Nicolas Peyrac, de son vrai nom Jean-Jacques Tazartez, est un chanteur français, auteur-compositeur-interprète, et romancier, né le 6 octobre 1949 dans le 14e arrondissement de Paris.
Quelles études a fait Nicolas Peyrac ?
Nicolas Peyrac a fait des études de médecine
L’artiste est issu d’une famille de médecin. Son père exerçait à la campagne, en Bretagne ; sa mère était ingénieur des travaux publics avant de se tourner elle-aussi, vers la médecine. Nicolas Peyrac entreprend donc des études de médecine.
Quel chanteur a fait médecine ?
La musique me fait beaucoup d’effet et, comme je ne sais pas m’exprimer en dansant, je m’exprime en chantant. En revanche, je me rappelle très bien pourquoi j’ai été médecin jusqu’en 2015. J’ai pratiqué pendant cinq ans, d’abord comme généraliste, puis je me suis tourné vers les soins palliatifs. J’ai travaillé deux jours par semaine dans un service de soins palliatifs gériatriques.
Mes parents m’avaient demandé de choisir des études. Dans les métiers que je trouvais certes laborieux mais beaux et universels, il y avait celui de médecin. Je me suis lancé dans ces études-là et j’ai trouvé ça génial. La première année, c’est dur, mais après on est tout de suite à l’hôpital et, là, c’est le fond de l’entonnoir social. On rencontre des gens de la société auxquels on n’aurait pas accès autrement. Pour se forger une pensée politique, c’est pas mal, l’hôpital.
Où habite Pierre Groscolas ?
La tournée Age Tendre sera au Zénith de Toulouse le 22 mars. Aux côtés de Sheila, Dave, Nicoletta et tous les autres, le Toulousain Pierre Groscolas, ravi de participer à l’événement.
On se souvient de ses deux énormes tubes : «Lady Lay» et «Elise», estampillés années 80. Pierre Groscolas fut aussi le compositeur du «Hamlet» de Johnny, gros échec commercial mais date importante dans la carrière de l’idole aujourd’hui défunte.
Vous vivez toujours à Toulouse ?
Toulouse c’est ma ville. J’y suis arrivé en 1962, j’y ai fait mes études, je m’y suis marié, j’habite toujours ici, près de Carbonne, et c’est grâce à Toulouse que j’ai démarré dans le métier. J’ai commencé à jouer en 1964 avec des copains du lycée Ozenne, comme François Porterie et Jacques Cardona, qui ont fait une carrière exceptionnelle par la suite. Ils ont fondé le studio Condorcet et sont à l’origine du fameux «son toulousain» qui a contribué à propulser de nombreux artistes sur la scène musicale nationale et internationale.
On connaît vos tubes, «Lady Lay» et «Elise» mais on sait moins que vous avez composé en 1975 un opéra-rock tiré d’«Hamlet» pour Johnny Hallyday !
C’est un grand souvenir. Cet opéra m’a occupé pendant deux ans. «Hamlet» c’était le choix de Johnny. Ce personnage de Shakespeare l’avait marqué. C’est lui qui est venu me chercher.
Quelle est l’origine ethnique de Nicolas Cage ?
Through his father, Cage is the nephew of director Francis Ford Coppola and actress Talia Shire, as well as the cousin of directors Roman Coppola and Sofia Coppola, late film producer Gian-Carlo Coppola, and actors Robert Carmine and Jason Schwartzman. Cage’s two brothers are Christopher Coppola, a director; and Marc “The Cope” Coppola, a New York radio personality. He was raised Roman Catholic. Cage attended Beverly Hills High School, which is known for its many alumni who became entertainers, and aspired to act from an early age. Cage also attended UCLA School of Theatre, Film, and Television. His first non-cinematic acting experience was in a school production of Golden Boy.
To avoid the appearance of nepotism as the nephew of Francis Ford Coppola, he changed his name early in his career to Nicolas Cage, inspired in part by the Marvel Comics superhero Luke Cage. Since his minor role in the film Fast Times at Ridgemont High, with Sean Penn, Cage has appeared in a wide range of films, both mainstream and offbeat. He tried out for the role of Dallas Winston in his uncle’s film The Outsiders, based on S.E.
Quel est l’acteur américain qui a tourné le plus de film ?
Pour quelqu’un qui a commencé sa carrière comme taulard, allier quantité et qualité à ce point, c’est très stylé. D’ailleurs, vous saviez que Danny Trejo était l’acteur qui meurt le plus à l’écran ? C’est incroyable. 
Christopher Lee (+ de 280 apparitions)
Est-ce que j’ai encore besoin de présenter Christopher Lee ? Il fait partie des acteurs aux carrières les plus cool, avec des rôles de malade : Saroumane dans Le Seigneur des Anneaux, Francisco Scaramanga dans L’Homme au pistolet d’or, Le Comte Dooku dans la prélogie Star Wars ou encore Lord Summerisle dans The Wicker Man. Beaucoup de comédiens sacrifieraient père, mère et même chien pour avoir ne serait-ce qu’un dixième de sa carrière, et je les comprends.
Robert Loggia (+ de 230 apparitions)
Un peu moins connu des plus jeunes – notamment parce qu’il avait la maladie d’Alzheimer pendant les dernières années de sa vie, ce qui a freiné sa carrière – Robert Loggia n’en a pas moins une filmographie impressionnante. Il a joué dans Scarface, Independance Day, Les Soprano, À double tranchant ou encore Lost Highway. Vous ne les avez jamais vus ? Ok, alors voilà un rôle que vous connaissez forcément : Robert Loggia jouait le grand-père (côté maternel) dans la série Malcolm. Alors ? Là vous voyez hein ?
Christopher Plummer (216 apparitions)
L’acteur canadien a réussi à inscrire son nom à l’affiche d’un paquet de gros films comme La Mélodie du Bonheur, L’armée des 12 singes, Benjamin Gates, Millénium, Là-Haut, ou L’Homme qui voulut être roi. À 90 ans, il avait déclaré qu’il était « meilleur acteur qu’il ne l’avait jamais été », mais malheureusement il est décédé un an plus tard en 2021.
Quelle est la voiture de Nicolas Cage ?
Il n’y a aucun doute que la Ford Mustang est une voiture qui a eu une carrière florissante au cinéma. On a qu’à penser au film Bullitt ou encore à Fast and Furious Tokyo Drift, deux films qui ont mis la Mustang en vedette puisqu’elle était conduite par les personnages principaux. Il en va de même pour le film Partis en 60 secondes qui mettait à l’avant plan une Ford Mustang Eleanor 1967 dont un exemplaire vient d’être mis en vente en Allemagne.
Tous les amateurs de voiture se rappellent ce film lancé au tournant des années 2000 et mettant en vedette Nicolas Cage, alors qu’il fouettait une voiture nommée Mustang Eleanor, basée sur une Ford Mustang Shelby GT500 1967, comme s’il n’y avait pas de lendemain. L’exemplaire mis en vente est le numéro sept, soit l’une des trois voitures restantes de celles utilisées dans le film.
À la base, 11 voitures identiques avaient été créées par Steve Stanford et Chip Foose afin de servir à la réédition moderne de ce film originalement créé en 1974.
Pourquoi Nicolas Cage ne tourne plus ?
Son travail avec d’autres personnalités du cinéma, dont Gore Verbinski (The Weather Man) et Oliver Stone (World Trade Center), fait chuter sa réputation aux vues des échecs de ces films. Et encore, on peut alors se dire qu’il s’agit d’un incident de parcours mais il n’en est rien ! L’acteur enchaîne les divertissements à échecs (critiques et commerciaux): Next, Bangkok Dangerous, L’Apprenti Sorcier, Le Dernier des Templiers, Hell Driver… La cause de cet acharnement à tourner ? Les dettes ! En effet, l’acteur en est criblé. Et vendre la plupart de ses propriétés ne lui permet pas de rembourser entièrement ce qu’il doit au fisc. Il est donc normal de le voir accepter tout et n’importe quoi comme projets, ayant simplement besoin d’argent. Pour couronner le tout, des affaires de violences conjugales viennent se mêler aux déboires financiers de l’acteur. On espère alors pour Nicolas Cage que tout s’arrange très vite. Et il semble que ce soit le cas : ses dettes finissent par être payées par un chasseur de prime, et sa longue traversée du désert fait place à quelques films appréciables redonnant un peu de « valeur » à sa carrière (Prédictions, Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans et Kick-Ass.)
