[De son vrai nom Frank; James Cooper, Gary Cooper est né le 7 mai 1901 à Helena, dans l’État de Montana.
Qui est la femme de Gary Cooper ?
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Alan Cooper (né en 1952 à San Francisco) est un développeur pionnier dans la réflexion sur conception de logiciels prenant en compte l’utilisateur final. Il est reconnu comme le père du langage visual Basic[1] et comme inventeur des personas, ces archétypes d’utilisateurs possibles auxquels les ergonomes peuvent se référer lors de la conception d’une interface[2].
En juin 1995, il a publié dans la revue Visual Basic Programmer’s Journal l’article “The myth of metaphor”[3] (le Mythe de la métaphore[4]). Dans cet article, il évoque les trois paradigmes de l’interface :
- le paradigme technologique, basé sur la compréhension du fonctionnement des choses : objectif difficile
- le paradigme de la métaphore, basé sur le fait de deviner intuitivement comment fonctionnent les choses : méthode problématique
- le paradigme idiomatique, basé sur le fait d’apprendre comment accomplir les choses : processus normal et humain.
Comment se termine le film Pour qui sonne le glas ?
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Si ce bandeau n’est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Pour qui sonne le glas (For Whom the Bell Tolls) est un film américain réalisé par Sam Wood sorti en 1943.
Le film est tiré du roman d’Ernest Hemingway Pour qui sonne le glas.
Venu combattre aux côtés des républicains lors de la guerre d’Espagne, l’Américain Robert Jordan est chargé de faire sauter en Castille un pont défendu par les fascistes, afin de couper la route à l’armée franquiste. Il tombe amoureux de Maria, une des résistantes du groupe dirigé par Pablo et sa femme Pilar.
Et, parmi les acteurs non crédités :
Le film est un véritable succès commercial. Il engrange 8,27 millions d’entrées en France et 9,70 millions d’entrées au Royaume-Uni[1]. Il se classe à la seconde place du box-office américain de l’année 1943 derrière This Is the Army.
Qui joue Joey Starr ?
À peine sorti dans les salles obscures, le film Suprêmes récolte déjà de nombreuses critiques positives et les commentaires sont élogieux concernant la prestation de Théo Christine et son acolyte Sandor Funtek. À coup sûr, le rôle de JoeyStarr marquera un tournant dans la carrière du jeune acteur de 23 ans – qui ne fait néanmoins pas ses premiers pas sur le grand écran. En parallèle de l’aventure Skam France, l’élève du Cours Florent a joué dans le long-métrage La Finale auprès de Rayane Bensetti et Thierry Lhermitte. Il a également incarné le mystérieux Kevin dans Garçon chiffon, le premier film de Nicolas Maury. Et cette année, les abonnés de Netflix ont pu le découvrir dans Comment je suis devenu un super-héros avec Leïla Bekhti et Pio Marmaï. Pour savoir comment il s’est transformé en JoeyStarr, rendez-vous au cinéma.
Quel est le prénom de l’acteur Berry ?
Richard Berry est un acteur, réalisateur et scénariste français, né le 31 juillet 1950 à Paris.
Sa mise en scène de Nos femmes est récompensée en 2014 aux Globes de cristal dans la catégorie « meilleure pièce de théâtre ».
Issu d’une famille juive d’Oran, en Algérie française, Richard Élie Benguigui[1] est le fils de Moïse[2] (Maurice) Benguigui et Stella Valency Levy[3],[4],[5], commerçants. L’année de ses 14 ans, son père change de patronyme[2], lui substituant « Berry ». Richard, sa sœur Marie-Claire[2] (née en 1952) et son frère Philippe (1956-2019) — futur mari de l’actrice Josiane Balasko — grandissent dans le quartier populaire de Bonne-Nouvelle (Paris 2e)[6] puis à Boulogne-Billancourt où leurs parents tiennent une boutique de prêt-à-porter[7].
En 1966, alors âgé de 16 ans et élève au lycée Janson-de-Sailly[8], il se passionne pour le théâtre, intègre une troupe de comédiens amateurs et affectionne les classiques de Racine, Corneille, Molière et Beaumarchais.
Richard Berry au Festival de Cannes 1996.
En 1970, il est admis par concours au Conservatoire national supérieur d’art dramatique avec pour professeurs Jean-Laurent Cochet et Antoine Vitez : il ressort avec le premier prix en 1973, avant d’intégrer cette même année la Comédie-Française dont il devient pensionnaire et où il restera jusqu’en 1980, ce qui lui permet de jouer une vingtaine de pièces classiques[9].
En 1974, il fait une première apparition au cinéma dans La Gifle de Claude Pinoteau avec Lino Ventura, Isabelle Adjani et Annie Girardot.
En 1978, Élie Chouraqui lui offre son premier grand rôle au cinéma dans Mon premier amour aux côtés de Nathalie Baye, Anouk Aimée et Gabriele Ferzetti. Il tourne alors quatre à cinq films par an.
Il est dirigé par Alexandre Arcady dans de nombreux films : Le Grand Pardon et Le Grand Pardon 2, Le Grand Carnaval, L’Union sacrée, Pour Sacha et Entre chiens et loups… Il est aussi employé par Christine Pascal pour laquelle il joue dans trois films : La Garce, Le petit prince a dit (pour lequel il est nommé au César du meilleur acteur et obtient le prix d’interprétation au festival de Montréal) et Adultère (mode d’emploi).
Deux jours avant le début du Festival international du film de comédie de l’Alpe d’Huez en 1999, Richard Berry est victime d’un accident de moto avec Patrick Timsit sur le siège passager. À la suite de cette mésaventure, il ressent le besoin de réaliser un film[3]. Il accomplit ce désir avec L’Art (délicat) de la séduction qui fait jouer Patrick Timsit et donne à Cécile de France son premier grand rôle. Il réalise ensuite Moi César, 10 ans 1⁄2, 1m39, film dans lequel il donne une nouvelle fois un rôle à sa fille Joséphine Berry.
Qui est l’ex femme de JoeyStarr ?