Daniel Balavoine aurait eu 71 ans, le 5 février prochain. Avant de disparaître à l’âge de 33 ans, il était contrarié par un « mauvais pressentiment ». Ce samedi 14 janvier 2023, le chroniqueur d’Europe 1 Fabrice Lafitte lui rendait hommage en évoquant son tube L’Aziza.
Où a vécu Balavoine ?
L’accident d’hélicoptère du Dakar 1986 est survenu au Mali, en marge de la huitième édition du rallye Paris-Alger-Dakar, le 14 janvier 1986. Au 14e jour de compétition, un hélicoptère Écureuil AS-350 heurta une dune et s’écrasa. Ses cinq occupants, le pilote François-Xavier Bagnoud (24 ans), l’organisateur du rallye Thierry Sabine (36 ans), le chanteur Daniel Balavoine (33 ans), la journaliste du Journal du dimanche Nathalie Odent (25 ans) et le technicien radio de RTL Jean-Paul Le Fur (36 ans), trouvèrent la mort dans le crash, dont les circonstances n’ont pas été établies avec certitude.
Ce drame fut très médiatisé en raison de la notoriété de Daniel Balavoine et de Thierry Sabine. Le chanteur ne concourrait pas cette année-là (il avait participé aux éditions 1983 et 1985), mais s’occupait de l’action humanitaire « Paris-Dakar, pari du cœur » qui consistait à installer des pompes à eau hydrauliques dans des villages africains en profitant de la logistique du rallye[1].
Le 14 janvier 1986, la 14e étape Niamey-Gourma-Rharous (Mali), longue de 843 kilomètres, débute à 4 heures du matin après une journée de repos[2]. Directeur du rallye, Thierry Sabine en donne le départ. Le temps est capricieux, un vent de sable se lève.
La matinée bien entamée, Sabine et Balavoine se rejoignent à l’aéroport de Niamey afin de partir pour Gao. Arrivés à 10 h 30, ils s’entretiennent avec le gouverneur malien au sujet des pompes à eau. L’ambiance est animée car beaucoup de problèmes subsistent dans le bon déroulement de l’action humanitaire : les autorités bloquent les camions des Paris du cœur qui ne peuvent faire route vers le Mali. Les échanges se prolongent jusqu’à 16 heures.
Peu après, Sabine propose à Balavoine de le suivre afin de donner le coup d’envoi d’un match de football opposant l’équipe de Gao à celle de Mopti organisé dans le cadre du Paris-Dakar. L’hélicoptère blanc de Thierry Sabine (Aérospatiale AS350 Écureuil), piloté par François-Xavier Bagnoud, est alors prêt à rejoindre la course mais la cérémonie s’éternise, d’autant que le gouverneur ayant fait le déplacement, le chanteur en profite pour poursuivre la discussion.
Il est alors 16 h 10 et l’hélicoptère surnommé Sierra doit initialement embarquer (outre Sabine et Bagnoud) une équipe de journalistes : Patrick Poivre d’Arvor, Yann Arthus-Bertrand, Jean-Luc Roy et Patrick Chêne.
Roy et Arthus-Bertrand s’apprêtent à filmer et photographier comme tous les jours le secteur Gao-Gourma pour la préparation de leurs livres à paraître. Patrick Poivre d’Arvor, en lien avec Balavoine, s’occupe de suivre son action humanitaire pour Le Journal du dimanche. Patrick Chêne lui, couvre le Dakar pour Antenne 2. Il n’est alors absolument pas prévu que Balavoine monte dans cet hélicoptère durant cette journée[3].
Divers événements vont modifier l’équipage initial. Plusieurs avions arrivant de façon inattendue, dont l’un en provenance de Bamako, se posent entretemps. Les journalistes vont alors s’y disperser.
Quel est l’âge de C Jérôme ?
« Je n’arrête pas de me poser cette question » : Mort de Daniel Balavoine, le miraculé qui devait être à sa place se souvient – BestImage, Alain Canu
La vie se joue à peu de choses parfois. Daniel Balavoine, qui aurait fêté ses 71 ans ce 5 février 2023, n’avait pas prévu de faire ce trajet en hélicoptère qui lui a été fatal. Une décision de dernière minute a tout fait basculer, pour lui comme pour celui qui devait monter dans l’engin. Ce dernier est revenu sur les faits pour « Le Figaro ».
Trente-sept ans après l’annonce de la mort de Daniel Balavoine et de quatre autres personnes dans un crash d’hélicoptère, l’émotion est toujours vive. Le chanteur se rendait pour une mission humanitaire au Mali alors que se déroulait la course automobile Paris-Dakar. Ce 5 février 2023, la star aurait célébré ses 71 ans avec ses enfants nés de son couple avec Corinne, Jérémie et Joana, mais un autre destin s’est écrit et ils ont perdu leur père alors qu’ils étaient très jeunes. Un accident dramatique dont devait faire partie le journaliste sportif Jean-Luc Roy.
Quel cancer a eu C. Jérôme ?
Il était marié à Annette DHOTEL, avec laquelle il a eu une fille Caroline DHOTEL.
Décès : 14 mars 2000
En 1997, il est opéré d’urgence d’une tumeur qui s’annonce cancéreuse. Après plusieurs récidives, le mal refait surface et reprend de plus belle fin 1999. Plein de courage, il se bat encore une fois contre la maladie, mais perd la bataille. C. Jérôme meurt d’un cancer du muscle long, à l’âge de 53 ans, à son domicile de Boulogne-Billancourt.
Les obsèques de C. Jérôme
Ses obsèques se sont déroulées le vendredi 17 mars 2000, à Boulogne-Billancourt où il résidait depuis 15 ans. La cérémonie fut célébrée à l’église Notre-Dame de la ville et a réuni plus de 1500 fans. Il fut par la suite inhumé au cimetière ancien de Boulogne Billancourt.
Ludovic PERRIN de Libération intitule un article : « C’était Jérôme. Le chanteur de variétés est décédé d’un cancer à 53 ans » pour annoncer son décès et revient sur sa vie et sa carrière.
La chaine France 3 déclara : « Un chanteur pour midinette a tiré sa révérence.
Comment s’est passé l’accident de Balavoine ?
L’accident d’hélicoptère du Dakar 1986 est survenu au Mali, en marge de la huitième édition du rallye Paris-Alger-Dakar, le 14 janvier 1986. Au 14e jour de compétition, un hélicoptère Écureuil AS-350 heurta une dune et s’écrasa. Ses cinq occupants, le pilote François-Xavier Bagnoud (24 ans), l’organisateur du rallye Thierry Sabine (36 ans), le chanteur Daniel Balavoine (33 ans), la journaliste du Journal du dimanche Nathalie Odent (25 ans) et le technicien radio de RTL Jean-Paul Le Fur (36 ans), trouvèrent la mort dans le crash, dont les circonstances n’ont pas été établies avec certitude.
Ce drame fut très médiatisé en raison de la notoriété de Daniel Balavoine et de Thierry Sabine. Le chanteur ne concourrait pas cette année-là (il avait participé aux éditions 1983 et 1985), mais s’occupait de l’action humanitaire « Paris-Dakar, pari du cœur » qui consistait à installer des pompes à eau hydrauliques dans des villages africains en profitant de la logistique du rallye[1].
Le 14 janvier 1986, la 14e étape Niamey-Gourma-Rharous (Mali), longue de 843 kilomètres, débute à 4 heures du matin après une journée de repos[2]. Directeur du rallye, Thierry Sabine en donne le départ. Le temps est capricieux, un vent de sable se lève.
La matinée bien entamée, Sabine et Balavoine se rejoignent à l’aéroport de Niamey afin de partir pour Gao. Arrivés à 10 h 30, ils s’entretiennent avec le gouverneur malien au sujet des pompes à eau. L’ambiance est animée car beaucoup de problèmes subsistent dans le bon déroulement de l’action humanitaire : les autorités bloquent les camions des Paris du cœur qui ne peuvent faire route vers le Mali. Les échanges se prolongent jusqu’à 16 heures.
Peu après, Sabine propose à Balavoine de le suivre afin de donner le coup d’envoi d’un match de football opposant l’équipe de Gao à celle de Mopti organisé dans le cadre du Paris-Dakar. L’hélicoptère blanc de Thierry Sabine (Aérospatiale AS350 Écureuil), piloté par François-Xavier Bagnoud, est alors prêt à rejoindre la course mais la cérémonie s’éternise, d’autant que le gouverneur ayant fait le déplacement, le chanteur en profite pour poursuivre la discussion.
Il est alors 16 h 10 et l’hélicoptère surnommé Sierra doit initialement embarquer (outre Sabine et Bagnoud) une équipe de journalistes : Patrick Poivre d’Arvor, Yann Arthus-Bertrand, Jean-Luc Roy et Patrick Chêne.
Roy et Arthus-Bertrand s’apprêtent à filmer et photographier comme tous les jours le secteur Gao-Gourma pour la préparation de leurs livres à paraître. Patrick Poivre d’Arvor, en lien avec Balavoine, s’occupe de suivre son action humanitaire pour Le Journal du dimanche. Patrick Chêne lui, couvre le Dakar pour Antenne 2. Il n’est alors absolument pas prévu que Balavoine monte dans cet hélicoptère durant cette journée[3].
Divers événements vont modifier l’équipage initial. Plusieurs avions arrivant de façon inattendue, dont l’un en provenance de Bamako, se posent entretemps. Les journalistes vont alors s’y disperser.
Qui conduisait l’hélicoptère de Balavoine ?
Daniel Balavoine a perdu la vie dans un tragique accident d’hélicoptère survenu il y a 36 ans au cours du rallye Dakar. Un drame qui aurait pu être évité puisque le chanteur n’était, initialement, pas prévu à bord.
Nous sommes le 14 janvier 1986 quand Daniel Balavoine, alors au sommet de sa carrière musicale, perd la vie dans un tragique accident d’hélicoptère. Une tragédie survenue au cours du rallye Dakar qui a profondément bouleversé la vie de Corinne, sa compagne de l’époque, ainsi que Jérémie et Joana, ses enfants.
Daniel Balavoine n’était pas seul dans l’hélicoptère qui s’est crashé. L’ancien acolyte de Patrick Juvet était accompagné de quatre autres personnes en marge du Dakar : Thierry Sabine, François Xavier Bagnoud, Nathalie Odent et Jean-Paul Le Fur. Un drame sur lequel le journaliste des sports mécaniques Jean-Luc Roy est revenu auprès du Figaro en 2015. » C’est toujours douloureux d’évoquer ce souvenir. Je repense tous les jours à cet épisode « , a-t-il confié. Un triste souvenir pour celui qui était l’ami de Daniel Balavoine, mais également qui devait également prendre place dans l’hélicoptère à sa place.
Quel âge avait Coluche quand il est mort ?
Il y a 35 ans, le 19 juin 1986, Coluche nous quittait. Le Figaro, en ce triste jour d’anniversaire AFP/Michel Clément
Le 19 juin 1986 Michel Colucci disparaissait dans un accident de moto. Le temps a passé mais ses sketches sont toujours d’une saisissante actualité. Florilège de sa truculence politiquement incorrecte.
«Putain de camion, putain de destin…» chantera Renaud pour honorer sa mémoire. Le 19 juin 1986 Coluche disparaissait tragiquement dans un accident de moto. Il avait 41 ans. Depuis des années, il faisait rire ou hurler la France entière. Sa grossièreté (qu’il opposait à la vulgarité ambiante de l’époque), sa truculence l’avaient emmené des tréteaux du Café de la Gare jusqu’au César du meilleur acteur (Tchao Pantin).
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Le temps a passé mais il est criant de constater que le ton et même les sujets des sketches de l’humoriste en salopette n’ont pas pris une ride. Il faut dire qu’il allait puiser son inspiration dans les faits de société qui dès 1968 allaient influencer nos vies et nos comportements jusqu’à les bouleverser aujourd’hui.
Où se trouve la tombe de Balavoine ?
Une page de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Description
DescriptionBiarritz – Cimetière de Ranquine – Tombe de Daniel Balavoine – 1.jpg |
Français : La tombe de Daniel Balavoine dans le cimetière de Ranquine à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques, Nouvelle-Aquitaine, France). English: Daniel Balavoine’s tomb in Ranquine’s cemetery in Biarritz (Pyrénées-Atlantiques, Nouvelle-Aquitaine, France). |
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Date | 4 septembre 2017 | |
Source | Travail personnel | |
Auteur |
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Où a eu lieu l’accident de Coluche ?
Il percute un camion qui, arrivant en face de lui, lui coupe la route pour tourner à gauche, sur une route de la commune de Grasse, situé en fin de ligne droite, au croisement de la route de Cannes et du chemin du Piol à Opio[3].
D’après les recherches menées par les auteurs, Coluche, trublion politique, aurait été assassiné par les « services spéciaux ». Ils envisagent l’assassinat politique, s’appuyant sur les thèses d’une ancienne barbouze et d’un ex-policier restés anonymes[4], alors que Coluche avait programmé son retour pour septembre 1986 au Zénith dans un « spectacle au vitriol »[2].
Philippe Bouvard était un des amis de Coluche. Dans une interview accordée au quotidien Le Midi Libre, il revient sur cet accident: « Coluche était un champion de moto, il était maître de sa machine… Je ne le vois pas rouler à une vitesse telle qu’il n’ait pas pu éviter le camion. Cela m’a paru bizarre »[5]. Philippe Bouvard l’évoque aussi dans Des grumeaux dans la passoire, son dernier livre sorti le 20 novembre 2020.
Qui sont les victimes de l’accident d’hélicoptère ?
Dix personnes étaient mortes lors du tournage de l’émission en Argentine, dont trois sportifs de haut niveau.
Le 9 mars 2015, le tournage en Argentine de l’émission Dropped, qui était amenée à être diffusée sur TF1, virait au drame. Lors d’un vol rapproché en basse altitude, deux hélicoptères étaient entrés en collision.
Dix personnes avaient perdu la vie: la navigatrice Florence Arthaud, la championne olympique de natation Camille Muffat, le boxer médaillé olympique Alexis Vastine, cinq membres français de la production et deux pilotes argentins.
Investigations terminées
Dans la foulée, une enquête avait été ouverte sur l’accident d’hélicoptère, causé par la collision entre deux appareils. Plus de sept ans après les faits, le 15 décembre dernier, la juge d’instruction parisienne a annoncé aux différentes parties que les investigations étaient terminées. Au final, cinq personnes ont été mises en examen pour « homicide involontaire », a appris BFMTV, confirmant une information de l’AFP.
Il s’agit des responsables de la société ALP (Adventure Line Production), qui était chargée de produire l’émission pour TF1. ALP a également été mise en examen pour « homicide involontaire », en tant que personne morale.
La décision de la juge est motivée par de possibles manquements.
Qui pilote l’hélicoptère ?
Préparer son plan de vol
Le pilote d’hélicoptère transporte des passagers en garantissant leur sécurité. Il est également en charge des liaisons radio et est à l’affût de la moindre anomalie ou panne d’appareil. Avant tout départ, il prépare son plan de vol : traçage, vérification du carburant, contrôle de la météo… Il doit également être capable de poser son appareil n’importe où, voler à basse altitude ou en milieu montagneux.
Pilote dans l’armée
Quand il ne travaille pas dans le civil, le pilote d’hélicoptère est affecté au sein de l’armée (de terre, de l’air ou dans la Marine) où il effectue des missions de combat, de reconnaissance, de transport de troupes, d’appui aux combattants évoluant sur le sol.
Pilote dans la Gendarmerie ou la Sécurité civile
Au sein de la Gendarmerie nationale ou de la Sécurité civile, le pilote peut porter assistance aux personnes. La mission de police judiciaire concerne les arrestations de malfaiteurs, les renseignements pour la préparation d’une mission future pour les troupes au sol, ou la reconstitution des circonstances d’un accident de la route. La mission de police administrative consiste notamment en la prévention au niveau de la police de la route.