Home » Qui est l’actuel duc de Kent ?

Qui est l’actuel duc de Kent ?

by Nadia Moulin

Il est le doyen de la famille royale britannique depuis la mort d’Élisabeth II, le 8 septembre 2022 .

Quel est le nom de la reine Elizabeth ?

Élisabeth II, née Élizabeth Alexandra Mary, le 21 avril 1926 à Londres (Royaume-Uni) et morte le 8 septembre 2022 au Château de Balmoral (Écosse), était la reine du Royaume-Uni et des royaumes du Commonwealth du 6 février 1952 à sa mort. Élisabeth II a régné pendant 70 ans, le plus long règne de tous les monarques de l’histoire du Royaume-Uni.

Attention ! Au Royaume-Uni, depuis 1721, la reine n’a plus beaucoup de pouvoirs politiques : elle a à peu près les mêmes pouvoirs que le président de la République française, sauf qu’elle peut refuser de promulguer une loi et qu’elle n’est pas censée s’exprimer sur la politique du Premier ministre ou du pays sauf en cas de crises graves. Elle est également cheffe de l’Église anglicane.

À sa naissance, Élisabeth II est troisième dans l’ordre de succession au trône après son oncle et son père. Elle a commencé à se faire réellement connaitre au moment de la Seconde Guerre mondiale où elle s’enrôle dans le service médicalisé de l’armée. Le 20 novembre 1947, elle épouse Philip Mountbatten, prince de Grèce et de Danemark qui deviendra lors du couronnement de la reine, prince consort, avec qui elle aura quatre enfants : Charles III, Anne, Andrew d’York et Edward de Wessex.

Elle mesure 1 mètre et 63 centimètre soit 5 pieds et 4 pouces (en mesure anglaise). Les dépenses des principaux membres de la famille royale ont atteint en 2006 un total de 36 millions de livres (55 millions d’euros). Elle résidait le plus souvent au palais de Buckingham, à Londres.

Lorsque son père George VI décède le 6 février 1952, elle devient reine à 25 ans et se fait couronner le 2 juin 1953. Ce couronnement lui permet d’être la reine de sept Etats indépendants du Commonwealth : l’Afrique du Sud, l’Australie, le Canada, Ceylan, la Nouvelle-Zélande, le Pakistan et le Royaume-Uni. Au fil du temps, elle deviendra en plus des autres Etats, reine d’Antigua-et-Barbuda, des Bahamas, du Belize, de la Grenade, de la Jamaïque, de Papouasie-Nouvelle-Guinée, de Saint-Christophe-et-Niévès, de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, de Sainte-Lucie, des Îles Salomon et Îles des Tuvalu.

Portrait de la princesse Elisabeth en 1933 par Philip de László.

Élisabeth II est le premier enfant du prince Albert, duc d’York qui prendra le nom de George VI une fois souverain et de son épouse, Elizabeth Bowes-Lyon. Elle nait par césarienne le 21 avril 1926 à Mayfair2,3. Son nom Élisabeth est un hommage à sa mère et à son arrière-grand-mère la reine mère du roi George V et le nom Mary en hommage à sa grand-mère paternelle, la reine Mary4.

Élisabeth a une sœur nommé Margaret qui est plus jeune de quatre ans avec qui elle va étudier l’histoire, l’élocution (apprendre à s’exprimer), la littérature et la musique5.

Quels sont les Ducs en France ?

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

Cette liste des ducs français subsistants recense les titres de duc héréditaires authentiques et réguliers créés ou reconnus en France, et transmis jusqu’à nos jours de façon régulière en ligne naturelle et légitime et par ordre de primogéniture à partir du premier bénéficiaire.

Dans le Dictionnaire de la noblesse française Étienne de Séréville et Fernand de Saint-Simon indiquent qu’en 1977, il subsistait 38 titres de duc français réguliers[1]. Trois sont éteints depuis : duc d’Abrantès en 1982 (famille Le Ray – 1869), duc de Doudeauville en 1995 (famille de La Rochefoucauld – 1814) et duc de Feltre en 2021 (famille de Goyon – 1864).

Ne sont pas compris dans cette liste de titres réguliers :

  • Les titres de duc éteints en ligne naturelle et légitime, mais parfois relevés « proprio motu » par une autre branche ou une autre famille.

Titres réguliers subsistants

Titre ducal Année de création Famille (région d’origine)
de Praslin 21 novembre 1762 de Choiseul (Champagne)
de Rivoli 24 avril 1808 Masséna ( Nice)
de Rohan 15 décembre 1648 de Rohan-Chabot (Poitou)
de Sabran 8 mai 1825 de Sabran-Pontevès (Provence)

Qui est le père d’Elizabeth 2 ?

Après l’indépendance de l’Inde et du Pakistan en 1947, George resta roi de ces deux nations, mais le titre d’empereur des Indes fut abandonné.

Victime de problèmes de santé dans les dernières années de son règne, il mourut le 6 février 1952 d’une thrombose coronaire pendant son sommeil. Après son décès en 1952, sa fille aînée lui succéda sous le nom d’Élisabeth II.

Deux hommes âgés en uniforme d'officier naval et portant un bicorne entourent deux enfants en uniforme de matelot.Quatre rois : Édouard VII (extrême-droite), son fils George de Galles, futur George V (extrême-gauche), et ses petits-fils David, futur Édouard VIII (arrière-plan) et Albert, futur George VI (premier-plan), vers 1908.

Le prince Albert naît dans la résidence secondaire de Sandringham House dans le comté de Norfolk sous le règne de son arrière-grand-mère, la reine Victoria[1],[2]. Il était le second fils du prince George, duc d’York (futur George V), lui-même second fils du prince de Galles (futur Édouard VII) et de la princesse de Galles, Alexandra de Danemark. Sa mère était la duchesse d’York (future reine Mary) qui était la fille aînée du duc et de la duchesse de Teck[3].

A LIRE  Comment fait Marc Métral pour faire parler son chien ?

Le jour de sa naissance, le 14 décembre 1895, coïncidait avec l’anniversaire de la mort de son arrière-grand-père, le prince consort Albert[4],[1],[5],[6]. Le prince de Galles écrivit au duc d’York que la reine Victoria, veuve d’Albert, avait été « quelque peu bouleversée » par l’annonce de la naissance. Deux jours plus tard, il lui écrivit à nouveau : « je pense vraiment qu’elle serait satisfaite si vous lui proposiez le nom d’« Albert[7],[6] » ». La reine fut apaisée par cette idée et écrivit à la duchesse d’York : « Je suis très impatiente de voir le nouveau-né, en un jour si triste mais qui le sera moins désormais », d’autant plus qu’il sera appelé par ce cher nom qui est synonyme de tout ce qui est grand et bon[6]. Le nouveau-né fut donc baptisé « Albert Frederick Arthur George » dans l’église St. Mary Magdalene près de Sandringham, trois mois plus tard[N 1]. En tant qu’arrière-petit-fils de la reine Victoria, il fut formellement appelé Son Altesse le prince Albert d’York dès sa naissance. Au sein de sa famille, il était couramment surnommé « Bertie[9],[1],[5],[10] ». Sa grand-mère maternelle, la duchesse de Teck, n’aimait pas le prénom qu’avait reçu le nouveau-né et elle écrivit prophétiquement qu’elle espérait que le dernier prénom « puisse supplanter le moins favorisé[11] ».

Albert était le quatrième dans l’ordre de succession au trône britannique après son grand-père, son père et son frère aîné, David (le futur Édouard VIII). En 1898, la reine Victoria délivra des lettres patentes accordant aux enfants du fils aîné du prince de Galles le prédicat d’altesse royale.

Albert souffrait d’une santé fragile et était décrit comme « facilement effrayé et quelque peu pleurnichard[12] ».

Où va reposer le corps de la reine ?

« Mais elle aurait pu demander à être à Frogmore, là où il y a la reine Victoria, son aïeule. Elle aurait aussi pu être à Westminster Abbey, où il y a Marie Iere, Elizabeth Iere et Marie Stuart. Les souverains britanniques ont choix du lieu de sépulture », rappelle le spécialiste de la monarchie. La dernière étape sera de « déposer Elizabeth II sous cette chapelle. Parce que, en réalité, dans la famille royale britannique, on n’enterre pas les membres de la famille royale, on les dépose dans la crypte. Il y aura évidemment une pierre tombale visible dans la chapelle latérale. À côté de celles de George VI et Elizabeth seront apposées celles d’Elizabeth II et Philippe », conclut Stéphane Bern.

Comment s’appelle le Wessex aujourd’hui ?

England Around 910 CE (by Philg88, CC BY-SA)

L’Angleterre vers 910

Philg88 (CC BY-SA)

Le royaume du Wessex (c. 519-927ou c. 519-1066) était une entité politique fondée par le roi des Saxons de l’ouest Cerdic (r. de 519 à 540) en 519 dans la vallée de la Tamise supérieure du pays que nous connaissons aujourd’hui comme la Grande-Bretagne. La confusion autour des dates proposées pour la fin du royaume est liée au fait de savoir si l’on considère ou non qu’elle coïncide avec l’accession d’Aethelstan de Wessex au trône d’Angleterre en 927 (et de l’unification de tous les royaumes sous son règne) ou que l’on préfère se référer à 1066, la date de l’invasion normande de l’Angleterre par Guillaume le Conquérant. Dans les milieux spécialisés, il n’existe pas de consensus sur une date plutôt que sur une autre, mais comme le royaume du Wessex a cessé d’être une entité politique indépendante immédiatement après l’accession d’Aethelstan au trône d’Angleterre, c’est l’année 927 qui, en principe, devrait être considérée comme celle de sa disparition.

Les débuts de l’histoire du royaume furent marqués par de fréquents conflits avec le royaume voisin de Mercie. Conflits qui se répétèrent jusqu’au règne du roi Egbert (également appelé Ecgberht, r. de 802 à 839), qui soumit la Mercie et annexe ses territoires. Le Wessex continua à se développer sous les successeurs d’Egbert pour atteindre son apogée sous Alfred le Grand (r. de 871 à 899).

LES RÉFORMES D’ALFRED LE GRAND n’allaient pas tarder à TRANSFORMER LE WESSEX EN LE ROYAUME LE PLUS PUISSANT ET LE PLUS EFFICACE DE TOUTE L’îLE DE BRETAGNE.

Les réformes d’Alfred n’allaient pas tarder à transformer le Wessex en le royaume le plus puissant et le plus efficace de toute l’île de Bretagne et son fils Édouard l’Ancien (r. de 899 à 924) allait reprendre à son compte ses politiques et étendre encore plus la puissance du Wessex. Lorsque le fils d’Édouard, Aethelstan, lui succéda en 924, le titre du souverain n’était plus Roi du Wessex mais Roi des Anglo-Saxons, en raison du vaste territoire désormais sous le contrôle du Wessex. Aethelstan régna sous ce titre entre les années 924 et 927, date à laquelle il devint suffisamment puissant pour se faire couronner en tant que premier roi d’Angleterre (r. de 927 à 939).

A LIRE  Quel est le salaire de Pierre Palmade ?

Le Wessex est mis en scène dans la série télévisée Vikings, qui présente une version fictive des règnes d’Egbert, d’Ethelwulf, d’Alfred le Grand et de leurs efforts pour contrer les invasions vikings. La série est conçue comme un divertissement, et non comme une leçon d’histoire, il faut donc s’attendre à ce qu’elle s’éloigne passablement de la réalité historique.

Quel est le roi qui a unifié l’Angleterre ?

C’était un grand conquérant, mais il était bien plus que cela ».

Pour rappel, Athelstan, a régné de 925 à 939. Il est considéré comme le premier roi d’Angleterre et l’un des plus grands monarques de la période anglo-saxonne. Parmi ses succès notables, le souverain réussit à unir le pays en 927, après avoir conquis plusieurs royaumes. En 937, il remporta une bataille capitale à Brunanburh, venant à bout d’une alliance entre Ecossais et Vikings. A noter que le souverain était très religieux, et jamais marié, il mourut en 939 sans laisser d’héritier.

A lire aussi :

Quel est le nom entier de la reine d’Angleterre ?

Élisabeth II, née Élizabeth Alexandra Mary, le 21 avril 1926 à Londres (Royaume-Uni) et morte le 8 septembre 2022 au Château de Balmoral (Écosse), était la reine du Royaume-Uni et des royaumes du Commonwealth du 6 février 1952 à sa mort. Élisabeth II a régné pendant 70 ans, le plus long règne de tous les monarques de l’histoire du Royaume-Uni.

Attention ! Au Royaume-Uni, depuis 1721, la reine n’a plus beaucoup de pouvoirs politiques : elle a à peu près les mêmes pouvoirs que le président de la République française, sauf qu’elle peut refuser de promulguer une loi et qu’elle n’est pas censée s’exprimer sur la politique du Premier ministre ou du pays sauf en cas de crises graves. Elle est également cheffe de l’Église anglicane.

À sa naissance, Élisabeth II est troisième dans l’ordre de succession au trône après son oncle et son père. Elle a commencé à se faire réellement connaitre au moment de la Seconde Guerre mondiale où elle s’enrôle dans le service médicalisé de l’armée. Le 20 novembre 1947, elle épouse Philip Mountbatten, prince de Grèce et de Danemark qui deviendra lors du couronnement de la reine, prince consort, avec qui elle aura quatre enfants : Charles III, Anne, Andrew d’York et Edward de Wessex.

Elle mesure 1 mètre et 63 centimètre soit 5 pieds et 4 pouces (en mesure anglaise). Les dépenses des principaux membres de la famille royale ont atteint en 2006 un total de 36 millions de livres (55 millions d’euros). Elle résidait le plus souvent au palais de Buckingham, à Londres.

Lorsque son père George VI décède le 6 février 1952, elle devient reine à 25 ans et se fait couronner le 2 juin 1953. Ce couronnement lui permet d’être la reine de sept Etats indépendants du Commonwealth : l’Afrique du Sud, l’Australie, le Canada, Ceylan, la Nouvelle-Zélande, le Pakistan et le Royaume-Uni. Au fil du temps, elle deviendra en plus des autres Etats, reine d’Antigua-et-Barbuda, des Bahamas, du Belize, de la Grenade, de la Jamaïque, de Papouasie-Nouvelle-Guinée, de Saint-Christophe-et-Niévès, de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, de Sainte-Lucie, des Îles Salomon et Îles des Tuvalu.

Portrait de la princesse Elisabeth en 1933 par Philip de László.

Élisabeth II est le premier enfant du prince Albert, duc d’York qui prendra le nom de George VI une fois souverain et de son épouse, Elizabeth Bowes-Lyon. Elle nait par césarienne le 21 avril 1926 à Mayfair2,3. Son nom Élisabeth est un hommage à sa mère et à son arrière-grand-mère la reine mère du roi George V et le nom Mary en hommage à sa grand-mère paternelle, la reine Mary4.

Élisabeth a une sœur nommé Margaret qui est plus jeune de quatre ans avec qui elle va étudier l’histoire, l’élocution (apprendre à s’exprimer), la littérature et la musique5.

Comment est mort le roi Alfred ?

Bermude II de León, dit « le goutteux »

Roi du León, des Asturies et de Galice de 982 à 999, Bermude II était surnommé « le goutteux » parce qu’il avait la goutte, comme nombre d’ailleurs de rois puisque la goutte était elle-même surnommée la maladie des rois. En gros, de l’acide urique se dépose en quantité dans des régions articulaires, entraînant des gonflements, des problèmes de rein et surtout une incapacité, à terme, à utiliser ces articulations. Aujourd’hui ça se traite sans problème, mais à l’époque, c’était autre chose.

Alfred le Grand, touché par la maladie de Crohn

Vainqueur des Danois et célébré par les Saxons en tant que tel, Alfred le Grand (849-899) est le seul roi anglo-saxon à porter cet épithète. C’est dire s’il était aimé. Pourtant, toute sa vie, Alfred a souffert d’inflammations de ses selles, ce qui a conduit les historiens à penser qu’il était en réalité atteint de la maladie de Crohn, une maladie chronique entraînant des diarrhées, des douleurs abdominales et des lésions proctologiques.

A LIRE  Exprimer ses félicitations avec élégance : Astuces et Synonymes

Richard III était atteint d’une scoliose

C’est en étudiant les os de Richard III que les scientifiques ont constaté que le roi célébré par Shakespeare souffrait d’une scoliose. Richard III était à ce point affecté par cette scoliose qu’il était décrit par tous ses contemporains comme un petit homme penché avec une épaule plus haute que l’autre.

Est-ce que Camilla va être reine ?

Camilla : quelle est la différence entre reine et reine consort ? Mis à jour le 05 mai 2023 à 15h08 Camilla : quelle est la différence entre reine et reine consort ? © PA Photos/ABACA

A la disparition de la reine, Camilla, épouse de Charles, est devenue reine consort. Elle deviendra officiellement reine consort lors du couronnement. Que signifie ce titre ?

La mort de la reine d’Angleterre, en septembre 2022, a décalé l’ordre de succession à la couronne. Le prince Charles est devenu le roi Charles III, le prince William et son épouse Kate ont hérité des titres de prince et princesse de Galles, et Camilla, épouse de Charles, est devenue reine consort. Un statut que lui avait accordé, par anticipation, Elisabeth II, en février 2022, souhaitant que le moment venu, Camilla, devienne reine consort. Avant cela, étant issue du second mariage de Charles, et elle-même divorcée, elle aurait dû être nommée princesse consort à l’accession de son mari au trône.

Qui sera la prochaine reine d’Angleterre ?

En mai dernier, Charles a ainsi prononcé à sa place, et pour la première fois, le discours du trône au Parlement, l’une des fonctions les plus importantes de la monarchie britannique. La suite après cette publicité

S’il choisit de conserver son prénom de naissance, il règnera sous le nom de Charles III. Lorsqu’il sera intronisé, son épouse Camilla Parker-Bowles deviendra reine consort. C’est ce qu’a annoncé Elizabeth II en février dernier. Une marque de sympathie et de reconnaissance envers la seconde épouse de Charles, longtemps honnie des Britanniques, qui lui préféraient la défunte princesse Diana.

La suite après cette publicité Un ordre de succession long de 104 noms

Charles est suivi dans l’ordre de succession par son fils aîné William, duc de Cambridge, lui-même suivi par les trois enfants qu’il a eu avec son épouse Kate Middleton : le prince George, 9 ans, la princesse Charlotte, 7 ans, et le prince Louis, 4 ans.

Le deuxième fils de Charles et Diana, Harry, duc de Sussex, marié à l’actrice Meghan Markle, est sixième de cette liste.

Qui sera le prochain roi d’Angleterre après Charles 3 ?

Sans descendant direct, le trône revient aux frères ou sœurs du souverain par ordre de naissance. L’ordre exclut les catholiques mais intègre les personnes mariées à un conjoint catholique et leurs descendants.Une longue liste de succession

Compte tenu de ces règles, l’héritier de la couronne est donc aujourd’hui William, prince de Galles et fils aîné de Charles III. Viennent ensuite ses enfants George, puis Charlotte et Louis. Le prince Harry, duc de Sussex et frère de William, arrive quant à lui cinquième, suivi de ses enfants Archie et Lilibet, et ce, bien que cette dernière soit née aux Etats-Unis où le prince vit désormais avec sa famille.

Au-delà des enfants de Charles et de leurs descendants, l’ordre de succession repart ensuite vers les frères et sœurs du monarque. Anne, princesse royale et second enfant d’Elizabeth II, arrive ainsi 16e dans la liste, derrière ses frères Andrew et Edward. Une fois la lignée de la reine épuisée, la succession passe aux descendants de Margaret, sœur d’Elizabeth II.

Est-ce qu’une reine consort peut régner ?

Ses revenus sont personnels ainsi que les privilèges qui lui sont attribués. Le consort, notamment le mari d’une reine régnante, est le sujet de son conjoint ; il peut être accusé de haute trahison. Le mari de la reine Victoria ne possédait aucun titre anglais et n’occupait à la cour d’autre rang que celui qu’on lui laissait par courtoisie. En 1857, le titre de prince-consort lui fut octroyé par lettres patentes[1]. »

Le terme apparaît en Angleterre sous le règne d’Élisabeth Ire, de 1558 à 1603, pour désigner l’époux non couronné du souverain anglais[2] afin de lever l’ambiguïté entre une reine épouse du roi, et une reine en titre qui exerce réellement la fonction de souveraine.

Une reine consort est l’épouse d’un roi régnant (ou une impératrice consort dans le cas d’un empereur). Elle partage généralement le rang et le statut social de son mari. Historiquement, une reine consort ne détient pas les pouvoirs politiques et militaires du roi. Par opposition, une « reine régnante » est une reine à part entière, dotée de tous les pouvoirs d’un monarque et qui le plus souvent est devenue reine en héritant du trône à la mort du précédent monarque.

Certains pays n’octroient pas le titre de reine à l’épouse du roi. C’est le cas du Maroc, où la femme du monarque porte le titre de «Princesse», avec prédicat d’altesse royale.

 

Vous aimeriez aussi

Notre site utilise les cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez refuser si vous le souhaitez. Accept Lire