • Poser des questions centrées sur l’interlocuteur encourage à exprimer clairement ses idées et ses émotions.

L’art de poser les bonnes questions

Maîtriser l'Art de Poser les Bonnes Questions : La Clé de la Communication Efficace

Questionner ne signifie pas simplement poser des questions. Ce serait bien trop simple ! L’important est de poser les bonnes questions au bon moment. Pour cela, l’écoute active et la reformulation sont 2 alliés précieux. Soyez attentif également à la communication non verbale de votre interlocuteur et sachez vous adapter. Par ailleurs, veillez à éviter autant que possible les questions négatives ou hors sujet, ce qui pourrait anéantir tous vos efforts.

Utilité du questionnement

Maîtriser l'Art de Poser les Bonnes Questions : La Clé de la Communication Efficace

Questionner fait partie intégrante de la communication. Cela est fort utile dans de nombreuses situations :

Poser les bonnes questions est un art qu’il est essentiel de maîtriser dès que nous sommes en posture de leadership et que l’on doit être attentif à l’évolution humaine et professionnelle de ses collaborateurs. Je me suis bien souvent aperçue, dans mes interventions en entreprises, que poser les questions adaptées pour obtenir des réponses claires n’était pas toujours naturel. Pourtant, savoir poser des questions centrées sur son interlocuteur (son contexte, ses émotions, ce qu’il traverse et comment il le traverse) peuvent l’encourager à exprimer clairement ses idées, ses pensées, ses craintes, ses forces, ses ressources et aussi ses points qu’il souhaite améliorer.

350 bonnes questions à poser

Voici notre liste incroyablement longue de bonnes questions à poser. Utilisez-les pour lancer une conversation ou comme moyen amusant de passer du temps avec des amis ou des proches. Avec 350 questions parmi lesquelles choisir, nous sommes convaincus que tout le monde peut trouver plein de bonnes questions à poser !

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Essayez d’être créatif autant que possible et amusez-vous avec les questions. Et n’oubliez pas de poser quelques questions de suivi !

Poser les bonnes questions, à soi-même ou aux autres, c’est approfondir les relations, améliorer la qualité de la pensée, de la prise de décisions et même la créativité. Pour ne pas trop s’éparpiller, on va voir dans cet article la partie « pensée », qui est la relation qu’on a avec soi-même, et aussi les relations interpersonnelles. On passe plus de temps à vouloir donner des réponses qu’à chercher à poser des questions. Et pourtant, une bonne question peut résoudre de nombreux problèmes…On va voir dans cet article pourquoi et comment poser les bonnes questions, et surtout quelles questions poser.

Si j’avais une heure pour résoudre un problème et que ma vie dépendait de la solution, je passerais les 55 premières minutes à déterminer la bonne question, une fois que je saurais la bonne question, je pourrais résoudre le problème en moins de 5 min.

Albert Einstein

Savoir se poser de bonnes questions est une compétence clé qui peut nous aider dans énormément de domaines : productivité, vente, management, négociation, communication, apprentissage, résolution de problèmes…

La questiologie : l’art de poser la bonne question…au bon moment

Que diriez-vous d’apprendre à maîtriser l’art de poser les bonnes questions ? D’améliorer votre capacité à questionner davantage et à affirmer beaucoup moins? De devenir de plus en plus habile à poser la bonne question au bon moment ? C’est ce que propose Frédéric Falisse, un spécialiste de la communication avec sa méthodologie qu’il appelle la questiologie. Évidemment, le questionnement efficace est une des 11 compétences essentielles du coach prônées par l’International Coach Federation.

On ne peut pas empêcher le cerveau de chercher des réponses, mais on peut changer les questions qu’on lui pose.

Se poser les bonnes questions permet de diriger son cerveau dans la bonne direction

Un conseil que j’ai lu plusieurs fois concernant l’argent, c’est qu’au lieu de se dire « c’est trop cher », il vaut mieux se demander « comment je pourrais me l’offrir ? » pour lancer son cerveau à la recherche de solution. En vous posant les bonnes questions, vous pouvez diriger votre cerveau. Et il est donc indispensable d’apprendre à se poser les bonnes questions pour être sûr de ses choix.

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Souvent, en cours de philosophie, lorsqu’un élève pose une « bonne question », les autres entendent bien qu’il s’agit de la question qui « montait » depuis un certain temps, de l’enjeu essentiel, implicite dans les échanges précédents. La bonne question est celle qui clarifie cet enjeu : elle a cette double caractéristique de le ramasser et de le dramatiser en même temps. En général, la bonne question est directe, frontale ; elle se pose là. La bonne question est souvent formulée par celui qui est capable d’oser la simplicité, qui ne se protège pas derrière de pseudo-sophistications : elle n’est pas « prise de tête », pas alambiquée. Il y a de la joie dans une bonne question : joie de celui qui la pose, joie de ceux qui la comprennent, joie de la pensée elle-même. Une bonne question claque et réveille, même quand elle reste sans réponse, ce qui arrive souvent et pourrait tendre à prouver qu’elle était vraiment bonne. Une bonne question relève aussi d’un certain timing : c’est parce qu’elle arrive au bon moment qu’elle est bonne. La bonne question ne l’est donc souvent pas en soi, mais relativement à un certain contexte, ce qui peut être vrai aussi bien au niveau d’un cours de philosophie que de l’histoire de la philosophie elle-même. « Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? » est une bonne question, posée par Leibniz au XVIIe siècle, qui reprend mais surtout adapte la traditionnelle question aristotélicienne sur la nature de l’Être. Elle est bonne parce que, ainsi formulée, elle parle aux hommes de son temps, qui est notamment le siècle du progrès de l’algèbre. Il y a dans une bonne question un étonnant mélange d’humilité et de courage. Humilité, car poser une bonne question signifie d’abord ne pas en connaître la réponse. Mais courage aussi, car une bonne question engage son auteur sur sa vision d’un problème, révèle une manière de voir synthétique : une bonne question rend inutile un grand nombre d’autres questions. Une bonne question, le plus souvent, met tout le monde d’accord : non sur la réponse mais sur la pertinence de la question et, plus encore, sur le désir de s’y confronter. Elle ne peut sortir d’un esprit blasé, elle émane difficilement d’un esprit ironique : elle rappelle, dans sa simplicité, que la philosophie commence avec cette capacité à s’étonner de ce que d’autres ne remarqueraient même pas. La bonne question se repère à son effet immédiat : elle nous rend soudain plus présents à nous-mêmes et au monde.

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Plan d’action

Les questions de conseil sont utiles lorsque votre recherche a pour but de faire des recommandations. Ce type de recherche implique souvent la préparation d’un plan d’action séparé destiné à un client particulier à la fin de votre mémoire. Dans ce cas, il est logique d’inclure au moins une question de conseil.

Les questions déductives vous permettent de mesurer une conséquence et font émerger le plus souvent au moins une hypothèse. Ce sont des questions fermées (auxquelles on répond par « oui » ou « non »).

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