Colette Sauvage est la femme de l’animateur Philippe Bouvard depuis 1953. Le couple a deux enfants.
Quel âge a Colette Sauvage ?
Il exerce plusieurs professions, comme démarcheur d’encyclopédies ou vendeur de lunettes de soleil chez Lissac[20].
Le 31 octobre 1953, au Vésinet, il épouse Colette Sauvage (née le 31 mars 1936 au Vésinet), avec qui il a deux filles, Dominique (1954) et Nathalie (1964)[1]. Il dissimule un temps ses origines juives à sa future femme et se fait baptiser en cachette pour se marier (son parrain est le dessinateur Piem[11],[21]), alors qu’à 17 ans, elle est enceinte de leur premier enfant : « Je n’ai su qu’après qu’il était juif », confie-t-elle plus tard[3].
Alors qu’il songe à s’engager dans l’armée et à partir pour l’Indochine, il reçoit l’aide d’un ami, qui lui permet d’entrer en 1952 au service photographique du Figaro comme coursier[12]. Il en profite pour obtenir un stage au service des informations générales, ce qui lui permet d’écrire quelques lignes pour légender les photos. Il décroche sa carte de presse le 5 janvier 1953, puis obtient quelques mois plus tard la rubrique parisienne et mondaine. Il terminera sa carrière dans ce journal avec le titre de directeur général adjoint[12].
Auteur à la plume redoutée, il obtient le Prix de la Chronique parisienne le 22 mai 1957. De 1962 à 1973, il dirige les pages parisiennes du Figaro, puis devient, à France-Soir, rédacteur en chef, directeur et enfin éditorialiste (succédant à Carmen Tessier) de 1973 à 1998.
Il a été conseiller technique, notamment pour l’hebdomadaire L’Express en 1977. Il est chroniqueur à Paris Match de 1977 à 1992, et au Point en 1983[1].
Chroniqueur puis rédacteur en chef du journal France-Soir à partir de 1973, il est nommé en 1987 directeur général adjoint et directeur de la rédaction du quotidien. L’actionnaire du journal, la Socpresse, met fin en 1989 à son contrat à la direction générale, Bouvard n’ayant pu empêcher la baisse de diffusion du journal de 20 % en deux ans malgré une énorme campagne de publicité[22]. Il reste à la direction de la rédaction jusqu’en 2003.
Il collabore de 2003 à 2017 à la rédaction de Nice-Matin, où le site internet publie son billet quotidien. Le 30 décembre 2017, il informe dans son 5225e et dernier billet que sa chronique ne sera pas reconduite pour l’année 2018 en raison de difficultés financières rencontrées par le quotidien[23]. « Les responsables [de Nice-Matin] se sont très mal conduits, a-t-il confié. Ils m’ont laissé la liberté d’annoncer mon départ dans une chronique. Je me suis moi-même salué, à défaut de l’être par mes employeurs »[16].
Il tient aussi un bloc-notes hebdomadaire dans Le Figaro Magazine, qui prend fin en 2020.
Pendant les années 1960, en plus de son activité dans la presse écrite, il exerce des activités variées.
Quel est le salaire de Philippe Bouvard ?
De 1977 à 2014, Philippe Bouvard a animé Les Grosses Têtes. Depuis, Laurent Ruquier lui a succédé à l’animation du talk à succès de RTL. Invité de Non Stop People, Jacques Mailhot, ancienne Grosse Tête, a dévoilé son beau salaire.
Depuis plus de quarante ans, Les Grosses Têtes font la pluie et le beau temps de RTL. Voilà déjà cinq ans que Philippe Bouvard a été contraint et forcé de rendre son micro, en passant l’antenne à Laurent Ruquier. L’animateur de radio est parti avec bon nombre de ses sociétaires, nombreux à avoir refusé de poursuivre l’aventure sans l’animateur historique du programme. Jacques Mailhot, qui participait assidûment au programme depuis 1997, avait accepté de rempiler avec Laurent Ruquier dès 2014. Mais l’homme n’a finalement fait que quelques apparitions.
Invité de Non Stop People ce weekend, le journaliste de 70 ans a révélé le cachet astronomique qu’il touchait du temps de Philippe Bouvard aux commandes des Grosses Têtes : le chansonnier a ainsi révélé qu’il gagnait « 1000 euros par émission » à chacune de ses interventions.
Qui est le fils de Colette ?
Sido possède également une dimension très poétique. Résumé de Sido de Colette
Dans Sido, Colette se replonge dans ses souvenirs d’enfance en faisant le portrait des membres de sa famille : sa mère, Sidonie Landoy épouse Colette, puis son père, un ancien militaire à la retraite « Le capitaine » et enfin ses frères « Les Sauvages ». Sa mère qu’elle décrit avec admiration est femme libre et forte qui avait épousé son père en secondes noces. Colette dépeint de façon sagace et tendre la relation entre ses parents. Elle relate des moments forts de sa relation avec eux et retranscrit certains de leurs échanges qui reflètent leur positionnement dans le monde. Les sujets principaux qu’elle aborde sont la famille, la transmission, l’amour entre parents, conjoints et enfants, ainsi que la nature.
Dans Les Vrilles de la vigne, qui est un recueil de plusieurs nouvelles autobiographiques, Colette y exprime son amour pour sa maîtresse Missy, son goût pour la nature et une certaine nostalgie de son enfance.
A quel registre appartient Sido de Colette ?
Sido est un récit d’inspiration autobiographique où Colette dresse le portrait des membres de sa famille.
Le roman Sido utilise un registre épidictique en dressant des portraits flatteurs de personnages, en se concentrant sur leur personnalité plutôt que leur apparence physique, ce qui relève de l’éthopée. Colette met l’accent sur les sensations sensorielles, en les dépeignant dans toute leur richesse et leur intensité. Cela se manifeste dans les procédés littéraires employés par l’utilisation de champs lexicaux riches et la description régulière de sensations, allant jusqu’à la synesthésie.
Qui est le mari de Colette ?
Sa petite chambre qui l’accueillit jusqu’à ses 11 ans était au-dessus du porche d’entrée, une pièce sombre « au froid carrelage rouge », près de la chambre de sa nourrice.
Dans cette maison bourgeoise de la rue de l’Hospice (maintenant Rue Colette), elle y vécut une paisible enfance avec ses parents, sa sœur Juliette et son frère Achille, tous deux issus du premier lit de leur mère, et son frère Léopold. La famille a toujours été portée sur la littérature et la musique.
L’apprentissage du piano était obligatoire, telle une religion (entre 1919 et 1925, Colette collaborera avec Maurice Ravel). D’ailleurs, il est à noter qu’il découle une certaine musicalité dans l’œuvre de Colette lorsque celle-ci est lue à haute voix. C’est dans la musique que Colette aurait aimé plonger et vivre. C’est finalement l’écriture qu’elle choisira… ou que l’on choisira pour elle.
Colette poursuit son enfance entre l’école, la nature généreuse de la campagne poyaudine qu’elle affectionne, jusqu’à son départ du village. En effet, la situation financière est peu brillante et de 1880 à 1890, la ruine se profile.
Qui est le vrai père de Colette ?
Tel père, telle fille
Homme distrait, inoffensif, un peu ridicule, il laisse toute liberté à sa fille, qui en profite
Le père de Colette, le capitaine Jules Colette (1829-1905), second mari de Sido, né à Toulon, était entré à Saint-Cyr en 1847. Il avait servi en Guyane, Kabylie, Turquie, Afrique. Puis il participa à la campagne d’Italie de 1859, contre l’empire d’Autriche et pour l’indépendance italienne. Blessé à Melignano (Marignan) en juin 1859, il dut être amputé de la jambe gauche.
Sido épousa le percepteur avant la fin de l’année. Fantasque, rêveur, dira Colette dans Le capitaine, le chapitre de Sido consacré à son père, « il l’aimait sans mesure, – il la ruina dans le dessein de l’enrichir – elle l’aimait d’un invariable amour, le traitait légèrement dans l’ordinaire de la vie, mais respectait toutes ses décisions » (III, 516).
Le couple de ses parents fut pour Colette un modèle d’amour et de complicité, même si le capitaine, à la différence de Sido, de Colette et de ses frères, n’y connaissait rien à la nature, aux plantes et aux bêtes, hors des livres.
Qui sont les sauvages dans Sido ?
Juliette et Achille sont nés du premier mariage de Sidonie tandis que Léo et la narratrice sont les heureux bambins de Jules-Joseph.
Du côté des personnages secondaires, tu as les parents, les frères, les sœurs et les cousins de Sidonie. Les membres de la famille sont souvent présentés comme des gens hauts en couleur. Autant te dire que cette joyeuse troupe fait de l’ombre au voisinage !
Résumé global
Colette retrace son enfance passée en Bourgogne et sa relation avec sa maman. Quand l’histoire débute, les femmes font face au patriarcat et Sidonie devient une influence déterminante dans le parcours de son enfant.
Au début du roman, elle se souvient de la maison de campagne de ses parents. Elle dresse rapidement le portrait de Sido, une épouse courageuse, observatrice et amoureuse de sa province.
Mon enfance avait retenu des sentences, excommunicatoires le plus souvent, qu’elle lançait avec une force d’accent singulière […] D’où lui venait le don de définir, de pénétrer, et cette forme décrétale de l’observation ?
Après l’évocation de ses promenades dans la nature environnante, on change complètement de cadre ! Colette parle de Paris et décrit son apprentissage en ville, ses rencontres avec des personnes excentriques et ses débuts dans la danse et le théâtre.
Si sa fille explique que Sido la réprimande souvent, elle finit par admettre que sa maman est touchante et patiente. Malgré les épreuves, elle a su lui donner de l’amour et se montrer protectrice envers ses enfants (la prunelle de ses yeux quoi ).
À la fin du livre, Colette retourne dans la maison de campagne familiale et se remémore les moments les plus heureux de son enfance. Elle se rend compte que sa maman a été TRÈS importante pour elle (et on pèse nos mots ! ️).
Hop, le petit câlin pour faire oublier le 3/20.
Colette exprime sa gratitude envers cette femme extraordinaire qui a marqué à tout jamais son existence avant de célébrer le mariage de sa demi-sœur Juliette.
Olivier
La Sorbonne
13€/h
Jade
Sciences Po Paris
21€/h
Alma
ENS Paris-Saclay
24€/h
Jeanne
Aix-Marseille Université
17€/h
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Résumé par chapitre
Ici, on te résume les trois chapitres qui composent Sido !
Chapitre I : Sido
Le premier chapitre est consacré à la mère de l’auteure, Sidonie Landoy. On commence tranquillement avec une description de la maison familiale de Saint-Sauveur-en-Puisaye en Bourgogne.
Comme l’auteure a grandi là-bas, elle prend le temps de parler des traditions, des chansons folkloriques chantées pendant les fêtes locales et des histoires que sa grand-mère lui racontait.
Pourquoi Colette s’appelle Colette ?
Colette, pionnière du féminisme, à la fois journaliste, danseuse de pantomime et écrivaine au style inimitable a écumé de nombreux lieux de la capitale. Faites un bond dans le temps sur ses pas.
Capitale de ses amours libres, théâtre de ses romans et de sa vie, Paris révèle Colette en femme affranchie. Quand en 1889, certificat d’études en poche, Colette fait son premier voyage pour la capitale, la jeune femme aux tresses infinies s’appelle encore Sidonie Gabrielle. Elle n’a pas déjà fait du nom de son père, le capitaine Colette, son nom de femme de lettres.
Son premier appartement parisien
À 20 ans, elle laisse derrière elle sa Puisaye natale pour épouser le journaliste et romancier Henry Gauthier-Villars, dit Willy, et le suivre à Paris. Les tourtereaux établissent leur nid au troisième étage du 28, rue Jacob (6e).
Colette en garde un souvenir vivace, plusieurs fois traduit dans ses romans. « Sombre, attrayant comme sont certains lieux qui ont étouffé trop d’âmes, je crois que ce petit logement était très triste. Je le trouvais pourtant agréable », écrit-elle dans Mes apprentissages (1936).
Ses débuts d’écrivain : la série des « Claudine »
Willy l’introduit dans les salons littéraires et musicaux de la capitale. Et comme l’argent vient à manquer, il incite sa femme à raconter ses souvenirs d’enfance.
Qui faisait partie des grosses têtes avec Philippe Bouvard ?
La dernière édition Bouvard a lieu le 30 juin 2000, regroupant douze sociétaires pour l’occasion[13].
L’arrivée de Dechavanne s’accompagne d’autres changements : l’émission est rallongée (de 16 h à 18 h), le générique est modifié, et surtout l’équipe de sociétaires est complètement revue : Michel Boujenah, Élie Semoun,Michel Field, Bruno Solo, Martin Lamotte, André Santini, Dominique Farrugia, Patrick Bosso sont les nouvelles Grosses Têtes ; Michel Galabru, Isabelle Mergault et Olivier de Kersauson (plus souvent appelé « l’Amiral ») restent dans l’émission.
En trois mois, l’audience des Grosses Têtes version Dechavanne baissant d’au moins 600 000 auditeurs, la direction de la station décide d’arrêter définitivement l’émission dont la dernière a lieu le 29 décembre[14]. Un des ex-complices de Philippe Bouvard commente à l’époque : « Avec Bouvard, on mélangeait blagues de cabinet et citations de Marcel Proust. Le problème de Dechavanne, c’est que non seulement ses invités séchaient sur les questions, mais que lui aussi ignorait les réponses. Quant à Duhamel, il lui aurait suffi de prendre le taxi deux fois dans Paris pour connaître la réaction de l’auditeur-type »[15]. L’échec de Dechavanne profite à la concurrence, notamment à l’émission de Laurent Ruquier On va s’gêner sur Europe 1 (où Philippe Bouvard fait un passage éclair[16]). Finalement, après un mois de rétrospective des meilleurs moments parmi 10 000 séquences de l’émission[17], Philippe Bouvard fait son retour à l’antenne dès le 26 février 2001.
L’émission avec Dechavanne n’a jamais été programmée en Belgique : la station belge Bel RTL rediffuse d’anciennes émissions pendant cette période. Philippe Bouvard ne l’a jamais oublié, et a entretenu depuis lors des rapports privilégiés avec ses auditeurs belges[18].
Anne Roumanoff, Jacques Mailhot et Bernard Mabille.
Après la parenthèse Dechavanne, l’émission de Philippe Bouvard se transforme sensiblement dans les années 2000. La part des questions des auditeurs diminue au profit de la promotion d’un invité d’honneur et de la discussion autour de l’actualité. L’équipe habituelle évolue également, par la présence des chansonniers Bernard Mabille, Jean Amadou et Jacques Mailhot, du comédien Éric Laugérias,du journaliste et animateur radio Ariel Wizman, et d’anciens membres du Petit Théâtre de Bouvard tels que Jean-Jacques Peroni et Philippe Chevallier.La chanteuse Lio, un temps pressentie, refusa finalement de faire partie de la nouvelle équipe de sociétaires. Ceux-ci côtoient des intervenants anciens tels que Carlos, Jean-Pierre Coffe, Thierry Roland, Pierre Bellemare, Macha Méril, Jean-Claude Brialy, Jacques Balutin ou Amanda Lear. En revanche, Jean Yanne, qui a rejoint Europe 1 avec Philippe Bouvard au début de la saison 2000-2001, demeure sur cette station[19]. Son ami Pierre Bénichou prend le même chemin. D’autres se font plus rares comme Olivier de Kersauson, qui finalement rejoint à l’été 2009 l’émission concurrente On va s’gêner sur Europe 1, ou Sim qui a pris sa retraite de comédien. D’autres personnalités, anciens sociétaires ou non, sont des invités d’honneur réguliers chaque saison[N 1].
Comment va Philippe Bouvard ?
Philippe Bouvard va « comme on va à 93 ans (il s’apprête à les avoir les 6 décembre, NdlR)« , « avec une vue très déficiente et une ouïe qui n’est pas parfaite. »Pour le reste, notamment le cerveau, « ça va bien« , tient-il à ajouter auprès du Parisien, jeudi 6 octobre. Pour preuve, et ce malgré l’âge, cette figure du paysage audiovisuel français continue coûte que coûte à travailler, et n’envisage pas la retraite. « J’ai une chronique hebdomadaire sur RTL où je suis présent pour la 55e année consécutive . Je fais aussi une chronique dans VSD et j’en ai une autre dans l’information immobilière. Et puis, j’ai toujours un livre en cours« , se réjouit cet acharné et doyen de la presse française, qui sort son nouvel ouvrage Le Petit Monde de Don Bouvardo.
Pour cette vaste carrière, sept décennies de vie publique exactement, il concède devoir « remercier un bon Dieu auquel (il) déplore de ne pas croire« . Le célèbre journaliste sait que « le plus gros » de sa vie est « fait« , mais pense qu’il partira « au bon moment » au vu de la situation « catastrophique » du monde actuel.
Pourquoi Jean-jacques Peroni n’est plus dans les Grosses Têtes ?
Au cours de l’émission Chez Jordan présentée par Jordan de Luxe, Jean-Jacques Peroni s’est exprimé sur le soutien dont il a bénéficié après son départ des Grosses Têtes. Moment de pure vérité.
Jean-Jacques Peroni est toujours remonté contre les Grosses Têtes. En effet, l’humoriste avait été évincé de l’émission de radio de Laurent Ruquier après avoir dit du mal du climat qui y régnait. Il avait réagi à ce sujet lors d’un entretien avec Puremédias : « Je m’en fous d’avoir été viré. Complètement. Je n’ai aucun regret concernant mes propos », a-t-il déclaré.
Au cours de l’émission Chez Jordan pour Télé-Loisirs, il a assuré ne plus reconnaître le programme radio qu’il a pourtant tant apprécié : « Ce n’est plus Les Grosses Têtes, faut arrêter ! « , s’est-il confié. Il a d’ailleurs été particulièrement virulent au sujet de la chroniqueuse Christine Bravo, acolyte de Laurent Ruquier depuis bien des années.
Jean-Jacques Peroni « Je suis fier »
Lors de son entretien avec Jordan de Luxe, l’humoriste en est venu à parler des soutiens amicaux dont il a bénéficié après son éviction des Grosses Têtes.
Pourquoi Jean-jacques Peroni ne fait plus partie des Grosses Têtes ?
L’ancienne Grosses Têtes Jean-Jacques Peroni, avait été renvoyé de l’émission d’RTL suite à des propos qu’il avait tenu chez L’instant de Luxe sur Non Stop People où il estimait que le programme d’RTL était devenu bien trop lisse. « On est censurés par la bien-pensance. C’est la moraline. Il y a de l’auto-censure. Je raconte une blague et quand Ruquier me dit celle-là, on va la couper. Bon, ben, comme je dis, on n’est pas à France Inter ici, m*rde« , avait-il exprimé.
Visiblement pas touché par son éviction de la radio, Jean-Jacques Peroni était revenu sur son départ auprès de Puremédias en avril 2021. « Je m’en fous d’avoir été viré. Complètement. Je n’ai aucun regret concernant mes propos. Ce n’est plus la même radio. Depuis que M6 a racheté, ce n’est plus RTL. Ce n’est plus la rue Bayard. Il n’y a plus rien à en dire« , disait-il. Il a confié dans l’émission Chez Jordan de ce 5 octobre que la porte de la radio d’RTL serait cependant toujours ouverte pour un potentiel retour.
Pourquoi Philippe Bouvard a quitté les Grosses Têtes ?
Philippe Bouvard n’oubliera jamais son éviction des Grosses Têtes de RTL. Encore moins le fait d’avoir été remplacé par Laurent Ruquier. Dans une interview avec Jordan De Luxe, dont un extrait a été dévoilé sur Instagram, le journaliste n’a pas mâché ses mots envers son successeur.
Dire que le torchon brûle entre Laurent Ruquier et Philippe Bouvard serait un euphémisme. En 2014, après avoir dédié 37 ans de sa vie à RTL, le célèbre journaliste a été évincé des Grosses Têtes. Un départ que celui qui a été pris pour cible par Mesrine a encore beaucoup de mal à digérer. Et la raison est toute simple : il a été remplacé par Laurent Ruquier. “Je dois être le seul dans l’Histoire de la radio qui a été remplacé par celui qui essayait de le rattraper en vain depuis des années« , déplorait-il dans le Midi Libre en 2019. Dans le livre Des grumeaux dans la passoire, Philippe Bouvard révélait que sa collaboration avec Laurent Ruquier en 2000 sur Europe 1 ne s’était “pas bien passée”.
“Il pensait que ma carrière était terminée, il se réjouissait que je ne lui fasse plus concurrence.
Quel est le journaliste français le mieux payé ?
Le salaire d’un journaliste avec de l’expérience prend en compte plusieurs critères qui sont :– son niveau d’expérience (il doit avoir acquis au minimum 6 ans d’expérience pour être considéré comme un journaliste senior) ; – le poste qu’il occupe (rédacteur en chef, chef de rubrique, etc.) ;– sa spécialité (mais nous y venons plus bas dans l’article) ; – sa notoriété (le monde du journalisme est souvent décrit comme un “petit monde”, si bien que tout le monde se connaît, ou presque) ; – la réputation du média pour lequel il travaille (presse nationale, quotidien régional, etc.).
À la question de savoir combien gagne un journaliste senior, la réponse est la suivante : en moyenne il est compris entre 60 000 € et 70 000 € bruts par an. Bien sûr, cette fourchette reste une simple moyenne et la rémunération d’un journaliste reste au cas par cas. À titre d’information, et si l’on observe les offres d’emploi dans le journalisme en 2023, voici les fourchettes salariales mentionnées sur les annonces :– journaliste podcast : entre 25 000 et 30 000 euros par an ;– journaliste iconographe : entre 30 000 et 35 000 par an ;– chef de projets éditorial : entre 45 000 et 50 000 par an ;– rédacteur en chef web : 3 750 euros par mois.
Le journaliste et son salaire par spécialité
Tu l’auras compris, la rémunération d’un journaliste dépend aussi de la spécialité dans laquelle ce professionnel exerce sa profession. En effet, les enjeux diffèrent ainsi que les risques encourus. À titre d’exemple, un journaliste d’investigation touchera, par exemple, une prise de risque, tandis qu’un journaliste de presse en ligne, ne sera pas en mesure d’en bénéficier. Salaire journaliste sportif, d’investigation, de presse, journaliste scientifique, institutionnel, etc., on te dit tout sur les fourchettes salariales des différentes spécialités présentes en France sur le métier de journalisme.
Combien gagne un journaliste d’investigation ?
Il est souvent défini comme l’élite, le journaliste d’investigation est très respecté dans la profession. Ce secteur reste très fermé et seule une petite poignée des meilleurs journalistes accèdent à cette spécialité. Cet investigateur se rend régulièrement sur le terrain pour recueillir des informations ainsi que des témoignages sur des sujets importants. Régulièrement, il est accompagné d’un caméraman ainsi que d’un preneur de son. S’il existe peu d’informations concernant sa rémunération, le journaliste d’investigation touche un salaire qui prend en compte de la prise de risque selon le type de reportage qu’il est amené à réaliser.
Les revenus annuels moyens d’un journaliste presse écrite
C’est dans la presse écrite que la plupart des journalistes exercent encore aujourd’hui leur profession. Elle regroupe l’ensemble des journalistes qui travaillent pour des périodiques ou encore des journaux quotidiens. Sur un an, un journaliste de la presse écrite touche en moyenne entre 35 000 € et 45 000 € bruts.
Quelle est la chanteuse la mieux payé en France ?
Dr Dre – 620 millions 2. Beyoncé – 115 millions 3. The Eagles – 100 millions 4. Bon Jovi – 82 millions 5. Bruce Springsteen – 81 millions 6. Justin Bieber – 80 millions 7. One Direction – 75 millions 8. Paul McCartney – 71 millions 9. Calvin Harris – 66 millions 40. Toby Keith – 65 millions 2013
ARTISTES FRANÇAIS Sans surprise, c’est Mylène Farmer qui arrive en première position du classement Challenges des chanteurs français les mieux payés en 2013. Si aucun titre de son album Monkey Me n’aura marqué les esprits (lire notre critique du CD ici), les fans répondent toujours présent et s’en sont partagés 500 000 exemplaires. En revanche, sa tournée Timeless 2013 aura convaincu au-delà du cercle des adeptes de la première heure et attiré plus de 400 000 spectateurs. Résultat : 4,7 millions d’euros empochés par la chanteuse, reine du marketing ! La surprise du classement est signée Maitre Gims. Le jeune public a raffolé des singles issus de son premier album solo Subliminal. Les rotations radio se sont multipliées pour J’me tire et Bella et ce sont 450 000 copies qui ont trouvé preneurs. Au total, le rappeur a gagné un peu plus de 3 millions d’euros. Et avec la création de son label Monstre Marin au sein d’Universal Music, le chanteur du groupe Sexion d’Assaut n’a plus de souci à se faire pour son compte en banque…
Top des chanteurs français les mieux payés en 2013 (en euros) : 1. Mylène Farmer – 4,7 millions 2. Maître Gims – 3,1 millions 3. Johnny Hallyday – 3 millions 4. Zaz – 2,9 millions 5. Thomas Bangalter (Daft Punk) – 2,4 millions 5. Guy-Manuel de Homem-Christo (Daft Punk) – 2,4 millions 7. Florent Pagny – 2,3 millions 8. Christophe Maé – 2,2 millions 9. Pascal Obispo – 1,8 million 10. Emmanuel Moire – 1,5 million
ARTISTES INTERNATIONAUX Cette année, c’est Madonna qui est à la tête du classement Forbes des personnalités qui ont amassé le plus d’argent. Elle a ainsi empoché 125 millions de dollars grâce aux billets vendus sur sa tournée MDNA et sur ses collections de vêtements ou de parfums. Elle devance le réalisateur Steven Spielberg (100 millions), l’auteur de la série 50 Nuances de Grey EL James (95 millions), ainsi que Lady GaGa (80 millions). Suivent Bon Jovi (79 millions), Coldplay (64 millions), Justin Bieber et Taylor Swift. A noter que si les artistes décédés étaient pris en compte, c’est Michael Jackson qui serait en tête du classement. Ses revenus posthumes sont en effet évalués à 160 millions de dollars.
Mais Forbes n’est pas le seul média a s’intéresser à la fortune des célébrités. Dans un article daté du 10 mars 2014, Billboard a établi son propre classement des plus grosses recettes de l’année passée.
Qui est le plus riche entre Hanouna et Arthur ?
N°3 Yann Barthès (Bangumi)
Chiffre d’affaires : 27 millions d’euros
L’animateur est coactionnaire majoritaire, à 45%, de sa boîte de production, à l’origine de “Quotidien” ou du magazine “Stupéfiant” (France 2).
Estimation du chiffre d’affaires réalisé en France sur la saison 2016-2017 grâce aux principales productions de la société.
Quels sont les biens de Nagui ?
Une magnifique maison avec jardin à Paris, une belle villa avec piscine à Saint-Trop… L’animateur jouit d’un coquet patrimoinei mmobilier. Mais sa fortune ne s’arrête pas là. Selon ce document que nous nous sommes procuré , le trublion de la Deux dispose, via Holding Fam, d’une participation d’une valeur de 20 millions d’euros dans le groupe Banijay, un leader européen de la production télé (“Fort Boyard”, “Koh-Lanta”, “Touche pas à mon poste !”…).
A l’origine de ce trésor ? Un deal avantageux signé avec Stéphane Courbit, président de Banijay, à qui Nagui a vendu sa société Air Productions à la fin des années 2000. Aux côtés d’actionnaires comme Vincent Bolloré (Vivendi), il détient désormais 5,3% de ce poids lourd de près de 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires .
En attendant de toucher le pactole à la revente de ses parts, la star perçoit une confortable rémunération en tant que salarié du groupe. “Entre 750.000 euros et 1 million d’euros par an”, confie-t-on dans son entourage . Auxquels s’ajoutent, selon nos informations , de 120.000 à 150.000 euros de salaire annuel chez France Inter.
Quelle est la plus belle journaliste ?
Top 15 des plus belles animatrices françaises Par Yamina https://www.mariefrance.fr/auteur/eroux Publié le 10 Fév 2023 à 12:07 mis à jour le 10 février 2023 à 15:16
La télévision française compte bon nombre d’animatrices qui séduisent les téléspectateurs par leur talent et leur beauté. Talentueuses, intelligentes, mais aussi belles et sublimes, découvrez notre Top 15 des plus jolies animatrices françaises.
Les téléspectateurs sont toujours bien gâtés lorsqu’il s’agit d’animatrices à la télévision française. Que ce soit sur TF1, M6, W9 ou encore sur les chaines sportives, ces femmes de télévision font la pluie et le beau temps. Êtes-vous prêt pour un petit Top 15 des plus sublimes et jolies d’entre elles ? C’est parti !
Marie France, magazine féminin
Pourquoi Philippe Bouvard a quitté les grosses têtes ?
Philippe Bouvard n’oubliera jamais son éviction des Grosses Têtes de RTL. Encore moins le fait d’avoir été remplacé par Laurent Ruquier. Dans une interview avec Jordan De Luxe, dont un extrait a été dévoilé sur Instagram, le journaliste n’a pas mâché ses mots envers son successeur.
Dire que le torchon brûle entre Laurent Ruquier et Philippe Bouvard serait un euphémisme. En 2014, après avoir dédié 37 ans de sa vie à RTL, le célèbre journaliste a été évincé des Grosses Têtes. Un départ que celui qui a été pris pour cible par Mesrine a encore beaucoup de mal à digérer. Et la raison est toute simple : il a été remplacé par Laurent Ruquier. “Je dois être le seul dans l’Histoire de la radio qui a été remplacé par celui qui essayait de le rattraper en vain depuis des années« , déplorait-il dans le Midi Libre en 2019. Dans le livre Des grumeaux dans la passoire, Philippe Bouvard révélait que sa collaboration avec Laurent Ruquier en 2000 sur Europe 1 ne s’était “pas bien passée”.
“Il pensait que ma carrière était terminée, il se réjouissait que je ne lui fasse plus concurrence.
Qui est Julie dans les grosses têtes ?
Julie Leclerc ou Julie, nom de scène de Chantal Séloron, née le 11 juillet 1945 à Saint-Étienne (Loire), est une speakerine, animatrice de radio et de télévision française. Elle est l’une des voix emblématiques de la station Europe 1 entre 1972 et 2021.
Chantal Séloron[1], est originaire de Saint-Étienne. Son père est ingénieur et sa mère femme au foyer[2]. Elle fait ses études à Lyon où elle obtient une licence d’histoire de l’art[3].
Après avoir joué en 1970 dans la pièce Les Fraises musclées de Jean-Michel Ribes[4], elle devient en 1972, sous le pseudonyme de Julie[2], la « meneuse de jeu » sur la radio Europe 1 avec une première émission animée en duo avec Xavier Gélin le 8 mai 1972[3], la même année que Christian Morin. Elle rejoint une équipe composée à l’époque de Maryse Gildas, Viviane Blassel, Brigitte Morisan, Anne Perez et Françoise Rivière.
Au début de sa carrière sur Europe 1, elle accompagne Vonny dans Les bonnes femmes en début d’après midi, puis Hubert Wayaffe dans Nationale 1647 en matinée (1973). Évincée par Christiane Collange, elle rejoint RMC en 1975 durant une saison et anime une émission avec Thierry Le Luron[5] et Julien Lepers (Julien et Julie)[5]. En 1976, elle revient sur Europe 1 dont elle va devenir l’une des voix historiques[6]. Elle accompagne des journalistes ou animateurs comme Pierre Lescure ou Gilles Schneider et, en 1980, anime seule la matinale du dimanche matin.
Emblématique de la station, en sa qualité de meneuse de jeu, elle est l’une des plus anciennes voix d’Europe 1 avec Laurent Cabrol[7]. Elle accompagne d’abord le journaliste qui présente une grande tranche d’information le matin. Il s’est agi longtemps de Europe 1 Matin. Depuis 2018, il s’agit du 9h/11h.
Qui remplace Ruquier aux Grosses Têtes ?
Et, ce n’est nul autre que Laurence Boccolini, personnalité phare de France 2, qui remplacera Laurent Ruquier aux commandes de l’émission. C’est ce qu’a annoncé Stéphane Sitbon-Gomez, le directeur des antennes et des programmes de France Télévisions, dans une interview accordée à Midi Libre ce jeudi 24 août. Une rentrée prévue pour le mois d’octobre
« Le départ de Laurent Ruquier, que l’on ne souhaitait pas, s’est fait très tardivement dans la saison. Il a laissé Les Enfants de la télé, l’émission culte de la télé qu’il animait, un peu orpheline.
Qui faisait partie des Grosses Têtes avec Philippe Bouvard ?
Qui était dans Les Grosses Têtes dans les années 80 ?
Philippe Bouvard est le maître de cérémonie de cette émission qui accueille, à ses débuts, des personnalités comme Jacques Martin, Jean Dutourd, Jacques Balutin, Roger Pierre, Jean Yanne, Thierry Le Luron, Sophie Desmarets ou Jean Lefebvre.
Dans les années 80, les rangs s’élargissent à d’autres sociétaires: Olivier de Kersauson, Gérard Jugnot, Patrick Sébastien, Sim, Carlos, Roger Carel, Jacques Chazot, Philippe Castelli, Alice Sapritch, Daniel Ceccaldi, André Gaillard, Léon Zitrone, Claude Sarraute, Jackie Sardou, Darie Boutboul, Charles Level ou Macha Méril.
Leader sur sa tranche horaire de 16 à 18 heures, Les Grosses Têtes s’apparentent à une grande famille. Le talent de Philippe Bouvard consiste non seulement à proposer un rendez-vous quotidien mêlant joyeusement culture générale et histoires grivoises, mais également à renouveller son équipe en intégrant sans cesse de nouveaux invités: les années 90 accueilleront notamment Jean-Pierre Coffe, Isabelle Mergault, Francis Perrin, Guy Montagné, Thierry Roland, Vincent Perrot, Stéphane Bern, Pierre Bellemare, Amanda Lear, Robert Sabatier, Olivier Lejeune, Jacques Mailhot ou encore Jean-Jacques Peroni.