Sa première épouse est Marina Vlady (1938), née De Poliakoff de Baïdaroff, comédienne et descendante de Russes blancs. Marié en 1955, Robert Hossein divorce de Marina Vlady en 1960. De cette union naîtront cependant deux fils : Igor (1956) et Pierre (1958).
Qui est le fils de Marina Vlady ?
Robert Hossein et sa deuxième épouse Caroline Eliacheff
Ils se marient le 7 juin 1962. La jeune femme, qui est par ailleurs la fille de la journaliste et femme politique Françoise Giroud, n’a alors que 15 ans. Robert Hossein, lui est âgé de 34 ans. Dès l’année suivante, en 1963, le couple donne naissance à un petit garçon prénommé Nicolas.
Qui est la mère de Robert Hossein ?
Jean-Jacques Servan-Schreiber (aussi appelé par ses initiales JJSS), né Jean-Jacques Schreiber le 13 février 1924 à Paris et mort le 7 novembre 2006 à Fécamp[1], est un journaliste, essayiste et homme politique français.
Issu d’une famille influente aux origines prussienne et juive, Jean-Jacques Servan-Schreiber naît en 1924. Il est le fils aîné d’Émile Servan-Schreiber, codirecteur du journal Les Échos, et de Denise Brésard, maire de Veulettes-sur-Mer[2].
Jouissant de toute l’attention de sa mère, Jean-Jacques Servan-Schreiber est un enfant doué et travailleur. Dès l’adolescence, son père l’entraîne avec lui dans les réunions de son cercle où se rencontrent des personnalités comme le ministre Raoul Dautry[3].
Reçu à l’École polytechnique en 1943, il rejoint de Gaulle avec son père et choisit la filière américaine en étant formé comme pilote de chasse dans l’Alabama. Obtenant son brevet en avril 1945, il ne participe cependant à aucun combat aérien[3]. Dans Le Huron de la famille (1979), son cousin Jean-Claude, gaulliste engagé dans la cavalerie blindée et rapidement envoyé au combat, ironise sur le choix d’une formation longue dans l’aviation, qui permettait de gagner le prestige de l’uniforme sans grand risque de partir au front immédiatement[4]. Jean-Jacques Servan-Schreiber justifiera dans ses mémoires son choix de l’armée de l’air, en exprimant sa crainte de mourir brûlé dans un char d’assaut.
Terminant Polytechnique à la Libération, il n’exerce jamais son métier d’ingénieur. Il tente l’aventure au Brésil en 1948 où il est représentant d’un avion français, le Courlis, puis gérant d’un hôtel à São Paulo, sans franc succès. Passionné par les sciences et la politique, Jean-Jacques Servan-Schreiber se découvre un goût pour l’écriture et le journalisme, écrivant des articles pour Les Échos et la presse locale brésilienne. Très brillant, il est engagé au Monde par Hubert Beuve-Méry en personne et devient à 25 ans éditorialiste en politique étrangère. Sa bonne connaissance des États-Unis lui permet de se spécialiser dans l’analyse de la guerre froide[2].
Convaincu que la décolonisation est inéluctable et nécessaire, il signe une série d’articles sur le conflit indochinois. Cela lui permet une rencontre qui change le cours de sa vie avec Pierre Mendès France (PMF), député de l’Eure, et farouchement opposé à la poursuite de l’effort militaire français en Indochine[3].
Considérant Mendès France comme le seul homme capable de sortir la France de l’enlisement et de la médiocrité du personnel politique de la IVe République, JJSS crée en 1953 le magazine L’Express avec la journaliste Françoise Giroud. D’abord simple supplément du week-end aux Échos, ils en font un journal généraliste indépendant, mais ayant pourtant clairement pour but d’amener Pierre Mendès France, ou ses idées, au pouvoir. Malgré des débuts difficiles, L’Express, devenu quotidien en 1955, est rapidement le journal de toutes les innovations, séduisant ou agaçant la jeunesse et les intellectuels des années 1950 et 1960[3].
Pourquoi Robert Hossein est enterré à Vittel ?
Un amour estival, puis durable. A Vittel, petite commune des Vosges mondialement connue pour son eau minérale, Robert Hossein, qui s’est éteint jeudi à 93 ans, au lendemain de son anniversaire, était chez lui. D’abord Parisien ayant acheté une maison de vacances, il avait fini par y habiter à temps plein depuis plusieurs années. C’est ici qu’il a voté lors des dernières élections municipales, le 15 mars 2020, alors que la France entrait dans le confinement. La verdure et la quiétude du village dans la plaine des Vosges l’ont séduit il y a plus de quarante ans. A l’invitation de Gilbert Trigano, alors patron du Club Med, le metteur en scène était venu puiser dans la cité thermale une source d’inspiration.
Où est enterré Jean-claude Bouttier ?
Au cimetière ancien de Gournay repose le boxeur Jean-Claude BOUTTIER (1944-2019). Boxeur vedette en France au début des années 1970, sa popularité atteint son paroxysme pour ses deux grands combats contre le légendaire Carlos Monzón.
Où est la tombe de Jean-pierre Bacri ?
Qui est Jean-Pierre Bacri ?
Date de naissance : 24 mai 1951 (Bou Ismaïl « Castiglione », Algérie).Date du décès : 18 janvier 2021 (Paris 6e, France) à 69 ans.Activité principale : Acteur, scénariste, dramaturge.
Où est la tombe de Jean-Pierre Bacri ?
Les obsèques ont eu lieu au crématoriumSes cendres ont été remises à la famille.
Biographie de Jean-Pierre Bacri
Figure incontournable du cinéma français contemporain, Jean-Pierre Bacri est un dramaturge, scénariste, et acteur à la personnalité remarquable. Aussi à l’aise dans les drames familiaux que dans les comédies romantiques, il a su se rendre populaire grâce à ses personnages atypiques, un brin râleurs, un peu bougons, mais toujours humbles et attendrissants, à l’image de l’homme qui les incarne. En solo, mais aussi avec Agnès Jaoui – celle qui fut pendant plus de vingt ans sa complice à la ville et à la scène –, Jean-Pierre Bacri sera maintes fois récompensé au cours de sa carrière, avec, entre autres, 6 nominations au César du Meilleur Acteur et un César du Meilleur Scénario Original.
Une enfance heureuse, dans un milieu modeste
Jean-Pierre Bacri naît le 24 mai 1951 à Castiglione, en Algérie française, dans une famille d’origine juive. Élevé dans un environnement très modeste, le jeune garçon vit une enfance heureuse, avec son père, facteur de profession, et sa mère, femme au foyer. En 1962, il quitte l’Algérie avec sa famille, pour s’installer en France, à Cannes, où son père décroche un emploi de guichetier dans un cinéma de la ville, le week-end. Grâce à son père, qu’il accompagne souvent, Jean-Pierre Bacri va se découvrir alors une passion pour le septième art.
Après avoir obtenu son bac, le jeune homme s’inscrit en fac de lettres.
Où habite Robert Hossein ?
Robert Hossein et son épouse Candice Patou vivaient à Vittel dans les Vosges depuis plusieurs années. C’est dans la commune que le comédien et metteur en scène est inhumé ce mercredi 6 janvier, dans l’intimité familiale. Robert Hossein est décédé jeudi 31 décembre à l’âge de 93 ans près de Nancy.
Devant l’église Saint-Rémy de Vittel, tenus à distance, derrière des barrières métalliques, plus d’une centaine de Vittellois sont venus lui rendre un dernier hommage. Nombreux sont ceux à l’avoir connu, à avoir échangé avec lui dans la ville.
Pour Frédéric Lévy, ami vittellois de Robert Hossein et cinéphile, c’est un monstre sacré qui s’en est allé : « Les comédiens font le conservatoire, ont une technique de jeu, tout est calculé mais il y en a deux ou trois qui sont des acteurs. Ça, c’est magnifique. Il n’y a pas d’explications. Robert qui rentrait dans une pièce, c’était déjà du théâtre. Je l’ai vu tourner, on ne faisait pas deux ou trois prises avec Robert Hossein, on disait « moteur », il se dépliait comme une liane et il envoyait la purée, c’était dans la boîte !
Qui sont les sœurs de Marina Vlady ?
Marina Vlady naît sous le nom d’état-civil de « Catherine Marina de Poliakoff-Baïdaroff » le 10 mai 1938 à Clichy, dans la proche banlieue nord-ouest de Paris. Ses parents sont des émigrés russes : son père Vladimir de Poliakoff est chanteur d’opéra, il est arrivé en France en 1915 et a participé à la Grande Guerre ; sa mère Militza Envald est danseuse étoile et est arrivée en 1919 après la révolution russe.
De leur mariage, sont nées quatre filles, qui se sont ensuite tournées vers des métiers artistiques, et qui ont été surnommées les « sœurs Poliakoff » :
- Olga (1928-2009), dite Olga Varen, comédienne et réalisatrice de télévision ;
- Étiennette ou Tatiana (1930-1980), dite Odile Versois, actrice ;
- Militza (1932-1988), dite Hélène Vallier, actrice ;
- Marina (née en 1938).
Selon l’édition du 11 juin 1955 de Paris Match, l’initiale V, commune aux quatre pseudonymes choisis avec ses sœurs correspondrait au V de « Victoire ».
Vladimir de Poliakoff et Militza Envald, avec leurs quatre enfants à charge, ont une situation économique difficile en France. Vladimir travaille comme ouvrier à l’usine Frigorifique de Clichy[2].
Marina entre dans l’école de danse de l’Opéra, menant aussi des études secondaires adaptées.
De g. à d., le réalisateur Luciano Emmer, les acteurs Marina Vlady, Magali Noël et Bernard Fresson à l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol le 1er juin 1960, en marge du tournage de La Fille dans la vitrine.
Marina Vlady débute au cinéma en 1949 (dans le rôle de « Marie-Tempête ») et perce dès 1954 dans Avant le déluge d’André Cayatte, remarquée notamment pour sa beauté. Elle devient aussitôt une des principales jeunes premières du cinéma français, aussi à l’aise dans la comédie (Sophie et le Crime de Pierre Gaspard-Huit) que dans le drame et le film noir, même si La Sorcière d’André Michel avec Maurice Ronet (l’un des films dont elle demeure très fière[2]) ne rencontre pas un grand succès public.
Elle tourne ensuite plusieurs films diversement accueillis sous la direction de Robert Hossein, avec qui elle forme un des couples très en vue, notamment Toi, le venin (1959, où Marina a pour partenaire sa sœur Odile Versois). Selon le Dictionnaire du cinéma français[3], le premier de ces films, Les salauds vont en enfer, écrit par Frédéric Dard, « a au moins le mérite de la nouveauté » et un « climat étrange, violent, érotique » qui le caractérise. Le couple se retrouve aussi dans Crime et Châtiment de Georges Lampin, La Sentence de Jean Valère et Les Canailles de Maurice Labro d’après James Hadley Chase. Les quatre films de Hossein « permettent [à Marina] de relancer une image de marque qui avait beaucoup de mal à convaincre le public[3].
Où vit Marina Vlady ?
C’était la foule des grands jours à Drouot hier, lors de cette vente de prestige, organisée par le cabinet Kapandji-Morhange. La dispersion de la collection de manuscrits, d’œuvres d’art et d’objets ayant appartenu à Marina Vlady a dépassé les résultats escomptés, avec un produit total vendu de 987.983 €.
De nombreux amateurs et plusieurs médias étrangers ont afflué dans la salle 2 de l’Hôtel des Ventes qui était comble.
Comme elle l’a elle-même rappelé, Marina Vlady a décidé de mettre en vente ses souvenirs parce qu’elle déménage, quittant sa grande maison dans la ville de Maisons-Laffitte pour s’installer dans une banlieue de Paris, où elle va vivre dans un appartement plus modeste.
Près de 150 lots ont ainsi été dispersés.
Quel est le vrai nom de Marina Vlady ?
Marina Catherine De Poliakoff-Baidarov dit Marina Vlady
Fille d’artistes émigrés russes (son père est chanteur d’opéra et sa mère danseuse étoile), Marina Vlady naît le 10 mai 1938 à Clichy.
Quel est l’âge de Marina Vlady ?
[…] On n’a plus le droit d’être fatiguée après le Covid, ni d’être vieille, ni d’être malade ; il faut vraiment continuer à gueuler parce que ce qu’il se passe dans le monde actuellement, c’est insupportable !
Bibliographie sélective de Marina Vlady
- Marina Vlady, Vladimir ou Le Vol arrêté, Fayard, 1987 – rééd. Le livre de poche, 1989
- Marina Vlady, Le Voyage de Sergueï Ivanovitch, Fayard, 1993 – rééd. Le livre de poche, 1994
- Marina Vlady, Du cœur au ventre, 1996 – rééd. Le livre de poche, 1997
- Marina Vlady, Ma Cerisaie, Fayard, 2001 – rééd. Le livre de poche, 2003
- Marina Vlady, Sur la plage, un homme en noir, Fayard, 2006 – rééd. Le livre de poche, 2008
- Marina Vlady, Le Fol Enfant, Fayard, 2009
- Marina Vlady, C’était Catherine B., Fayard, 2013
Les références des extraits et archives Ina diffusés dans l’émission
- Vladimir Vyssotski à propos de ses chansons, extrait de l’émission La Chanson, France Musique, 1976
- Un extrait du film La Sorcière d’André Michel, 1956
- Maxime Le Forestier à propos de sa rencontre avec Vladimir Vyssotski, extrait de l’émission À portée de mots, France Musique, 2008
- Entrée des troupes soviétiques en Afghanistan, extrait du journal Inter Actualités de 19 heures, France Inter, 26 décembre 1979
- Un extrait du film Falstaff d’Orson Wells, 1965
- Un extrait du film Deux ou trois choses que je sais d’elle de Jean-Luc Godard, 1967
- Georges Perec à propos de la mort de ses parents, extrait de l’émission Radioscopie, France Inter, 1978
La programmation musicale du jour
- Vladimir Vyssotski, « La Chasse aux loups« , 1977
- Les Sœurs Poliakoff (Marina Vlady et ses sœurs), « Le Poirier », 1967
Le générique de l’émission
Isabelle Pierre, « Le temps est bon » (1971), remixé par Degiheugi, 2012
Un grand merci pour ces cinq années d’écoute et de fidélité
Cet entretien avec Marina Vlady est l’ultime épisode inédit de l’émission Une journée particulière, proposée par Zoé Varier et Flora Bernard depuis septembre 2017.
Quel âge a Odile Versois ?
La comédienne Odile Versois est morte ce lundi 23 juin à son domicile parisien. Elle était âgée de cinquante ans.