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Quelle formation à Jordan Bardella ?

by Nadia Moulin

Jean-Marie Le Pen ([ ʒɑ̃maʁi ləpɛn]), né le 20 juin 1928 à La Trinité-sur-Mer (Morbihan), est un homme politique français.

Qui est le père de Jordan bardella ?

  • ↑ « La grand-mère paternelle, native de La Ferté-sous-Jouarre et elle aussi issue pour partie de l’immigration avec un père algérien, venu travailler en France comme manœuvre dans le bâtiment…», Jean-Louis Beaucarnot, Le Tout-Politique 2022, L’Archipel, 2022, p.47
  • ↑ « Vu d’Italie. Jordan Bardella à la conquête des banlieues », sur courrierinternational.com, 10 mai 2019 (consulté le 18 mai 2019).
  • ↑ a et b Virginie Le Guay, « Le Rassemblement national abat sa carte jeune », sur parismatch.com, 27 décembre 2018.
  • ↑ a b c et d Tristan Berteloot, « Jordan Bardella, poupée de Front pour les européennes », Libération, 26 décembre 2018 (consulté le 27 décembre 2018).
  • ↑ Nicolas Massol, « Jordan Bardella, Sarah Knafo, Pierre Gentillet… du RN à LR, l’ascension des copains de faf » Accès payant, sur Libération, 28 octobre 2022 (consulté le 28 octobre 2022)
  • ↑ Anna Villechenon, « Le FN affiche sa volonté de (re)conquérir les banlieues », Le Monde, 3 septembre 2016 (consulté le 25 février 2019).
  • ↑ Olivier Kahn, « Jordan Bardella, l’insouciance de la jeunesse », sur vsd.fr, 16 mai 2019 (consulté le 17 mai 2019).
  • ↑ « Européennes : quatre choses à savoir sur Jordan Bardella, la jeune tête de liste choisie par Marine Le Pen », sur francetvinfo.fr, 13 janvier 2019 (consulté le 6 avril 2019).
  • ↑ a b et c Benjamin Sire, « Jordan Bardella : Monsieur pas si propre » Accès payant, sur franc-tireur.fr, 6 avril 2022 (consulté le 1er mai 2022)
  • ↑ « Jordan Bardella en couple avec l’une des petites-filles de Jean-Marie Le Pen », sur parismatch.com, 16 octobre 2020 (consulté le 3 novembre 2020).
  • ↑ Eve Szeftel, « Régionales: Jordan Bardella, jeune candidat FN, mène campagne en Seine-Saint-Denis », sur lepoint.fr, 2 décembre 2015.
  • ↑ « Élections européennes : À 23 ans, Jordan Bardella conduira la liste du Rassemblement national »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), La Voix du Nord, 7 janvier 2019 (consulté le 6 avril 2019).
  • ↑ (de) Sophie Aschenbrenner, « Das ist: der Posterboy der französischen Rechten », sur jetzt.de, 18 avril 2019 (consulté le 13 janvier 2019).
  • ↑ a b c et d Robin D’Angelo, « Européennes : Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national aux airs de faire-valoir », sur lejdd.fr, 12 janvier 2019 (consulté le 28 juillet 2019).
  • ↑ « Le nouveau visage du FN », sur leparisien.fr, 16 juillet 2014.
  • ↑ a et b Thibault Franceschet, « Les « jeunes loups » de Marine Le Pen », Les Échos Start,‎ 4 mai 2017 (lire en ligne, consulté le 15 janvier 2020).
  • ↑ Laurent Fargues, « Le passé secret d’assistant parlementaire de Jordan Bardella », sur challenges.fr, 18 avril 2019.
  • ↑ Béatrice Houchard, « Au FN, Jordan Bardella devient “M.
  • Quel est le meilleur centre de formation du Cameroun ?

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    Quel est le métier de Florian Philippot ?

    Florian Philippot, né le 24 octobre 1981 à Croix (Nord), est un homme politique français.

    Inspecteur de l’administration, se réclamant du gaullisme et du souverainisme, il soutient Jean-Pierre Chevènement à l’élection présidentielle de 2002.

    En 2011, il adhère au Front national (FN) et devient rapidement un influent conseiller de Marine Le Pen, qui le nomme directeur stratégique de sa campagne présidentielle de 2012. Devenu vice-président du FN, il s’impose comme la personnalité frontiste la plus présente dans les médias et concourt à l’exclusion du fondateur du parti, Jean-Marie Le Pen.

    Après avoir été battu aux élections législatives de 2012 en Moselle et aux élections municipales de 2014 à Forbach, il est élu député européen lors des élections de 2014 dans la circonscription Est, ainsi que conseiller régional aux élections de 2015 en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine (devenue ensuite région Grand Est).

    Aux élections législatives de 2017, une nouvelle fois, il ne parvient pas à faire son entrée à l’Assemblée nationale, alors que l’extrême droite obtient une dizaine de députés. Dans les mois qui suivent, tandis que sa ligne « sociale-souverainiste » et son influence au sein du FN suscitent une opposition croissante en interne, il quitte la formation et fonde son propre parti, Les Patriotes (LP).

    Dès lors, il accumule les échecs électoraux : il n’est pas réélu au Parlement européen en 2019 (sa liste ayant obtenu 0,6 % des suffrages), échoue au scrutin municipal de 2020 à Forbach, puis perd son dernier mandat électif à l’occasion des élections régionales de 2021 dans le Grand Est. Parallèlement, son audience augmente à nouveau avec son opposition aux mesures de restrictions prises contre la pandémie de Covid-19.

    Il annonce son intention d’être candidat à l’élection présidentielle de 2022, avant de se retirer deux mois avant le scrutin, n’ayant reçu qu’un parrainage d’élus sur les 500 nécessaires. Aux élections législatives qui suivent, il échoue à nouveau à devenir député de la Moselle.

    Son père, Daniel Philippot, en 2017.

    Florian Philippot est le fils d’un directeur d’école primaire publique[1], Daniel Philippot, et d’une institutrice, Marion Dondaine[2]. Le couple vote pour François Mitterrand à l’élection présidentielle de 1981 avant de se rapprocher de la droite les années suivantes[3]. Daniel Philippot est nommé directeur de la section du collectif d’enseignants « Racine » du Nord-Pas-de-Calais-Picardie par Marine Le Pen en octobre 2015[4], et est élu conseiller régional des Hauts-de-France en décembre 2015. Il quitte le FN pour rejoindre Les Patriotes à sa création, en 2017[5].

    Son frère, Damien Philippot, diplômé de l’ESCP Europe et de l’IEP de Paris, travaille à l’Institut français d’opinion publique (Ifop) jusqu’en 2016[6],[7],[8], en tant que directeur des études politiques, puis, selon les sources, chargé des stratégies d’entreprise au département opinion ou directeur adjoint du département opinion[8],[9]. Il est présenté en 2016 comme un « conseiller occulte » ou « officieux » de Marine Le Pen[10],[11],[12].

    Quel métier faisait Jean-marie Le Pen ?

    src= »//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/52/JM_Le_Pen_22092007.jpg/220px-JM_Le_Pen_22092007.jpg »> Jean-Marie Le Pen en 2007.

    Fonctions Président des Comités Jeanne En fonction depuis le 22 mars 2016(7 ans, 5 mois et 9 jours) Secrétaire général Laurent OzonLorrain de Saint Affrique Prédécesseur Fonction créée Député européen 20 juillet 2004 – 1er juillet 2019 (14 ans, 11 mois et 11 jours) Élection 13 juin 2004 Réélection 7 juin 200925 mai 2014 Circonscription Sud-Est (France) Législature 6e, 7e et 8e Groupe politique NI (2004-2007)ITS (2007)NI (2007-2019) 24 juillet 1984 – 10 avril 2003(18 ans, 8 mois et 17 jours) Élection 17 juin 1984 Réélection 15 juin 198912 juin 199413 juin 1999 Circonscription France Législature 2e, 3e, 4e et 5e Groupe politique GDE (1984-1989)GTDE (1989-1994)NI (1994-1999)GTI (1999-2001)NI (2001-2003) Successeur Marie-France Stirbois Président d’honneur du Front national 16 janvier 2011 – 11 mars 2018(7 ans, 1 mois et 23 jours) Président Marine Le Pen Prédécesseur Fonction créée Successeur Fonction supprimée Conseiller régionalde Provence-Alpes-Côte d’Azur 26 mars 2010 – 13 décembre 2015(5 ans, 8 mois et 17 jours) Élection 21 mars 2010 Circonscription Alpes-Maritimes Groupe politique Front national 27 mars 1992 – 24 février 2000(7 ans, 10 mois et 28 jours) Élection 22 mars 1992 Réélection 15 mars 1998 Circonscription Alpes-Maritimes Groupe politique Front national Président du Front national 5 octobre 1972 – 16 janvier 2011(38 ans, 3 mois et 11 jours) Élection 29 avril 1973 Réélection 23 juin 19744 mai 19751er novembre 197612 novembre 19789 mai 19823 novembre 19851er avril 19906 février 199431 mars 199730 avril 200021 avril 200318 novembre 2007 Prédécesseur Parti créé Successeur Marine Le Pen Député français 2 avril 1986 – 14 mai 1988(2 ans, 1 mois et 12 jours) Élection 16 mars 1986 Circonscription Paris Législature VIIIe (Cinquième République) Groupe politique FN-RN (président) 19 janvier 1956 – 9 octobre 1962(6 ans, 8 mois et 20 jours) Élection 2 janvier 1956 Réélection 30 novembre 1958 Circonscription 1re de la Seine (1956-1958)3e de la Seine (1958-1962) Législature IIIe (Quatrième République)Ire (Cinquième République) Groupe politique UFF (1956-1957)NI (1957-1958)IPAS (1958-1962) Prédécesseur Scrutin plurinominal Successeur René Capitant Biographie Nom de naissance Jean Louis Marie Le Pen Surnom Le Menhir[1] Date de naissance 20 juin 1928 (95 ans) Lieu de naissance La Trinité-sur-Mer (France) Nationalité Française Parti politique UFF (1956-1957)MNACS (1957)FNC (1957-1961)CTV (1964-1966)FN (1972-2015)CJ (depuis 2016) Syndicat UDCA (1956-1957) Conjoint Pierrette Lalanne (1960-1987)Jany Paschos (depuis 1991) Enfants Marie-Caroline Le PenYann Le PenMarine Le Pen Diplômé de Faculté de droit de Paris Profession Marin-pêcheurMineur de fondMétreur d’appartementAmbulant postalMilitaireÉditeur Religion Catholicisme Résidence Parc de Montretout, Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) Site web jeanmarielepen.com Signature de Jean-Marie Le Pen modifier Consultez la documentation du modèle
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    Jean-Marie Le Pen ([ ʒɑ̃maʁi ləpɛn][a]), né le 20 juin 1928 à La Trinité-sur-Mer (Morbihan), est un homme politique français.

    Qui est la première femme de Jean-marie Le Pen ?

    Pierrette Le Pen, née Lalanne le 10 septembre 1935 à Aire-sur-l’Adour (Landes), est la première épouse de Jean-Marie Le Pen (1960-1987) et la mère de Marie-Caroline, Yann et Marine Le Pen.

    Fille d’un négociant en vin de la bourgeoisie landaise, Pierrette Lalanne épouse en premières noces l’imprésario Claude Giraud[1]. Dans les années 1960, elle travaille brièvement comme mannequin[2],[3].

    Pierrette Lalanne rencontre Jean-Marie Le Pen en 1958, lors d’une soirée de gala. Elle l’épouse, en secondes noces, le 29 juin 1960 à la mairie du 8e arrondissement de Paris.

    Ils ont trois filles, Marie-Caroline, Yann et Marion Anne Perrine, dite Marine[4]. Pierrette Le Pen accompagne à l’époque son mari dans ses activités politiques[5]. Leurs intimes sont l’héritier Hubert Lambert — lequel leur léguera sa propriété cossue au sein du parc de Montretout, à Saint-Cloud — ou Jean-Marie Le Chevallier, directeur de cabinet de Jean-Marie[2].

    En 1972, elle demande une première fois le divorce[6].

    Début 1984, elle rencontre le journaliste Jean Marcilly (it), chargé d’écrire une biographie de Jean-Marie Le Pen[n 1] à l’occasion des élections européennes, et qui s’installe à Montretout pour rédiger son ouvrage. Le 10 octobre 1984, elle quitte subitement avec lui le domicile familial.

    Elle intente ensuite un procès à son époux, avec comme avocat Gilbert Collard. Leur séparation est fortement médiatisée, alors que les deux époux polémiquent par voie de presse : Pierrette Le Pen accuse entre autres son époux d’antisémitisme. Ses trois filles publient un communiqué dans lequel elles affirment leur solidarité avec leur père et accusent leur mère de se répandre en calomnies.

    Interrogé par Playboy, Jean-Marie Le Pen, qui refuse de payer une pension alimentaire à son épouse, déclare : « si elle a besoin d’argent, elle n’a qu’à faire des ménages »[7].

    Quel est le salaire mensuel de Marine Le Pen ?

    Présidentielle : Marine Le Pen touche toujours son indemnité de présidente du RN

    La candidate d’extrême droite a cédé les rênes du parti à Jordan Bardella, mais perçoit encore 5 000 euros mensuels pour ce poste, révèle « Libération ».

    Par LePoint.fr Publié le 04/02/2022 à 14h22 – Modifié le 04/02/2022 à 16h42

    Marine Le Pen n’est plus présidente du Rassemblement national (RN), mais elle continue de percevoir la rémunération affiliée à ce poste. Soit 5 000 euros mensuels, révèle Libération. Le quotidien rappelle que cette somme s’ajoute à ses émoluments en tant que députée du Pas-de-Calais et conseillère régionale, qui s’élèvent à 8 400 euros brut.

    Pourtant, la candidate d’extrême droite a quitté son poste le 12 septembre dernier pour se consacrer exclusivement à la campagne présidentielle. « Je me mets à la disposition des Français », avait-elle déclaré à l’époque. C’est Jordan Bardella qui assure depuis la fonction de président par intérim du parti fondé par Jean-Marie Le Pen.

    Poste qu’il assure bénévolement. « Je ne touche pas un euro du Rassemblement national », confirme, auprès de nos confrères, l’eurodéputé, qui est donc rémunéré par le Parlement européen.

    Qui est la fille de Marion Maréchal-le Pen ?

  • ↑ Tugdual Denis, « Ça déménage chez les Le Pen », sur lexpress.fr, 30 septembre 2014 (consulté le 25 juillet 2016).
  • ↑ « La petite-fille de Jean-Marie Le Pen se lance en politique », sur lemonde.fr, 4 décembre 2009 (consulté le 27 mai 2018).
  • ↑ « Marion Maréchal explique pourquoi elle abandonne le nom Le Pen », sur francetvinfo.fr, 24 mai 2018 (consulté le 5 juillet 2020).
  • ↑ « Marion Maréchal: « Je n’aurai jamais honte » du nom Le Pen », sur lepoint.fr, 24 mai 2018 (consulté le 27 juin 2019).
  • ↑ « Avant Marion Maréchal, Jean-Marie et Marine Le Pen avaient déjà changé d’identité », sur lejdd.fr, 24 mai 2018 (consulté le 5 juillet 2020).
  • ↑ « Marion Maréchal-Le Pen se fait désormais appeler Marion Maréchal », sur bfmtv.com, 18 mai 2018 (consulté le 8 juillet 2018).
  • ↑ a et b Maël Thierry, « Ce poison nommé « Marion » », L’Obs, no 2666,‎ 10 décembre 2015, p. 37.
  • ↑ « Madeleine Bazin de Jessey, sainte-y-touche », sur liberation.fr, 15 janvier 2017 (consulté le 23 octobre 2020).
  • ↑ a et b Guyonne de Montjou, « La nouvelle vie de Marion Maréchal », Le Figaro Magazine,‎ semaine du 19 mai 2017, p. 54-56.
  • ↑ a et b Chloé Woitier, « Marion, le nouveau visage du clan Le Pen », sur lefigaro.fr, 25 avril 2012 (consulté le 23 octobre 2020).
  • ↑ Paul Larrouturou, « Pourquoi Marion Maréchal-Le Pen a arrêté ses études », sur lelab.europe1.fr, 13 décembre 2012 (consulté le 23 octobre 2020).
  • ↑ Olivier Beaumont et Valérie Hacot, « FN : «Je leur manque à ce point-là ?», ironise Marion Maréchal-Le Pen », sur leparisien.fr, 19 novembre 2017 (consulté le 25 octobre 2020).
  • ↑ C.B., « Marion Maréchal-Le Pen se marie demain », sur laprovence.com, 28 juillet 2014 (consulté le 25 octobre 2020).
  • ↑ « Marion Maréchal-Le Pen enceinte: elle confirme sa grossesse et maintient sa plainte contre Minute », sur huffingtonpost.fr, 30 avril 2014 (consulté le 25 octobre 2020).
  • ↑ Virginie Le Guay, « Front national : Marion Maréchal-Le Pen volontairement en retrait », sur parismatch.com, 6 janvier 2017 (consulté le 18 janvier 2017).
  • ↑ « Marion Maréchal et son nouveau compagnon affolent la presse italienne », sur lepoint.fr, 20 juillet 2018 (consulté le 25 octobre 2020).
  • ↑ Alexandre Sulzer, « Marion Maréchal se marie le jour de la rentrée de Marine Le Pen », sur leparisien.fr, 2 septembre 2021 (consulté le 3 septembre 2021).
  • ↑ « Marion Maréchal Le Pen a accouché de son deuxième enfant », sur leparisien.fr, 13 juin 2022 (consulté le 5 juillet 2022).
  • A LIRE  Quels sont les signes de la fin d'une relation amoureuse ?

    Qui était le bras droit de Jean-marie Le Pen ?

    Bruno Mégret, né le 4 avril 1949 à Paris, est un haut fonctionnaire et homme politique français.

    Après avoir été membre du Rassemblement pour la République (RPR), puis présidé son propre mouvement, les Comités d’action républicaine (CAR), il rejoint dans les années 1980 le Front national (FN), dont il devient l’un des principaux dirigeants. Après sa rupture avec Jean-Marie Le Pen en 1998, il fonde le Mouvement national républicain (MNR), parti d’extrême droite.

    Bruno Mégret est le fils du haut fonctionnaire Jacques Mégret et de Colette Constantinides[note 1]. Il est l’aîné d’une famille de quatre enfants dont il est le seul garçon.

    À Bruxelles, où son père est en poste aux Communautés européennes, Bruno Mégret est scolarisé à l’école européenne[note 2]. De retour à Paris, il est pensionnaire à l’Institut catholique Bossuet[note 3] et inscrit en seconde au lycée Louis-le-Grand avant d’y être admis en classe préparatoire.

    Reçu à l’École polytechnique[note 4] en 1969, il en sort dans la « botte[note 5] » et intègre le corps des ponts et chaussées[note 6].

    Diplômé de l’Institut des hautes études de Défense nationale, capitaine de réserve de l’arme blindée et cavalerie, il a été élève officier de réserve de l’École de cavalerie de Saumur (incluant un stage commando à Quélern, puis deux mois en garnison en Allemagne à Offenbourg). Il a ensuite passé huit mois à Laon comme sous-lieutenant au 6e régiment de cuirassiers.

    En 1974, ses études en France terminées, il part, muni d’une bourse, pour les États-Unis où il passe une année à l’université de Californie à Berkeley. Il en revient avec un diplôme de Master of Science.

    Chargé de mission au Commissariat général du Plan en 1975 et 1976[note 7], il est affecté à l’aménagement du territoire lors de la préparation du VIe plan[note 8].

    Nommé à la direction départementale de l’équipement de l’Essonne en 1977[note 9], il est ensuite conseiller technique au cabinet du ministre de la Coopération de 1979 à 1981, puis directeur adjoint des infrastructures et des transports à la préfecture de la région Île-de-France jusqu’en 1986. Mis en disponibilité, il rejoint son corps d’origine deux ans plus tard, après sa défaite aux élections législatives. Jusqu’en juin 1989, où il est élu député européen, il est chargé de mission au conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD)[1].

    Rassemblement pour la République (1975-1982)[modifier | modifier le code]

    Dès 1975, il adhère au Club de l’horloge, un cercle de réflexion créé par de hauts fonctionnaires qui entendent élaborer une riposte intellectuelle au socialisme. Il adhère ensuite au Rassemblement pour la République (RPR)[note 10] via les réseaux de Charles Pasqua[note 11] et devient presque immédiatement membre du comité central du RPR. En 1981, lorsque François Mitterrand est élu, il se présente aux élections législatives au nom du RPR dans les Yvelines contre Michel Rocard qu’il met en ballottage.

    Bruno Mégret

    Fonctions
    Conseiller municipal de Marseille
    Biographie
    Date de naissance 4 avril 1949
    Lieu de naissance Paris (France)

    Quelle est la nationalité de Jordan bardella ?

    Jordan Bardella, né le 13 septembre 1995 à Drancy (Seine-Saint-Denis), est un homme politique français.

    Membre du Rassemblement national depuis 2012, il devient assistant parlementaire en 2015. Il est porte-parole du parti de 2017 à 2019, membre de son bureau national depuis 2018, ainsi que directeur national de Génération nation (anciennement Front national de la jeunesse). Il est conseiller régional d’Île-de-France depuis 2015.

    Aux élections européennes de 2019 en France, âgé de 23 ans, il conduit la liste du RN, qui arrive de peu en tête du scrutin. Élu député européen, il devient dans la foulée deuxième vice-président du parti. Il est sans succès tête de liste aux élections régionales de 2021 en Île-de-France.

    Il est ensuite nommé premier vice-président du RN par Marine Le Pen, assurant ainsi la fonction de président du parti par intérim durant la campagne présidentielle de celle-ci en 2022. Le 5 novembre 2022, lors du congrès du RN, il est élu président du parti face à Louis Aliot.

    Jordan Bardella naît le 13 septembre 1995 à Drancy, en Seine-Saint-Denis[4].

    Enfant unique, il est le fils d’un patron de PME, Olivier Bardella (1968-), et d’une agente territoriale spécialisée des écoles maternelles (ATSEM), Luisa Bertelli-Mota (1962-)[5],[6],[7].

    Il est issu d’un foyer d’origine italienne[8],[9]. Sa famille maternelle quitte le triangle industriel italien dans les années 1960[10]. Sa grand-mère paternelle (Réjane Mada) est aussi en partie issue de l’immigration, avec un père algérien d’ethnie kabyle (Mohand Seghir Mada) venu en France dans les années 1930 pour travailler comme manœuvre dans le bâtiment à Villeurbanne[11].

    Il grandit dans sa ville natale, dans une cité HLM[12],[13]. Plus tard, il assurera « représenter l’origine modeste et la fibre sociale » au sein des dirigeants FN[14].

    Après avoir obtenu un baccalauréat économique et social avec la mention très bien au lycée privé Jean-Baptiste-de-La-Salle à Saint-Denis[13], il étudie en licence de géographie à l’université Paris-Sorbonne, où il milite à l’Union nationale inter-universitaire (UNI), dont il dit être parti au bout de quelques mois[15]. Il arrête ses études sans obtenir de diplôme, indiquant préférer se consacrer à la politique[16],[17],[18].

    Il entretient durant un temps une relation avec Kerridwen Chatillon, fille de Frédéric Chatillon[19]. À partir de 2020, il est en couple avec Nolwenn Olivier, nièce de Marine Le Pen, fille de Marie-Caroline Le Pen (sœur aînée de Marine Le Pen) et de Philippe Olivier. Devenu ainsi un habitué de la propriété familiale de Montretout, il est accusé d’être favorisé au sein du RN en raison de son appartenance à la famille Le Pen[20].

    Il se définit comme agnostique[3].

    En 2012, à l’âge de 17 ans, Jordan Bardella adhère au Front national[21],[22],[23]. Il indique avoir pris sa carte « pour Marine Le Pen plus que pour le Front national »[24].

    Quel âge a Marie Le Pen ?

    Jean-Marie Le Pen
    Illustration. Jean-Marie Le Pen en 2007.

    Qui est le leader du Front National ?

    Rassemblement national
    Image illustrative de l’article Rassemblement national Logotype officiel.
    Présentation
    Président Jordan Bardella
    Fondation 5 octobre 1972 (FN)1er juin 2018 (RN)
    Scission dans MNR (1999)PDF (2009)CJ (2016)LP (2017)
    Siège 114 bis rue Michel-Ange75016 Paris
    Fondateurs Jean-Marie Le PenPierre Bousquet (†)François Brigneau (†)Roger Holeindre (†)Pierre Durand (†)Alain RobertAlain Jamet
    Vice-présidents Louis AliotDavid RachlineHélène LaporteEdwige DiazJulien SanchezSébastien Chenu
    Trésorier Kévin Pfeffer
    Porte-paroles Philippe BallardCaroline ColombierGaëtan DussausayeLaurent JacobelliAndréa KotaracJean-Lin LacapelleJulien OdoulMathilde Paris
    Mouvement de jeunesse Rassemblement national de la jeunesse
    Slogan « L’alternance c’est nous », « C’est maintenant et avec nous ! » ou « l’urgence c’est l’alternance »[1],[2]
    Journaux proches National-Hebdo (1984-2008)Flash (2008-2011)
    Positionnement Extrême droite[3],[4],[5]
    Idéologie Nationalisme[6]National-populisme[7],[8]Conservatisme social[9] National-conservatisme[10]Opposition à l’immigration[11]Nationalisme économique[12]Populisme de droite[9],[13],[14]Anti-mondialisation[15],[16]Protectionnisme[9]Souverainisme[17]Euroscepticisme[18]
    Affiliation nationale Rassemblement bleu Marine(2012-2017)
    Affiliation européenne Parti Identité et démocratie
    Adhérents 50 000 (revendiqués, 2023)[19]20 000 (estimés, 2019)
    Couleurs Bleu, blanc et rouge
    Site web rassemblementnational.fr
    Présidents de groupe
    Assemblée nationale Marine Le Pen (RN)
    Parlement européen Marco Zanni (ID)
    Représentation
    Députés
    Députés européens
    Conseillers régionaux
    Conseillers départementaux
    Maires de communes de plus de 30 000 habitants
    modifier Consultez la documentation du modèle
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    Le Rassemblement national (RN) — Front national (FN) jusqu’en 2018 — est un parti politique français d’extrême droite présidé par Jean-Marie Le Pen (1972-2011), Marine Le Pen (2011-2021) puis Jordan Bardella (depuis 2021).

    Le Front national émerge dans le paysage politique français au cours des années 1980, notamment lors des élections législatives de 1986. Candidat à l’élection présidentielle à cinq reprises, Jean-Marie Le Pen parvient à accéder au second tour du scrutin de 2002 face à Jacques Chirac, à la surprise générale dans un régime où domine le bipartisme. En 2017 puis en 2022, Marine Le Pen parvient également au second tour de l’élection présidentielle. La même année, avec 88 députés à l’Assemblée nationale, le RN obtient le meilleur résultat de son histoire.

    La plupart des observateurs politiques situent le RN à l’extrême droite de l’échiquier politique, mais ses représentants récusent en général cette appartenance pour lui préférer d’autres qualificatifs ou proposer d’autres façons d’envisager l’axe gauche-droite. Ce débat est récurrent depuis la « dédiabolisation » du parti dans les années 2010 à 2020 sous la présidence de Marine Le Pen. Au niveau européen, il est membre du Parti Identité et démocratie.

    Rassemblement national

    Présentation
    Président Jordan Bardella
    Fondation 5 octobre 1972 (FN) 1

    er

    juin 2018 (RN)
    Scission dans MNR (1999) PDF (2009) CJ (2016) LP (2017)
    Siège 114 bis rue Michel-Ange 75016 Paris

    Quel est l’âge de Michael Jordan ?

    Michael Jordan a fêté ses 60 ans ce vendredi 17 février 2023. L’ancien joueur des Chicago Bulls est toujours considéré par beaucoup comme le plus grand joueur de basket de l’histoire, près de 20 ans après la fin de sa carrière.

    Quel est l’âge de Monsieur Le Pen ?

    Jean-Marie Le Pen
    Illustration. Jean-Marie Le Pen en 2007.

    Qui est le deuxième mari de Marine Le Pen ?

    Candidate à l’élection présidentielle 2022, Marine Le Pen est actuellement célibataire. Une situation amoureuse qui n’a pas toujours été ainsi. La femme politique a en effet eu plusieurs relations et s’est même mariée à deux reprises. La première fois avec Franck Chauffroy, le père de ses trois enfants, de 1997 à 2000, puis avec Eric Lorio, de 2002 à 2006. Ce dernier avait rencontré la tante de Marion Maréchal au début des années 2000, lors de son premier divorce. Il a lui aussi travaillé au Front National puisqu’il était secrétaire national ainsi que conseilleur régional du Nord-Pas-de-Calais. Il a également été le chef de cabinet de Carl Lang.

    Né en 1964 à Verdun, Eric Lorio se tenait à ses côtés lorsqu’elle remporta les élections européennes en 2004. Face aux tensions de la vie politique, ils finirent par divorcer après quatre ans d’union. Il s’est par la suite éloigné du parti de son ancienne épouse et n’a plus fait de politique. Dans le livre Dans la peau de Marine Le Pen, sorti en 2012, une amie de Marine Le Pen avait fait quelques confidences à propos du couple.

    Qui est l’épouse de Jean-marie Le Pen ?

    Elle attaque en justice le ministère des Armées à ce sujet en 2018[90]. Marion Maréchal au gala des 40 ans du FN.

    Marion Maréchal-Le Pen est membre du bureau politique du FN à partir de 2012,[72] et secrétaire de la fédération FN de Vaucluse de 2012 à 2016[91],[92].

    Au congrès du Front national de novembre 2014, elle arrive première du vote des militants pour le comité central du parti, devançant, avec 80 % des suffrages, Louis Aliot (76 %), Steeve Briois (70 %) et Florian Philippot (69 %), qui est régulièrement présenté comme son rival[93]. Elle n’intègre pas le bureau exécutif, la plus haute instance du parti, refusant « que Marine Le Pen se fasse reprocher le fameux « Front familial » comme on entend si souvent de façon injuste » — eu égard à la présence de Louis Aliot, compagnon de Marine Le Pen. Elle explique également ce choix par le refus de la présidente du FN de constituer des vice-présidences politiques, qui avaient fait l’objet de son intérêt[94]. Dans le nouvel organigramme du FN, rendu public par Marine Le Pen en février 2015, ses soutiens sont marginalisés au profit de ceux de Florian Philippot[95],[96].

    En juillet 2016, elle relance la Fête des Bleu-blanc-rouge (BBR), dont la dernière édition avait eu lieu en 2006, avec un « rassemblement BBR Grand Sud » au Pontet sur la « thématique médiévale »[97],[98]. L’événement attire environ 1 500 militants et une centaine d’élus FN[98], ainsi que Marine Le Pen, alors que la presse évoque des tensions entre elle et Marion Maréchal-Le Pen[99]. À cette occasion, elle assure n’avoir « jamais renié la filiation politique avec Jean-Marie Le Pen » et vouloir « instaurer, à long terme, cette tradition de fête populaire autour des neuf fédérations du Grand Sud »[98]. L’historienne Valérie Igounet considère qu’en reprenant l’intitulé « BBR », « Marion Maréchal Le Pen prolonge donc la tradition FN tout comme son grand-père »[97].

    Invoquant un agenda chargé, elle décline la proposition de Marine Le Pen de jouer un rôle important dans l’organigramme de sa campagne présidentielle de 2017, et en particulier le poste de porte-parole ; elle intègre le conseil stratégique avec peu de soutiens, contrairement à Florian Philippot[72],[100],[101].

    Florian Philippot, rival de Marion Maréchal-Le Pen au sein du FN.

    Pendant la campagne présidentielle, elle tient de nombreuses réunions publiques, mais celles-ci ne sont pas relayées par l’appareil du FN[102]. Marine Le Pen lui refuse par ailleurs une invitation de France 2 dans L’Émission politique[103] et la qualifie publiquement de personne « assez raide » et « inexpérimentée »[104],[105],[106]. Alors que les vues de Florian Philippot sont privilégiées au sein du parti depuis 2012[107],[108],[109], la ligne libérale-conservatrice défendue par Marion Maréchal-Le Pen apparaît majoritaire au sein de l’électorat frontiste[110].

     

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