Home » Qui est la mère de Antonin Balthazar Lévy ?

Qui est la mère de Antonin Balthazar Lévy ?

by Marine Lamiaux

Le fils de BHL

Âgé de 36 ans, Antonin Lévy est le fils de BHL et de Sylvie Bouscasse, ancienne éditrice et publicitaire.

Qui est l’épouse de BHL ?

Bon pour l’asile », sur liberation.fr, 17 octobre 2013.

  • ↑ « Antonin Levy », sur sciences-po.asso.fr.
  • ↑ a b et c Biographie sur le site Hogan Lovells.
  • ↑ a et b François Labrouillère, « Antonin Lévy – Le fils de BHL est l’avocat de François Fillon », Paris Match, semaine du 16 au 22 février 2017, page 96.
  • ↑ a et b Juliette Branciard, « Antonin Lévy, le bras « droit » de François Fillon », sur lemonde.fr, 6 février 2017.
  • 20 minutes, 28 mars 2013 (consulté le 10 février 2017).
  • ↑ L’avocat de Cantat brandit la lettre de suicide de son ex femme, Europe 1
  • ↑ « Antonin Lévy & Associés A.A.R.P.I » (consulté le 1er décembre 2021)
  • Qui est le fils de BHL ?

    Écrivain et philosophe, Bernard-Henri Lévy est également romancier, cinéaste et dramaturge. Il est l’auteur de 47 livres.

    Né en 1948 à Beni Saf, BHL fait partie des initiateurs du mouvement des « Nouveaux philosophes », dont il demeure la figure emblématique. Intellectuel engagé, il est connu notamment pour son combat contre les autoritarismes et pour la défense du « devoir d’ingérence ».

    Éditorialiste pour de nombreux journaux français et internationaux, il préside le conseil de surveillance d’Arte. Également éditeur, il dirige la revue La Règle du jeu et la collection « Figures » chez Grasset.

    Origines

    Les Lévy descendent d’une famille juive de Beni Saf, en Algérie, où Bernard-Henri Lévy a vu le jour, le 5 novembre 1948. Son père, André Lévy est un important entrepreneur, d’abord installé à Casablanca. Avec sa sœur Véronique et son frère Philippe, Bernard-Henri Lévy a grandi à Neuilly où sa mère, Dina Siboni, lui a transmis sa passion de la lecture.

    A vingt ans, il s’échappe de l’École Normale pour un voyage initiatique au Mexique avec Isabelle Doutreluigne, qu’il épouse à leur retour, avant la naissance de leur fille, Justine. Il aura ensuite un fils, Antonin, de son union avec Sylvie Lévy. Il épouse Arielle Dombasle en 1993.

    Les débuts d’une vie de combats

    À l’École Normale Supérieure, il a été un élève brillant, reçu huitième à l’agrégation de philosophie. Il enseigne un temps l’épistémologie et la philosophie, mais c’est une autre voie qu’il convoite.

    En 1971, Bernard-Henri Lévy s’était retrouvé seul membre de ces Brigades internationales qu’André Malraux venait d’appeler de ses vœux, à la télévision, pour libérer le Bengale de son oppresseur pakistanais.

    Qui est Juliette Lévy ?

    La voilà, la grande force de son concept : avoir remis l’humain au centre du jeu.

    La conseillère Oh My Cream est donc un peu comme cette « amie » (le professionnalisme en plus) qui teste tout, déniche des pépites et vous recommande le produit qu’il vous faut

    « Depuis le départ, l’idée était de faire un travail de curation, de proposer une sélection resserrée de produits testés par nous-mêmes, avec des formules validées par notre experte soins. Et de les recommander aux femmes, de manière personnalisée, après un vrai diagnostic de peau », explique Juliette Lévy. La conseillère Oh My Cream est donc un peu comme cette « amie » (le professionnalisme en plus) qui teste tout, déniche des pépites et vous recommande le produit qu’il vous faut.

    Si l’efficacité est le critère de sélection numéro un, les marques doivent aussi montrer patte blanche en termes de formulation « propre » (ingrédients d’origine naturelle et sans substances nocives) et d’écoresponsabilité. « On est pragmatique, car rien n’est tout blanc ou tout noir.

    Quelle est la fortune de BHL ?

    Il y a acheté un pied à terre pour 2,9 millions d’euros, qu’il hypothèque ensuite pour 4,55 millions d’euros.

    BHL affectionne aussi Saint Paul de Vence, où il achète en 2002 une vaste demeure à une famille de la région, qui elle-même l’avait achetée en 1971 via un montage fictif mis en place pour tromper le fisc. Montant du rachat : 1,6 million d’euros. Mais la famille se déchirera jusqu’à la cour de cassation pour savoir qui doit encaisser le chèque de BHL… Entretemps, notre philosophe a revendu cette villa en 2014 pour 4 millions d’euros.

    Dernière terre de prédilection : le Maroc. A Marrakech, en 1998, BHL rachète à Alain Delon le palais de la Zahia, un riad ayant appartenu autrefois à John Paul Getty Jr. Montant de la transaction : 2 millions d’euros, selon les déclarations de BHL à Nicolas Beau et Olivier Toscer.

    A Tanger, il rachète en 2000 un palais maure de 620 mètres carrés, qui a aussi servi de maison close. Il le fait ensuite redécorer par Andrée Putman. En 2017, il remet en vente la demeure pour 6 millions d’euros. “J’ai trop de maisons à travers le monde”, explique-t-il alors. La vente n’a visiblement toujours pas abouti, car l’annonce est toujours en ligne sur plusieurs sites.

    ⋙ A lire aussi – France Télévisions et Arte, grands mécènes du cinéaste Bernard-Henri Lévy

    A côté de ces placements fructueux, BHL a aussi investi dans divers projets culturels lui tenant à coeur, le plus souvent en pure perte, mais qui pourrait l’en blâmer ? Heureusement pour lui, les montants investis étaient beaucoup moins élevés.

    La presse : des investissements à perte

    En 1975, BHL lance avec Michel Butel un quotidien baptisé l’Imprévu, financé par son père André. La diffusion s’effondre rapidement, tombant de 25.730 à 2.524 exemplaires sur Paris. L’aventure s’arrête donc au bout de onze numéros. Elle a coûté 3 à 4 millions de francs, selon la biographie BHL de Philippe Cohen.

    A LIRE  Où se trouve la maison de Tino Rossi en Corse ?

    Dix ans plus tard, en 1985, BHL participe au magazine Globe de Georges-Marc Benamou, dont il est un des contributeurs, mais aussi un actionnaire : il avait investi 3.800 francs pour 38% du capital. Le magazine s’arrête en 1994.

    En 1990, BHL crée une revue baptisée La règle du jeu. Sa publication est ensuite reprise par une maison d’édition créée par BHL en 2001, LDL Editions, rebaptisée La règle du jeu SARL. A fin 2017, cette société a cumulé 248.042 euros de pertes, et affiche des capitaux propres négatifs de -240.043 euros. En 2013, BHL a cédé 25% du capital à la rédactrice en chef de la revue, Maria de França e Silva, pour un euro symbolique. Parallèlement, la revue est aussi financée par le groupe Lagardère au titre du mécénat d’entreprise (le groupe d’Arnaud Lagardère édite aussi les livres de BHL, via sa filiale Grasset).

    En 2008-09, BHL investit dans Libération, aux côtés notamment d’Edouard de Rothschild, et Carlo Caracciolo.

    Où est passée Nathalie Lévy ?

  • ↑ a b et c Michaël Zoltobroda, « Nathalie Lévy reprend « En aparté » sur Canal+ : « C’est le graal ! » », Le Parisien,‎ 31 août 2021 (lire en ligne Accès payant, consulté le 5 septembre 2021).
  • ↑ « Nathalie Levy reprend les clés d’« En Aparté » », Paris Match,‎ 2-8 septembre 2021.
  • ↑ Isabelle Duranton, « Radio, télé, les nouveautés de la rentrée », Notre Temps,‎ 5 juillet 2021 (lire en ligne, consulté le 5 juillet 2021).
  • ↑ Michaël Zoltobroda, « Canal+ va ressusciter « En aparté » avec la voix… de Nathalie Lévy », Le Parisien,‎ 4 juillet 2021 (lire en ligne, consulté le 5 juillet 2021).
  • ↑ Émilie Paul, « « En aparté » va renaître de ses cendres avec Nathalie Levy », Le Figaro Magazine,‎ 5 juillet 2021 (lire en ligne, consulté le 5 juillet 2021).
  • ↑ « « En Aparté » revient sur Canal+ avec la voix de Nathalie Lévy pour remplacer Pascale Clark », Ouest-France,‎ 5 juillet 2021 (lire en ligne, consulté le 5 juillet 2021).
  • ↑ Olivier Cortinovis, « Qui est Nathalie Lévy, la nouvelle voix d’En aparté ? », Voici,‎ 1er septembre 2021 (lire en ligne, consulté le 5 septembre 2021).
  • ↑ a et b Benjamin Meffre, « Canal+ : Que reste-t-il du clair ? », Puremédias,‎ 1er septembre 2021.
  • ↑ Louise Bernard et Alexis Patri, « Rentrée de Canal+ : « En Aparté » ressuscitée, la série de Blanche Gardin annoncée », Europe 1,‎ 1er septembre 2021 (lire en ligne, consulté le 5 septembre 2021).
  • ↑ « Les cinq raisons qui font que Canal+ revient en première division », Le Télégramme,‎ 31 août 2021 (lire en ligne, consulté le 5 septembre 2021).
  • ↑ « Télévision : ligue des champions, séries, nouvelles chaînes… Canal+ dévoile son nouveau programme », Sud Ouest,‎ 31 août 2021 (lire en ligne, consulté le 5 septembre 2021).
  • ↑ a et b Mathieu Faure, « Nathalie Levy raconte comment elle est devenue la présentatrice de l’émission « En aparté » sur Canal+ », Nice-Matin,‎ 9 novembre 2021 (lire en ligne Accès payant, consulté le 21 novembre 2021).
  • ↑ a b c d et e « Nathalie Levy : « on a envie de faire une belle émission avec un ton différent et ce côté très feutré qui est présent à la télévision » », Sud Radio,‎ 16 septembre 2021 (lire en ligne, consulté le 16 septembre 2021).
  • ↑ Émilie Paul, « Nathalie Levy, le goût des autres », TV Magazine, no 1883,‎ 4-10 mars 2023 (lire en ligne Accès payant, consulté le 4 mars 2023).
  • ↑ Christophe Gazzano, « « En aparté » : L’émission culte revient en quotidienne sur Canal+ dès ce soir », Puremédias,‎ 16 septembre 2021 (lire en ligne, consulté le 16 septembre 2021).
  • Comment s’appelle le dernier livre de Lévy ?

    Jamais deux sans trois. Après le succès des deux premiers tomes de sa série « 9 », qui narre les aventures d’un groupe de hackers, Marc Levy publiera le 17 mai 2022 aux éditions Robert Laffont – Versilio son nouveau roman, Noa.

    L’ouvrage s’inscrit dans la continuité de C’est arrivé la nuit, paru en septembre 2020, et du tome 2 Le crépuscule des fauves, publié en mars 2021. Selon Gfk, les deux romans se sont respectivement vendus à 278 000 et 153 000 exemplaires. Dans ce nouvel opus qui entraîne le lecteur de Londres à Rome, en passant par Vilnius et Kiev, le Groupe 9 combat cette fois un dictateur et s’infiltre en terrain ennemi.

    « J’ai eu envie d’entraîner les lecteurs dans un roman d’aventures et d’espionnage, ne ménageant ni le rythme ni le suspense. Je n’avais pas imaginé que cette fiction se confonde si vite avec la réalité », explique Marc Lévy, dans un communiqué de presse de son éditeur.

    Traduit dans 50 langues, Marc Levy est l’auteur français le plus lu en France et dans le monde, avec plus de 50 millions d’exemplaires vendus.

    Qui est la mère de Louis Lévy ?

    Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

    Madeleine Lévy, née le 18 novembre 1918 à Paris et morte le 25 novembre 1943 à Auschwitz[1], est une résistante du mouvement Combat et assistante sociale française, petite-fille du capitaine Alfred Dreyfus, déportée à Auschwitz.

    Madeleine Lévy est née le 18 novembre 1918 à Paris. Elle est la fille de Pierre-Paul Louis Lévy (28 avril 1881 à Toulouse – 30 avril 1981 à Paris 12e), docteur en médecine, et de Jeanne Lévy née Dreyfus (22 février 1893 à Paris 8e – 30 avril 1981 à Paris 12e). Cette dernière est la fille du capitaine Alfred Dreyfus et de Lucie Dreyfus[2].

    A LIRE  Comment déstabiliser un séducteur : 4 stratégies infaillibles pour renverser la situation

    Madeleine Lévy a pour frères et sœur Simone Lévy (plus tard, Simone Perl), Jean-Louis Lévy et Étienne Paul Louis Lévy[3],[4]. Madeleine Lévy aurait été la petite-fille préférée d’Alfred Dreyfus[5].

    À la suite d’une inflammation infantile, elle est sourde d’une oreille[6],[7].

    A Paris, elle fait du scoutisme[8], au sein de la Fédération française des éclaireuses, section neutre (laïque)[6]. Comme sa sœur Simone, elle fait ses études au lycée Molière, où elle excelle en mathématiques et en philosophie[6].

    Elle suit une formation à l’école des surintendantes d’usine de Paris[9]. En mai 1940, avec l’invasion imminente de Paris, Madeleine Lévy et sa grand-mère Lucie Dreyfus, son oncle Pierre-Léon (1891-1945) (le frère de sa mère Jeanne) se préparent pour l’exode vers le Sud de la France[6].

    Comment BHL a fait fortune ?

    “Je n’ai, pas plus aujourd’hui qu’hier, de sympathie particulière pour ce fameux capitalisme généralisé, totalisé, déchaîné, qu’on appelle mondialisation des échanges et de la production”, assure Bernard-Henri Levy dans son dernier livre, Sur la route des hommes sans nom, paru le 5 mai. Pourtant, ce capitalisme assure la fortune et le train de vie du philosophe millionnaire. L’origine de cette fortune est connue : elle provient de la Becob, une société de négoce de bois créée par son père, André. Lorsque le patriarche décède, le 8 novembre 1995, la famille décide dans un premier temps de conserver l’entreprise, qui réalise alors 450 millions d’euros de chiffre d’affaires. Deux semaines après son décès, lors d’un conseil de surveillance, BHL rend hommage à son père qui “avait préparé sa succession avec beaucoup de sagesse […] en associant son fils à ses décisions” (André avait notamment nommé BHL vice-président du conseil de surveillance). Le fils aîné promet alors de “mettre tout en oeuvre pour assurer le maintien du l’identité de la Becob ainsi que sa prospérité. C’est de cette façon qu’il entend rester fidèle à la mémoire de son père”, indique le procès-verbal.

    Mais, deux ans plus tard, la famille change d’avis. Elle cède les 76,9% qu’elle détient dans la Becob à Pinault Bois et Matériaux, une filiale du groupe PPR (devenu aujourd’hui Kering). Montant de la cession : 49,2 millions d’euros, indiquent les comptes. La famille aurait touché une cinquantaine de millions d’euros supplémentaires en vendant aux Pinault d’autres actifs (immobilier, filiales à l’étranger…), à en croire le livre Une imposture française de Nicolas Beau et Olivier Toscer.

    Ce pactole était en partie logé dans une holding familiale baptisée Finadeux. Son capital était réparti en trois parts à peu près égales entre les trois enfants d’André Levy : Bernard-Henri, Philippe et Véronique. Mais des désaccords apparaissent avec la soeur, qui remet en cause la stratégie de Finadeux. Finalement, en 2002, un accord est trouvé selon lequel les deux frères rachètent les actions de leur soeur. Mais ils expliquent à leur soeur que les actifs de Finadeux ne sont pas liquides, ce qui entraîne une décote de sa valorisation, qui s’élève à seulement 17,5 millions d’euros (pour 100% du capital). Mais le fisc, examinant la transaction, estime que les deux frères ont été plutôt pingres, et que Finadeux vaut en réalité presque le double (29,5 millions d’euros). BHL fait alors un recours devant la commission de conciliation du fisc, qui valorise Finadeux à 26,2 millions d’euros, et inflige un redressement de 169.576 euros aux frères Levy. Toujours trop pour BHL, qui conteste ce redressement devant le tribunal de grande instance de Paris, qui, sur la base d’une expertise, valorise finalement Finadeux à 23,6 millions d’euros, et réduit donc le redressement fiscal à 119.400 euros.

    Finadeux est ensuite absorbée par une autre holding baptisée Finaquatre, puis une autre baptisée BPL Finances.

    Qui vit avec BHL ?

    BestImage

    Le monde entier se doute qu’elle mène un train de vie un peu plus élevé que la moyenne… mais peut-être pas à ce point. Arielle Dombasle, qui vit avec son cher et tendre époux Bernard-Henri Lévy dans un chicissime appartement du 8e arrondissement de Paris – avec vue sur le palais de l’Elysée s’il-vous-plaît ! – s’assure au quotidien que ses envies de confort soient respectées à la lettre. C’est ce qu’elle a expliqué, sur les ondes de RTL, au micro de l’émission Les Grosses Têtes, en détaillant le programme de son personnel de maison.

    C’est un luxe et c’est merveilleux !

    Alors que Christine Bravo lui réclamait un petit job pour boucler les fins de mois difficiles, Arielle Dombasle s’est renseignée sur sa capacité à laver le linge de maison. « Chez moi on change les draps tous les jours, a-t-elle expliqué aux différents membres de l’équipe de Laurent Ruquier. C’est un luxe et c’est merveilleux ! Lorsqu’on pose le visage sur l’oreiller, sa douceur, c’est un moment de volupté.

    Quel est le métier de BHL ?

    Bernard-Henri Lévy en 2011.

    Œuvres principales

    modifier Consultez la documentation du modèle

    Bernard-Henri Lévy, souvent désigné par ses initiales BHL, né le 5 novembre 1948 à Béni Saf (Algérie), est un écrivain, philosophe, cinéaste, homme d’affaires et chroniqueur français.

    À partir de la parution de son premier essai, La Barbarie à visage humain en 1977, il est une figure influente de la scène politique, philosophique, médiatique et littéraire française, à travers son implication dans de nombreux sujets politiques, diplomatiques et de société. Il fait partie dans les années 1970 des initiateurs du mouvement des nouveaux philosophes, dont il demeure la figure emblématique.

    Lecteur de Sartre et de Husserl, il est l’auteur de nombreux ouvrages sur la judaïté, l’identité, le sionisme, les intégrismes religieux, l’art, l’antisémitisme, l’esprit baudelairien, dont il se réclame, les États-Unis et la guerre en Libye, lors de laquelle il apparaît comme une figure active prééminente sur la scène internationale, tout comme lors des guerres de Yougoslavie et l’intervention russe en Ukraine.

    A LIRE  Comment savoir si vous plaisez à une femme mariée : 10 signes révélateurs à surveiller

    Auteur de pièces de théâtre et de deux romans, pour lesquels il reçoit le prix Médicis en 1984 et le prix Interallié 1988, chroniqueur et cinéaste, il est cofondateur de l’Institut d’études lévinassiennes en 2000, et dirige depuis 1990 une revue qu’il a fondée, La Règle du jeu.

    Il fait l’objet de très nombreuses critiques, autant de la part de certains de ses pairs que de personnalités politiques, médiatiques et artistiques. Les controverses portent principalement sur son travail philosophique, ses réseaux de soutien, son activisme sur les questions géopolitiques ainsi que sa posture et sa personnalité.

    Bernard-Henri Lévy est issu d’une famille juive séfarade d’Algérie[1].

    « Je suis né dans une petite ville d’Algérie, Béni-Saf, dont je n’ai pas eu d’image, ni de représentation, avant l’âge de 40 ans. Mais je savais que j’étais né rue Karl Marx n.1 dans ce village. »[iBHL 1]

    L’un de ses arrière-grands-pères maternels était le rabbin de la ville de Tlemcen, à l’ouest du pays. Son père, André Lévy, est originaire de Mascara et, à 18 ans, s’engage pour la défense de l’Espagne républicaine[BHL 1] avant de combattre au sein du 2e bataillon de marche, sous les ordres du général Diego Brosset. Sa mère est née Dina Siboni. Il a un frère, Philippe, et une sœur[2], Véronique, convertie au catholicisme[iBHL 2], baptisée le 7 avril 2012[2] et auteur du livre Montre-moi ton visage[3]. Après avoir passé plusieurs années au Maroc, alors protectorat français, sa famille s’installe en France, à Neuilly-sur-Seine, en 1954.

    En 1946, son père s’installe à Casablanca dans le quartier d’Anfa[4] et fonde au Maroc[5] la Becob, une société d’importation de bois précieux africains et de résineux (de Finlande, d’URSS ou de Roumanie)[6] ; sa mère vend ses parts à la société Pinault Bois et Matériaux, filiale au groupe Pinault-Printemps-Redoute, qui devient plus tard Kering[7] en 1997 pour 750 millions de francs français[8],[9].

    Qui est le père de BHL ?

    André Lévy, président du groupe Becob (secteur bois), dont il détenait le contrôle avec sa famille, est décédé lundi à l’âge de soixante-quinze ans. Il était le père du philosophe Bernard-Henri Lévy.

    L.-E. J.

    Quelles clés pour s’adapter dans un environnement complexe ?

    Comment réagir face aux défis de la transition énergétique ? Comment se positionner dans un environnement économique et politique instable ? Comment exploiter au mieux les opportunités d’innovation dans chaque secteur ? Au quotidien, à travers nos décryptages, enquêtes, chroniques, revues de presses internationales et éditos, nous accompagnons nos abonnés en leur donnant les clés pour s’adapter à un environnement complexe.

    Je découvre les offres

    Quel âge a Ariel Dombal ?

    Elle serait née en 1958, ce que la journaliste Marie-Dominique Lelièvre avait déjà indiqué dans le même journal en 1996 (supra) – Portrait. Arielle Dombasle, super eros (consulté le 10 février 2021)

  • ↑ .
  • ↑ André Siscot, « Arielle Dombasle », Les Gens du cinéma, consulté le 3 mars 2010.
  • ↑ https://www.lemonde.fr/technologies/article/2012/01/14/wikipedia-bazar-libertaire_1629135_651865.html
  • ↑ a b c d et e Aurélie Raya, « Sacrée Arielle », Paris Match, no 3349,‎ 25 juillet 2013, p. 7 (ISSN 0397-1635).
  • ↑ Rachel Kahn et Marc-Olivier Fogiel, Le divan de Marc-Olivier Fogiel, LAC Presse / Et la suite Productions / France 3 / France Télévisions / France TV Shows, 7 mars 2017, vidéo (présentation en ligne).
  • ↑ « Deux Américaines à Paris », L’Express, 27 juin 2008.
  • ↑ Généalogie sur geni.com.[source insuffisante]
  • ↑ a b et c Caroline Rochmann, « Arielle Dombasle lève le voile », Paris Match, 9 mai 2009.
  • ↑ Acte de naissance no 350 (vue 280/374), registre des naissances pour les années 1881-1882, archives municipales de la ville d’Alès.
  • Who’s Who in France, 1re édition, 1953-1954.
  • ↑ « Maurice Garreau Dombasle », sur francaislibres.net (consulté le 8 octobre 2016).
  • ↑ Hélène Mathieu (Interview d’Arielle Dombasle), « Arielle Dombasle : « Mon seul accomplissement, c’est l’amour » », sur le site de Psychologies magazine, 16 février 2010 (consulté le 13 mars 2022) : « Vous parlez souvent de votre enfance mexicaine. Pourquoi avez-vous vécu là-bas ? – Arielle Dombasle : parce que mon grand-père maternel a été nommé ambassadeur par le général de Gaulle pour représenter la France libre en Amérique latine. Mon père, qui était d’une famille de soyeux de Lyon, a ouvert des usines de soie en Amérique et au Mexique quand il a rencontré ma mère. Il a adoré ce pays et s’y est installé. […] On vivait six mois à New York, et puis six mois à Lyon, et puis six mois dans le Midi. ».
  • ↑ Liste des passagers des vols Air France des 5 mai 1955 et 7 mai 1957 sur familysearch.org.
  • Un conte de femme : Arielle Dombasle, documentaire de Thierry Humbert (Makam), 2013.
  • ↑ Caroline Rochmann, « Arielle Dombasle lève le voile », sur parismatch.com, 9 mai 2009 (consulté le 11 novembre 2016).
  • ↑ « Insaisissable Arielle Dombasle », sur francebleu.fr, 2014 (consulté le 11 novembre 2016).
  • ↑ François Truffaut, cité par Victor Hache dans Arielle Dombasle, éditions du Collectionneur, 2002, p. 142.
  • ↑ (en) Judy Flander, « Collins battles to save empire in Sins finale », Lakeland Ledger,‎ 4 février 1986, p. 3C (lire en ligne).
  • ↑ François-Xavier Ajavon, « Symbolisme et temporalité bergsonnienne dans Le Jour et la Nuit de Bernard-Henri Lévy » sur nanarland.com.
  • ↑ Interview de Bernard-Henri Lévy sur nouvelobs.com, 7 mai 2004.
  •  

    Vous aimeriez aussi

    Notre site utilise les cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez refuser si vous le souhaitez. Accept Lire