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Est-ce que Denise Fabre est Grand-mère ?

by Nadia Moulin

Denise a une vie de grand-mère épanouie bien remplie », avait-il ajouté dans les pages du journal local. C’est certainement entourée de sa famille que l’animatrice aura soufflé ses 80 bougies ce 5 septembre.

Qui était le premier mari de Denise Fabre ?

Denise Fabre, née le 5 septembre 1942 à Nice, est une animatrice radio, présentatrice de télévision et femme politique française.

Après une enfance difficile (problèmes familiaux, placée en pension religieuse et un passage en maison de correction[1]) à Nice, Denise Fabre souhaite devenir hôtesse de l’air, mais, à l’issue d’un concours, elle débute, à l’âge de 19 ans comme télé-speakerine sur les antennes de Télé Monte Carlo. À la même période, elle effectue quelques publicités[1].

À l’âge de 16 ans, elle décroche un petit travail en tant que dame de compagnie pour faire visiter l’arrière-pays niçois à l’épouse d’un couple américain. Pensant que ça ne serait pas intéressant mais que ça ne durerait que quelques semaines, elle accepte. Quand elle rencontre le couple, elle s’aperçoit qu’il s’agit de Walt Disney et son épouse, ce dernier étant à l’époque en repérages sur la côte d’Azur pour un film[1]. À la fin de leur séjour, ceux-ci veulent l’amener avec eux en Amérique mais, étant âgée seulement de 16 ans — (la majorité légale étant alors fixée à 21 ans), sa mère refuse.

À Noël 1963, Denise Fabre arrive à Paris et rejoint la deuxième chaîne de l’ORTF comme télé-speakerine. Parallèlement elle anime l’émission dominicale Télé Dimanche sur la première chaîne, devenant une animatrice reconnue de la télévision française.

En septembre 1971, Pierre Sabbagh devient directeur des programmes de la deuxième chaîne de télévision de l’ORTF et désire que son épouse, Catherine Langeais (speakerine sur la première chaîne), en présente les programmes. Denise Fabre et Catherine Langeais échangent alors leurs postes. Denise Fabre reste sur la première chaîne jusqu’au 5 janvier 1975, date de la fin de l’ORTF et de son démantèlement.

Denise Fabre est en 1971 l’actrice principale d’une série télévisée, Madame êtes-vous libre ?.

Où vit Denise Fabre actuellement ?

Mais cette fonction parfois harassante, qui contraint à une présence de chaque instant auprès de ses chers administrés, n’a finalement été qu’un petit investissement personnel, comparé à l’enfer que cette grand-mère attentive a vécu cet été !

Pourtant Dieu sait que l’ancienne présentatrice de la Tournée Âge tendre a dû apprendre à s’endurcir au fil de ses années de présence à la mairie niçoise. Elle avait notamment été terriblement marquée par deux événements épouvantables survenus dans sa ville bien aimée où d’ordinaire il fait si bon vivre. D’abord, il y a eu l’attentat du 14 juillet 2016, qui a causé la mort de 86 personnes sur la promenade des Anglais, et dont le procès d’une partie des responsables s’est ouvert lundi 5 septembre, puis celui perpétré en la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption, le 29 octobre 2020, où un sacristain et une paroissienne avaient été sauvagement assassinés.

Au lendemain de ce carnage, cette grande optimiste avait d’ailleurs mis un terme à sa carrière politique et par conséquent à tous ses mandats. Après une vie bien remplie, faite de bonheurs et de drames, elle entendait bien, à 78 ans, pouvoir enfin profiter des siens, de son homme, de ses filles et de ses petits-enfants.

Mais il faut croire que ce choix, s’il lui a donné un plaisir immense, ne lui a pas apporté toute la sérénité et le repos qu’elle imaginait et dont elle avait tant besoin.

Comment est Denise Fabre maintenant ?

Denise Fabre : l’animatrice avait été mise à pied à cause d’un fou rire

Figure emblématique de la télévision française, Denise Fabre avait fait les beaux jours de l’ORTF et de TF1 en tant que speakerine. Le 14 août 1979, alors qu’elle était en duplex de Gruyère lors du journal télévisé, la star du petit écran avait été prise d’un fou rire qui lui avait valu une mise à pied de trois semaines. « Je ne vais jamais y arriver », expliquait-elle en direct.

En mai 2021, France 2 consacrait un reportage à toutes les speakerines de l’époque. Lors de la diffusion de ce documentaire au 20 heures de la chaîne, Denise Fabre était revenue sur cette mésaventure insolite. « Moi je recevais des notes de service avec mes fous rires, en disant voulez-vous m’expliquer la raison de votre fou rire de tant à telle heure ? », avait-elle déclaré et d’ajouter : « Comment voulez-vous expliquer un fou rire ? C’est pas possible ».

Dans un entretien accordé à France Info, l’ex-speakerine avait donné plus de détails sur les circonstances de son fou rire mythique.

Quelle est la seule amie de Denise au bonheur des dames ?

Pauline Cugnot

Cette gentille vendeuse du rayon des lingeries – rayon ennemi de celui des confections – est la seule amie de Denise lors de son premier séjour au Bonheur des Dames. C’est une jeune femme simple d’origine rurale dont les seules ambitions sont de mener une vie tranquille et d’épouser son fiancé Baugé, lui aussi vendeur. Denise lui prouve sa reconnaissance en empêchant son licenciement quand elle se retrouve enceinte et menacée de renvoi.

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Quel est le salaire de Denise au bonheur des dames ?

Denise, quoique frêle et émotive, survit physiquement et moralement au déracinement, à la misère et aux maltraitances (alors que d’autres jeunes filles ont abandonné ou se sont soumises et ont été déshonorées) : elle est (socialement et) génétiquement résistante (sa longue chevelure symbolise sa résistance et sa pureté ininterrompues depuis sa naissance), développe des capacités d’adaptation (jusqu’à défendre le grand magasin) et attire l’attention du mâle dominant avec lequel elle peut éventuellement procréer, leur croisement étant susceptible d’améliorer le patrimoine génétique de l’espèce (le mot phylogénèse est daté de 1874…). C’est le principe de la sélection naturelle appliqué à l’environnement socio-professionnel (ce que Zola fait dans l’ensemble de ses textes). 6. Le 12 février : chapitres VII et VIII.

  • Chapitre 7 : juillet 1865, après le renvoi, la misère…
    • Trouver un logement, vie sans travail (p. 234-241) : toucher le fond… avant de rebondir, comme on dit maintenant.
    • Employée par Bourras, 40 sous par jour (p. 241-246) : les deux employeurs de Denise sont des emplois par solidarité, pour ne pas dire par pitié, une entraide entre pauvres qui montre le cœur, la gentillesse que les gens modestes, même en difficulté, peuvent avoir entre eux. Ces qualités, que le grand magasin et le milieu des affaires n’ont pas, sont montrées objectivement par Zola, qui ne fait pas lui-même de discours politique ; Denise s’en sortira parce qu’elle a des qualités d’adaptation et de compréhension de ce qui se produit autour d’elle, aussi parce qu’elle est libre et disponible (elle n’a pas déjà un magasin à s’occuper) ; les autres semblent tous incapables de comprendre, de s’adapter, au contraire ils s’enferment dans leurs conceptions obsolètes (parce qu’ils ne parviennent pas à penser qu’elles sont obsolètes) ;
    • Employée chez Robineau, janvier 1866, à 60 francs par mois, Denise défend le (principe du) grand magasin (p. 246-257) : c’est le grand changement du livre, le pivot psychologique et narratif du roman ; les arguments de Denise sont simples, de l’ordre de l’évidence pour elle, mais elle ne cherche pas à les imposer, elle reste modeste et s’affirme ;
    • Avril 1866, printemps, début des opérations immobilières (p. 257-260) : voir les prolepses au chapitres II et III, avec le baron Hartmann.
    • Juillet 1866 – un an après le renvoi, rencontre Denise et Mouret, proposition de réhabilitation, message pour Bourras (p. 260-264) : l’ombre du jardin des Tuileries est, dans la visibilité et l’exposition urbaines, un lieu magique, un moment où les deux personnages peuvent s’exprimer en sentant moins fortement ce qui les sépare ; Mouret découvre une femme, sa personnalité, ses idées, dont la chevelure devient un atout ; Denise reçoit de la considération, des excuses, une promesse de réhabilitation et devient digne de la confiance de Mouret.
    • Opérations et propositions immobilières (p. 264-266).
  • Chapitre 8 : Opérations immobilières…
    • Début des travaux, réconciliation avec Baudu (p. 267-273) : le chapitre est assez familial ; zola veut montrer que le déclin du petit commerce n’est pas seulement un problème commercial, qu’il entraîne la catastrophe dans les vies de chacune des personnes concernée : le manque d’argent, les projets téméraires mais voués à l’échec, la perte de l’estime de soi, la trahison des promesses, etc.
    • Colomban, entre Geneviève et Clara, l’embarras de Denise (p. 273-278) : un cas particulier du déclin…
    • Quartier en travaux, tous les jours et même la nuit, septembre 1866, déclin des petits commerces (p. 278-281)
    • Vente de la maison de Rambouillet, mariage repoussé (p. 281-288) : le mensonge, l’hypocrisie, la tentation s’immiscent dans les relations (qui étaient) stables et les détruisent…
    • Denise quitte Robineau pour retourner bientôt au Bonheur des dames, avec 1000 francs par mois, Bourras résiste, Mouret avec Clara !

Pourquoi Denise repousse Mouret ?

En effet, l’intention de Denise quand elle vient voir Mouret est de quitter son poste de première pour rentrer à Valognes, sa ville natale. « De son air calme », elle précise à Mouret qu’elle « serait venue le remercier pour toutes ses bontés ».

Comment se termine l’histoire au bonheur des dames ?

Sa mère se suicide et l’oncle Baudu se retrouve seul et sans argent. Bourras est mis à la rue.

En colère contre le Bonheur des Dames qu’ils accusent d’être la cause de leur mort, ils refusent tous l’aide financière de Denise.

Une fin heureuse pour Denise ❤️

Chapitre 14

Face aux gossips sur la relation entre Mouret et Denise, celle-ci quitte le magasin. Pour ne pas la perdre, Octave Mouret la demande en mariage. Elle accepte enfin !

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Au bonheur des Dames : analyse

Après ce résumé du livre Au Bonheur des Dames, lis bien ces quelques éléments clefs pour le lire comme un pro

Une représentation mythique du monde moderne ⭐

Le zoom sur le Grand magasin, c’est une plongée dans les nouveaux rapports de force introduits par la modernité ! Bien souvent, Zola recourt au procédé de la personnification pour donner vie au Bonheur des Dames. Il devient un véritable appareil tentaculaire.

L’intrigue principale suit les étapes de son développement.

  • Chap. 2 et 3 : le capitalisme naissant est incarné par les personnages des de l’entrepreneur et du banquier, qui prévoient l’expansion du magasin. Denise n’y a pas sa place, elle est poussée au dehors des murs de l’enseigne.

Les yeux toujours vers la rue, Denise se sentait mangée.

  • Chap. 6 : lorsque le rythme des ventes ralentit, la situation de Denise dégringole puisqu’elle est licenciée. Elle est presque à la rue.
  • Chap. 8 et 9 : l’âge d’or du magasin. En même temps qu’il s’étend, les commerces alentour tombent en ruine. Finalement, l’ascension sociale de Denise au sein du magasin est due à la contrainte qu’elle a d’y revenir. Il offre le seul lieu d’emploi. Elle a alors une grande chambre qu’elle peut décorer et circule librement dans les couloirs du Magasin plutôt que d’être assignée à un rayon.

Au sein du Bonheur des Dames, c’est chacun pour soi ! Que ce soit entre les clientes pour obtenir les produits à moindre prix ou entre les vendeuses dont la rivalité repose sur le nombre de ventes effectuées. Il y a là une représentation darwinienne de la société : chacun lutte pour se faire une place et donc pour sa propre vie. Seuls les meilleurs arrivent en haut de l’échelle sociale !

Quel est l’âge de Denise ?

Monsieur et Madame Disney ont été très satisfaits de la prestation de Denise Fabre si bien qu’ils lui ont demandé de venir avec eux aux États-Unis. Mais à l’époque, la jeune femme n’était pas encore majeure, sa mère s’y oppose.

La suite de sa carrière, on la connait. Denise Fabre brille à la télévision par sa bonne humeur. Elle a d’ailleurs été élue à plusieurs reprises présentatrice préférée des Français. Dans les années 2000, elle quitte petit à petit la télévision pour faire une carrière politique dans sa ville natale, Nice.

Source: Legit.ng

Pourquoi Denise est renvoyée ?

Elle se transforme, et Mouret se montre bienveillant envers elle.

La vie est difficile : le travail pénible est physiquement difficile, et Denise a du mal à subvenir aux besoins financiers de ses frères, surtout de Jean, amateur de femmes.

Son amie, Pauline, lui conseille de prendre un amant, mais Denise s’y refuse. Deloche avoue son amour pour elle, mais elle le repousse, ne voulant être que son amie.

20 juillet 1865. Pendant cette saison d’été, il y a beaucoup de licenciements. Les méchantes collègues de Denise prétendent qu’elle a un amant et un enfant (il s’agit en fait de ses deux frères). Grâce à l’aide de son collègue Robineau, Denise passe ses nuits à coudre des cravates. Ils se font finalement renvoyer tous les deux.

Ce chapitre couvre la période de juillet 1865 à juillet 1866.

Denise est fâchée avec son oncle depuis qu’elle a accepté de travailler au Bonheur des Dames. Après son renvoi, elle se retrouve à la rue. Ne pouvant plus payer la pension de Pépé, elle loue une chambre dans la vieille maison de Bourras qui l’emploie en tant que vendeuse, même si son commerce ne fonctionne pas très bien.

En janvier 1866, Robineau, qui vient d’acheter un magasin de quartier, engage Denise. Il s’engage dans une lutte contre le grand magasin et se ruine.

Quelle est la situation financière de Denise ?

Enfin, le lecteur apprend l’appréhension et la jalousie de Mouret à l’idée que Denise se trouve réellement un amant.

Chapitre 6

Des rumeurs circulent entre les murs du magasin : Denise entretiendrait une relation amoureuse avec un Homme, son frère Jean, et élèverait un enfant, son autre frère Pépé. Devant les demandes croissantes d’argent de la part de Jean, Denise est contrainte à cumuler un second emploi dans une confection de nœuds de cravate. Dépité et amer suite au rejet de Denise, l’inspecteur Jouve décide de renvoyer Denise. Cette dernière avait dans l’idée d’éclaircir le malentendu relatif à ses frères avec Mouret ; mais change finalement d’avis. Lorsque Mouret est averti de la décision, il s’énerve contre Bourdoncle et souhaite réintégrer Denise dans l’équipe mais renonce également à l’idée.

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Chapitre 7

La situation financière de Denise est désastreuse au point qu’elle envisage la prostitution. Bouras, le fabriquant de parapluies prend pitié et l’embauche. En 1866, elle trouve un nouvel emploi dans la boutique de Robineau, un ancien collègue, lui aussi licencié. Ce petit magasin ambitionnait de concurrencer Au bonheur des dames ; cependant, lorsque Mouret décide lancer la guerre des prix, le petit commerce se retrouve incapable de rivaliser. Denise prend le parti du grand magasin qu’elle estime détenir le futur.

Au printemps, c’est au tour de Bourras de se dresser contre Mouret : ce dernier l’ayant offensé en lui proposant de racheter son bail. L’été suivant, Mouret et Denise se croisent au détour d’un hasard. Le propriétaire du Au bonheur des dames est impressionné par la connaissance dont Denise fait preuve au regard de la situation de lutte entre petits commerces et grands magasins. Il souhaite la réembaucher. Il lui confie ainsi la mission de transmettre à Bourras une offre de rachat ; qui sera également refusée.

Quel est le salaire de Denise au Bonheur des Dames ?

Denise, quoique frêle et émotive, survit physiquement et moralement au déracinement, à la misère et aux maltraitances (alors que d’autres jeunes filles ont abandonné ou se sont soumises et ont été déshonorées) : elle est (socialement et) génétiquement résistante (sa longue chevelure symbolise sa résistance et sa pureté ininterrompues depuis sa naissance), développe des capacités d’adaptation (jusqu’à défendre le grand magasin) et attire l’attention du mâle dominant avec lequel elle peut éventuellement procréer, leur croisement étant susceptible d’améliorer le patrimoine génétique de l’espèce (le mot phylogénèse est daté de 1874…). C’est le principe de la sélection naturelle appliqué à l’environnement socio-professionnel (ce que Zola fait dans l’ensemble de ses textes). 6. Le 12 février : chapitres VII et VIII.

  • Chapitre 7 : juillet 1865, après le renvoi, la misère…
    • Trouver un logement, vie sans travail (p. 234-241) : toucher le fond… avant de rebondir, comme on dit maintenant.
    • Employée par Bourras, 40 sous par jour (p. 241-246) : les deux employeurs de Denise sont des emplois par solidarité, pour ne pas dire par pitié, une entraide entre pauvres qui montre le cœur, la gentillesse que les gens modestes, même en difficulté, peuvent avoir entre eux. Ces qualités, que le grand magasin et le milieu des affaires n’ont pas, sont montrées objectivement par Zola, qui ne fait pas lui-même de discours politique ; Denise s’en sortira parce qu’elle a des qualités d’adaptation et de compréhension de ce qui se produit autour d’elle, aussi parce qu’elle est libre et disponible (elle n’a pas déjà un magasin à s’occuper) ; les autres semblent tous incapables de comprendre, de s’adapter, au contraire ils s’enferment dans leurs conceptions obsolètes (parce qu’ils ne parviennent pas à penser qu’elles sont obsolètes) ;
    • Employée chez Robineau, janvier 1866, à 60 francs par mois, Denise défend le (principe du) grand magasin (p. 246-257) : c’est le grand changement du livre, le pivot psychologique et narratif du roman ; les arguments de Denise sont simples, de l’ordre de l’évidence pour elle, mais elle ne cherche pas à les imposer, elle reste modeste et s’affirme ;
    • Avril 1866, printemps, début des opérations immobilières (p. 257-260) : voir les prolepses au chapitres II et III, avec le baron Hartmann.
    • Juillet 1866 – un an après le renvoi, rencontre Denise et Mouret, proposition de réhabilitation, message pour Bourras (p. 260-264) : l’ombre du jardin des Tuileries est, dans la visibilité et l’exposition urbaines, un lieu magique, un moment où les deux personnages peuvent s’exprimer en sentant moins fortement ce qui les sépare ; Mouret découvre une femme, sa personnalité, ses idées, dont la chevelure devient un atout ; Denise reçoit de la considération, des excuses, une promesse de réhabilitation et devient digne de la confiance de Mouret.
    • Opérations et propositions immobilières (p. 264-266).
  • Chapitre 8 : Opérations immobilières…
    • Début des travaux, réconciliation avec Baudu (p. 267-273) : le chapitre est assez familial ; zola veut montrer que le déclin du petit commerce n’est pas seulement un problème commercial, qu’il entraîne la catastrophe dans les vies de chacune des personnes concernée : le manque d’argent, les projets téméraires mais voués à l’échec, la perte de l’estime de soi, la trahison des promesses, etc.
    • Colomban, entre Geneviève et Clara, l’embarras de Denise (p. 273-278) : un cas particulier du déclin…
    • Quartier en travaux, tous les jours et même la nuit, septembre 1866, déclin des petits commerces (p. 278-281)
    • Vente de la maison de Rambouillet, mariage repoussé (p. 281-288) : le mensonge, l’hypocrisie, la tentation s’immiscent dans les relations (qui étaient) stables et les détruisent…
    • Denise quitte Robineau pour retourner bientôt au Bonheur des dames, avec 1000 francs par mois, Bourras résiste, Mouret avec Clara !

 

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