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Quel est le vrai nom de Mathilda May ?

by Nadia Moulin

Mathilda May, née Karin Haïm à Saint-Ouen, est une actrice française. Danseuse de formation, elle fait ses débuts au cinéma en 1984.

Quelle âge à Matilda aujourd’hui ?

Mara Wilson s’est imposée comme l’une des plus grandes actrices enfants des années 1990; malgré tout, elle ne porte pas cette période de sa vie dans son cœur.

La jeune actrice a notamment joué dans «Matilda», puis dans «Madame Doubtfire». Si tout allait bien à l’écran, ce qui se passait derrière, voire sur d’autres écrans, la perturbait.

Âgée aujourd’hui de 35 ans, Mme Wilson s’est confiée sur le fait qu’elle s’est sentie «sexualisée» lorsqu’elle était enfant et qu’elle évoluait dans l’industrie cinématographique.

«Je ne pense pas que l’on puisse être un enfant vedette sans en garder des séquelles, a-t-elle expliqué au Guardian.

Quel est le métier du père de Matilda ?

Verdebois Monsieur Verdebois est un homme adulte, il est marié à madame Verdebois et il a deux enfants : Matilda et Michael. Il est marchand de voitures d’occasion mais c’est un escroc car il revend des voitures en mauvais état en camouflant les défauts.

Comment s’appelle la maîtresse de Matilda ?

Le début du roman retrace la vie de Matilda chez elle, jusqu’au moment où elle entre enfin à l’école primaire Lamy-Noir. Dès ses premiers jours à l’école, son institutrice, Mlle Candy, remarque son talent, aussi bien en lecture qu’en mathématiques, et demande qu’elle passe dans une classe supérieure. Mais la directrice, la redoutable Mlle Legourdin, refuse, prétextant que Matilda serait en réalité une abominable manipulatrice, suivant les propos du père de la jeune fille. Refusant de laisser cette situation telle quelle, mais impuissante face à cette mégère, Mlle Candy fait alors en sorte que Matilda puisse réellement travailler, sans pour autant délaisser le reste des enfants, qui vouent un véritable culte à l’institutrice.

Matilda découvre accidentellement qu’elle possède des pouvoirs extraordinaires. Elle est douée de télékinésie : elle peut en effet contrôler toutes sortes d’objets à distance rien qu’avec ses yeux. La découverte de ses pouvoirs se fait alors que Matilda se retrouve accusée d’avoir mis un triton dans le pichet d’eau de Mlle Legourdin. Folle de rage, la petite fille utilise son pouvoir et renverse le pichet contenant le triton, offrant ainsi une belle mais indétectable vengeance. Confiante mais également interloquée, la fillette en parle à Mlle Candy, qui, très curieuse, emmène Matilda chez elle pour en discuter.

La petite fille s’aperçoit alors que Mlle Candy est très pauvre.

Qui est Magnus dans Matilda ?

De plus elle garde ses pouvoirs après avoir lancé son coup de théâtre contre Legourdin.

  • Parmi les petits tours que Matilda joue à son père, il n’y a pas celui où elle cache un perroquet dans la cheminée.
  • Dans le film, des policiers surveillent les activités de Monsieur Verdebois (trop bête pour seulement se douter de quelque chose) et Matilda doit intervenir, ce qui n’arrivait pas dans le roman.
  • Toute la scène dans la maison de Mlle Legourdin, ainsi que la scène sur le toit de la maison ne sont pas présentes dans le roman.
  • Lorsque la famille de Matilda s’en va, c’est sa mère qui lui dit au revoir au lieu de Michael.
  • Quelques noms de personnage ont été légèrement ou totalement modifiés dans le film (exemples : Julien Apolon/Bruce Boufetout, Anémone/Lavande, Hortense/Hortensia…)
  • Dans le roman, les parents de Matilda, qui vivent au Royaume-Uni, partent en Espagne. Dans le film, qui se passe aux États-Unis, ils vont à Guam.
  • Dans le roman, les parents de Matilda acceptent immédiatement que Mlle Candy adopte Matilda ; dans le film, ils le font à contrecœur, la mère disant que Matilda « était la seule fille qu’ils avaient eue et qu’ils ne l’ont jamais comprise ».
  • Le portrait de Magnus, le père de Jenny, est en réalité un portrait de Roald Dahl, l’auteur du roman dont est inspiré le film.
  • La poupée de Jenny s’appelle (dans la version originale) « Liccy Doll », une référence à Liccy Dahl, la veuve de Roald Dahl.
  • Les noms des différents personnages ont été traduits dans la version francophone de France, et pas dans la version francophone du Québec : Wormwood devient Verdebois, Trunchbull devient Legourdin, Honey devient Candy, Phelps devient Folyo.
  • Mara Wilson a reçu de nombreux prix pour son rôle de Matilda[1].
  • La bande originale (Send me on my way de Rusted Root) a été utilisée à maintes reprises dans le film L’Âge de glace.
  • Depuis l’été 2008, la bande originale du film a été éditée en version limitée.
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  • Qui est le père de Olivia Darmon ?

    Gérard Darmon, né le 29 février 1948 à Paris, est un acteur et chanteur franco-marocain.

    Les parents de Gérard Darmon sont des juifs séfarades algériens. Son père, Henri Messaoud Darmon, quitte Oran pour Paris en 1937. Après avoir mené une vie de voyou sous le nom de « Trompe-la-mort »[1] ou « Riquet de Bastille »[2], Henri devient représentant en vin. Comme il souhaite se marier, des membres des familles font circuler des photos et c’est ainsi que lui et son épouse se choisissent. Celle-ci quitte Aïn El Arbaa en Algérie en 1947 pour rejoindre son époux à Paris[3].

    Gérard Darmon naît à Paris l’année suivante. Son prénom est choisi car l’acteur « Gérard Philipe était à la mode »[4].

    Il passe sa jeunesse « rue des Artistes » dans le 14e arrondissement de Paris, près du Parc Montsouris. Il découvre sa vocation d’artiste vers 10 ans, en colonie de vacances en Bretagne, lorsqu’il pastiche le jeu radiophonique Quitte ou double. Gérard abandonne ses études secondaires l’année du bac, et en tant que membre de l’Hanoar Hatzioni, part vivre quatre mois en Israël dans le kibboutz Hasolelim[5], avant de revenir à Paris suivre des cours d’art dramatique sous la direction de Bernard Bimont. Il a pour idoles Jerry Lewis et Fernandel[4].

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    En 1972, il est recalé au concours d’entrée au Conservatoire national supérieur d’art dramatique et se produit alors dans les cafés-théâtres aux côtés de Jean-Pierre Bacri durant presque 10 ans[6].

    Repéré par Roger Hanin qui lui fait tourner quelques petits rôles au cinéma, la directrice de casting Margot Capelier l’engage en 1973 pour un rôle secondaire dans Les Aventures de Rabbi Jacob (il y interprète l’un des hommes de main de l’espion Farès, dans la célèbre scène de l’usine de chewing-gum)[4].

    En 1980, Gérard Darmon est remarqué au cinéma par le grand public dans Diva de Jean-Jacques Beineix, puis dans Le Grand Pardon d’Alexandre Arcady en 1982, aux côtés de Roger Hanin.

    En 1983, il joue son premier vrai rôle dans le film Les Princes de Tony Gatlif, puis poursuit avec On ne meurt que deux fois de Jacques Deray, 37°2 le matin de Jean-Jacques Beineix avec Béatrice Dalle et Jean-Hugues Anglade, Pour Sacha d’Alexandre Arcady avec Sophie Marceau (un film sur la Guerre des Six Jours en Israël). Il poursuit dans La Lune et le Téton de Bigas Luna, qui lui rapporte le prix Jean-Gabin 1983.

    Il devient l’un des acteurs fétiches de Claude Lelouch, dont il partage la philosophie de vie, aux côtés de Vincent Lindon, Il y a des jours… et des lunes en 1989, La Belle Histoire en 1992 et Tout ça… pour ça ! en 1993.

    En 1994, il joue dans le film La Cité de la peur des Nuls où il danse une fameuse Carioca avec Alain Chabat.

    Qui est l’épouse de Candeloro ?

    Danseuse polyvalente diplômée (DNSPD) Disneyland Paris, Opéra de Paris, EBB Cie. École de Danse de l’Opéra National de Paris. ayamcandel@orange.fr.

    Qui est le compagnon ?

    C’est un Compagnon

    Tailleur, Mareschal, Rharpentier, &c.

    On appelle

    compagnons de riviere,

    ceux qui travaillent sur les ports à descharger & à serrer les marchandises, comme les Forts qui sont establis au port St. Paul.

    COMPAGNON,

    est aussi une épithete ou qualité qu’on donne sur tout aux jeunes gens en differentes occasions. Ce soldat est un brave, un hardi

    compagnon.

    ce Financier étoit il y a dix ans un pauvre gueux, un fort petit

    compagnon.

    ce débauché est un gaillard, un bon

    compagnon,

    qui aime la joye. On dit aussi, Deffiez-vous de cet homme-là, c’est un dangereux

    compagnon,

    un estrange

    compagnon.

    On dit aussi, qu’un homme fait le

    compagnon,

    lors qu’il est glorieux, insolent, qu’il parle ou agit autrement que ne souffre sa condition. Il ne veut pas qu’on le traitte de pair à

    compagnon.

    Qui a

    compagnon,

    a maistre. On dit aussi, qu’un homme se bat en duël à despeche

    compagnon,

    pour dire, à outrance, & à qui aura plûtost tué son homme. On le dit aussi des goinfres qui font un deffi à qui mangera avec le plus d’avidité.

    Comment se termine Matilda ?

    Cette « morale » dans le livre est agréable et « logique ».

    Or dans le film, Matilda conserve ses pouvoirs, malgré l’amélioration de ses « conditions de vie ». Tout s’écroule, Matilda n’est plus une petite fille qui est allée puiser au plus profond d’elle même pour faire son propre bonheur, c’est juste un mutant…

    Enfin, ce n’est pas pour autant un mauvais film, loin de là ! Il se laisse encore regarder sans problème aujourd’hui, alternant comique et tendresse;

    Excellent film pour enfants, sympathique pour adultes.

    Qui est en couple avec Clara Luciani ?

    Elle a rencontré Franz Ferdinand à un festival estival. Clara Luciani – Soirée de gala en hommage à Patrick Dupond à l’Opéra de Paris – © BestImage, OLIVIER BORDE / BESTIMAGE

    Si elle plaisantait de ne jamais trouver chaussure à son pied et d’enchaîner les relations de « trois-quatre » mois, tout a changé lorsqu’elle a rencontré Alex Kapranos alias Franz Ferdinand. En couple avec l’artiste depuis 2019, Clara Luciani est revenue sur le lieu de leur rencontre, racontée avec beaucoup d’humour par son mari…

    Enceinte de son premier enfant, Clara Luciani s’est rendue au Festival Musilac avec son chéri Alex Kapranos, leader du groupe Franz Ferdinand. Marié à la chanteuse française depuis le 27 mai 2023, il va bientôt devenir le père de son premier enfant, la jolie brune étant enceinte depuis quelques mois. Avec beaucoup d’humour, l’artiste a tenu à présenter son épouse avant qu’elle ne fasse son entrée sur scène. « C’est une artiste que je regarde, que j’écoute pour la première fois. Elle est, comment on dit en français, une vraiment star » a-t-il déclaré, faisant mine de ne pas vraiment connaître celle qui partage sa vie depuis 2019.

    Qui est le mari de Cassandra ?

    À la suite du drame, Cassandre fut retrouvée par les Grecs, qui décidèrent de l’épargner à la demande d’Agamemnon, celui-ci la trouvant à son goût. Rentré dans son royaume, il fut assassiné par Égisthe, l’amant de son épouse Clytemnestre, laquelle était furieuse de cette liaison et de l’immolation de sa fille Iphigénie. Elle poursuivit Cassandre et l’assassina à son tour. Cassandre avait eu au préalable une vision de son propre meurtre et de celui d’Agamemnon, mais ce dernier n’avait pas voulu la croire. Elle mourut sans regrets, ayant assisté au massacre de sa famille.

    Gustav Hinrichs voyait en Cassandre une contrepartie d’Hélène, elle-même double humain de la déesse Aphrodite. Selon Paul Wathelet, elle s’identifie à la déesse Alexandra, connue en Laconie et en Daunie, « où elle est invoquée par les jeunes filles qui veulent se débarrasser d’un fiancé non souhaité ». Son nom a été interprété comme « celle qui écarte les hommes »[10]. Wathelet rappelle que tous les hommes qui l’ont approchée ont eu un destin funeste : Othryonée et Corèbe qui meurent misérablement, Ajax qui est foudroyé, Agamemnon qui est assassiné. Pour Jean Haudry, elle est « celle qui fait le malheur des hommes », initialement par le blâme[11].

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    Cassandre est l’archétype du prophète maudit, condamné à ne pas être cru.

    Homère, au chant XIII de l’Iliade, décrit Cassandre comme la plus jolie des filles de Priam. Au chant XI de l’Odyssée, il raconte son meurtre perpétré par Clytemnestre. Chez cet auteur, Cassandre n’est pas encore la grande prophétesse qu’elle deviendra chez d’autres.

    La tragédie d’Eschyle, Agamemnon, montre tout son désespoir et son impuissance face à ses pouvoirs divinatoires. Dans Les Troyennes d’Euripide, Cassandre surgit toute tremblante d’une tente et, telle une folle, prédit à Clytemnestre le meurtre de son époux de sa main. Cassandre apparaît également sous le nom d’Alexandra, qui donne le titre au long poème tragique de Lycophron de Chalcis. Le philosophe latin Sénèque, dans sa pièce de théâtre Agamemnon, écrit le désespoir de Cassandre après la perte des siens lors de la guerre de Troie (v. 695-709). Nous retrouvons enfin Cassandre dans l’Énéide du poète latin Virgile.

    Alexandra est également, selon Pascal Quignard, le titre de ce qui serait la « dernière tragédie grecque du monde antique » (2017), écrite à Alexandrie par l’érudit Lycophron, traduite en français en 1969 par Quignard[12],[13],[14].

    Le poète italien Boccace (1313-1375) introduit Cassandre parmi les 104 biographies Des dames de renom.

    Ronsard y fait allusion dans le recueil des Amours dédié à Cassandre (1552), évoquant par exemple son aïeul Laomédon et sa bouche « prophète » qui le met en doute car ses yeux la démentent (sonnet XXIV). V. aussi les sonnets XXXIII, LXXIX.

    Cassandre apparaît aussi dans « La Troade », tragédie de Robert Garnier, 1579, inspirée de la tragédie d’Euripide et de celle de Sénèque.

    Quelle est la différence entre conjoint et compagnon ?

    Le conjoint est légalement marié selon les lois de l’état. Le concubin n’est pas marié, mais vit avec une personne avec laquelle il a une relation stable et étroite. Le concubinage n’est pas reconnu par les lois de l’état, mais il existe des concubins légaux. Les concubins ont les mêmes droits et obligations que les conjoints légaux, mais ils ne peuvent pas se marier.

    La différence entre conjoint et concubin en droit

    La différence entre conjoint et concubin en droit est importante. En effet, le conjoint a des droits et des obligations envers son conjoint, tandis que le concubin n’a pas les mêmes droits et obligations.

    Le conjoint est celui avec qui vous êtes marié. Le concubinage est une union libre entre deux personnes. La différence entre conjoint et concubin en droit est importante, car le conjoint a des droits et des obligations envers son conjoint, tandis que le concubin n’a pas les mêmes droits et obligations.

    Le conjoint a le devoir de fidélité, de respect, de loyauté et de protection envers son conjoint. Le concubinage n’est pas soumis aux mêmes règles. En effet, les concubins n’ont pas le devoir de fidélité, de respect, de loyauté et de protection envers leur partenaire. Cependant, ils ont quand même certains devoirs envers leur partenaire, notamment le devoir de respect et de loyauté.

    Le conjoint a également le devoir de fournir un logement à son conjoint. Le concubin n’a pas ce devoir. En effet, les concubins peuvent choisir de vivre ensemble ou séparément.

    En cas de divorce, le conjoint a des droits envers son conjoint. Le concubin n’a pas ces droits.

    Pourquoi Darmon est marocain ?

    Gérard Darmon, né le 29 février 1948 à Paris, est un acteur et chanteur franco-marocain.

    Les parents de Gérard Darmon sont des juifs séfarades algériens. Son père, Henri Messaoud Darmon, quitte Oran pour Paris en 1937. Après avoir mené une vie de voyou sous le nom de « Trompe-la-mort »[1] ou « Riquet de Bastille »[2], Henri devient représentant en vin. Comme il souhaite se marier, des membres des familles font circuler des photos et c’est ainsi que lui et son épouse se choisissent. Celle-ci quitte Aïn El Arbaa en Algérie en 1947 pour rejoindre son époux à Paris[3].

    Gérard Darmon naît à Paris l’année suivante. Son prénom est choisi car l’acteur « Gérard Philipe était à la mode »[4].

    Il passe sa jeunesse « rue des Artistes » dans le 14e arrondissement de Paris, près du Parc Montsouris. Il découvre sa vocation d’artiste vers 10 ans, en colonie de vacances en Bretagne, lorsqu’il pastiche le jeu radiophonique Quitte ou double. Gérard abandonne ses études secondaires l’année du bac, et en tant que membre de l’Hanoar Hatzioni, part vivre quatre mois en Israël dans le kibboutz Hasolelim[5], avant de revenir à Paris suivre des cours d’art dramatique sous la direction de Bernard Bimont. Il a pour idoles Jerry Lewis et Fernandel[4].

    En 1972, il est recalé au concours d’entrée au Conservatoire national supérieur d’art dramatique et se produit alors dans les cafés-théâtres aux côtés de Jean-Pierre Bacri durant presque 10 ans[6].

    Repéré par Roger Hanin qui lui fait tourner quelques petits rôles au cinéma, la directrice de casting Margot Capelier l’engage en 1973 pour un rôle secondaire dans Les Aventures de Rabbi Jacob (il y interprète l’un des hommes de main de l’espion Farès, dans la célèbre scène de l’usine de chewing-gum)[4].

    En 1980, Gérard Darmon est remarqué au cinéma par le grand public dans Diva de Jean-Jacques Beineix, puis dans Le Grand Pardon d’Alexandre Arcady en 1982, aux côtés de Roger Hanin.

    En 1983, il joue son premier vrai rôle dans le film Les Princes de Tony Gatlif, puis poursuit avec On ne meurt que deux fois de Jacques Deray, 37°2 le matin de Jean-Jacques Beineix avec Béatrice Dalle et Jean-Hugues Anglade, Pour Sacha d’Alexandre Arcady avec Sophie Marceau (un film sur la Guerre des Six Jours en Israël). Il poursuit dans La Lune et le Téton de Bigas Luna, qui lui rapporte le prix Jean-Gabin 1983.

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    Il devient l’un des acteurs fétiches de Claude Lelouch, dont il partage la philosophie de vie, aux côtés de Vincent Lindon, Il y a des jours… et des lunes en 1989, La Belle Histoire en 1992 et Tout ça… pour ça ! en 1993.

    En 1994, il joue dans le film La Cité de la peur des Nuls où il danse une fameuse Carioca avec Alain Chabat.

    Qui est le petit-fils de Darmon ?

    Le nom de Tom Darmon, interprète de Tom dans

    Ici tout commence

    , vous dit probablement quelque chose. Et c’est normal : l’acteur de 24 ans est en effet le petit-fils de l’acteur Gérard Darmon. Sa mère est en effet Virginie Darmon, fille du comédien et de Nicole Recoules. Dans le documentaire

    Ici tout commence : les secrets d’un succès,

    le jeune comédien revient en effet sur sa relation avec son grand-père : « Quand on a la chance d’avoir une icône du cinéma dans sa famille, la transmission se fait. C’est un exemple. Mon grand-père, il m’a transmis l’amour de ce métier, il m’a transmis aussi beaucoup de fierté. J’essaye de marcher dans les pas de mon grand-père et j’essaye de pas le décevoir non plus. »

    Pourquoi tout le monde aime le Maroc ?

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    Qui a donné le nom Maroc au Maroc ?

    Le Maroc est sous domination Ommeyades, mais elle sera renversée par les Abbassides. C’est une anarchie totale. La création de la nation marocaine

    La fondation du Maroc va se faire à l’aide des Idrissides qui vont se rallier à plusieurs tribus, mais ce sont les Almoravides qui vont donner le nom de « Maroc » en créant la capitale Marrakech. Lorsque le Maroc prend sa place, le reste du Maghreb éclate et forme des territoires indépendants. Des désaccords vont apparaître et des puissances vont essayer de se saisir du pays. En 1911, le Maroc sera partagé entre la France et l’Espagne.

    De 758 à 1664, l’histoire du Maroc va connaître un bouleversement entre les royaumes et les dynasties qui vont se succéder, le Royaume de Sijilmassa, Le Royaume des Berghouata,

    La Dynastie Idrisside, les Omeyyades de Cordoue et les Fatimides, Les Meknassa et les Maghraoua, Les Ifrenides, les Almovarides, la Dynastie Almohade, la Dynastie des Mérinides, les Wattassides, l’arrivée des Andalous et des Moriscos vont laisser leurs empreintes au niveau de l’architecture et des forteresses, et enfin, la dynastie des Saadiens.

    Puis le Maroc va commencer à s’imposer, avec les Sultans Alaouites, dont le plus grand est le Sultan Moulay Ismaïl. Ce Sultan va entretenir des relations cordiales avec la France. Mais la France signe des accords avec l’Espagne, cela ne va pas plaire au Sultan et il va cesser toute relation avec la France. De 1727 à 1909 vont encore se succéder de nombreux Sultans, des batailles avec certains pays. Durant le 19ème siècle, le Maroc va être la proie des puissances étrangères, la France, l’Espagne, le Royaume-Uni. Elles vont vouloir s’emparer de ce pays pour des raisons économiques.

    Qui a donné le nom du Maroc ?

    Ils fondent Marrakech, deuxième ville impériale du Maroc, qui donnera son nom au pays.

    Il traverse enfin le détroit de Gibraltar pour secourir les émirs omeyyades, en butte à l’offensive du roi chrétien de Castille Alphonse VI (assisté d’un fameux chevalier, le Cid).

    – Les Almohades (1147 – 1248)

    Dans le Haut Atlas, un lettré du nom d’Ibn Toumert prêche le retour à une foi en l’unicité de Dieu. Après sa mort, ses disciples, les Almohades (d’un mot arabe qui désignent ceux qui proclament l’unicité de Dieu) partent en guerre contre les Almoravides.

    Ils vont régner avec brio sur l’empire marocain pendant un demi-siècle, jusqu’à ce qu’ils soient eux-mêmes défaits par les chrétiens en 1212 à Las Navas de Tolosa.

    – Les Mérinides (1248 – 1548)

    Au Maroc proprement dit, le chef berbère Abou Yahia chasse les derniers Almohades et fonde la dynastie des Mérinides. Après quelques belles réalisations dans les domaines artistiques et culturels, les Mérinides manifestent leur faiblesse face à l’expansion des Portugais qui occupent le port de Ceuta, près du détroit de Gibraltar, en 1415, et commencent de grignoter le littoral.

    – Les Saâdiens (1548 – 1660)

    Au début du XVIe siècle, les Saâdiens, des Berbères venus de la vallée du Draâ, exaspérés par les offensives chrétiennes, se révoltent contre les Mérinides et chassent ceux-ci du pouvoir.

    Fondant leur propre dynastie, ils entament une guerre sainte contre les Portugais. C’est ainsi qu’Agadir est reprise en 1541… Dans le même temps, les Saâdiens s’allient aux Espagnols pour faire face à la menace turque !

    Le bouquet final a lieu le 4 août 1578, près de Ksar el-Kébir (ou Alcazar Quivir), où s’affrontent Marocains et Portugais.

     

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